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D É M A R C H E

籠の鳥 雲を慕う

Accroche-toi,
Continue de persévérer,
Je suis à tes côtés.

- Grow up, Stray Kids.

☪︎˚

- Hey, mon cœur, tu es parmi nous ? demanda doucement Chan en posant sa main sur la cuisse de son compagnon, la frottant du bout des doigts.

- Hm, oui oui, désolé j'étais un peu perdu dans mes pensées, ricana légèrement Minho. En fait, reprit-il d'un ton incertain, j'ai peur Chanie.

- Tu as peur de quoi, hm ?

L'australien lui décocha un léger sourire se voulant rassurant.

- J'en sais rien. De tout et de rien en même temps. Un soupir franchit la barrière de ses lèvres. Imagine, qu'il y ait un problème, ou bien qu'on ne lui plaise pas du tout ou même, que je sais pas, la maison ne lui convienne pas ! Ou que- Minho n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il se fit interrompre par une paire de lèvres se posant sur les siennes.

Cela arrivait souvent que l'un d'entre eux se fasse stopper par les lèvres de l'autre. C'était un peu leur manière à eux de tempérer la situation lorsqu'elle venait à dégénérer.

Alors, ça n'avait pas particulièrement surpris Minho que son petit ami lui fasse perdre durant le temps de quelques secondes l'usage de la parole, au contraire, ça l'avait fait grandement sourire.

- Hey, respire mon cœur. Tout se passera bien je te le promets. Ce n'est qu'un rendez-vous à titre informatif, rien de plus, donc si tu n'es pas tout à fait sûr, c'est pas grave, on peut encore faire marche arrière. Rien ne nous oblige à faire ça maintenant tu sais, lâcha le blondinet tout en caressant de la pulpe de son pouce la joue de l'homme en face de lui.

- Oui, je sais bien, mais je veux vraiment avoir un enfant avec toi, avoua le jeune homme du bout des lèvres.

- Moi aussi je désire plus que tout avoir un enfant avec toi mon coeur, mais ce que je veux avant tout c'est ton bien être. Alors si pour y arriver, nous devons patienter un peu plus, et bien je patienterai pour toi, parce que tu es ce qui m'est de plus précieux, déclara Chan, un grand sourire sur les lèvres, dévoilant légèrement ses belles fossettes.

Minho lui, le regardait, les yeux brillants. Bon sang, qu'est-ce qu'il l'aimait cet homme.

- Chanie... Je sais pas comment je pourrai te remercier d'être autant là pour moi, de me prêter tant d'attention et de m'aimer comme ça, de manière inconditionnelle.

- Tu pourrais déjà m'embrasser, ça serait un bon début, répondit tendrement le blond.

Alors c'est ce que Minho fit.

Il se pencha lentement vers Chan, par dessus sa chaise et vint capturer tendrement ses lèvres. Il déplaça ses mains initialement sur ses genoux vers les joues de son amant et se laissa complètement fondre dans l'échange, profitant de ce doux baiser pour lui transmettre tout l'amour et toute la reconnaissance qu'il éprouvait à son égard.

Après de longues secondes d'échange passionné, Chan coupa le baiser et reprit la parole, emprisonnant par la même occasion la main du coréen dans la sienne.

- Qu'est-ce que tu veux faire finalement ?

- Je pense qu'on devrait vraiment aller à ce rendez vous. Peut-être qu'après je serais plus rassuré, j'en sais rien, mais on y va, ça c'est sûr.

À cette réponse déterminée, le jeune bouclé sourit encore plus.

- D'accord, vos désirs sont des ordres, Majesté, pouffa Chan.

- Idiot que tu es va, Minho rit à son tour, claquant un baiser sur sa joue. Aller, maintenant lève ton popotin de cette chaise, on a un royaume à conquérir !

Définitivement, qu'est-ce qu'il l'aimait son idiot rien qu'à lui.

☪︎˚

Le rendez-vous s'était au final merveilleusement bien passé.

