Chapitre 25
La jeune femme se tourna et aperçu la salle qui contenait les outils informatiques.
L'homme commença à avancer avec elle mais une fois arrivés devant la porte de cette salle, elle s'appuya contre l'encadrement et simula une toux.
Elle cacha sa tête derrière le mur et alors que l'homme détournait le regard de peur et de dégoût qu'elle vomisse, elle allongea son bras et prit 5 traceurs avant de les cacher dans sa poche.
Toit en continuant de tousser, elle se mot à avancer dans le couloir avec l'homme qui l'accompagnait. Elle se rendit aux toilettes et y resta 2 minutes sans rien n'y faire.
Sur le chemin du retour, elle ne cessa de stresser. Ne se doutant de rien, l'homme ouvra la porte à clé avant que la jeune femme ne le pousse de toute ses forces à l'intérieur.
Le garde de retrouva au sol maintenu par plusieurs victimes dont l'un qui lui fit perdre connaissance en le frappant avec une chaise à l'arrière de la tête.
- Ça deviens dangereux on devrait se dépêcher de faire fuir les enfants. dit un homme
- Je dois d'abord relever les numéros des traceurs. dit Zélya. Je vais aller chercher une feuille et un stylo dans la salle d'à côté. Vous bougez pas.
Elle s'en alla chercher le matériel nécessaire et releva tout les numéros avant de placer les traceurs sur les enfants. Leur parent leur dirent au revoir une dernière fois avant de les faire fuir par la fenêtre.
- Mariem on a pas le temps lâches la. dit elle en voyant que la femme ne voulait pas lâcher sa fille.
- Je peux pas...on n'a jamais été séparés...
- On a pas le choix c'est ça ou ils prennent le risque de mourir ici.
Un homme lui prit l'enfant des bras avec un regard désolé avant de la faire sortir elle aussi.
- Ils savent quoi faire ne t'en fais pas. Ils vont s'en sortir.
- J'espère...
- Et maintenant? demanda un homme
- J'ai vu un plan du bâtiment dans le couloir. Apparement il y a une autre salle comme celle ci.
- On n'est même pas sûr de se sauver nous et tu veux qu'on prenne un autre risque en sauvant d'autre personnes? demanda une femme. D'autant plus que tu nous en avais pas parler de ça.
- Je suis d'accord. dit une autre femme
- Si vous êtes pas d'accord c'est votre soucis. Vous pouvez rester ici si ça vous chante. dit Mariem
- Je viens de la voir cette carte alors taisez vous. On va voir le plan, on va chercher les éventuelles autres victimes et on s'en va. Mais ça ce sera possible que si vous vous taisez.
Elle les regarda rapidement tour a tour avant de tourner les talons et sortir avec silence et prudence de la salle. Les autres personnes en firent de même malgré l'incertitude et entrèrent dans la salle des outils informatiques.
- La salle est au fond du couloir et la sortie est juste en dessous. dit elle.
- Et c'est quoi les points rouges? demanda un homme
- C'est la position des gardes. dit un autre en regardant la légende marqué en dessous du plan
- Il y en a pas mal.....dit Mariem
- Oui mais on a pas d'autres solutions et puis si il y a d'autres personnes ici on a encore plus de chances de s'en sortir.
- Alors on y va. dit une femme qui, la seconde d'après, s'en alla en direction de cette fameuse salle rapidement suivie par les autres membres du groupe.
- Je n'arrive pas a comprendre comment tu fais pour être aussi calme chuchota Mariem
- Je suis morte de peur mais si on le montre ça nous fera que ralentir. On a pas d'autre choix que de se montrer courageux.
- Tu as raison. On doit a tout prix sortir d'ici vivant. J'ai un mari et une fille. J'ai besoin d'eux comme ils ont besoin de moi.
- Je le sais Mariem. Saches que si on ne retrouve pas ta fille c'est ton mari qui le fera. Et au moment ou on parle je suis certaine qu'ils nous cherchent alors on a plus qu'à tenir bon.
- Visiblement il n'y a que nous.....dit un homme en observant la pièce vide.
- Alors on doit sortir maintenant. dit elle. Vous savez quoi faire.
Ils se mirent par groupe de trois et descendirent tous ensemble d'un étage. Ils se cachèrent derrière le canapé en observant silencieusement les gardes postés devant les deux portes de sorties.
Chaque groupe se déplaça pour avoir accès aux objets posés sur les meubles alentours. Une fois armés d'objets courants mais solides, ils se regardèrent une dernière fois avant de s'élancer en silence vers les deux portes. Mais avant de faire e moindre pas, ils furent entourés d'une dizaine d'hommes armés qui ne semblaient pas le moins du monde surpris par leur présence.
- Je dois dire que vous vous en êtes bien sortis jusque là. dit un homme en costume en s'avançant vers eux. Je vous ai laisser faire les malins 10 minutes maintenant c'est terminé. C'est pourtant vraiment dommage pour vous. Vous auriez pu vous en sortir si vous n'avez pas perdu votre temps a débattre si oui ou non vous deviez aller dans l'autre salle malheureusement vide. En ce qui concerne vos enfants l'idée des traceurs était pas mal mais c'est raté.
- On a rien fait qui justifie notre présence ici. dit une femme la voix tremblante.
- Et ou sont nos enfants?! cria un homme. Qu'est ce que vous leur avez fait?!
- Je déciderai de leur sort plus tard. Ces deux la viennent avec moi. dit celui qui semblait être le chef en pointant du doigt Zélya et Mariem.
Deux des gardes se rapprochèrent et prirent les deux femmes avant de les faire sortir du bâtiment et de les faire monter dans une voiture garée devant la porte.
- Encore 5 minutes....dit Jorris a Miles et Nicolas qui tournaient en rond sur le parking
- Ils ont pas intérêt a être en retard. dit Miles avant de laisser place au silence durant les 5 minutes suivantes
- 2 secondes de retard.... dit il en regardant son téléphone avant de reporter son regard sur son ennemi qui venait d'arriver
- 2 secondes n'ont aucune valeur. dit il alors que deux de ses hommes faisaient sortir les femmes de la voiture. Je t'ai ramené celles que tu voulais mais comme tu le sais rien n'est gratuit dans ce monde. Un chèque de 50 000 euros et elles sont a toi.
- Ou est la petite?
- Elle s'est enfuit. Je n'ai plus rien a voir avec elle maintenant. J'attends le chèque.
Sans un mot, Miles sortit son arme et tua les deux gardes qui tenaient les prisonnières. Nicolas et Jorris allèrent les récupérer pour les mettre en sécurité alors leur ennemi était sous le choc.
- Je t'avais prévenu que chaque seconde de retard aurait des conséquences. Maintenant tu sais que deux secondes ont de la valeur.
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