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Chapitre un ~ La nuit, tous les chats sont gris

Des jappements effrénés vinrent briser le silence de la nuit. Je sursautai une fois de plus et dessinai un trait de travers sur ma feuille avant de lâcher un long soupir. Il semblait que je n'avais pas droit à plus de cinq minutes de silence d'affilée sans que ce fichu chien ne se mette à hurler comme si sa vie en dépendait. Ah, les canidés. Qu'ils peuvent être stupides, parfois.

Armée de patience ainsi que de ma gomme à effacer, j'entrepris de retirer la marque laissée par mon crayon noir. Lorsque j'eus enfin fini, je me remis au travail et essayai vainement d'oublier les glapissements de Chico, l'agaçant petit chien de nos voisins. 

Je devrais peut-être les dénoncer pour détention clandestine d'animal dans le logement, pensai-je en levant les yeux au plafond. Ce petit Jack Russel commence sérieusement à me taper sur les nerfs, et je pense que le propriétaire serait content de faire quelque chose de sa vie.

Alors que le cabot semblait s'être calmé, je cessai de dessiner la forme de l'œil que je venais de terminer et j'entamai l'iris. Je m'emparai d'un crayon de bois rouge et fis glisser la mine sur le papier afin de créer de petites stries aux endroits désirés. Sa couleur écarlate contrastais avec la peau blanche qui l'entourait et les mèches sombres qui encombraient son regard de sang.

Il ne me restait que cette partie pour que le portrait que je tentais de reproduire soit terminé. Chaque ligne que laissait mon crayon ajoutait une touche de ressemblance à mon dessin, qui se voulait représenter une personne en particulier. Une personne... étrange, agressive. Une personne dont je ne connaissais le nom et qui, pourtant, me rendait visite presque tous les jours depuis dix-sept longues années. Une personne que je tentais d'oublier, mais qui continuait d'hanter mon esprit malgré tous mes efforts.

Cette fille, je ne pouvais l'empêcher de venir déranger mes pensées. Il ne me suffisait que de quelques secondes d'inattention pour que son visage torturé apparaisse devant mes yeux, son regard sanglant fixé dans le mien. Lorsqu'elle s'immisçait dans mon esprit, il m'était presque impossible de la faire partir ; elle restait là à me regarder en criant mon prénom et en tirant sur ses chaînes afin de se libérer durant de douloureuses minutes, qui me semblaient être des heures. Cette horrible image mettait un certain temps à disparaître, j'étais donc obligée d'assister à ce spectacle jusqu'à ce qu'il s'efface enfin.

C'était pour cette raison que je ne dormais que très peu ; pour éviter de penser à elle. Rien que de m'imaginer cette fille, je me mettais à paniquer, ce que je tenais à éviter à tout prix. Malgré ce que croyaient mes parents, mes crises de panique étaient de pire en pire, et je ne voulais pas qu'elle s'empare de mon corps. Je passais donc mes nuits à dessiner à la lueur de la lune, essayant tant bien que mal d'expulser mes émotions sur les feuilles de papier. Le plus étonnant, c'était que cette méthode fonctionnait. À croire que si je parvenais à reproduire son visage à l'aide de quelques crayons, celui-ci disparaissait automatiquement de mon esprit. Pas bête.

De cette façon, je m'occupais l'esprit et j'évitais de me laisser contrôler par celle que je nommais affectueusement la Catastrophe. Ce qui était assez drôle, si on remarquait que ce surnom commençait par les mêmes lettres que mon prénom, en plus d'assez bien représenter ce qu'elle faisait de moi une fois maîtresse de mes mouvements ; une catastrophe ambulante détruisant tout sur son passage.

Je m'étais souvent demandé s'il ne s'agissait pas de la même fille enchaînée qui prenait possession de mon corps, car chaque fois où je me laissais diriger par cette étrange puissance, mes iris perdaient leur ton violacé pour se teinter du même rouge éclatant que les siens. Puisque je n'en étais en aucun cas convaincue, je préférais dire que la Catastrophe et elle étaient deux personnes distinctes. La première ne faisait que troubler mes pensée et n'existait peut-être même pas, alors je ne savais pas quoi en penser. Quant à l'autre, elle faisait partie de moi et je ne pouvais le nier ; nous ne formions qu'une, comme partageant le même corps.