Ils avaient eu affaire à une dame très charmante et d'une douceur rare, qui n'avait pas hésité une seule seconde à les guider et à minutieusement les informer dans la procédure qu'ils avaient donc décidé d'entamer.

Elle leur avait également confié que l'adoption n'était pas une étape des plus facile, que bon nombre de gens passant par leur service avaient déjà abandonnés, rebroussant chemin. Et que donc, pour arriver jusqu'au bout, ils allaient devoir s'accrocher à tout prix.

Par la suite, elle en avait profité pour les mettre en garde contre quelques personnes mal intentionnées qu'ils pourraient être amené à rencontrer. Il valait mieux être prudent après tout.

Ils avaient beau être au vingt-et-unième siècle, certaines mentalités n'avaient pas évoluées tant que ça. Il fallait donc qu'ils se préparent à la moindre éventualité.

La femme leur avait avoué qu'il ne serait effectivement pas étonnant qu'en sortant de cet endroit, ils viendraient à croiser quelques personnes armées de pancartes et de slogans tous plus injurieux les uns que les autres, dans le but de les décourager d'aller jusqu'au bout.

Lorsque la brunette qui les avait si gentiment accueilli leur avait énoncé cette possibilité, ils n'en avaient pas cru un seul mot.

Comment pourraient ils leurs faire du mal alors que tout ce qu'ils voulaient n'était rien d'autre que d'avoir un enfant ? Cela leur semblait tout bonnement inimaginable.

Néanmoins, ils furent obligé de la croire lorsqu'en franchissant les portes automatiques du bâtiment, ils se retrouvèrent rapidement confrontés à une petite foule tantôt occupée à agiter leurs panneaux, tantôt s'amusant à leur hurler toute une flopée de mots à peine censés.

Malgré leur surprise, le jeune couple ne devait pas rester là. Ils ne devaient pas montrer que tout cela les atteignaient. Alors, Chan se dépêcha d'attraper à nouveau l'une des mains de son compagnon et s'engagea sans plus tarder dans la foule.

Il leur fallut ce qui leur sembla être une éternité avant d'arriver devant leur voiture garée au préalable un peu plus loin, et heureusement. Il ne manquerait plus que ces fous furieux s'en prennent à ce qui les entouraient.

Tout en poussant un soupir à fendre l'âme, l'australien lâcha enfin la main du plus âgé, s'excusant silencieusement de l'avoir autant serrée. Ne perdant pas plus de temps, il se dépêcha de rentrer à l'intérieur du véhicule, désireux de s'éloigner aussi vite que possible de toute cette agitation.

Heureux d'être sain et sauf, il jeta un rapide coup d'œil en direction de son compagnon, s'enquérant de son état.

Lorsqu'il fut rassuré que le coréen allait aussi bien que lui, il mit le contact et démarra, prenant la direction de leur chez eux où là, ils seraient en sécurité.

Le trajet jusqu'à leur domicile se passa dans le calme le plus complet. Chan étant bien trop concentré sur la route pour lancer la moindre discussion et Minho, lui étant perdu dans ses pensées, ressassant les derniers événements. Il n'arrivait toujours pas à y croire. C'était hallucinant.

Jusqu'à maintenant, il n'avait jamais entendu parler de telles choses. Ils avaient eu beau se renseigner, épluchant le moindre site internet parlant de l'adoption, au grand jamais ils n'en avaient été informé. Comment était-ce possible qu'ils ignorent quelque chose d'aussi grave ?

Était-ce parce que les gens en avaient honte ? Ou alors, seuls eux avaient expérimenté de telles choses ? Non, sinon la dame à qui ils avaient eu à faire ne les aurait pas avertis.

Plus le cadet retournait la question dans sa tête, moins il trouvait de réponse plausible. Il ne savait vraiment plus où se positionner.

C'était comme si cette rencontre avait tout chamboulé, remettant leur décision en cause. Est-ce qu'ils devraient attendre un peu plus ? Ou bien même ne jamais adopter ? Minho commençait à comprendre pourquoi beaucoup abandonnaient le processus en plein milieu. Ce n'était pas facile d'être confronté au regard des autres. Encore moins quand l'on sait pertinemment que nos choix peuvent être grandement désapprouvés.

