A 20h furent assis des enfants sur une natte de la cours d'une grande maison formant deux rangs tenant chacun un livre coranique. Ils apprirent à haute voix en face de l' Est, attendant que leur marabout vienne pour écouter leur récit. Jusqu'au moment où Khalil se prononça.

-Nabi , j'ai le ventre qui me fait mal, je peux pas continuer! Dit il en se courbant avec le visage témoin d'effroi.

-Ah bon ? Tu ferais mieux d'aller à l'intérieur le temps que Baye Ada ( le marabout) vienne. Il te donnera un médicament.
Il le fit sans se faire prier en se levant là où Nabi se déplaça pour s'assoir sur sa place. Ce dernier fut fâcheusement bousculé par Pape Modou ( un condisciple ).  Pape Modou était du genre robuste et très bête. Il était inintelligent et oubliait à la seconde qui suit tout ce qu'il avait appris. La preuve, en durant les neufs mois que Nabi et Khalil ont passé chez eux pour l'école, Pape Modou était toujours au Dahra et n'avait parcœurisé que cinq petits versets.
-Pape Modou qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi me bouscules tu ?

Il y avait Lamine ( son frère) et Ousmane qui lui suppliaient d'arrêter ses conneries mais il continuait d'insister!

- Dégage tu vas pas t'asseoir ici! Tu seras pas le premier à réciter à l'arrivée de Baye Ada! Lui dit-il en le donnant encore un coup de coude.
Nabi ne réagit point et continua à se concentrer sur l'apprentissage de ses versets prescrits. Mais Pape Modou  dura à l'énerver.

-Arrête Pape Modou cette place ne t'appartient pas. Ne te crois pas plus fort que moi ok! Alors arrête de me chercher! Dit-il sereinement tout en fixant son livre coranique.

-Tu penses que je blague où quoi? Tu peux aller te les mettre là où tu voudras imbécile! Je peux bien niquer ta race hein ! Le hurla t'il en poussant sa tête très fort que Nabi fini par perdre équilibre et tomber jusqu'à se couvrir de tout le sable qui était à côté!
C'est alors que Nabi eut perdu le sang froid et se jeta fâcheusement sur lui avec de violents coups forts et rapides aussi blessants qui ne laissaient nullement à Pape Modou le temps de réfléchir. Ils continuèrent de s'échanger des coups mais ceux de Pape Modou furent toujours en vain d'autant plus qu'il prit toujours du recule. Il finit par être blessé mais Nabi voulait toujours faire couler le sang. Jusqu'à moment où Ousmane et Lamine vinrent tenir ses deux mains.

- Hayyyy! Hayyyy! Katt lén ndem bayima mongui may mattt aaayyyyy ( hay, putain il est entrain lâcher moi il est en train de me mordre).
Pape Modou n' aménagea aucune pitié en mordant la poitrine de Nabi! Il le mordit aussi fort que ses mâchoires parurent à celui d'un gros chien de race. Mais Nabi fit recours à ses coups de genoux à la poitrine qui permit Pape Modou d' arrêter. Mais non, c'était juste la poitrine. Il sauta encore sur son épaule gauche avec une morsure très violante.
- putaaaiinnn ! C'est juste moi que vous tenez ? Laissez moi je dis !
C'est en ce moment que Nabi lui cogna la tête et mît un coup de pied aux genoux de son frère qui lui tenait sans relâche. Ce dernier finit par le laisser. Il enroula juste son autre main pour tordre celui de Ousmane pour s'en sortir. Et c'est là qu'il finit par se libérer en continuant la bagarre. Il finit par être très téméraire face à lui jusqu'à le mettre à terre. Mais arrêta après avoir entendu une voix qui ne fut pas comme les autres.

- Hey! Nabi arrêtes, tu veux le tuer où quoi ? Ce fut celui d'un voisin qui vivait à proximité (tonton Souley).

