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Ça🎈~9

Suite de l'aventure ^^

Je suis assez fière de moi pour cette partie car j'ai réussi à mettre cinq défis là-dedans. Pour la suite, je tournerais entre trois et quatre défis pas plus x) Mais par contre je vous invite encore à me laisser des défis, qu'importe le style. J'aime énormément m'amuser avec vous !

Question du jour -> Dans quel département vous vivez ?

PS : Quelle scène de ma fic aimeriez-vous voir en dessin ?

Merci et bonne lecture !

Ça 9

La brume avait envahie toute la ville et plongée les habitants dans un silence troublant. Le ciel restait d'un gris triste, l'air était froid, en plein milieu du mois de Juillet. C'était inhabituel à cette période de l'année. Cela voulait dire que quelque chose se tramait dans l'air, quelque chose de pesant et de malsain.

Un petit garçon âgé de six ans gambadait dans la rue où ses parents venaient tout juste de s'installer. Ils venaient ici tous les ans pendant les vacances pour rendre visite aux grands-parents. Les jeunes enfants se faisant rares dans le secteur de Derry, il n'y avait pas grand choix en termes d'activités.

Donc malgré le froid anormal, Arthur jouait avec sa petite voiture rouge sur le trottoir devant sa maison de vacance.

Lentement, le brouillard devint plus épais et bientôt le jeune garçon aux cheveux bruns ne voyait plus qu'à un mètre devant lui, entièrement enveloppé dans cette brume mystérieuse blanchâtre. Il se leva de sa position assise pour regarder confusément autour de lui, croyant avoir entendu quelque chose semblable à un chuchotement. Il plissa les yeux puis tourna plusieurs fois sur lui-même, le cœur battant la chamade. Il ne voyait même plus sa maison qui pourtant était juste en face du trottoir !

IIIIIIIIIIIIIIIHHH

Un cri à glacer le sang retentit dans un écho.

Arthur relâcha de surprise sa petite voiture métallique sur le sol puis serra ses mains sur sa poitrine dans la peur intense. Il regarda frénétiquement autour de lui pour tenter de comprendre ce qui se passait.

L'étrange hurlement retentit à nouveau et il put constater qu'il s'agissait en fait d'un cri de cheval ... Ou quelque chose dans ce genre-là. Il sursauta lorsqu'il perçut ensuite le bruit de sabots répétitifs contre l'asphalte quelque part dans le néant.

Le cheval tournait apparemment autour de lui mais il ne pouvait pas le voir, le brouillard était bien trop dense. Son cri faisait vraiment froid dans le dos. C'était comme si l'animal était en colère et prêt à charger à tout moment. La bouche d'Arthur devint sèche au moment où il vit enfin à quoi ressemblait le fameux cheval, là dans la brume épaisse. Ce n'était pas un animal existant, il s'agissait d'une licorne blanche avec la crinière orange flamboyante. La créature mythique se cabra et hennis de toutes ses forces.

Le garçon était tétanisé par la peur. Il avait la phobie des licornes.

S'il y avait bien une chose qu'il ne voulait jamais voir en vrai c'était bel et bien les licornes. Sa petite sœur avait une chambre remplie de posters et de figurines de ces créatures démoniaques et Arthur faisait régulièrement des cauchemars à cause de ça. Malgré ses plaintes et ses nombreux pleurs, ses parents refusaient de l'écouter parce qu'ils le considéraient comme un gros bébé jaloux de sa sœur.

Il n'arrivait même plus à bouger ses petites jambes tellement il flippait de voir son cauchemar pour de vrai. La créature à quelques mètres à peine déambula tranquillement jusqu'à se mettre en face de l'enfant puis gratta nerveusement son sabot droit sur la route, de la buée sortant de ses narines évasées. Ses yeux jaunâtres luisaient en travers le brouillard, les grognements d'avertissements de plus en plus en colère.

Reprenant soudainement conscience de la gravité de la situation dramatique et en laissant sortir un cri aigu d'épouvante, Arthur se retourna pour courir le plus rapidement possible vers ce qu'il espérait être sa maison. Son cœur menaçait à tout bout de champ de sortir de sa poitrine, ses yeux s'humidifiaient mais à six ans il restait tout de même très lucide.

«Maman maman maman !» Cria-t-il à plusieurs reprises en regardant par-dessus son épaule à la créature affreuse.

La licorne secoua sa tête puis fondit droit sur l'enfant apeuré qui tentait désespérément de lui échapper. Grossière erreur. Elle bondit au-dessus du garçon et atterrit juste en face de lui, sa tête se transformant en quelque chose d'encore plus effrayant.

Les dents de l'animal s'allongèrent en pointes et sa mâchoire s'ouvrit bien plus grande qu'elle n'était censée pouvoir le faire. Elle laissa sortir un cri à double sonorité puis claqua ses dents au visage du garçon qui hurlait à la mort sur le sol.

