En bas, Papyrus était assis sur le canapé les mains sous son crâne, pensif. J'aurai bien aimée pouvoir me glisser dans sa tête pour savoir ce qu'il s'y passait. Mais il resta silencieux. Je fouille rapidement le salon sans que Papyrus ne s'en rende compte. C'est assez perturbant quand quelqu'un reste aussi silencieux avec toi à côté... Je n'ai pas trouvée grand chose d'intéressant. 

Vraiment des SDF's ceux-là...

Je décide de monter dans la chambre de Papyrus. Oui, c'est privé, tout ça, tout ça. Pas n'importe qui à le droit d'entrer dans les chambres des gens. Mais... Je ne suis pas n'importe qui !

J'ouvre la porte, c'était une pièce à mon grand étonnement plutôt bien rangée. Celui-là aimait bien l'ordre. Je me couche et regarde sous le lit, même pas un grain de poussière. 

Hmmmm... Hmmm...

Je me replace sur mes deux jambes et fouille sur le lit en forme de voiture. Rien non plus.

Je reste debout sur le matelas regardant la chambre de long en large et en travers.

Puis, ma vue s'arrêta sur un carton placé en haut de l'armoire. Je saute au sol et attrape une chaise pour la coller contre le placard. Je monte dessus. Le carton est juste devant mon nez, je le prends, puis me pose à terre et regarde son contenu.

Il y avait peu de chose, mais des choses importantes. Notamment des photos, j'en cueille une dans ma main et la regarde. C'était Sans et Papyrus enfants tous les deux avaient les bras autour du cou de l'autre. Ils riaient. Avant, ils avaient l'air si heureux. Alors pourquoi...?

Une autre photo, eux deux, plus grands, beaucoup plus éloignés. 

La troisième était l'arrivé de Papyrus dans la garde royale. Comment je le sais ? C'est écrit au dos.

Il y avait aussi un morceau de clé. Je me demande bien ce que ça fait ici...

Il n'y avait rien d'autre de particulier. Je quitte la chambre et part vers celle de Sans. Qui est... Il faut le dire beaucoup plus bordélique !

J'avance entre la marée de chaussettes sans réveiller la belle au bois dormant. J'ouvre son tiroir. Dedans, il y avait l'autre morceau de la clé et un mot.

"Petit labo.

Code : 1666"

Qu'est-ce que c'est que ça ?

Je garde l'autre clé et la note en regardant Sans.

Que me caches-tu...?

Je sors dehors. Je devais trouver... Je le sentais que j'approchais de la vérité.

Je m'éloigne de quelques mètres de la maison et la fixe. Je le sens... Quelque chose ne tourne pas rond.

Je me déplace de quelques mètres sur le côté gauche mais je m'emmêle les pieds et tombe au sol. Par la plus grande des chances en tombant la réponse m'apparue. Il y avait une porte... Là ! Plus loin ! Derrière la maison des frères squelettes. Je me replace debout et avance vers la porte grise et métallique. Il fallait pour y entrer insérer une clé et taper un code. J'avais les deux. Je répète le code : 1666.

Je reconstitue la clé et la glisse dans la serrure. Je la tourne, la porte fait un claquement, je l'ouvre. Elle mène à une pièce sombre... C'est... Effrayant... Je devais vraiment m'aventurer là-bas... ?

Tu es emplis de {T/C}

J'y vais...

Je cherchais la lumière mais impossible de savoir où elle était. Il faisait très sombre, je tâtonne mon environnement et finit par tomber sur quelque chose sur une table... Des papiers...?

On dirait des plans...

La lumière s'allume me faisant sursauter. Sans était devant l'entrée et il était en colère.

Sans : -Qu'est-ce que tu fous ici ?

{T/P} : -Une enquête ?

Sans : -Tu sais que c'est mal de se mêler des affaires des autres ?

{T/P} : -Qu'est-ce que c'est que tout ça ?

Je regarde rapidement les plans ils étaient écrit sous forme de symboles et des dessins étranges y étaient inscrits. Sans frappe son poing contre la table sur les papiers.

Sans : -R.I.E.N.

Je sursaute mais ne le lâche pas du regard.

{T/P} : -Ce n'est pas rien vu que tu es énervé.

Sans : -Je te le répète ce n'est pas tes affaires.

{T/P} : -Calme-toi le nerveux. J'ai le droit de comprendre.

Sans : -Comprendre quoi ? 

{T/P} : -Mais pourquoi ton frère te bat et pourquoi tu es aussi triste !

Sans : -Tu n'es pas psy.

{T/P} : -Qu'est-ce que t'en sais ?

Sans : -Tu as vu ta taille et ton âge ?

{T/P} : -La taille ça veut rien dire et je peux être psy sans pratiquer le métier.

Sans : -Alors, non merci.

{T/P} : -Tu ne me dis pas tout...

Sans : -Mais j'ai rien à te dire !

{T/P} : -C'est quoi ces plans chelou ?!

Sans : -Des plans !

{T/P} : -Qu'est-ce qu'ils font ici ?

Sans : -Ce n'est pas ton problème.

Il se téléporte à l'extérieur ce qui me fait aussi me téléporter. Il ferme la porte et pose la clé dans sa poche. 

{T/P} : -Tu es une tête de mule !

Sans : -Et toi une fouineuse.

{T/P} : -Mais je veux vous aider !

Sans : -Tu ne pourras rien faire.

{T/P} : -Qui ne tente rien n'a rien !

Sans : -Tu ne pourras rien faire ! Tu n'existes même pas pour les autres.

Nouvelle douleur...

{T/P} : -Si tu insistes.

J'en avais vraiment marre, je suis gentille, je l'aide, et voilà comment il me le rend.

{T/P} : -Je vais trouver moi même comment rentrer chez moi.

Je me retourne retenant mes sanglots et pars.

Il grommelle.

Sans : -Tu n'iras pas loin de toute manière.

{T/P} : -On verra.

J'avance, espérant qu'il me retiendra, mais il ne le fait pas. Je pars dans la neige à la recherche de mon chez moi. Je veux juste... Rentrer chez moi...

.............................................................

Hey ! Désolé, j'arrête là x) Je voulais continuer, mais avec le temps chaud je suis un peu fatiguée. Et comme beaucoup voulait le chapitre ce soir, le voilà :3 

Où allez-vous ?

Que va faire Sans ?

Bye bye !