Celle-ci s'étirait et grognait en moi à chaque moment de faiblesse, usant de mes émotions pour devenir plus forte. Elle était puissante et incontrôlable, ce qui faisait qu'il m'était impossible de l'empêcher de me commander une fois qu'elle était bien réveillée. Un rien pouvait me mettre en colère, ce qui avait tendance à troubler son sommeil. Elle lâchait alors un grognement terrible et mes yeux se coloraient d'écarlate alors qu'elle resserrait son emprise sur moi.

À quelques reprises, elle avait même réussi à faire surface dans un élan de fureur alors que je me trouvais à l'école — car, avouons-le, si l'école sert bien à une chose, c'est à nous mettre dans tous nos états. Disons simplement que j'avais alors dû changer d'établissement, afin d'éviter les regards des autres, même si je savais pertinemment que cela ne durerait pas. Heureusement, j'avais appris à la contenir et cela ne s'était pas reproduit en public depuis mes douze ans. Je détestais me faire dévisager comme si je me trouvais être un phénomène de foire, bien que cela puisse très bien me représenter quand la Catastrophe remplaçait Catalina. Elle me transformait en monstre sans pitié et je détestais cela. Elle me faisait sentir... cruelle.

Le chien, qui avait jusqu'alors cessé de japper, se remit à pousser des hurlements, me tirant ainsi de mes sombres pensées. Je secouai la tête et priai pour que ces horribles cris n'aient pas réveillé la Catastrophe, qui dormait d'un sommeil léger en moi. Par chance, ce n'était pas le cas. Elle somnolait encore.

Je baissai les yeux vers le dessin que je venais de finaliser. Il n'était pas si mal, en fin de compte. Bien que le nez soit un peu croche, j'avais réussi à bien retranscrire l'agressivité et le désespoir qui tordaient les traits de ma mystérieuse visiteuse. Il était plutôt ressemblant. Sûrement s'agissait-il de l'un des plus réussis.

Un pâle sourire s'installa sur mes lèvres alors que je me retournais vers mon classeur — où je rangeais tous mes dessins en les glissant entre quelques documents pour les cours — afin d'y déposer mon dernier croquis. Je tirai sur la poignée avec lenteur et plissai les yeux en entendant le bruit métallique que faisait mon meuble.

Outch. Ce grincement était pire qu'une chorale de chiens jappant à l'unisson.

Voulant en finir le plus vite possible pour ne plus avoir à entendre ce son, j'ouvris le tiroir à la volée dans un crissement à en donner la chair de poule. De nombreuses feuilles s'en échappèrent et je m'empressai de les récupérer d'un geste brusque, à bout de nerfs. Je rassemblai les dizaines de dessins qui s'étaient envolés en un tas avant d'y fourrer celui que je venais d'achever. Lorsque j'eus fini, je jetai à son tour la pile de croquis dans le tiroir, puis le refermai d'un coup de hanche avant de m'accoter sur le classeur en soufflant, les bras croisés contre ma poitrine.

— Satané tas de ferraille, grognai-je entre mes dents serrées.

Le chien hurla de plus belle et je laissai échapper un grognement. Enfin, je dirais plutôt qu'il s'agissait du cri de mécontentement de la Catastrophe, qui avait été réveillée par les gémissements de l'animal. Je serrai les poings afin de contenir mon agacement, espérant qu'elle retourne bien vite se coucher. Mes ongles se plantèrent dans mes paumes sous les efforts que j'employais afin de ne pas céder. Je sentis même de minuscules goûtes de sang perler là où ils étaient enfoncés dans ma peau.

Je ne devais pas perdre le contrôle parce qu'un stupide canidé s'entêtait à faire payer tous le quartier car il n'arrivait pas à dormir, ça non. C'était bien trop idiot.

Et, à ce que je savais, je n'étais pas idiote. Alors, aucune raison de se fâcher. Il n'y avait rien là.