Mais personne ne l'entendit.

Ses yeux jaunes déjà bien globuleux sortaient presque hors de sa tête blanche, sa mâchoire démesurée à quelques centimètres du visage d'Arthur. Puis d'un coup de dents, elle attrapa le visage de l'enfant pleurant dans ses puissantes mâchoires. Immédiatement après, le craquement familier tel une chips au paprika résonna, sa corne couleur ivoire créa un halo de lumière semblable aux couleurs d'un arc-en-ciel.

Pennywise était aux anges car le sang s'écoulant dans sa gorge de licorne était imbibée par la peur. Après avoir tué le garçon, il reprit sa forme de clown et croqua à pleines dents la chair fraîche de sa pauvre victime innocente. La faute aux parents. Ils n'avaient qu'à surveiller leur progéniture au lieu de la laisser seule dans la rue pour faire leurs galipettes ! Le sang jaillit à flot sur sa collerette grise puis sur son visage peinturluré mais il s'en fichait car il avait bien trop faim.

Ça jeta sa tête en arrière, les yeux révulsés à l'intérieur de son crâne épais. C'était tellement bon d'étancher sa soif ! Surtout avec une aussi bonne dose de peur ! Bon, il était vrai qu'il en avait pris pour son grade avec cette forme-là mais au moins il avait pu manger après des jours à jeun. L'entité avait été tellement énervée depuis qu'il avait vu Barry embrasser son compagnon qu'il ne désirait plus qu'une seule chose, faire un massacre pour calmer sa frustration et sa jalousie.

Mais maintenant qu'il avait eu ce qu'il voulait, Pennywise se sentait comme incomplet. Il s'arrêta lentement de sourire puis baissa ses yeux rouges sang sur le corps sanglant et meurtri de l'enfant qu'il venait d'achever dans ses bras. Il avait eu si faim, et toute cette peur ... C'était trop tentant de s'en emparer ! Pourtant le clown maléfique n'avait plus envie de rien.

Que lui arrivait-il ? Pourquoi même lorsqu'il tuait il pensait constamment à Emily ?

Ça se laissa mollement tomber sur ses genoux, les bras ballants à ses côtés et les yeux dans le vide. Il ne comprenait tout simplement pas ce qu'il lui arrivait depuis quelque temps. Il en était incapable après tout. Celui qui l'avait créé n'avait certainement pas prévu qu'il se mette à se poser des questions existentielles ni à ce qu'il commence à ressentir des émotions. Heureusement que Maturin n'était pas là pour le voir dans cet état là ... Il aurait affreusement honte.

Un petit grognement s'échappa de lui malgré lui puis son visage se tordit dans un rictus lorsque son cœur se serra douloureusement dans sa poitrine. Etrange, ce dernier n'était pourtant pas censé fonctionner étant donné qu'il était faux et inutile.

Néanmoins, il posa une main tremblante là où était son cœur et appuya pour tenter d'enlever la douleur inconnue. Elle apparaissait à chaque fois qu'il voyait la jeune femme dans sa tête ou quand il repensait à ce que son concurrent avait fait. Il ignorait si c'était positif ou non.

Pennywise ferma un instant les yeux puis les rouvrit au bout de quelques secondes, le visage bien plus sombre et colérique. Il n'y avait qu'un seul et unique responsable dans tout ça et il s'agissait bien de Barry. Il ne voyait pas d'autres explications, tout était de sa faute. S'il n'avait pas été là, son compagnon serait déjà à lui depuis belle lurette et il aurait obtenu ce qu'il recherchait ardument tous les dix mille ans !

Le clown couvert de sang se releva puis emmena le corps d'Arthur dans les égouts, à l'abri des regards. Il avait quelque chose à faire après avoir terminé son repas bien mérité mais dorénavant sans saveur.

oOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Toc toc toc

Barry coupa brusquement le son de sa télévision puis se leva d'un soupir frustré d'avoir été dérangé pendant son émission favorite. Qui venait toquer chez lui au beau milieu de l'après-midi ?

Il grogna sous son souffle, éteignit à contre cœur sa télévision pour aller voir son invité surprise à la porte mais non sans une petite touche d'exaspération en lui. Il passa une main contre son visage pour y retirer maladroitement la fatigue passagère qu'il ressentait tout à coup, sans explication. Puis il laissa sortir un bâillement paresseux avant de s'approcher de sa porte d'entrée. Ses pieds traînaient sur la moquette douce jusqu'à son objectif, plus feignant que d'habitude pour une raison inconnue.

TOC TOC TOC

«Voilà voilà, j'arrive !» Répondit-il sur un ton agacé en tournant la poignée de la porte et en l'ouvrant brutalement. Il ouvrit la bouche pour crier sur la personne sur sa paillasse mais la referma aussitôt en s'apercevant qu'il s'agissait en fait de la belle femme qu'il convoitait depuis peu.

