Chanson murmuré
J'etais à présent dehors. Il fait noir hors de la ville, je marche dans l'obscurité de la nuit.
Le soleil était déjà partis se coucher depuis déjà un moment. J'avais laissé le dossier à Hoseok, qu'es ce que je pouvais bien en faire après tout. J'ai eu toute mes réponses, je n'attend plus rien à présent.
Gardant une seule feuille dans ma main.J'avais seulement sur moi, l'adresse de la maison de mon enfance, actuellement je m'y dirige.
Le chemin était boueux et remplis de haute herbes. Durant ma marche, il était pas rare que je m'entrave dans des racines, rocher au sol, des ronces et autre chose comme ça.
Le sentier était comparable à une campagne ou des fermier habite et cultive differant légume. Mais de nuit, sans lumière excepté l'éclat de la lune que je regarde avec tristesse, il etais presque impossible pour moi de connaitre se qui m'entourre.
Pour n'importe qui, ce chemin douteux pourrait être effrayant, creepy, tout peu m'arriver ici, je pourrais crier personne ne m'entendrez, Tout peu venir de partout, le moindre bruit n'est que danger.. Mais plonger dans mes pensées, tout ça, n'existe pas.
J'arrive enfin à un village, ou quelque lumière de lampadaire brille. Je marche toujours, pensive, seule et anéantie . Différant voisins plutôt âgés ,dans leur maison, m'avaient vus passés. Il me suivent du regard, derrière leur rideau blanc et toile.
Le chemin devenu goudronné, la boue sécher s'en allée de mes chaussureses. Je continue ma marche lente et fatigué.
Regardant derrière moi, Séoul n'était plus visible. Tout etais si calme sans le bruit des voitures.. des commerçants et des passants.
J'allais certainement mettre des heures à rentré à la maison, mais je continue de marcher dans la nuit, jusqu'à cette maison qui m'a protéger et bercé, une partie de mes nuit de petite fille.
J'était à la bonne adresse. La maison ressemble à l'image avec au moins 15 ans de plus. Une façade loin d'être neuve.
J'etais finallement devant.
Effectivement, elle ressemblait à une maison abandonnée.. la façade fissuré témoigne des intempéries qui lui l'avais fragilisé.. des années qui sont passées, détaillant quelque seconde a la lumière de la lune, je sentis un sentiment de nostalgie.
Une émotions qui submerge mon cœur, arrivant à mon visage et innonde mes yeux d'eau salée.
Min-jee : C'est ma maison.. -Je souffle.
Quelque pas supplémentaire, j'ouvre la grille grinçante qui se trouver devant moi. Laissant celle-ci ouverte, je peux facilement apercevoir des pots de fleur vide remplis de terre, presque caché par les mauvaise herbe. Maman semblait aimer s'occuper des fleurs..
Comme je venais de le dire, ce jardin etais remplis de mauvaise herbe, bien trop longue, quelque hideux arbuste avait poussé, tellement de fougère , personne n'est venu s'occuper du terrain depuis des années.
Tout est en si mauvaise état, du lierre avait commencer à grimper au mur.
Je me sens pas rassurer a l'idée de rentrée dans une maison en si mauvaise état. Mais mon envie et ma curiosité était beaucoup plus forte que ma peur..
Suivant mes émotions principal, je continue.
Arriver à la porte d'entrée, celle-ci étais ouverte, suivis d'une odeur de renfermé abominable, n'étant plus habiter depuis maintenant bien des années.
Certainement que les habitants on veiller à se que cette maison ne sois pas vandalisé.
Les rideaux, les meubles, les livres, des jouet pour enfants traînais au sol, depuis maintenant plus ou moins 20 ans.. sous l'épaisseur d'une couche de poussière. Certain meuble étant noire, était à présent blanc.
Regardant autour de moi, découvrant cette maison dont je n'ai aucun souvenir, j'avance à petit pas, trouvant sur se meuble faussement blanc, un cadre photo.
Photo imperceptible du à cette poussière, essuyant le verre du cadre avec mon haut que je venais de salir, je pu voir une photo de mes parents. Enlacer dans les bras l'un de l'autre, joyeux sous leurs vêtements d'hivers, un si grand sourire au lèvres.