Tentant encore de me convaincre que je n'avais pas à m'énerver, je desserrai mes poings et détendis mes muscles raidis. La Catastrophe sembla prendre cela comme un signal lui annonçant que tout allait bien, puisque je la sentis se calmer avant qu'elle ne ferme les yeux à nouveau. Une fois la bête endormie, je m'effondrai sur ma chaise en me prenant le visage entre les mains.

J'avais eu chaud. Par chance, elle n'avait pas eu le plein contrôle sur moi, ce qui aurait été un véritable cataclysme. Si je n'avais pas su la contenir, mes parents auraient été alertés et croyez-moi, ils ne devaient pas l'être.

Ni l'un ni l'autre ne savait que la Catastrophe et mes étranges visions de la fille au regard de sang n'avaient pas cessées de se manifester. Tous deux étaient persuadés que mes crises faisaient partie du passé, comme je leur avait fait croire afin de m'éviter une rencontre avec l'un de ces psychologues débiles qui hochent la tête en gribouillant des traitements inutiles dans leur dossier. Si leur dire la vérité me confirmait un rendez-vous de ce genre, mentir valait mieux pour moi. Il était hors de question que j'aie à subir cette torture mentale.

Je me frottai les yeux et étouffai un bâillement. Il était peut-être temps pour moi d'aller dormir, tout comme la bête qui ronflait déjà en moi. Je ne pouvais pas fuir mes visions éternellement, après tout. Cela faisait trois nuits que je passais à dessiner afin d'oublier, et si je continuais ainsi, mes parents remarqueraient que j'étais à bout de forces. Et ils installeraient des caméras ou d'autres appareils débiles dans ma chambre pour surveiller mes moindres faits et gestes. Ah ! Ils en seraient bien capables, j'en étais sûre.

Déterminée à dormir, je défis mon chignon et laissai les mèches sombres retomber dans mon dos. La lueur de la lune donnait des reflets vibrants et violets à mes cheveux qui étaient plus prononcés sous l'astre lunaire que dans le jour. Ces éclats violacés qui ne couvraient maintenant plus que le bas de ma chevelure étaient les vestiges d'une teinture qui avait jadis coloré chacun de mes cheveux, quelques mois auparavant. Cela m'avait plu au début, alors que je tentais toujours de me trouver, mais j'avais réalisé avec le temps que cette couleur jurait avec le noir qu'elle recouvrait. Lorsque la racine de mes cheveux avait repris son ton naturelle, j'avais un peu regretté mon choix, sans pour autant vouloir tout teindre à nouveau en noir pour camoufler le violet ; j'étais bien trop paresseuse pour le faire, et je devais avouer que cela me donnais un certain style. Et maintenant, je refusais de couper mes pointes. Un jour, peut-être. Mais pas maintenant. Il en était hors de question.

Me forçant enfin à quitter ma chaise rembourrée et aussi confortable qu'un petit nuage, je me jetai sur mon lit et lâchai un profond soupir en me tournant pour regarder mon cadran. 3h16. Ce n'était pas si mal. Si je calculais qu'il me faudrait un peu plus d'une heure pour m'endormir avec les gémissements du chien, j'aurais sûrement droit à un bon six heures de sommeil, puisque nous étions un samedi. Près de sept si ce satané Jack Russel décidait de se la boucler pour de bon. De quoi me redonner un peu d'énergie.

Je me glissai sous les couvertures et plaquai l'oreiller contre mon oreille pour faire taire les horribles cris qui venaient de ma fenêtre. Bien vite, je dus sortir l'une de mes jambes hors de la couette afin de me rafraîchir un peu. C'est qu'il faisait une chaleur étouffante, là-dessous ! Pour un mois d'octobre, la température était plutôt élevée, bien plus que les années précédentes. On se croyais presque au beau milieu de l'été.

Je jetai un dernier coup d'œil à mon classeur avant de fermer les yeux pour de bon, espérant pouvoir m'endormir le plus vite possible.

Alors que je me retournais une fois de plus dans le but de trouver une position qui soit confortable — l'une des tâche les plus difficiles qu'il m'ait été donné d'accomplir — , le chien se tue subitement. Brusquement. Avec une rapidité d'exécution inquiétante. On n'entendait plus un bruit, le calme était revenu. Mais il y avait quelque chose d'anormal dans ce silence, quelque chose... qui me rendait mal à l'aise. Moi qui l'avait si longtemps convoité, je commençais à sentir un poids compresser ma poitrine. Je n'aimais pas ce silence. Quelque chose clochait. L'inquiétude me tenaillait de l'intérieur, j'avais un mauvais pressentiment.