Épuisé, le coréen finit par détacher sa ceinture de sécurité une fois qu'ils furent arrivés à bon port. Sans un mot, il s'empressa de déverrouiller la porte de leur petit cocon, de se déchausser, de se débarrasser de sa veste et il se dirigea vers leur chambre où il s'écroula.

Il avait tellement envie que tout ça ne soit qu'un mauvais rêve. Que ces gens ne se soient jamais retrouvés devant eux, qu'ils n'aient jamais scandé leur haine, leur dégoût. Minho aurait vraiment aimé que tout se passe normalement, sans accroche. Mais malheureusement, tout ne pouvait pas toujours se dérouler correctement.

Allongé, la tête dans les coussins de leur grand lit, le plus jeune n'entendit pas son petit ami arriver. Il fallut que celui-ci s'asseye à ses côtés tout en commençant à lui caresser le dos pour qu'il s'aperçoive de sa présence.

- Quelque chose ne va pas mon ange ?

Question purement rhétorique. Chan savait parfaitement que ça n'allait pas. Lui même se sentait complètement dépité et affreusement découragé. Et pourtant, il fallait qu'ils en parlent, ils ne pouvaient pas juste passer au dessus et faire comme si de rien n'était. Ce qu'ils venaient de vivre était bien trop important pour être simplement ignoré.

- Hmph, seul une suite de mots incompréhensibles sortit de la bouche de Minho.

- Si tu veux que je t'entende il va falloir que tu enlève la tête de ces coussins, pouffa doucement Chan.

Peu importe ce que son cadet faisait, le blondinet ne pouvait vraiment pas s'empêcher de le trouver adorable. Même là, alors qu'il avait la tête complètement enfouie dans l'oreiller, il n'avait qu'une seule envie; le prendre dans ses bras et le couvrir de baisers jusqu'à n'en plus pouvoir.

Malheureusement, il savait qu'il allait devoir attendre. Un sujet bien plus important et épineux les attendait.

Un petit sourire sur les lèvres, le jeune homme arrêta progressivement ses mouvements sur le dos du coréen, l'incitant à se relever.

Bien qu'il n'avait pas envie d'affronter le regard de son copain, Minho obtempéra, s'asseyant en face de lui, une légère moue sur le visage.

- Je sais plus du tout quoi faire ou même quoi penser, murmura le châtain.

C'était à peine si ces quelques mots avaient été perçu par son vis à vis tant ils avaient été prononcé du bout des lèvres. Malgré tout, l'australien lui sourit aussi chaleureusement que possible, lui attrapant par la même occasion l'une de ses mains.

-Je comprends mon ange, et c'est parfaitement normal. On ne s'attendait sûrement pas à faire la rencontre de gens comme ça, ou en tout cas de personnes défendant de tels idéaux.

À cette phrase, Chan se revit debout devant cette foule, le coeur tambourinant dans ses oreilles. Il apercevait à nouveau toutes ses pancartes badigeonnées de noir et de rouge. Ces mots ne cessaient de tourner dans sa tête.

Tout ça le rendait complètement fou.

Il se sentait tellement impuissant, simple spectateur.

Un lourd soupir lui échappa. Il allait vraiment devoir faire des recherches à leur sujet. Il devait forcément y avoir quelque chose sur ces personnes, sinon il ne comprenait vraiment plus rien.

- Mais tu sais, je ne pense pas que ça doive nous bloquer pour autant, reprit le plus jeune, doucement. Je sais que ça te fait peur, et je t'assure que je suis autant terrorisé que toi, tout ça est nouveau pour nous. C'est normal qu'on ait envie de faire les choses bien, pour nous comme pour cet enfant. Je ne veux pas sauter des étapes et regretter d'ici quelques mois.

Toujours son doux sourire sur les lèvres, le blond entama de légers mouvements circulaires sur la paume de main de son copain. Il cherchait à se rassurer autant que lui au fond.

