Sous le soleil brulant d'Égypte, je t'admires sous ta peau ruisselant de sueur et teinté de rouge par la chaleur.

J'observe ton corps, loin de moi, ta peau pâle exposé au soleil, sous la définition parfaite de tes muscles face à moi.

Et je regardes avec avidité tes hanches se bousculer face à moi.

Je t'observes de loin sans que tu ne me remarques.

Je te dévores du regard sans que tu ne le remarques.

Et tu marches face à moi sans que tu ne me remarques.

Et je remarques ton corps face à la chaleur impassible du désert, de tes marques écarlate sur ta peau pâle .

Ton regard face à l'horizon lointaine, j'exquises un fin sourire sur mes lèvres.

Et de mes mains tremblante je la dépose amicalement sur ton épaules, la sensation de ta peau dénudé contre ma paume, me rend intérieurement troublé .

Et mes doigts viennent trembler sur ta peau nue, je les enlèves aussitôt pour observer celle ci frissonner, et où mon cœur palpite au fond de mon âme, lorsque ton regard d'azur, vient m'interroger.

Et ne remarques tu pas l'amour que je te portes.

Ne voit tu pas ma peau brûler face à toi.

N'entends tu pas mon cœur battre à tes côtés.

Ne sens tu pas ma voix s'enrouer lorsque je te parles.

Ne remarques tu pas mes yeux briller lorsque je t'admires.

Ne ressens tu pas ma peau frissonner lorsque je frôles la tienne.

Tu ne le remarques pas, mais moi je remarques chaque expression de ton visage, je remarques chaque geste de ton corps, je remarques le ciel à l'intérieur de ton regard, je remarques le soleil au creux de ta voix, je remarques la douceur de ta peau.

Les plis sur ton visage lorsque tu ris, ton doux visage ravagé par les larmes, ta voix enragé par la colère, ton visage paisible lorsque tu dors, tes joues rosé, les fines mèches de ta chevelure.

Je pourrais compté chaque brin de tes cheveux, ô combien de fois, si tu m'offrais ton amour en échange.

Je pourrais en mourir pour permettre au monde de voir toujours ton sourire d'ange.

Je pourrai pisser dans un tuba pour que tu me remarques.

Et j'aime lorsque ton rire m'est attitré, lorsque tes lèvres s'étire pour moi, lorsque tes yeux se pose sur moi.

J'aime ta façon de penser, j'aime la façon dont ton âme s'exprime, j'aime la façon de ton regard, lorsque que je te parles.

Et je pourrais mourir pour laisser à ce monde, ton sourire.

Et je voudrais que tu remarques l'amour que je te portes, que tu vois à telle point mon cœur palpite au creux de moi.

Et je veux que tu me regardes de cette même façon que tu dévores les femmes de tes yeux, je veux sentir cette flamme sur moi.

Entendre les mots doux que tu leur chuchote, je veux que tu me regardes de cette même façon.

Remarques la flamme qui brûle au fond de moi, remarques la flamme qui t'est destiné.

Distingues mon regard lorsque je t'admires, observes mon âme brûler à tes côtés, ressens mon amour.

Remarques moi et aimes moi.

Tu ne l'aperçois pas, pourtant ceci est tellement crevant.

Toi qui c'est tant lire les femmes, pourquoi donc ne réussi tu pas à me lire ?

Les mots, les pages sont les même, pourquoi donc ne réussi tu pas à me lire ?

Remarques mon amour, remarques ma peau frissonner lorsque je frôle la tienne, regardes mon sourire lorsque tu ris.

Écoutes mon cœur lorsque je te parles, observe mon regard avide d'aimer lorsque je te dévisages.

Et je pourrais en mourir pour laisser au monde ton doux rire.

Et lorsque je te parles, ressens les vibrations de ma voix, écoutes l'écume de mes mots et ne vois tu pas que je te noie d'amour.

Toi qui ces tant lire le corps des femmes pourquoi donc ne réussi donc pas à lire le mien ?