A 23h Nabi et Khalil furent allongés dans le même lit!
- Nabi! Pourquoi hurlais tu au moment où il te mordait la poitrine ? Hahah

- Si tu savais comme ça peut-être difficile de recevoir une morsure ! En plus n'oublie pas sa taille, il est comme un hippopotame!

- Oh tay diambar youkhou na deh mdrrr! ( Oh ! Aujourd'hui le guerrier a crié! )

- Arrête de te moquer à chaque fois qu'on te casse la gueule ici je prends ta défense! Maintenant je souffre de cette morsure tu te fiches de moi! En plus ce qui me fais mal est que j'étais le seul à être retenu. On essaiera de voir comment ça finira.

- Bah c'est fini ! Sinon Baye Ada risquera de vous punir sévèrement !

- J'ai pas peur de lui figure toi ! Et Pape Modou va me le payer pour cette blessure !

- ça ne t'a pas suffit ce que tu lui fais ? Tu as été très violant avec lui!

- Laisse moi dormir !
Nabi ne dormit aucunement la nuit à cause de la rage qui fut en lui.
A 4h du matin, ils furent réveillés par Baye Ada pour balayer la mosquée. Ils le firent et furent la prière du Fadjr pour ensuite reprendre les livres coraniques. Après le petit-déjeuner, Nabi trouva Pape Modou derrière le mur de la maison où il lavait une moquette pour la mère du marabout !
-Hey Pape Modou nous voici seul à seul maintenant ! Tu parles, je baise ta mère ! Imbécile !
Soudain la mère du marabout arriva !

- Nabi laisse le toi aussi. Cette histoire est fini depuis hier!

- Non grand mère ! Il m'a mordu et il doit payer pour ça !

-Ne le touche surtout pas ! Il travail pour moi en ce moment !

-Hum! Toundem dangay har yaw khamoma sakh( ctu devrais attendre pour comprendre qui je suis)

- Quoi?

Pape Modou ne fit aucun geste !
Naby retourna et entra dans la maison pour lui intercepter après avoir fini.

- Hey, craintif ! Me revoilà fils de pute! Tu penses que je te laisserai aussi facilement t' en sortir ?
Pape Modou, fut parti chercher recours sur Diarra, la femme du marabout !

-Nabi mais pourquoi tu es si têtu ?

-Je veux juste lui donner une chance!

-Comment ça ?

-Il m' a provoqué et m'a poussé hier croyant qu'il peut me battre en plus tu vois ses traces de morsures sur mon corps ?  Dit-il en s'approchant lentement d'eux !

-Stop n'avance pas! Tu sors d'ici !

Nabi fit des pas en reculant et rétorqua avec une grande colère!

- Si tu veux oui! C'est ton territoire ok! Mais considère que dès qu'il auras franchit cette porte, sa mère est...........

- Bon sang! Il est culotté ce goss! En plus tu insultes devant moi? Là c'est trop nous attendrons Baye Ada.

- Nabi les regarda des yeux très répugnants avec un sourire odieux et s'en alla à la mosquée pour apprendre.
Avec une considérable concentration, il sentit un pied qui touchait le tee-shirts blanc qu'il avait porté. Il ne pris aucune peine de se retourner mais de juste déplacer le pied. A la deuxième fois, il se retourna et averti celui qui voulait tâcher ses habits:

- tu te vois pas être entrain de me salir la?
Le jeune homme le fixait juste sans aucune réponse.
Nabi se concentra à nouveau mais fini par être piétiné. Il prend quelques secondes avant de se retourner pour lui flanquer une grosse gifle du revers de la main que même ceux qui étaient dehors pouvaient entendre. Son impact manifestait une sonorité assez gigantesque que celui qui l'avait reçu était cloué, il était très assez surpris et ses yeux fixés sur Nabi témoignèrent une frousse extravagante. Tandis que tout le monde eut l'œil braqué sur eux ! Tout devint subitement décontracté!