Il avaient l'air.. heureux et amoureux. Alors que mes larme menacent à nouveau de tomber, me remémorant les paroles tranchante de Hoseok..
Reposant le cadre photo à la place ou il était, je regarde le plan de travaille de cuisine ainsi l'électroménager suffisant pour une petite famille debrouillarde, qui etait dans la même pièce que le salon/salle a manger, d'épaisses toile d'araignée etais visible sur l'évier, ainsi qu'à chaque coin et plafond.
Également, le lustre accrocher au plafond porter les petites bêtes créant toute ses toiles.
Mes parents ne semblait de toute évidence pas rouler sur l'or, mais ils avaient quelque truc d'utile à la vie quotidienne.
Je ne prend pas l'initiative d'aller vérifier la cuisine envahis de bestiole, n'ayant certainement rien de plus à voir la bas, je risque de faire de mauvaise surprise.. comme des cafard, blattes ou même des rats, dans les placard. Une vision que j'aimerai m'épargner au maximum.
Je monte alors à l'étage, découvrent de nouveau cadre qui orne le mur des escaliers. Je rejoins les chambre, un placard ouvert, sert de penderie, ou des manteaux tombé, etaient à terre.
Première porte, la chambre de mes parent ou un grand lit occuper presque tout l'espace ainsi qu'une armoir a son pied, de nouveau cadre au mur, terriblement sale. Le visage d'une petite fille étais voyant à travers le reflet. Moi.
Regardant l'armoir en bois, je l'ouvris, remarquant que la porte de celle ci, était légèrement bloqué , j'ai du alors forcer un peu pour la faire se décoincé. Un nuage de poussière me fus projeter au visage, me faisant tousser, éternué.. couler les yeux, que j'essuie enlevant la poussière.
L'humidité présente dans la maison mal isolée et plus habitée depuis des années, le bois du meuble a du gonflé, sous le parquet ancien et craquant.
Je découvre alors plusieurs vêtement qu'avait ma mère, prenant une robe au hasard, je visualise un peu sa taille, qui sembler être plus ou moin comme la mienne.
Caressant du regard ce tissue dans mes mains, malgres cette odeur de moisie omniprésente, je me surprend à sourire légèrement, malgré tout les sentiment de tristesse qui continue de grandir en moi depuis ma déception de quelque heures. Je range cette robe, prenant une chemise bleu ciel, dévoré par les mites.
Ceci appartenait sans aucun doute à mon père, il semblait terriblement grand, se qui me fis presque rire d'imaginer la différence de taille.
Une boule dans la gorge, les yeux larmoyants, je serre se vetement crasseux, troué dans mes bras, regardant à présent l'entièreté de cette chambre qui était la leur..
Mon visage grimace, au souvenir si fugace qui venais de me revenir, souvenir flou d'un soir d'orage ou je suis venu me réfugier dans les bras de ma mère.
Comme un mirage, je retrouve cette image en face de moi, cette petite fille apeurée courrant et grimpant sur le lit.
J'ai la sensation de me redécouvrir. J'en suis affligé..
Sortant de cette chambre, je me dirige dans la deuxième, qui semble être la mienne, un papier normalement rose était devenu crème.
Une chambre d'enfant mal rangé, tout se qu'il y as de plus normal, mais elle semble si spécial.
En touchant légèrement le lit ou je dormais etant petite, j'avais l'impression de me revoir à l'intérieur.
Dans un coffre, des jouet et des livres d'histoire, d'image. je semblais avoir tout se qu'il me fallais, une armoir que.j'ouvre également, des tonne de vêtement et accessoires.
De nous trois, j'etait celle qui avait le plus de choses. Mes parent me gâte de bibelot et d'amour.
Je me sens tellement soulager d'avoir était une enfant choyé.
Regardant mes petit vêtement, interrompus, à travers la fenêtre sale, je vu soudainement de la lumière.
Tournant la tête, j'alla voir à travers la vitte, il y avait une voiture illuminant la maison entière, plein phares, au pied de la maison.
