La nuit tombé sur le sable, je viens à observer les étoiles briller de mille feux, observant ton visage entre les lignes célestes.

Je viens de nouveau penser à toi, comme depuis le début de ce voyage, j'observe tes fin traits sur ta peau pâle.

Tes lèvres provocatrice face à moi, j'en viens à plisser les yeux pour résister à cette tentation si grande.

Et de mon cœur de flamme, je parles dans le vide face au étoile, à ton oreille tendu, j'esquive avec difficulté la dur pensé de tes lèvres .

Et mes mots tremblent de plus en plus, et mes yeux ne voient que les tiens au centre de cet nuit.

J'observe avec avidité la couleur azur de tes prunelles, jusqu'au moindre changement de nuance à l'intérieur .

Devrais je osais m'approcher de toi dans un telle moment ?, tu ma l'ère si accessible ainsi.

Ton corps assis à quelque centimètres du miens sur le sable, ton visage à seulement quelque mètres, ou pouvons nous parler de centimètres ?

Et ton cœur semble crier à l'agonie au creux de tes yeux, ais je bien vus cela ?

Ais je bien entendus ta voix se nouer ?

Ais je bien sentis les frissons de ta peau ?

Ais je bien vue les rougeurs sur ta peau ?

Serais t'il idéale que je prennes subitement tes lèvres ?

Que je t'embrasses avec passion sous ce toit de merveille ?

Il en devient si difficile de résister, que mon cœur de flamme hurle .

Quand j'admire de fine mèche rebelle sur ton visage, tes yeux se plisser face au sommeil, et ton corps au balancement de la fatigue.

Résistes tu ainsi uniquement pour moi ?

Pour entendre mes jérémiades incessants et ridicules.

Tu me sembles si captivé par mes mots, que cela en devient charmant.

Et te voir forcer un sourire sous ta fatigue croulant en est mignon.

Et te voir chercher des arguments au fond de ton esprit, en est adorable.

Et de mon cœur de flamme, je cherche à t'aimer sous ce ciel.

Et j'admire ta ténacité avec soin et j'observe ton combat et je soutiens ta cause pour pouvoir y mirer un peu plus ton visage en retour avant le lendemain.

Pouvoir profiter de ta vue sous la nuit  paisible avant le jour mouvementé.

Profiter de ton calme avant ta tempête journalière.

Et espérer comme chaque soir une brèche pour voler tes lèvres.

Posant avec délicatesse, prudence et discrétion ma main sur la tienne, la chaleur de ma paume sur ta main froide.

Sentir des bouts des doigts la douceur de ton épiderme, qui frémis sous mes douces caresses.

Mon regard tendre sur toi, ta peau rougi sous ma plus grande satisfactions.

Tirant une mèche vers ton oreille, frôlant avec insistance ta joue, sous ton regard troublé et gêné, sous l'écarlate de ton visage.

Et tes lèvres à ma disposition, ceci m'échappes et je viens prendre de mon cœur de flamme la possession de tes lèvres charnel.

Si douce et exquise, que je ne m'arrêtais pas Polnareff .

Et je continuerais sans hésitation ce baiser sous la bienveillance des étoiles.

Dégustant avec passion le goût de tes lèvres, sans jamais m'en lasser.

Sentant ton corps à proximité du mien, à l'écoute des palpitations de mon cœur, je t'embrasse de nouveau avec fougue.

Dérobent l'arôme de tes lèvres sous la bénédiction de la lune.

Sans jamais vouloir m'arrêter, je continuerais ainsi jusqu'à l'étouffement, Polnareff, je ne laisserai pas tes lèvres être libre tant que je ne serais pas comblé de ce baiser.

Ô depuis le temps que je souhaitais ce moment.

Je ne te laisserai pas t'échapper, tes lèvres miennes.

Et je goûte chaque saveur.

Où de mon cœur de flamme je cède avec peine ce baiser, pour voir ton regard confus face à mon geste.

Aucun mot ne sors, seul le silence sous ma bouche entre ouvert sous mon pardon.

D'avoir franchis ton intimité ainsi.

Aurais je dut me retenir ?

Où sous le silence glacial, tes mains d'ange se
Pose sur les miennes, fixant avec insistance mes yeux troublé d'excuse, à l'entente de tes mots.

"Ne sois pas désolé, je souhaitais la même chose, mais tu as franchis une nouvelle fois le pas, sans que je puisse le franchir"

Tu semblais contrarier de tes paroles, sans que je ne comprenne leurs sens et tes lèvres et venus se frotter au miennes, pour uniquement me rassurer.

Sous la bonté nocturne, loin des autres.

Et de mon cœur flamboyant je t'embrasserais jusqu' au bout de la nuit, pointillant mon amour sous ce baiser.

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