«Ow, excuse-moi Em. Je ne savais pas que c'était toi.» Se rattrapa rapidement Barry en posant un bras contre le chambranle de la porte, un petit sourire frimeur aux lèvres.

Emily quant à elle se mordit la lèvre inférieure puis lui leva un sourcil coquin. Presque avec timidité, elle s'approcha plus près de lui, sa lèvre toujours coincée entre ses dents blanches. Lui faisait-elle du charme maintenant ? Voilà qui était plutôt curieux mais très excitant !

Elle le regardait languissamment de haut en bas avant de lui offrir un grand sourire enjôleur qui rendait les pulsations de son cœur instables. Aujourd'hui, elle portait un débardeur court noir qui s'arrêtait en dessous de ses seins et un short bleu foncé avec des trous. Une autre de ses tenues d'été sexy.

«Je peux entrer ?» Demanda-t-elle d'une petite voix ronronnante en ne rompant jamais le contact visuel avec Barry.

«Hum ... Oui, oui bien-sûr ! Vas-y, entre je t'en prie.» Barry ouvrit en grand la porte, une main frottant rapidement l'arrière de sa tête. Il le faisait à chaque fois qu'il ne se sentait pas à l'aise ou face à des situations compromettantes telles que celle-ci.

Bon sang, il l'a trouvait vraiment chaud bouillante aujourd'hui ! Et le regard qu'elle lui donnait promettait des choses bien torrides ! Son caleçon avait rétrécit ou quoi ?! Qu'est-ce qu'elle était belle et séduisante cette femme au regard revolver.

Sans rien dire d'autre, Emily passa en coup de vent devant lui en roulant exagérément des mécaniques sur son passage jusqu'au milieu du salon de Barry, les yeux scrutant les alentours comme si qu'elle essayait de repérer quelque chose dans la pièce. L'homme derrière elle ferma rapidement la porte puis la suivit, quelques perles de sueurs sur son front et dans sa nuque. Il fallait qu'il se retienne, ne pas faire de mouvements brusques au risque de devoir faire abstraction.

«A-alors ? Qu'est-ce que tu voulais ?» Bégaya-t-il, ses yeux s'arrêtant un peu trop longtemps sur l'arrière train d'Emily.

Il avait sacrément chaud maintenant alors qu'il faisait pourtant froid aujourd'hui. Mais il n'avait pas de difficulté à savoir le pourquoi du comment, il suffisait de regarder la bombasse plantée dans son salon ainsi que son sourire charmeur à faire tomber les cœurs. La femme en question examina les environs en s'arrêtant quelques secondes sur l'écran du téléviseur avant de revenir sur Barry, un large sourire confiant aux lèvres.

«Je voulais te voir, c'est tout. Est-ce que tu as un verre d'eau ? J'ai soif.» Emily battit rapidement des cils, une légère moue.

«Euh ... Oui oui pas de problème, je te cherche ça.» Confus, Barry cligna des yeux puis fronça les sourcils à sa soudaine froideur.

Elle agissait d'une manière si différente tout à coup et où était passée sa politesse si légendaire ? Etait-elle lunatique ou quelque chose dans le genre ? Il n'avait rien contre ça bien au contraire, il aimait les femmes avec du caractère ! Cela lui rajoutait d'autant plus de glamour. Finalement, ne décelant rien de vraiment anormal avec son comportement, il haussa les épaules puis partit dans la cuisine à la recherche d'un verre d'eau.

Vous savez quoi les enfants ? Barry va bientôt mourir et flotter avec nous dans les égouts !

Barry prit le verre d'eau qu'il venait de verser sans se rendre compte que sa télévision avait été rallumée sur une chaîne d'émission pour les enfants. Il poussa la porte avec son coude mais malencontreusement son pied se prit dans le linge sale qui traînait au mauvais endroit et il bascula en avant, la bouche et les yeux grands ouverts d'étonnement. C'était comme si le temps venait de ralentir pour dévoiler une scène très comique digne d'un film humoristique.

Il fonça droit sur Emily puis l'entraina à contre cœur dans sa longue chute sur le sol, le verre d'eau se renversant tout autour d'eux dans plusieurs cercles spectaculaires. Au moment où le dos de la femme frappa le sol, celle-ci reprit sa forme originelle.

Barry s'écrasa maladroitement au-dessus d'Emily comme une patate pourrie puis sa bouche toujours ouverte se colla inintentionellement sur la sienne. Il y eu quelques longues secondes de silence interminable et dans l'immobilité totale, la télévision grésillante derrière eux.

Puis très lentement, d'un glapissement de douleur d'avoir fracassé son front contre celui d'Emily et encore sous le choc de cette impressionnante chute, il rouvrit ses yeux hermétiquement fermés ... Pour se retrouver face à un visage de clown très, très mécontent.