Une voiture bleu...
Min-jee : Comment..-Je dis.
Reposant le vêtement où il etait, je sors decette pièce , descend l'étage pour revenir au séjour, hésitant à prendre la première photo de mes parent que j'ai vu en arrivant.
Quelque seconde a réfléchir, je me sens remplis de regret à l'idée de la laisser, alors je prend le cadre dans mes mains, celui-ci étant abîmé, je l'ouvre à l'arrière, prenant juste la photo de mes deux parent.
Cette photo qui me rechauffer le cœur. Je la range dans ma poche.
Sortant de la maison, les phare blanc de la voiture de sport m'éclaire moi comme la maison, à m'en aveuglé.
La portière s'ouvre, une ombre en sortie... une ombre que je reconnais facilement. Mes yeux s'ecarquille en plus de mon visage agréablement surpris.
Fermant la porte derrière moi, traversant a nouveau le jardin,je me retourne, regardant de nouveau cette façade abîmé. Exprimant cette promesse dans un murmure.. " Je reviendrais."
Je remettrai cette maison en état.J'acheterai cette maison à l'avenir.
Des a présent, j'alla retrouver la personne qui semble estimer, qu'il es à présent tard, pour visiter une maison abandonnée.
Debout, en face de sa portière ouverte, les main dans les poches, on peu voir sa respiration à travers cette fumée blanche qu'il expire. Mon cœur bat à la vue de son visage... malgres le déchirement de celui-ci.
Je vais mal, il le sais. Il le vois. Son sourir le mens pas..
Il me regarde m'approcher, un regard et sourire remplis d'une douceur compatissante, comprenant parfaitement ma confusion et mon état.
Jimin : Je suis venu te chercher, Min-jee..-Il dis doucement.
Mon visage deviens douloureux.. ma voix enrouée, grinçante, j'eu du mal à articuler joliment ma phrase..
Min-jee : Comment m'a tu trouver..?
Jimin : Hier, Taehyung m'a dit pour ta prise de sang. -Il dis. Alors, j'ai prévu de faire garder Meonnie par Jungkook, juste au cas où. Puis, étrangement, je reçois un message de Hoseok ton medecin. Et me voilà ici .
Alors qu'il me tend son portable, me prouvant ses dire.. j'avance de quelque pas supplémentaire vers lui..
Min-jee : ... il t'a.. tout..-Je demande à demi-mot
Je baisse les yeux, tremblant un peu de froid, après que mon corps se sois refroidie peu à peu après une longue marche. Il s'approche de moi, pose une main réconfortante sur min dos.
Jimin : Les grosse ligne, oui.
Je n'ai plus rien à dire alors, doucement, il m'invite à monter dans sa voiture se que je fis. Regagnant la chaleur venu du chauffage.
Regardant ma maison durant sa marche arrière, je laisse derrière loi tout ses souvenir, en emportant l'un d'eux avec moi.
Épuiser, je m'endors durant le trajet.
~..
M'accompagnant jusqu'à la porte. Je rentre à l'intérieur tandis qu'il reste planté à l'entrée, sans dire un mots.. meme si je m'étais endormis, il n'avait rien dit du trajet, il c'étais juste contenter de me tenir la main, sans jamais la lâcher. Quant à moi, je la cramponais, pas peur qu'il la lache..
Ce n'était pas grand chose, mais ce simple geste ressemblait à beaucoup de chose pour moi.
Les yeux rouge de chagrin, fatigué par les larmes que j'ai tant verser aujourd'hui, je rentre les clés sur dans verrou. Me retournant, cherchant son regard timidement, j'ose la première parole.
Min-jee : Je..
Jimin : ..?
Min-jee : Je n'ai pas le cœur à rester seule..-Je dis tristement. Étant donné les circonstances.. tu ne voudrais pas prendre un thé avec moi..? Me tenir un peu compagnie.
Il arrivait a peine à entendre ma demande tant j'avais parler si bas.
Son visage n'était ni surpris, ni heureux, ni contrarié. Il etre rien. Neutre. Alors j'ouvris la porte, retrouvant l'appartenant vide.