- Damay Deug sa Nday deh ! Dangay dofdoflou ? ( Je vais te tuer! Tu fais le fou ? )
L'autre n'arrivait toujours pas à s'en remettre ! C'est ainsi qu'un autre du nom de Samba fut venu prendre sa défense !
- Hey pourquoi le frappes tu? Pour ton pauvre teeshirt sans valeur là ? Tu penses venir de Dakar pour faire le play-boy ici alors que vous êtes toujours des tapettes!

- Oh oui! C'est ton père qui a acheté mes habits ? C'est ta mère qui les lave ? Tu ferais mieux de te foutre de tes oignons sinon tu verras que le vrai sens du mot tapette te revient.

-Va te faire foutre je suis plus fort que toi ! Dit-il en courant l' attaquer mais ils furent retenus par les autres. Après que la situation fut calmée par un responsable du dahra qui était là-bas. Samba et Nabi se promirent l'enfer par de bas paroles et se fixant l'un de l'autre.
A 12h , juste après l'avale du responsable qui permettait la descente, Samba précipita pour se lever et couru l'attaquer mais Nabi resta toujours à terre daignant de ne l'avoir pas vu. Il le laissa approcher en toute vitesse et profita de l'occasion pour mettre sa main entre les jambes de Samba pour ensuite cogner son avant bras dans son sexe. Ce dernier poussa un cri et Nabi le souleva pour le projeter loin de lui, heureusement qu'il eut été capté par les autres.
A 17h , Baye Ada convoqua Nabi et Pape Modou dans une pièce monstrueusement sombre et avec une croix de voiture assez lourde destinée à ceux qui commettaient le bordel.
Il tint la croix par ses épaules !

-vous deux! Pour qui vous vous prenez ? Pourquoi ne cessez pas de vous battre en semant le bordel ici?

-C' est lui qui m'a provoqué !

- Non arrête de mentir, c'est toi qui m'a cherché !

Taisez-vous aujourd'hui vous allez bien voir que ça n'en valait pas la peine. Vous n'aurez plus à vous battre quand j'aurai fini de vous tabasser.

- sniff! Ayy Baye Ada balma dotoumako défati ( Baye Ada pardonne moi je vais plus le refaire).  Dit Pape Modou en pleurant! Il était bien conscient que ça pourrait ne pas être facile.

- Hahaha! Oh ma mère ! Mdrrr ! Haaaaaa ......

Nabi oses-tu rire ? Dit Baye Ada

- pff désolé ! Cela ne se reproduira pas! Lol
Il eut pitié envers les petits et les demanda de sortir prendre place dans la cour pour un peu de palabre.

-Pourquoi des frères musulmans comme vous ne cessez jamais d'avoir des altercations ? Je ne peux pas concevoir que vous priez et apprenez le coran chaque jour sans pour autant qu'il n'existe des onces de tolérances et de compassion entre vous. Et toi Nabi, je viens même de croiser la mère de Samba qui portait plainte et pourtant tu as été baptisé au nom du PROPHÈTE MOUHAMMAD (psl). Il était de ses plus grandes vertus, la tolérance. Un jour ou l'autre nous quitterons ce bas monde en vous laissant ici et il sera de votre bonne entente à pouvoir donner le bon exemple pour les générations futures. Aimez-vous et faites que rien ne vous sépare.

- La vengeance saurait elle exister si personne ne portait atteinte à son prochain ?

- Nabi enlève toi ça de ta tête ! Tu peux pécher chaque jour qui passe et pourtant Dieu te le pardonne. Alors pourquoi pas toi envers ton prochain ?

-Bah, parce que je ne suis pas Dieu, encore moins mon homonyme . Et il est le plus clément de tout, c'est simple. Et même si je commets des péchés, je me repentis. Certes parfois je fais des actes contradictoires à la morale mais je fais de mon mieux pour ne pas provoquer et vexer mon prochain.
Baye Ada émit un petit sourire et hocha la tête.
- Ah mon enfant ! Tout ce que tu as dis est vrai mais la violence ne se soigne pas par la violence. Nous avons ces êtres suprêmes pour prendre exemple sur eux et cela fait partie des plus grandes œuvres de la force de notre religion.