Les deux se regardèrent bêtement pendant quelques instants, les mains de Pennywise tenant fermement les hanches de Barry sans le faire exprès après la chute brutale qui les avait tous deux entrainés sur le sol. Le petit humain ... Avait posé ses lèvres dégoutantes sur les siennes ! Comment osait-il, ce sale vermicelle !

«GRAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH» Rugit soudainement Ça dans un cri inhumain, les dents pointues au visage de Barry. Furieusement, il envoya valser l'homme dans les airs d'un coup de bras et dans sa table bordélique au centre du salon.

«Aie !» Croassa Barry dans la douleur atroce lorsque son crâne frappa le pot de crayon.

Il serra fortement les dents, un peu sonné par la violence de la frappe puis rouvrit les yeux pour voir le clown fou bondir sur lui. Ce dernier entoura immédiatement ses mains gantées autour de sa gorge et resserra ses ongles dans son cou pour l'étouffer, de la bave s'écoulante en abondance hors de ses lèvres rubies tirées dans une grimace de rage extrême. Ses yeux orangés étaient entourés d'un cercle rouge sang et son rire de clown emplissait rapidement ses oreilles, en échos avec les battements frénétiques de son cœur.

Le visage de Barry devint vite violet par le manque d'oxygène et même s'il essayait de faire lâcher la prise de Pennywise sur son cou à l'aide de ses mains, il ne relâcha jamais la pression pas même ne vacilla. Il détenait une force inhumaine ! Comment était-ce possible ? Il pouvait voir dans ses yeux furax qu'il était déterminé à le massacrer coûte que coûte.

Juste pour un petit baiser involontaire ? Eh bien ... Il lui en fallait peu.

Durant sa panique, Barry vit du coin de l'œil un objet brillant. Son couteau de cuisine ! Merci le bordel ! Il jeta sa main dans sa direction et après avoir eu une bonne emprise sur le manche noir, il l'abattit directement dans le crâne bulbeux du clown au-dessus de lui.

Pennywise relâcha immédiatement sa prise sur le cou de Barry puis gémit misérablement à la douleur lancinante, la bouche tordue dans une grimace effrayante. Il recula un peu de l'homme qui tentait de reprendre son souffle sur la table avec le couteau tranchant encore dans sa main tremblante. Il commençait d'ores et déjà à reprendre des couleurs maintenant que son corps avait à nouveau accès à l'air.

Après une quinte de toux, il redressa la tête vers son agresseur qui peinait à tenir debout maintenant qu'il avait un trou dans le front. Par-dessus son stress, Barry ressentait comme une vague de satisfaction de l'avoir malmené ainsi et s'autorisa même à sourire, à bout de souffle.

Le sang noir s'élevait continuellement dans les airs et flottait autour de la tête de Ça. Ce clown avait une tête monstrueusement difforme mais ce n'était rien comparé à sa grimace exagérée ou encore à cette étrange substance noirâtre immonde. Ses cheveux oranges avaient perdus de leur éclat et tombait tristement sur ses épaules. Pourtant, la créature se releva de toute sa hauteur lorsque le petit humain sans valeur reprit la parole d'une voix grave et menaçante.

«Elle est à moi, tu m'entends ? A moi. Tu n'as aucune chance de l'avoir surtout pas avec ta sale tronche de clown.» Barry souffla puis crispa son visage à la douleur à son cou. Il passa sa main sur la peau sensible qui aura très certainement un hématome demain.

Il avait une de ces poignes !

La lèvre inférieure de Pennywise rentra dans sa bouche pour lui donner un air pathétique tout en poussant quelques gémissements. Il n'était pas particulièrement affecté par les paroles de Barry mais en revanche il avait mal et il n'était pas sûr de pouvoir finir son travail à présent. Surtout qu'il ne savait toujours pas quelle était sa plus grande peur et mise à part de la colère et du dégout, l'homme ne dégageait rien d'autre.

Comment ? Tout le monde le craignait dans cette maudite ville !

«Je serais le premier dans son lit.» Marmonna Barry en reprenant une bonne prise sur son couteau. Il le cherchait, c'était évident.

Et même s'il voulait croire en ses paroles, il avait quand même un grand doute sur leur véracité. Toutefois cela semblait fonctionner sur le clown répugnant qui émit un autre grognement d'avertissement. Pensant l'avoir suffisamment confondu, Barry se jeta en avant avec le couteau brandit dans les airs mais Pennywise lui attrapa facilement le bras et le tordit violemment dans l'autre sens.

L'humain ridicule laissa sortir un énorme cri de douleur tandis que l'entité démoniaque jouissait du bruit que faisait l'os en craquant. Il le tenait par le poignet, le couteau à quelques centimètres de sa tête. Il sourit sombrement puis continua de tourner le bras dans le sens inverse, les yeux jaunes dans le visage humide de sueur et agonisant de Barry. Peut-être que cette altercation avec son adversaire ne se finira pas aussi mal tout compte fait.

«Ce sera moi le premier, le seul et unique Pennywise !» Ricana-t-il à pleins poumons en cassant finalement le bras.

Il le libéra ensuite de son emprise pour le laisser sangloter sur son sort avec son bras blessé maintenu contre sa poitrine. Il ne criait plus mais il gémissait entre sa mâchoire serrée, les yeux à mi-clos et la sueur perlant en masse sur son front. Il devait bien admettre qu'il était relativement fort mentalement car tout autre humain aurait beaucoup plus chialé à cette douleur insupportable.

D'accord, il avait affaire à un véritable soldat. Pour cette-fois, il ne le tuera pas par simple respect puis de toute manière il était impuissant.

Pennywise lui donna un bref sourire. Il rampa tranquillement vers l'arrière dans la cave sous l'escalier pour laisser Barry dans sa misère. Lui non plus n'avait plus beaucoup de force et s'il ne se régénérait pas rapidement, cela pourrait lui être fatal.

Alors il glissa lentement dans le noir puis dans les égouts sous Derry, les lamentations de Barry étant une douce mélodie à ses oreilles.

oOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Cela faisait pratiquement deux jours depuis qu'elle l'avait vu pour la dernière fois. Depuis l'incident avec Barry pour être exacte.

Emily poussa un long soupire nostalgique puis reposa le cadre photo qu'elle détenait entre ses mains dans le carton sur le sol. Elle était assise sur ses genoux devant une pile de cartons non déballés qui dataient encore de son emménagement dans la ville.

Elle ferma quelques secondes les yeux avant de prendre une profonde inspiration par le nez, sentant son cœur se tordre douloureusement dans sa poitrine. Elle commençait à s'imaginer le pire pour Pennywise. Et si Barry n'avait pas tenu sa promesse ? Et s'il s'était finalement confronté au clown tueur de Derry ?

Bizarrement, elle s'inquiétait plus pour l'entité que pour Barry lui-même, à son grand désarroi. Elle ne détestait pas l'humain, bien au contraire, mais l'idée que son admirateur ait été blessé lui donnait un mal de ventre terrible.

Après avoir rouvert les yeux elle regarda longuement la fenêtre en face d'elle et à l'extérieur brumeux. Le temps était moche depuis avant-hier. Sans doute à cause de l'humeur morose de l'entité maléfique vivant sous terre. Après tout, il avait également un contrôle sur l'environnement, non ? Ses pouvoirs dépassaient toutes ses espérances.

Ravalant la boule qui s'était formée dans sa gorge, Emily secoua la tête puis continua de fouiller dans son carton. Elle récupéra des anciens livres un peu poussiéreux puis les placèrent sur le côté à sa gauche. Elle les mettra dans sa bibliothèque plus tard. Quelques babioles de collection, des vêtements pour l'hiver qu'elle ne mettra jamais et des appareils électroniques. Elle adorait collectionner des affaires et plus particulièrement des objets de valeurs de différents univers.

Bientôt par manque de courage, Emily s'arrêta dans son déballage après quelques longues minutes puis se releva sur ses jambes qui craquèrent à force de rester dans cette position inconfortable sur le sol. Une grimace subtile passa sur ses traits doux. Elle avait soif dorénavant, alors elle s'étira doucement de tout son long et se tourna pour aller dans sa salle de bain.

Ses pieds nus entrèrent en contact avec la froideur de son carrelage blanc puis aussitôt, un petit frisson se glissa sur ses bras suivit par un sifflement de désapprobation. Emily appréciait rester pieds nus dans sa maison mais là, elle regrettait presque son choix. C'était l'été et pourtant il faisait assez froid ! Peut-être devrait-elle chercher des vêtements un peu plus chauds ? Rien que l'idée l'en rebuta.

Malheureusement, durant sa marche vers sa salle de bain, elle ne vit pas la flaque d'eau sur le sol et lorsque son pied droit entra en contact avec le liquide glissant elle perdit l'équilibre puis bascula en arrière. Son cœur manqua un terrible battement. Inconsciemment, elle ferma les yeux en s'attendant à l'impact douloureux mais qui à sa grande surprise ne vint jamais.

Quelque chose la retenait. Quelque chose de tiède et doux contre son dos.

Revenant tout doucement à ses esprits, Emily rouvrit lentement les yeux quand elle sentit de grandes mains lui tenir fermement les avant-bras. Deux points dérangeant s'enfonçaient dans son dos au niveau de sa colonne vertébrale où elle pouvait sentir un cœur battre dans un rythme paisible.

Elle retint sa respiration, les pulsations de son cœur descendant pour s'accorder à ceux de derrière elle. Sa frayeur venait de disparaître pour laisser place à une sorte de curiosité mélangée à de l'impatience.

Puis elle laissa enfin sortir le souffle qu'elle détenait dans sa poitrine avant de baisser son regard sur les mains gantées tendrement enroulées autour de ses bras nus. Pennywise n'exerçait aucune pression, il la tenait simplement contre lui et respirait même son parfum unique en plongeant son nez peint dans ses cheveux platines.

Il remonta lentement ses pouces sur la peau pâle d'Emily jusqu'à ses biceps en chassant la chair de poule qui s'y était formée. Elle respirait profondément par le nez tandis qu'elle fermait les yeux pour profiter de la soudaine proximité. Elle dégageait de la nervosité qui rivalisait avec la sienne. Une minute, quoi ? Lui nerveux ? Absolument pas ! Ce n'était pas possible mais pourtant ... Cela y ressemblait fortement ou du moins il pensait étant donné que ce genre de ressentit lui était étranger.

Emily restait immobile, silencieuse, à sa merci. Il avait un toucher très doux qui pourrait faire douter de sa méchanceté et de sa brutalité. C'était très surprenant. Cette entité avait donc un autre côté qu'il ne semblait montrer qu'à de très rares occasions mais ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre.

Oh que non, loin de là.

Le clown abaissa lentement sa tête vers le cou de son compagnon convoité puis prit une autre profonde inspiration en se délectant de l'odeur qu'elle dégageait. Il raffolait de l'odeur de sa peur, mais il vénérait encore plus cette odeur très particulière qu'il n'arrivait pas encore à définir. Par reflexe, Emily pencha doucement la tête sur le côté pour lui faciliter l'accès, se laissant sourire timidement à son approche incertaine.

Mais le charme fut rompu lorsqu'elle sentit quelque chose de gluant couler sur son épaule droite ...

Incrédule, elle cligna des yeux puis apporta deux doigts sur la substance étrangère avant de l'approcher de son visage pour se faire une idée de cette dernière. Il s'agissait d'un liquide noirâtre collant très léger qui s'accrochait facilement à ses doigts.

Emily se dégagea subitement de l'emprise de Pennywise et le regarda pour la première fois en deux jours. Elle eut un vent de panique. Ses yeux s'écarquillèrent d'horreur en voyant un trou béat au milieu du grand front du clown où s'écoulait ledit liquide étrange. Une blessure assez moche qui semblait dater de plusieurs heures déjà à cause des craquelures sèches qui l'entourait.

«Mon Dieu ...» Réussit-elle à murmurer en posant ses mains sur sa bouche, choquée.

En réponse, Pennywise lui offrit son célèbre sourire macabre, les yeux oranges fixés dans les siens sidérés. Mais même en travers son sourire Emily pouvait y déceler de la douleur qu'il cachait du mieux qu'il pouvait avec cette expression contradictoire. Le liquide qui semblait être en fait son sang avait coulé sur plus de la moitié de son visage ainsi que dans ses yeux, ce qui lui donnait un air encore plus glauque.

«Merde ! Qu'est-ce qui t'es arrivé ?!» S'exclama-t-elle en se retournant brusquement pour aller vers son petit placard blanc dans la salle de bain où elle gardait précieusement sa pharmacie personnelle.

Juste au cas où.

«Barry ... Barry est le responsable !» Chantonna Pennywise d'un gloussement.

Certes, il avait mal, mais il profitait aussi de la situation pour avoir toute l'attention sur lui. Et qui sait, peut-être qu'Emily allait tuer Barry à sa place ? Pour se venger de cette blessure immonde ?

Rien que l'idée lui plaisait énormément et lui donnait une grande satisfaction ainsi qu'une sorte d'excitation. Son compagnon dévoué à lui, le protégeant des mauvaises intentions des humains. C'était trop beau pour être vrai. Mais un rêve qui lui faisait beaucoup d'effets effectivement.

Emily, après avoir ramassé ce qu'elle cherchait désespérément dans le placard s'approcha à grandes enjambées de Pennywise toujours debout dans le couloir. Elle le regarda sceptiquement avec un sourcil arqué puis lui prit le bras et l'entraîna avec elle vers sa chambre à coucher sans jamais regarder en arrière.

Elle l'assit sans douceur sur le matelas rebondissant, leva un produit pharmaceutique humain inutile puis se pencha vers son visage avec ce spray antiseptique. Elle mit quelques pulvérisations sur sa plaie en espérant que cela fasse effet. Pennywise sourit une fois de plus à sa tentative infructueuse de le guérir avec ce genre de procédé obsolète, le cœur se serrant agréablement. Il était une entité. Tout ce qui avait été créé par les humains était totalement inefficace sur lui.

Cependant, il cligna des yeux quand la froideur du produit entra en contact avec son crâne et que cela engendra des piqures.

Ensuite, elle passa soigneusement un chiffon humide sur les traînées noirâtres sur son visage et pour finir, elle colla un petit pansement sur le trou en forme de fente. C'était vraiment drôle pour Ça. Il voulait rire pour sa légère stupidité mais il se ravisa par crainte de représailles ou simplement par peur de la vexer.

«Voilà, je pense que maintenant c'est bon. Mieux ?» Dit-elle fièrement en s'éloignant et en posant ses mains sur ses hanches, le regard satisfait sur Pennywise.

«Oui, c'est mieux.» Répéta-t-il avec son sourire immense. Elle avait encore de son sang sur ses vêtements et même un peu dans ses cheveux blonds platine, ce qui créait un harmonieux contraste.

«Je sais très bien que tu as entendu la conversation que j'ai eu avec Barry. Et cela s'applique à toi aussi, Pennywise. Je ne veux pas de bagarre entre vous, c'est une cause perdue ! Ça ne vaut pas la peine. Alors je veux que tu me promette de ne plus chercher les embrouilles.» Commanda-t-elle sévèrement en croisant ses bras sur sa poitrine, un sourcil noir levé.

Le sourire de Pennywise mourut lentement tandis qu'il admirait la beauté en face de lui. Absolument tout d'elle lui plaisait, même dans cette forme primitive qu'il commençait également à apprécier au fil du temps mais uniquement sur elle ! Tout à coup, il cligna bêtement des yeux, revenant au présent lorsque la femelle en face de lui se racla bruyamment la gorge.

Qu'est-ce qu'elle avait dit déjà ? Quelque chose avec l'homme qui puait ? Peu-importe. Il allait lui promettre comme ça elle le laisse tranquille.

«Oui oui je promets ! Le clown dansant promet toujours !» Répondit-il joyeusement en secouant son costume pour faire retentir ses petites clochettes. Ses yeux étaient maintenant d'un bleu glacial et son sourire un peu plus sympathique.

«Bien.» Déclara Emily après quelques secondes à observer le visage de Ça pour voir s'il mentait.

Elle savait qu'il n'allait pas tenir sa promesse, il était un tueur sadique après tout ! Mais s'il brisait sa promesse elle pourrait lui donner mauvaise conscience. Son froncement de sourcils s'approfondit au moment où l'œil gauche de Pennywise tourna à l'intérieur de sa tête et que son visage devint à nouveau platonique, un petit son étranglé sortant de ses lèvres entre ouvertes.

Sans même laisser le temps à Emily de lui demander ce qui se passait, il disparut.

oOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Les soirées pyjamas entre potes, il n'y avait rien de mieux au monde pour se fendre la poire ! Du moins c'était l'idée fondée qu'avait Richie en allant chez Eddie pour la nuit.

C'était soit chez Bill soit chez Eddie et la réponse était vite venue à la bouche de Richie car restons honnête, Bill n'avait pas la tête à rire en ce moment. Et la cause était tout à fait normale. Personne ne lui en voulait, en aucune façon. Alors le voici dans la chambre de son meilleur pote Eddie déjà en train de se marrer pour un rien.

Les deux garçons avaient construit un tipi avec la grande couverture du lit et se cachaient à l'intérieur muni d'une simple lampe de poche pour projeter des ombres chinoises. Ils rigolaient en essayant de faire le moins de bruit possible parce que tout le monde connaissait la mère d'Eddie. Cette femme flippante et colérique ne supportait pas le bruit, ni rien d'autre d'ailleurs. Pas même de voir son propre fils s'amuser avec ses amis ou dans la nature qu'elle considérait être un nid à bactéries géant.

«Je pense que nous avons là un spécimen bien rarissime ! Matte-moi un peu cette poitrine.» Ricana Eddie en posant son index sur l'image d'une femme à moitié nue.

«Jésouille ! Non. Regarde plutôt celle-là ! Elle pourrait écraser des pastèques avec ses gros nichons !» S'écria Richie d'une manière outrée en désignant une autre femme sur la page voisine du magazine pornographique. Il l'avait récupéré dans les toilettes, dans la planque personnelle de son paternel.

«Je préfère l'autre, elle a l'air moins agressive ...» Eddie déglutit puis secoua la tête.

Rien que d'avoir l'image de la femme avec les pastèques lui donnait la gerbe. Richie remonta ses lunettes sur son nez avant de pencher la tête vers lui d'une manière ludique.

«Ouais mais toi, tu n'y connais que dalle en nana ! Les femmes veulent un vrai homme qui ne perd pas ses boules à la moindre provocation. Si tu vois ce que je veux dire ?» Nargua ce dernier avec un petit sourire narquois. Il faisait bien sûr allusion au premier contact entre le clown et Eddie.

«Ta gueule Richie ! Toi t'es pas mieux en essayant de draguer Emily !» Rétorqua méchamment Eddie en levant les yeux au ciel.

«Peut-être mais elle, elle a un putain de beau physique ... Les formes parfaites là où il faut. Dommage qu'elle ne choisit pas son homme par la taille du zgeg, j'aurais gagné les doigts dans le nez.» Se vanta Richie, ce qui entraîna Eddie à glousser jusqu'à ce que les deux adolescents ne sombrent dans un rire sincère.