Ne disant rien, il entre en silence, juste après moi. Alors jebme sens rassuré qu'il es accepté mon invitation..
Enlevant son manteau pour le poser rapidement sur le meuble à côté de lui , action qu'il faisais tout le temps des qu'il venait, l'odeur de son parfum c'etais déjà répandu dans la pièce. Une odeur très rassurante pour moi.
L'imitant, enlevant également mes chaussures sale de boue, je regarde mes vêtements salut. Persephone aller râler c'est sur.
Sortant la photo de ma veste, je la pose précieusement sur un meuble sur. A l'abris de toute tâche.
Il n'y as aucun bruit dans cette appartement... je me sens pas à mon aise.
Jimin, posant ses yeux sur moi, je pris la bouilloire, la remplis d'eau, puis là mis chauffer. Allumant un bouton qui actionné devient rouge. Mes main tremble, mon corps egallement à chaque geste, a ça depuis que je suis rentré à la "maison". je n'en connais pas la raison.. je ne me sens pas nerveuse.
Malheureusement il le remarque, plus que facilement. cela semble l'inquiéter, mais il ne dit rien. Quand a moi, je me sens troublé de ce problème.
Une fois tout ça fait, je me tourne vers Jimin qui me regarde depuis tout a l'heure sans relâche, muet.
Son visage silencieux, regardant la bouilloire, revenu à moi, ses lèvres se courbe en un fin sourir... Essayant de ne pas lui montrer la douleur que je ressentais actuellement dans le coeur, j'articule doucement, un léger malaise dans ma voix.
Min-jee : Je vais me changer.-Je dis.
Jimin: D'accord.-Il répond.
Min-jee : Sa ne sera pas long, je revien. Elle devrais s'arrêter toute seule des que l'eau est assez chaude.
Il fis un simple signe de la tête, lui tournant le dos, je m'enveloppe de mes propre bras, essayant de calmer mes tremblement. Je claque de la langue contre mon palais des que je rend compte que je n'y arrive pas..
Allant dans la chambre de Persephone, la ou je dormais aussi, je me déboutonne difficillement, seule dans cette pièce et isolé, ou enfonce lâche tout se que j'ai retenue..
Mes tremblement cesse enfin, mais remplacer par des larme silencieuse qui brouille ma vision péniblement, me font grimacer et sangloter. Se gémit dans une plainte frustré..
Min-jee : C'est pas vrai..
Finallement réussi, je laisse mon pantalon glisser au sol, l'enlevant de mes jambe. Me débarrassant de mon haut également que je laisse traîner par terre, je cherche et j'enfile un long et large t-shirt blanc simple, enfilant un short de nuit egallement. Je me sens à l'aise dans cette tenue..c
Ce n'est certainement pas la meilleur pour accueillir un invité, mais tant pis.. ce n'est pas comme si il avais pas déjà vu pire de moi.
Prenant certainement un temps fou à faire quelque chose qui dure généralement, moin de cinq minute.. je perd la notion du temps. Jimin m'attend..
Essayant de sécher mon visage, j'accuse mes larmes de me faire rester plus longtemps seule dans cette pièce, mais quoi que je fasse, elle coule d'elle-même, c'est frustrant... agaçant. Pitié arrêtez vous...
Je pensais avoir assécher la rivière depuis déjà maintenant, des mois entier..
Les mains a mon visage, j'essaye tant bien que mal de chasser tout cette eau qui se trouve être horriblement salé. Pourquoi sont-elles salé..?
Étouffer par mes reniflements bruiyant, je n'avais rien remarquer.. c'est seulement en levant les yeux, pour enfin partir de la chambre, que je remarque dans un petit sursaut un torse d'homme en face de moi.
Un peu plus haut encore, d'une vision flou, je vois un visage.
Le visage de Jimin qui me regardait, dans ce silence. Tant de chose était dit avec les yeux, juste ce regard. Les yeux ne mentent pas, et ils me traduisent, l'une des plus belle phrase d'inquiétude au monde.
