cœur rouillé
Sous mon sang craché sur le sol.
Je me retrouve seul vide de tous sur ce lit blanc.
Tu me manques, je me sens vide sans toi, je n'ai l'impression de vivre que par nécessité.
Je ne veux vivre et pourtant je le suis, sous mon corps trucider de tous les sens.
Je me sens si seul, Iggy et Kakyoin on périt et je n'ai rien put faire.
Tous comme je n'ai rien put faire pour toi.
Je suis si inutile, j'aurais dus mourir à ta place.
Ma vie ne valait pas la tienne.
Et je frappes avec frustration ce mur de béton face à mon poing.
Qu'importe si je me pètes les phalanges, je me trouves déjà à l'hôpital.
Et je le frapperai jusqu'à que j'en sois satisfait.
Que je te détestes de m'avoir abandonner.
Que je te haïs de m'avoir laisser seul.
Mais je t'aime encore tellement.
J'ai dut mal à trouver le droit chemin sans tes précieux conseils.
Et qu'importe les larmes que j'évacue de mon corps.
Qu'importe mes cernes sous mes yeux.
Qu'importe que je perdes du poids.
J'ai perdu goût à la vie.
Plus rien m'offre envie outre que ton corps.
Mais où est il ? Ton corps, tu n'a même pas de dépouille, tu es partis sans rien me laisser.
Seul ton souvenir, de la sensation de tes lèvres, de l'écoute de tes mots, de la saveur de ta peau.
Tu es partis si soudainement, comme un voleur, que je me sens larguer.
Je ne veux continuer ainsi une vie loin de toi.
Aide moi, je t'en supplie aide moi, et reviens moi.
Je t'en supplie, Avdol, aide moi, je te veux près de moi, j'ai besoin de toi.
Où sans toi mon cœur d'argent rouille.
Et je mires depuis des lustres cette bougie sur ce chevet.
La flamme ne cesse de brûler avec vigueur sans aucune cendre, le feu disparait sans trace.
Et tu es parties sans rien me laisser, tu es partis comme lorsque je viens souffler sur cette bougie. Et me voici privé de ta chaleur.
Où la solitude me ronge.
Sans me lâcher d'une semelle, d'année en année.
Et je penses toujours à toi.
Sans jamais t'oublier.
Ronger par ta mort.
Et je pars sur les traces des flèches, sur mon visage terne et détruit par ton absence.
Ces tu à telle point j'ai maigri ?
Et mon corps ne tient plus sur mes deux jambes.
Et la vie me sépare de toi.
Et la mort te sépare de moi.
Suis je maudit ?
Je ne voulais que vivre un amour simple et passionnel avec toi.
Et me voici seul, sur un fauteuil sous le traquage d'une organisation mafieuse italienne.
Et la vie m'accepte encore dans son monde.
Un monde où je suis loin de toi, où ton touché me manque.
Où ton amour me manque, où chaque seconde je m'efforces à t'oublier sans réel succès.
Et de toute ces année rien n'est plus satisfaisant que ton touché, rien n'est plus aimant que tes lèvres, rien ne te remplaces.
Où je suis rouillé d'attendre ton retour.
Et je perds goût à la vie.
Une vie que j'aurais aimé vivre pleinement avec toi.
Une simple vie heureuse, Avdol, une vie toi et moi sur les littoraux français.
N'aurais ce pas été magnifique ?
Et tu me manque tellement.
Où je te pleure sous l'ombre d'un œil.
À fantasmer sur ton corps, pour me retrouver seul, sur ses draps, vide de ta chaleur.
Et je transporte à mois seul, le fardeau de ton passé, le poids de tes souvenirs.
La masse de ton amour.
Et j'essaye de t'oublier, de te haïr, sans espoir.
Et même face à la mort.
La vie m'offre encore c'est bras.
Mais je ne veux uniquement tes bras, Avdol, pas celle de la vie.
Et j'observe le monde sous la carapace d'une tortue, rongé par l'envie de ton âme .
Et sais tu combien de temps vie une tortue, Avdol ?!!
Plus d'une bordel centaine d'année !!
Encore des années et des années à attendre pour te retrouver.
À attendre que la mort nous réunisse.
Suis je maudit ?
Finirais je par te revoir ?
Et mon cœur ne bat qu'entre les engrenage rouillé, de ton absence.
Et malgré mes tentatives, je finis toujours par t'aimer.
Je t'en supplis aide moi à te détester, à te haïr du plus profond de mon âme, pour que je cesse de souffrir.
Et même au bord de la mort, la vie me berce de ses bras.
Où je pleure ta mort sur son épaules, sans que jamais, elle ne me permette de te revoir.
Et voir tes yeux d'ambre, me scruter, t'admirer ton sourire d'ange, sentir ta peau sous la mienne et entendre tes louages.
Cela n'est que souvenir et tu me laisse seul, mon âme vide, à l'intérieur de cette tortue.
Où je pleure tes larmes sur le bord de mes écailles.
Sans que personne ne puisse les voir.
Sans que personne ne sache à t'elle point je t'aimes.
Sans que personne ne sache à telle point tu me manques.
Où je pries chaque soir pour te rejoindre sous les étoiles, pour me délivrer de ma malédiction.
Et perché mes lèvres sur le coin de la lune, pour offrir avec fougue mon amour.
Mais seul le silence me parviens, où seul le froid glacial de la solitude ennivre mon corps .
Et chaque soir j'ai le goût mièvre de ton absence, la saveur aigre de ta mort et l'amertume de mon cœur rouillé.
Sous les souvenirs radieux de ce voyage, décapant vers les souvenirs ternes de la réalité.
Je cherche à t'oublier de tous les moyens.
Mais tu reviens sans cesse me hanter.
Et chaque soir au clair de lune, je suis seul à l'unique lueur de cet bougie.
Où je cherches à te détester à moindre moyen sans que cela ne s'aboutisse.
Je t'aimes de plus en plus chaque jour, sans que tu ne sois présent à mes côtés.
Et mon cœur se brise chaque jour, où mon esprit perd tête et où mon âme est remplis de chagrin.
Je cherche à t'aimer, je cherche à aimer ton âme errant, à aimer ton souvenir, à aimer le vide que tu me laisses.
Et à haïr ta personne, tes lèvres et tes flammes.
Mais seul mes larmes roule sur mes joues sous mes hurlements de désolation.
À crier ton nom sous la clair lune.
Sans que jamais tu me reviennes.
Alors je t'en supplie, reviens moi, je t'en supplie Avdol reviens moi.
Je ne veux vivre sans toi .
Alors de rouge et d'argent je cherches à te déposer un baiser.
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Peut être, un jour vous aurez deux chapitre bonus pour une fin heureuse si j'ai la fois, sur ceux cette fic est close.
Et où j'espère sincèrement que cela vous a plut .
Et je compte faire un Bruabba comme autre fic par la suite, cela vous plait il ?
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