- Hum ! Oui mais les natures diffèrent aussi. Il y'a toujours quelque chose d'autre après chaque chose: le mal et le bien , les bons et les mauvais ..... mais je compte rester comme je suis. Toutefois je vais essayer sans rien promettre.

- C' est moi qui conditionne ici ok! Plus de bêtises ! Assez compliqué pour ton âge.

Une semaine avant la fin des vacances !

Khalil et Nabi furent en préparation pour rentrer avec leur grand-mère qui eut venu quelques jours après eux. C'est la présence de Grand-mère Seynabou qui donnait l'ambiance et l'harmonie des vacances. Elle gâtait bien ses petits enfants au point qu'ils ne manquent de rien et était très instructive en retour. Elle était plus qu'un amour car son désir était la paix. Elle prenait du plaisir d'aller en vacances avec eux avec à Pire ( après Tivaoune) pour contempler son village natal et d'enraciner ses petits enfants.
Tout allait bien jusqu'à la veille de leur rentrée à Dakar.

-Mouhamadou Lamine ( avait-elle souvent l'habitude d'appeler Nabi) , khalil , venez ici mes amours.
Ils coururent vers elle hâtivement.

- Mame tay danga nice sakh lol...  ( Oh ma grand-mère est belle aujourd'hui) dit Nabi.

- Mame a toujours été belle... Répliqua khalil

Elle se mit à les regarder passionnément avec son magnifique sourire de reine. Grand-mère, dans sa jeunesse était même traité de djinn par les jaloux car pour eux une femme normale ne peut pas être aussi belle qu'elle était. Elle était belle et radieuse avec un teint plus éclatant que le caramel et ses dents toujours blanches et rides malgré son âge. Elle était du genre à attirer l'attention sans faire exprès.

- Mdrrr.... Grand-mère a pris de l'âge maintenant c'est fini la beauté. En fait, j'ai eu à parler avec Baye Ada pour qu'il vous rase tous les deux à l'occasion de votre rentrée. 

- Grand-mère, il ne sait pas rasé. Moi je préfère aller chez le coiffeur à côté du marché. Dit-khalil

- Il ne sait faire que des boules à zéro, rien de plus ! Dit-Nabi

- Écoutez ! Dans les adorations de notre coutume, le boule à zéro est sollicité pour un disciple coranique et ça vous ira bien parce que vous êtes tous mignons.  Se sera un honneur pour vous que les personnes vous voient rasés de la sorte.  Allez-y après la descente il vous rasera.

- Mdr! Arrête grand mère toi aussi à chacun sa tête! Donne nous juste l'argent du coiffeur.
Grand mère leur laissa  s'en aller en leur donnant 300f chacun.

- Allô Baye Ada !

- Les enfants sont passés chez le coiffeur après avoir refusé que tu leur rases! Tu sais ce que tu dois faire à leur arrivée chez toi. ( Watal malén ndel bou seett wéth) « fait leur de claires boules à zéro »

Vers 18h après s'être bien coiffé jusqu'à mettre quelques traits dans leurs têtes. Ils partirent trouver Baye Ada qui eut aménagé un grand fil pour raser ses disciples tête par tête. Ils s'installèrent et entretinrent leur discussion sans savoir que ce qui se cache derrière les rideaux. Baye Ada finit avec eux et appela khalil.
-Quoi ? Je me suis déjà rasé !

-Khalil , approche!
Khalil vint hâtivement avec une tristesse qui montrait assez de frayeur. Il était du genre complexé, un fils de médecin assez riche et casanier contrairement à son cousin Nabi, le banlieusard qui est né révolutionnaire. Il venaient chaque vacances au dahra ( école coranique) de leur village.
Après une bonne période assez sombre pour khalil, Nabi et le marabout se regardèrent comme dans un duel de lion contre un guépard. Nabi fait comme s'il ne comprenait pas quand le marabout lui fixer pour ensuite lui montrer le banc où il doit s'asseoir pour se raser. Naby le quitta pas des yeux !