Je sens sa main se poser sur ma joue, comme un coup d'électricité donné, mon corps sursaute à peine, il est si près de moi, je peu sentis son soufle chaud touché ma peau. Mon rythme cardiaque s'affole un peu, mon cœur me picotte un peu ce soir, avec lui.
Son pouce chassant mes larmeq qui étrangement ne reviennent pas après son geste, je peu enfin apercevoir son beau visage, qui en détaillant le mien de tout son désarroi, semble pourtant soucieux de mon état.
Malgré ça, il n'avais de cesse de me montrer son beau et doux sourire, il n'arrive pas à me faire sourire, mais c'est se dont j'avais éperdument besoin, dans ses yeux lumineux je vois, une nouvelle lueur.
L'expression qu'il affiche me plait. Et alors qu'il me regarde droit dans les yeux, il parle, articulant doucement, comme une chanson murmuré pour un enfant fragile.
Jimin : Aujourd'hui, c'est à mon tours d'être présent pour toi Min-jee. -Il murmure.
Ses mots fis réagir quelque chose en moi, mon cœur bat la chamade, mon corps est fébrile. Je n'ose pas répondre par peur de dire une bêtise.. ou de ne pas être à la hauteur de ses mots qui signifie énormément pour moi.
Jimin : Ne sois pas triste.-Il souffle doucement. Je suis la pour toi.
Ses mots raisonne dans ma tête, ils se gravent dans mon esprit comme un pansement sur ma plaie.
Min-jee : Jimin..-Je dis tristement.
Je ferme mes yeux implorant, trouvant mon réconfort dans ses bras, qu'il enlace doucement autour de mon corps.
J'enfouis mon visage dans le tissus de son pull en laine, son odeur envahi mes narines, m'apaisent.
Je resens mon cœur se calmer doucement, c'est si bon.. Je ressens en cette instant, tout l'éternité dans cette étreinte.
Se séparant doucement de moi, il me propose de nous asseoir sur le lit au lieu de rester debout.
J'accepte.
Ayant éteind la lumière à cause d'un mal de tête venu de ma contrariété, nous étions assis au bord du lit, l'un contre l'autre, ma.trte reposant sur son épaule alors que son bras me maintenais près de lui, dans un grand silence.
C'était étrange cette façon de se comporter soudainement lui et moi.
Je n'attendais pas ça de lui, pas de cette façon. Mais ce n'est pas désagréable, loin de la.
Aussi doux et soucieux que cette instant, sa maladresse par moment étais attendrissante. En face de moi, on ne croirai pas voir le Jimin que tout le monde connais et parfois craint. J'aimerai lire sans son imagination et ses pensées.
Son bras traversant mon dos, caresser doucement la peau de mon bras à l'opposé de lui, dans de légère papouille agréable.
Sa tête contre la mienne légèrement abaissée, nous étions comme ça depuis maintenant dix voir meme quinze bonne minute. Ni lui ni moi semblons nous en lasser. Se moment nous l'adorions secrètement.
Entrain de m'endormir, je sens mon corps basculé sur le côté se qui me réveille, surprenant Jimin qui confortablement installé ne s'attendais pas à cette action incontrôlée.
Il me demande, du bout des lèvres, de m'allonger confortablement sur le lit.
Fermant les yeux, je lui tiens la main, ne voulant pas le sentir partir, me laisser seul. "Reste..."-Je lui avais demandé.
Tout se que veux c'est qu'il reste là et cela il l'a très bien compris. "Toujours." -Il m'a répondu.
Témoins de nos deux main liée et enlacer, curieux et attentif il fait raisonner ca voix.
Jimin: Tu te sens mieu ? -Il demande calmement.
Min-jee : Oui -Je dit avec mal. Je te remercie d'être venu me chercher. D'être rester avec moi.
Jimin : C'est normal.
Me redressant sous son regard interloqué, je me rend compte d'un oublie sans reel grande importance
Min-jee : L'eau douche dois avoir refroidie maintenant.-e dis affolé. je vais aller t'-
M'interrompant avec sa main devant moi, je m'arrête dans ma lancer, restant assise sur le lit.