Clic

«C'était quoi ça ?» Demanda soudainement Richie en se redressant, les lunettes de travers sur son visage.

«Rien, c'est juste Globulusse. Mon cochon d'Inde. Ben alors Richie ? Toi aussi tu perds tes boules ?» Rigola Eddie en pointant son doigt au visage dorénavant inquiet de son pote. Le garçon frappa sa main loin de lui puis soupira d'agacement en remettant aussitôt en place ses lunettes sur son nez.

Gling gling

Les deux se regardèrent avec de grands yeux choqués tandis que le son de clochettes retentit juste à côté de la tente qu'ils avaient construite plus tôt. Ce n'était pas le cochon d'Inde, d'après le visage paniqué d'Eddie mais autre chose qu'ils ne préféraient même pas imaginer.

Richie leva sa main puis posa son index contre ses lèvres en signe de silence pour Eddie qui commençait lentement à suffoquer à cause du stress. Pour une fois, il espérait sincèrement que c'était la mère d'Eddie qui voulait leur faire une blague pour les punir à cause du bruit qu'ils faisaient depuis tout à l'heure. Sauf que la porte de la chambre ne s'était pas ouverte. A leur plus grande horreur.

Les clochettes retentirent une fois de plus mais encore plus proche d'eux, juste dans le coin droit de la pièce. La lampe de poche maintenue entre les deux garçons grésilla puis finit par s'éteindre par inadvertance sans aucune raison apparente.

Dans le noir profond de la chambre, seules leurs respirations bruyantes pouvaient être entendues. C'était le calme avant la tempête. Sortant enfin de son état second, Eddie se précipita ensuite pour rallumer la lampe d'une pression sur le gros bouton. Il appuya frénétiquement dessus, baignant ainsi la tente dans la lumière.

«PUTAIN DE MERDE !» Hurla Richie en tombant à la renverse quand il vit le clown tueur souriant assis en tailleur au milieu du tipi.

Subitement, la créature effrayante perdit son petit sourire amusé. Mais avant que l'un des deux garçons ne puissent faire le moindre mouvement il attrapa hâtivement Eddie puis le tira avec lui par les jambes vers le dessous du lit. Richie prit de justesse les poignets d'Eddie avant qu'il ne disparaisse sous le lit avec le clown tueur et tira de toutes ses forces dans le sens inverse, les deux criants de terreur.

«Voilà le retour du clown stalkeur possessif et amoureux !» Cria encore et encore Richie en tirant son ami en panique. Les ongles de Pennywise s'enfoncèrent dans la chair des mollets du gamin asthmatique avant qu'il ne laissa sortir un rire machiavélique à la peur qu'éprouvaient les deux gosses.

Délicieux.

«RICHIE ! Aide-moi !» Hurla Eddie avec effroi en regardant le visage blafard de son ami courageux. Il avait super mal à cause de la pression qu'exerçait le clown sur ses chevilles.

«Laisse filer mon garçon, ou j'te fends ton crâne épais ! Je l'jure par Jai-sus ! Lâche-le tout de suite, bâtard, ou tu auras ton propre cul pour déjeuner !» Récita Richie sans vraiment y réfléchir à deux fois. C'était toute cette fichue mascarade qui lui foutait une trouille monstre qui lui faisait dire des âneries pareilles !

A la surprise des deux garçons, Pennywise relâcha Eddie pour disparaitre sous le lit.

Les deux adolescents se regardèrent stupidement sans rien dire, leurs souffles effrénés, puis ne perdirent pas une seule seconde de plus pour courir à la porte de la chambre sans un dernier regard en arrière. Car ils avaient bien trop peur d'y voir quelque chose voyons ! Ils descendirent les marches de l'escalier deux par deux en hurlant jusqu'à atteindre la chambre de la mère d'Eddie qui par chance n'était pas fermée à double tour.

Le clown regarda les deux enfants s'enfuir du dessous du lit, les yeux jaunes brillants dans la noirceur.

A suivre ...

Merci pour la lecture ! Merci pour les votes et les commentaires toujours aussi encourageants !

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Défis Ça 9 :

ODemonkillO -> Placement des mots Globulusse et Patate pourrie.

Dj83 -> Pennywise et Barry s'embrassent de manière totalement involontaire pour leur plus grand malheur + ajout de «Jésouille» ainsi que cette phrase ; «Laisse filer, mon garçon, ou j'te fends ton crâne épais ! Je l'jure par Jai-sus ! Lâche-le tout de suite, bâtard, ou tu auras ton propre cul pour déjeuner !»

PlumesBlanches -> Pennywise qui se déguise en licorne et fait un arc-en-ciel.

Ladydiana666 -> Quelqu'un qui balance ; «Voilà le retour du clown tueur stalkeur possessif et amoureux !»

RukoYoru -> Emily qui glisse sur le carrelage de sa salle de bain et tombe en arrière dans Pennywise.

A bientôt, VP

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