- Hey !  - Hey Nabi! Inutile de me regarder à tes yeux de lard  là. Suis pas ton égal c'est pas moi que tu effrayeras. 

- Quoi?

-Assieds-toi ici ne me fais pas perdre du temps !

-Pourquoi devrais-je m'assoir ici?

- Je vais pas me faire répéter !

-Hum ! Tchip !

-Naby ?

- Bah ça va j'arrive ho c'est bon!
Il prit presque deux minutes juste pour marcher et s'assoir sur le banc à deux mètres de sa position. Mais Baye fut patience tout en sachant qu'il se rasera. Nabi finit par prendre la place. Il pencha sa tête vers le bas au moment où le marabout mit de l'eau et du savon sur sa tête.
- Nabi laisse ma main !
Il devint sans solution et obéi. Baye Ada avait envie de rire mais ne su comment faire face à lui. Ce fut  le moment que Nabi se sentit très dominé. Il avait toujours la tête penché en bas sans pour autant bouger. C'est dans ces moments qu'il su qu'il était loin de sa propre demeure où on lui forçait rien. Le maître finit par le raser un très éclatant ndel, il fit des tours avec ses doigts sur le ndel, il écrit quelques mots arabes sur le ndel, il caressa le ndel , il cracha sur le ndel et tapa trois fois le ndel. Ce fut là que Nabi devint chamboulé intérieurement en s'esclaffa de larmes. Baye Ada lui donna le miroir et Nabi se sentît insulté en voyant sa grosse tête toute vide devant tout ça ! Son ingéniosité l'a permis de se méfier des yeux des passants. Il eut juste enlevé l'autre culotte qu'il eut porté pour l'attacher dans sa tête. A l'arrivée, il fut accueilli par sa grand mère qui se moquait de lui. Il finit par comprendre.

- Mouhammadou Lamine tu es de retour? Oh mon mari d'amour ! Mais viens ici qu'est-ce que tu as mis sur ta tête ?

- Décidément ! Tu n'as pas raté ton coup. C'est ma culotte !

- Comment ça une culotte sur ta tête ? Tu es fou où quoi enlève cette saleté sur  ta tête !
Naby , sur les nerfs, arracha fâcheusement la culotte et s'approcha d'elle en lui montrant !

- Un ndel? C'est ça que tu voulais ? Maintenant tu l'as ! Qu'est-ce que tu y gagnes ?
Sa grand mère ne pu se retenir de rire en touchant à sa tête aussi doux qu'un tissu de  velours!

-Hahahaaa, Hèèè, mdr ! Way way Sakho illimane sa ndell bi rafetna té sell na !!! Laaaay kone yaw ni laleu ndel diapé ? Yangui rafet ni....!!! ( mdr ! Sakho Illimane ton boule à zéro est si jolie et si propre! Ça te va autant que ça ?  Oh mon beau )
Nabi se retourna et courut vers la chambre.
Sachons que nous sommes plus forts que tout ce que nous avons une fois eu à résister.  Toute charge forcée que tu refuseras est inférieure à tes capacités . Au cas contraire, tu seras forcément obligé de te soumettre où de subir d'éventuelles conséquences. C'est une loi dans cette vie. Combien de personnes ont fini par revenir à leurs décisions ? Combien sont-ils à être obligés d'assumer improprement leurs faits ? Chaque endroit impose ses normes de vie. N'oublions surtout pas que pour se révolter, il faut être sûr d'être sous sa propre responsabilité, être capables d'avancer par toi-même. Notons aussi que certaines personnes ont le sang des révolutionnaires dans leurs veines. Quelque soit la délicatesse de la situation, ils accepteront de perdre certaines combats de la vie mais jamais les batailles de l'expérience.

Oups! Je vous présente Nabi! Je préfère vous le laisser découvrir dans les passages du futur!