Dimanche 17 septembre, dans une petite ville proche de Paris.

Point de vue de Laurie:

Il est huit du matin, je me lève doucement de mon lit. Je ne jète aucun coup d'oeil à mon téléphone qui dois être débordé de messages de diverses personnes, notamment de la part de Nico et de Jennifer. Mais, ce matin je me lève pour ne pas regarder vers le passé, seulement pour avancer dans le futur et tenter d'oublier les malheureux événements survenus durant le début du mois.

Cela fait maintenant plus d'une semaine que je n'ai pas couru, alors je décide de me reprendre en mais et continuer mon footing comme je le faisais avant pour reprendre une activité que j'aime. Cet effort physique me permet d'évacuer toutes émotions et j'en ai grandement besoin après ce qui c'est passé. Alors, une fois habillée d'un jogging et équipée de mon casque audio avec ma playlist adapté pour le footing je sors de chez moi reprendre cette activité laissé de coté pendant trop longtemps.

Le vent frais de cette matiné me procure un bien fou, c'est comme si j'étais à la montagne. Je respire cette oxygène sans modération. Je me sens revive, je mets un pas devant l'autre et ainsi de suite afin d'atteindre une vitesse de course adapté pour le footing.

Le paysage autour de moi ne cesse de se modifier avec le temps qui passe, les couleurs vertes disparaissent laissant place à de divers dégradés orangés dans les arbres. Les feuilles elles tombent, dénuant les arbres de leurs chaudes couvertures.

Durant ma course, je ne croise personne me permettant ainsi de savourer une certaine liberté et une paix qui semble durée eternellement, un peu comme la nature. N'ayant plus de baterie sur mon téléphone, je retire mon casque. Malgré le fait que personne ne sois dehors à cette heure, le silence ne règne pas. En effet, un chant d'oiseau mélodieux me parviens, il est si magnifique qu'on pourrait croire qu'il est irréel.

Je continue mon chemin afin de savoir d'où viens cette douce mélodie, en courant comme une folle j'arrive dans le parc avec l'étang. Je m'arrète un instant pour reprendre mon souffle et regarder autour de moi pour trouver quels oiseaux chantent cette mélodie automnale. C'est alors que je vois pleins d'oiseaux dans un immensepommier, tous les oiseaux ont de très belles couleurs. Ils sont magnifiques, comme quoi la nature peut-être clémente quand elle le veut.

Mais la beauté de ce spectacle est interrompu par l'arrivé d'un groupe dans ce parc si calme, la horde d'oiseaux s'envolent loin pour ne plus être dérangé. Je me cache instinctivement derrière un buisson, et regarde par dessus celui-ci afinde voir qui sont les personnes qui ont fait ce boucant. C'est alors que je vois le gang de Diego rejoindre un homme isolé, que je n'avais pas remarqué jusqu'ici. Je me sens un peu bête caché derrière ce buisson et si il m'avait vu?

Je doute fort car Diego et cet homme mystérieux se sers la main cependant l'individu se penche vers Deigo et lui chuchote quelque chose à son oreille. C'est alors que je vois les deux têtes se touner vers la direction où je me trouve. Mince, il y a peut-être autre chose qui les interresse. Je tourne la tête et vois personne... Merde et merde, Diego se dirige en courant vers l'endroit où je me suis cachée, et je ne peux pas m'enfuir même en courant. Le temps de chercher où j'aurait pu fuir, il se pointe devant moi avec un air furieux.

-Hey! Ca va? Demandé-je d'une petite voix.

-Salut! Oui, tu fais quoi cachée derrière ce buisson?

-Je suis à la recherche des escargots, ça ne se vois pas? Répondis-je d'un ton très ironique.

-Tu te fou de moi? Tu nous espionnais plutôt?

-Non, je me suis cachée car je ne savais  pas qui c'était quand j'ai vu ton groupe arriver... Tu vas encore me frapper?

-Mais tu es vraiment... Bien sur que non, je ne veux pas d'ennui avec Esteban, dit-il en levant les yeux au ciel.

-Oh d'accord... Et que veux-tu? Parce que moi, je voudrai rentrée.

-Tu vas venir te présenter à mon ami et tu pourras partir par la suite.

-Bien, je te suis mais ça dois être rapide, parce que je n'ai pas toute la journée, dis-je pressée.

-D'accord mademoiselle, rigole Diego.

Je me lève de ma cachette, car oui, j'étais toujours assise par terre sur l'herbe. Je suis Diego vers l'homme qui m'a dénnoncé. Une fois arrrivé devant l'homme, je le dévisage et reconnais qui est cette personne, que je pensais avoir laissé dans mon passé mais il est là devant moi à mon plus grand regret.

-Que fais-tu ici?!

-Je suis venu rendre visite à des amis ainsi que ton père, ma belle, mais celui-ci semble me fuir comme la peste. Tu ne me fais pas la bise voyons, on est entre amis, non? Il s'approche mais je le repousse fermement.

-Vous vous connaisez? Demande Diego choqué.

-Oui, malheuresement, dis-je. Mais tu veux quoi à la fin Arthur, je n'ai rien pour toi.

-Je veux tout simplement parler à ton père qui me dois encore de l'argent! A moins qu'il ai tout dépensé dans sa nouvelle baraque, qui est très belle... Car, oui, je sais où tu vis, princesse. A ta place je ferais attention! Puisque tu es là, transmet lui cette lettre de ma part, en espérant qu'il règle son solde en temps et en heure.

-D'accord. Je prends la lettre qu'il me tends et lui arrache des mains puisqu'il ne semble pas vouloir la lacher.

-Tu es sérieux Arthur, je croyais c'étais pour me voir.

-Mais oui, maintenant tu peut y aller ma belle coquine, dit Arthur d'un ton sensuel.

-Va te faire voir connard, et ne viens pas jusqu'à chez moi!

Une fois ces paroles dites, je retourne chez moi. Ce n'est pas la matiné que je m'imaginais, mais j'ai quand même réussi à faire mon footing, certes en mode express. Une fois devant chez moi, je regarde la lettre que je tiens encore dans les mains. Que renferme t-elle?

***

Voilà , c'est la fin de ce chapitre.

J'espère qu'il vous plait.

N'hésiter pas à me donner vos avis. ;-)

Kiss ImDr95.

CHAPITRE NON CORRIGE.

1062 mots.

Désolé pour cette longue attente, je suis pas mal occupé en ce moment.