Consciente que quelque chose n'allait pas, je m'obligeai à quitter mon lit à pas de loup. Je m'approchai de la fenêtre et la dégageai en poussant les rideaux, de façon à ce que je puisse voir ce qui se tramait à l'extérieur. Mon cœur se serra alors que je balayais la cour arrière du regard.

Rien, il n'y avait rien.

Pas un chat ne se promenait dans la nuit noire.

Tout était anormalement calme.

Je fronçai les sourcils et scrutai l'obscurité, cherchant un quelconque mouvement, mais je ne vis toujours rien. Le jardin était vide. Sûrement avais-je mal interprété l'arrêt soudain des jappements, bien que je sente que ce n'était pas que mon imagination qui me jouait des tours. Peu convaincue, je laissai retomber le rideau en me dirigeant lentement vers mon lit.

Et j'aurais parié avoir aperçu une paire d'yeux rouges brillant dans les ténèbres alors que les pièces d'étoffe s'agitaient dans le vent.

Ce fut la rumeur de la ville qui me tira hors de mon sommeil. Bien que notre quartier soit plutôt tranquille, des voitures filaient sur les rues à toute heure de la journée, que le soleil soit levé ou non.

Me frottant les yeux et baillant à m'en décrocher la mâchoire, je me levai en raillant et me précipitai à la fenêtre afin de vérifier que tout était normal. Je n'avais pas oublié l'événement de la veille — quoique ce soit plutôt très tôt ce matin-là — et refusais d'admettre que cela n'avait été que le fruit de mon imagination débordante. Je n'avais pas inventé ces yeux, ils m'avaient réellement fixée de l'autre côté de la fenêtre. J'en étais persuadée. S'il s'agissait d'un hallucination, cela signifiait que j'étais tombée dans la folie, mais cela ne m'inquiétait pas trop.

Toujours aucun signe du passage récent d'un inconnu, que je soupçonnais être cette fille aux yeux écarlates qui hantait mon esprit.

Bah. Je devais être folle.

Je gardai les rideaux tirés afin de laisser entrer les chauds rayons du soleil et me dirigeai d'un pas nonchalant vers la sortie de ma chambre, sans oublier de refermer la porte derrière moi — je voulais à tout prix retirer cette image de ma tête, sans quoi j'en ferais des cauchemars à coup sûr. Quoique... je rêvais déjà de ces yeux rouges, alors cela ne changerait pas vraiment.

Le parquet grinçait sous mes pieds à chacun de mes pas alors que je me hâtais à la cuisine, où mes parents discutaient à voix basse. Ils cessèrent de parler et se retournèrent dans ma direction lorsqu'ils remarquèrent ma présence. Étrange.

— Bien dormi ? lança mon père en sirotant son café matinal.

Hésitante, je m'emparai d'une boîte de céréales et m'empressai d'en mettre dans un bol avant de le rejoindre à la table, le carton de lait avec moi. J'en versai un peu dans mon bol avant de sourire timidement, ce qu'il fit à son tour. Il semblait ailleurs, comme perdu dans ses pensées. Il était évident qu'il ne lisait pas le journal posé devant lui.

— Oui, je me sens en pleine forme, répondis-je d'une voix chevrotante, un sourire forcé étampé sur mon visage.

Mensonge. Mon père dû s'en rendre compte — j'étais une bien piètre menteuse et il le savait — mais il ne dit rien. Ou alors, il était trop occupé à penser à je-ne-sais-quoi pour porter attention à ma réponse. Il échangea un regard lourd de sous-entendus avec ma mère avant de prendre une grosse gorgée de café, comme s'il pensait que je n'avais pas remarqué leur échange non verbal. Ce qui n'était pas le cas, bien sûr.

— Il paraît que le chien des voisins a disparu, avança ma mère avant de s'asseoir à mes côtés, une tasse de thé à la main. Je les ai entendus l'appeler, c'est ce qui m'a réveillée.

Je me figeai. Le chien. Il n'avait pas arrêté de japper pour aucune raison ; il y avait été forcé. Quelqu'un l'avait fait taire. Étonnamment, je n'étais pas surprise.

Son ton était incertain et son regard, distant. Elle ne disait pas tout, elle me cachait quelque chose. Mon père devait être de mèche avec elle, à la façon dont il la regardait constamment. Tous deux semblaient différents ce matin, ce qui m'angoissait en même temps de me soulager. Leur comportement était inhabituel, mais cela signifiait peut-être que je n'avais pas perdu la tête.

Et s'ils avaient vu les yeux rouges, eux aussi ? Et si le chien avait cessé de japper car cette même personne au regard écarlate s'en était emparé ? Et si je n'étais pas la seule à avoir ressenti cet étrange pressentiment ? Tant de questions se bousculaient dans mon esprit encore endormi. Peut-être n'étais-je pas folle, en fin de compte. Peut-être avais-je eu raison de me sentir oppressée par une force invisible. Et si tout était relié ?

— Il s'agit sûrement de l'une des personnes du voisinage qui en avait marre de l'entendre glapir toute la nuit, hasardai-je même si je n'y croyais pas une seconde. Rien de grave.

Ma mère rit nerveusement et ses joues s'empourprèrent.

— Exactement. Rien de grave.

Son ton monta alors qu'elle disait les derniers mots. Là, c'était évident ; elle en savait plus qu'elle ne le laissait paraître. Ce petit sourire en coin et ces yeux emplis d'inquiétude voulaient tout dire. Elle refusait seulement de me dévoiler ce que j'ignorais.

— Nous n'avons pas à nous en faire, reprit mon père, qui rangeait le journal dans la poubelle comme s'il voulait le cacher. Ce n'est qu'un stupide clébard parmi tant d'autres. Le quartier sera plus tranquille, voilà tout.

J'élargis mon sourire et haussai les épaules avant de prendre une deuxième bouchée de mes céréales, qui baignaient dans le lait depuis trop longtemps ; elles en étaient imbibées. J'espérais que mon père n'ait pas remarqué l'attention que j'avais apportée à ses gestes. J'engloutis le reste de mon bol malgré tout et, une fois mes parents occupés à nouveau, je jetai un coup d'œil furtif au journal, qui reposait dans la corbeille.

Il était ouvert à une page où figuraient des dizaines de photos d'animaux de tous genres, allant du majestueux lion au plus petit des furets. Le papier était chiffonné, mais je pouvais toujours lire ce qui se trouvait sur la page en plissant les yeux. Au haut de l'article était écrit, en grandes lettres moulées : DISPARUS.

En m'attardant à certaines des descriptions, je me rendis compte que les animaux venaient tous d'endroits différents, situés aux quatre coins de la ville. Certains provenaient d'un zoo, alors que d'autres étaient de simples compagnons. J'en reconnu même un qui appartenait à quelqu'un que je connaissais, une amie de la famille. Cependant, cela faisait longtemps que nous ne nous étions vus. Mais bon, je m'égare encore.

Je secouai la tête. Ces disparitions d'animaux ne se produisaient pas par hasard, il devait y avoir un lien entre elles. Je n'en connaissais peut-être pas la cause, mais s'il y avait bien une chose que je savais, c'était que quelque chose se tramait. Quelque chose... d'étrangement inquiétant.

Hey ! Alors. J'hésitais à poster cette partie maintenant puisque je ne sais toujours pas comment je vais faire pour organiser les nouveaux chapitres, mais la voilà ! IL Y A UNE INTRIGUE NOM D'UN CHAT ! Ouais bon, je ne l'ai pas amenée d'une façon très habile, mais chut. C'est déjà mieux qu'avant ! Ceux qui ont connu la première version de Demie doivent trouver tout ça étrange XD

Vos avis me feraient extrêmement plaisir ! Ils m'aideraient à rendre l'histoire encore meilleure et me motiver ! Vous êtes des lecteurs en or !❤️

Merci à OmbreWildWolf pour son super dessin en média ! Catalina est trop chouuu ! *-*

Plume 🐾

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