Le plus jeune frissonna sous ce contact. Il était malgré tout rassuré de savoir qu'il n'était pas tout seul et que son compagnon était lui aussi terrorisé. Il n'avait vraiment pas envie d'être le boulet du couple, celui à toujours douté. Alors, il profita de ce petit moment de silence pour avouer ce qui lui trottait dans la tête.

- J'ai tellement peur du regard des autres, laissa échapper Minho. J'ai peur de savoir ce qu'ils pensent de nous. Être tombé sur ces gens qui scandaient qu'on ne serait pas de bons parents, que l'adoption n'était pas normale, qu'on était des monstres de retirer des enfants de leur famille, ça m'a complètement retourné l'estomac.

Sans qu'il ne le sente venir, ses yeux commencèrent à se remplir d'eau. Cette situation l'énervait tellement. Tout ce qu'il demandait c'était à offrir un foyer aimant et chaleureux à quelqu'un qui n'en avait pas toujours eu. Pourquoi ne voulait-on pas le laisser être heureux, en paix ?

Son regard s'étant machinalement abaisé sur ses mains, Minho finit par le relever, un sourire triste barrant ces lèvres.

- Chanie, je veux pas être un mauvais père...

- Eh, mon coeur, je t'interdis de penser ça, doucement il alla chasser du bout des doigts les perles salées des yeux de son copain. Tu ne seras jamais un mauvais père. Regarde toi, tu es bien trop soucieux, toujours à t'inquiéter du moindre détail.

Un petit rire échappa à l'aîné. Il suffisait juste de le regarder pour voir qu'il ferait tout son possible pour rendre cet enfant heureux. Ce n'était tout simplement pas possible que l'homme qui partage sa vie rende qui que ce soit malheureux.

- Et n'oublie pas que je suis là, souffla l'australien, un sourire sur les lèvres. Je serais là pour prendre la relève lorsque ça n'ira pas. On y arrivera tout les deux, ensemble, je te le promets.

Pour sceller sa promesse, il alla attraper une des mains de son vis à vis, capturant ainsi son petit doigt du sien. Ce n'était peut-être pas grand chose, mais il avait réussi à décrocher un petit rire au châtain.

Heureux d'avoir réussi à soutirer un gloussement à son copain, Chan laissa un grand sourire s'étendre sur ses lèvres, ses fossettes en profitant pour voir la lumière du jour. Il ne se lassera définitivement jamais de ce son.

Et bien qu'il avait envie de faire rire son amant pendant des heures et des heures, il se ressaisit, n'oubliant pas son objectif premier de vue. Il devait rassurer le coréen autant que possible.Si ils voulaient continuer sur leur lancée, il fallait à tout prix que tout soit clair.

- Et pour ce qui concerne le regard des autres, il ne faut vraiment pas que tu t'en fasses, reprit il, son sourire ne l'ayant pas pour autant quitté. Ceux qui se permettent un commentaire sont bien souvent ceux qui ne balayent pas devant leur porte.

Il n'avait pas besoin de preuve pour avancer cette information. Il n'était que bien trop courant que les critiques proviennent de personnes ayant elles-mêmes des choses à se reprocher. Seul le culot les différencient du reste de la population.

- Chacun à ses petites tracas, ses propres conserves, personne n'est tout blanc, il ne faut pas que tu l'oublie, lui sourit une fois de plus son vis à vis. Et puis, tant que nous on sait que l'on est heureux et que l'on fait du bon travail c'est le principal. Le reste n'a plus d'importance.

Après tout, ils vivaient pour eux, et non pour quiconque d'autre. Leur bien être passait bien avant l'avis du reste du monde.

Lorsque Chan se rendit compte que désormais seul un sourire flottait sur le visage de son compagnon, à son tour il lui en décrocha un, détachant sa main restée jusque là sur son visage.

- Aller, lève moi ce beau postérieur de ce matelas, qu'on aille cuisiner, j'ai une faim de loup ! Puis, plus vite on aura mangé, plus vite on pourra passer le reste de la journée comme des larves.