Jimin : C'est bon. -Il dit. Je n'ai pas soif. Ne t'en fait pas.
Sa voix etais douce, mais sonore.. si agréable..
Baissant le visage qui atterris dans la paume de main main, je me frotte les yeux de fatigue et de maux de tête..
Min-jee : Quelle idiote.. je suis une pire hôte..
Je dit désespéré de ma propre personne, mes cheveux tombant au point d'en cacher mon visage. Cette vision ne semblant pas lui plaire suffisamment, je sentis une mèche de cheveux bouger, se positionnée derrière mon oreille à nouveau pour dégager mon visage.
Jimin: Non, pas du tout..-Il me rassure.
Jimin etait toujours en face de mon visage, mais plus rapprocher de moi que tout à l'heure. Cherchant curieusement mes yeux quelque que peu suspicieux, je le sentie bouger, gigoter lentement.. cherchant à savoir si je pleurer de nouveau ou non..
Soulager de constater que aucune larme n'était tomber pour venir gâcher mon visage. Il souris à cela, se qui me fis rosir les joue.
Mais la distance entre nous était affreusement réduite par son action. Le manque de luminosité dans la pièce, l'ombre des mur, je ne voyer quelle bas de son visage, ses lèvres...
Légèrement recouvert par l'ombre du rideau, cette vision etais si belle..ses lèvres, je ne pouvais remarquer que ça, elle était parfaite, brillante, certainement savoureuse.. et terriblement désirable, surtout maintenant.
Rien ne semblait pouvoir faire dévier mon regard j'etais hypnotisé mais aussi perdu dans mes pensées..
Aucun son ne sortis de nous bouche, de toute façon il n'y avait rien à dire. Il voulait être la pour moi et je ne voulais pas être seule.
S'approchant naturellement, encore un peu plus l'un de l'autre, la distance était si réduite, que je ressentais son souffle chaud contre ma peau, les.tremblement recommence, mais il n'avait pas la même nature cette fois, je l'est ressent différemment..
Mes deux main appuyer sur le matelas, je sentis les deux sienne prendre mon visage en coupe, tandis que nos yeux se fermaient peu à peu.
Son regard un peu plus bas, tout les deux avides de la même chose: Nos lèvres chaude.
Mon corps ressent un frisson entier le parcourir, mon cœur remplis de sentiment pour lui ne cesse de s'agiter, de réagir au moindre contact de sa part.
Ce silence entre nous, l'aide à être attentif au moindre de mes mouvement qu'il suis avec aisance voulant mon consentement..
Si attractif.. hyspotisant, je m'abandonne à lui et des caprice ce soir.. pris au piège dans ses filets, capture moi, je t'en prie, ne me laisse pas maintenant..
Fait le.. je suis prete, ce n'est que le début entre nous..
Mon visage devient chaud je ne peu rien contrôler, seulement me laisser-aller, semblant alors le remarqué à son touché direct, je vois ses lèvres doucement se courbé affichant un sourir aisé.
Ni le klaxon des voitures en extérieur, ni portable, ni Meonnie ou aucune autre personne ne pouvais nous interrompre, et j'en remercie le ciel, car je venais de sentir ses lèvres brulante s'écraser sur les miennes, les yeux clos.
A ce même moment, aucun de nous ne bougeait, mais c'étais un festival de sensation, tout devenu clair pour moi.
Il fus le premier à bouger doucement ses croissant de chair contre les miennes. Si douce, si confortable, immédiatement je répondis à son baiser avec confiance et sérénité.
Doucement j'enlace son cou de mes deux bras, cherchant le rapprochement. Le voulant encore plus près de moi, le sentir.. mon cœur se presse encore un peu plus.
Mes doute s'envole.. cette amour je le ressent.. Je l'aime.. de tout mon cœur, de toute mon âme.
Je voulais sentir son cœur contre le mien, savoir si il battais d'amour tout comme le mien battais pour lui.
Menant la danse avec aise, mon cœur s'arrete lorsqu'il venu mettre plus de pression sur mes lèvres, écrasant son visage avec legerement plus d'insistance, j'en pert le rythme.