Remarques mon rire enjoué lorsque tu me racontes une de tes blagues stupides, remarques mon sourire lorsque j'observe ton visage.

Devrais je prendre mon cœur dans ma main pour te le montrer battre ?

Devrais je me crever les yeux pour te donner mon regard ?

Devrais je m'arracher la langue pour que les mots t'atteigne ?

Devrais je donner ma vie pour que tu me remarques ?

Que devrais je faire pour que tu me remarques ? Pour que tu remarques mon âme ?

Ne vois tu pas mes actions, ne vois tu pas à telle point je t'aimes.

Remarques moi .

Je veux que tu me perçoives, Polnareff .

Que tu sentes mon cœur battre à tes côtés.

Que tu vois mes yeux te supplier de les voir.

Je veux que tu me remarque, Polnareff.

Ô que j'aimerais que tu te rende compte à quelle point je t'aime.

Que devrais je faire ?

J'ai l'impression de resté à l'échelle d'un simple ami.

Ne suis je qu'un ami pour toi ?

Une personne à qui tu te confie, tu ris, tu me parle, et où tes yeux n'exprime qu'admiration, et de respect.

Alors ne vois tu pas mes yeux crier à cette admiration, et hurler mon amour.

Je ne veux plus être ton ami, je veux briser cette limite mais je ne peux.

La peur de te perdre me ronge, et je pourrais seulement te regarder de loin, te murmurer à l'horizon, et t'aimer au loin.

Et tu ne seras qu'un ami où je t'épaulerais, ne suis je que ça à tes yeux ?

Mon regard vient il te faire de l'effet ?

Ton cœur bat il lorsqu'il me voie ?

Deviens tu nerveux quand je suis à proximité ?

Frémis tu lorsque je frôles ton épiderme ?

Ressens tu comme moi ?

Et face à tes remarques, j'en ris.

Peux tu savoir à telle point tes blagues me font chaud ?

Je ne te l'ai jamais dit, mais tes idioties illumine ton corps et fait sourire mon âme.

Je ne suis qu'un gars à cet allure sérieux et sage, je n'ai pas ton extraverti, je ne suis pas aussi souriant que toi, je ne suis pas aussi drôle que toi .

Je ne suis qu'un cartomancien piteux, je ne peux te lire, que je fais un mauvais diseur de bonne aventure.

Ne penses tu pas ? Je n'arrive même pas à te lire entre les lignes.

Tu ne mériterais sans doute pas une personne comme moi.

Je ne pourrais te combler, je suis loin d'être la personne la plus affectif, je suis loin d'être une personne avec qui tu pourrais bavarder toute la nuit.

Je serais plutôt ennuyeux pour toi.

Mais, tu me sembles si différent.

Et je voudrais me blottir contre toi pour toujours et attendre ton accent français toute la nuit et je voudrais te faire rire.

Je me sens si différent avec toi.

Si différent mais si bien, et je voudrais que tu remarques cela, que tu remarques mes efforts.

Que tu remarques à telle point je m'ouvre à toi, à telle point je suis plus bavard, que des idioties sors de mes lèvres et à telle point je me sens mieux.

Veux tu que je dises ? Tu es la seul et unique personne qui me rends ainsi.

Alors je t'en supplies, remarques moi, Polnareff, remarques mon amour.

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Cela faisait un moment que je cherchais à faire une jojo fic.

Et cela est finis pour un avpol, qui est mon ship préféré.

Ceci ne devrait pas excéder les 8
chapitres.

Et j'espère que ce premier chapitre vous plait et que le reste vous plairont. Car j'ai tellement peur que mon écriture soit désagréable à lire ou que cela ne plaise pas, de mal retranscrire les personnages, je cherche tellement à que cela soit parfait, qu'il m'a fallut longtemps avant d'oser publier ce livre.

et je viens excuser mes fautes car je le sais moi même que j'ai extrêmement de mal avec ceci.