Dès que la cuisine fut évoqué, un léger gargouillement se fit entendre dans la pièce, bien vite suivi d'un petit rire des deux jeunes hommes. Il suffisait juste d'en parler pour que leur estomac ne se réveille.

- En tout cas, reprit l'aîné, réfléchis bien à tout ça, mais surtout, ne te prends pas la tête mon ange, écoute tout simplement ton coeur.

- Promis j'y ferais attention, merci beaucoup Chanie.

Après avoir déposé un rapide baiser sur les lèvres de son cadet, le blondinet se releva, son sourire ne l'ayant toujours pas quitté.

- Ne me remercie pas, je sais que ce n'est pas facile entre les doutes, la peur et le stress. Alors si je peux t'enlever du poids de tes épaules, c'est avec plaisir.

N'attendant pas que son copain lui réponde, Chan s'empressa de quitter la pièce, se dirigeant sans plus tarder vers la cuisine. Il avait tellement faim que si il attendait encore, il allait finir par dévorer le châtain. Il avait beau l'aimer de tout son coeur, lorsqu'il était question de son estomac il était intraitable.

☪︎˚

Les jours s'étaient succédé si vite qu'ils ne se rendirent compte de ce qui venait de se passer que lorsqu'ils avaient une fois de plus franchi les portes automatiques du bâtiment abritant les services d'adoption.

Ils avaient enfin donné leur décision finale.

Bien que lors de leur premier rendez-vous, ils avaient dit qu'ils étaient prêt à mettre la machine en route, peu après, ils avaient fait la rencontre de personnes peu enclines à leur laisser toucher le bonheur, les faisant par la même occasion douter de leur choix. Ils étaient donc revenu sur leur décision le temps de bien y réfléchir. Ils ne voulaient rien laisser au hasard.

Doucement, le châtain attrapa la main de son copain, lui demandant silencieusement si il était prêt. Un grand sourire et un petit hochement de tête lui firent comprendre qu'ils pouvaient y aller.

Alors, Minho se tourna à nouveau en direction de cette petite foule et commença à avancer, il se revit quelques semaines auparavant la boule au ventre, jouer des coudes pour sortir de cet amas de personnes. Et dire que tout avait bien changé entre temps.

Depuis leur discussion à leur retour du centre, ils avaient réfléchis, soulevant le pour et le contre. Ils avaient fait encore plus de recherches, ne s'avouant pas vaincus. Et même si il leur était encore arrivé de tomber sur de nombreux témoignages dénigrant l'adoption, sans oublier tous les mots fleuris qu'ils avaient eu l'occasion de récolter, Chan et Minho avaient décidés de ne pas abandonner pour autant.

Comme l'avait dit le blondinet, ce qui importait le plus au final était leur bonheur à eux. Les autres pourraient bien aller se faire cuire un oeuf. Ce n'était pas eux qui allaient vivre à leur côtés, ils n'avaient donc pas leur mot à dire.

C'était terminé, ils ne remettraient plus rien en question à cause de l'avis de quiconque.

Si il faudra qu'ils se battent pour avoir leur famille, ils le feront. Peu importe le temps et l'énergie qu'ils devront y mettre, seul le résultat comptait et importait.

Ils n'allaient pas s'arrêter de vivre parce que certains avaient leur cerveaux un peu trop vide.

Ce fut donc la tête haute, le sourire jusqu'au oreilles qu'ils avancèrent parmi ces cris. Pas une seule fois ils ne se retournèrent. S'ils avaient envie de se déchirer les poumons à force de crier, c'était leur problème. Les deux jeunes hommes, eux se contentèrent de les ignorer royalement.

Ils savaient qu'ils avaient prit la bonne décision. Parfois il fallait savoir se faire bousculer pour ne pas rater la bonne occasion. Et c'était ce que les deux jeunes hommes avaient fait. Ils n'avaient pas hésité à tout remettre en doute pour mieux rebondir.

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