Dans la pièce, seul le bruit erotique de nos lèvres se faisais entendre, nos bouche affamé, envieux comme jamais, se faisais comprendre par de délicat bruit de succion et nos respiration haletante.
Voulant approfondir encore plus, je senti son muscle rose passer sur mes lèvres rouge et légèrement gonflé, surprise par cette action je gémis... il réagis à cela.
Une pause dans se baiser fiévreux, sa langue déguste mes lèvres sur toute leur longueur, les mordillant légèrement peu après, ses yeux ou l'éclat de la lune se refléter dedans après qu'il sois sortie de l'ombre, il regarde ma timidité qui semble le charmé.
Meme dans se silence j'ai l'impression d'entendre sa voix m'apellez..
Ouvrant légèrement la boucle, il lâcha mes lèvres, laissant un minuscule espace entre nous que je regrette affreusement.
Nous laissant reprendre un peu de respiration.
Essoufflé, nos regard se consument mutuellement. Ses yeux sont incandescents, il brûle, il brule tel un ange en enfer. Ils sont magnifiques.
S'emparant une nouvelle fois de ma bouche avec envie mais délicatesse, sa langue s'invite d'elle-même à rejoindre sa jumelle dans une danse synchronisée.
Chaude, moelleuse, terriblement sensuel à en avoir des bouffées de chaleur, le surplus de notre salive mélanger dépasse de nos bouche, permettant à nos lèvres de glisser l'une sur l'autre avec moin de mal, cette douceur qu'on obtenait n'étais au'un délice supplémentaire.
Plus rien n'a d'importance à part nous, je glisse mes main dans son dos, entendant le frotter de mes mains sur ses vetement.. Mon touché le fis gemir d'envie, a présent si sensible, agrippant ses vetement, je sens mon corps s'en aller, chuter, s'allonger sous une pression qu'il exerce.
Coucher ensemble sur le lit, pas décider à nous laisser en paix. Mon dos sur le matelas. Il surplombe mon corps, caresse mes lèvres, nos boucle pourrais continuer de se consumer et s'utiliser durant des heures, alors que la nuit avais déjà bien commencer.
Lâchant sa possession, relevant à peine son visage, ses lèvres brillante de salive, les miennes relier au sienne par un fin fil de cette substance transparente.
Silencieusement, il caresse ma joue à nouveau avec admirations, si doux, je ferme les yeux a se contact, louchant sur le lèvres des que j'ouvre mes paupières, bouche si gonflé et abusé par son baiser, se rappelant qu'il etais le premier pour moi, il souris de nouveau avec tendresse.
Le lien liquide se rompt facilement des que ses lèvres prononce les premières paroles dans un murmure suave dans la nuit.
Jimin : M'autorise tu as te donné un nouveau baiser?
Cette fois-ci, c'est à mon tour de prendre entre mes mains, son visage en coupe.. son souffle irrégulier il en tremblait d'envie. Ne sachant où poser les yeux, il en devenais fou.
Ce n'est pas la première fois que nous risquons de nous embrasser, c'est une évidence, depuis le début de notre rencontre, je savais qu'il serai le premier à me donner mon premier baiser.
Pourtant nous nous somme juste laisser-aller comme a chaque fois. On se laisse aller à la nostalgie...
Une nouvelne fois, nos lévres s'écrasent l'une contre l'autre, doucement, sans se précipiter, on lache tout de même un soupir d'aisance et de soulagement.. quelle bien fait s'offre t'ont.. c'est un supplice de ne pas se toucher. Nous avons la nuit pour nous.
Plus cours cette fois il enlève ses douce et pulpeuse lèvres des mienne, pour déposer des baiser volatile et si doux au coin de mes lèvres, sur ma joue..
Déshabillant mon cou, revenant à mes croissant de chair. Je me sentais désirait, mais différemment des autre fois, c'étais si bon. Je me sentais aimais comme une femme.
Je l'aime, je donnerai ma vie pour cette homme.
Pour qu'il m'emmène danser d'amour.
~~~~
4487 mots!!! Woahlala mais il es tellement long !
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro