❥ XI - Rituel parisien
HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISES D'IDÉES SANS EN INFORMER L'AUTEURE, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI (articles L335-2 et L335-3 du Code de la propriété intellectuelle : trois ans d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende). Les quelques fautes que vous rencontrerez sont laissées exprès pour éviter toute reproduction copiée/collée⚠️
* * * * * *
La quinzaine de la fille du démon...
- - - - - PDV Sakura - - - - -
Je me laisse tomber sur son torse, à bout de souffle. J'ai carrément des crampes aux cuisses ! Ma poitrine se lève et s'abaisse rapidement, j'ai fait mon cardio pour la semaine ! Je sens soudainement la pulpe de ses doigts glisser sur mes épaules et je me redresse net, manquant de lui torde la queue en deux puisqu'il est encore en moi.
Jio : - Bordel, Sakura !
Sakura : - Pas de câlins, je t'ai dit, putain !
Jio : - C'est bon hein, c'est pas comme si c'était la première fois que je te baisais... Ca fait quoi, deux ans que je suis ton plan cul ?
Sakura : - Trois ans. Et justement, plan cul, pas couple. Alors détends-toi !
Jio : - J'ai pris ta virginité, tu pourrais un minimum me laisser faire ce que je veux !
Sakura : - Tu fais déjà suffisamment !
J'entends soudainement un fracas assourdissant près de ma porte d'entrée. J'ai tout juste le temps d'attraper le drap pour me couvrir que je vois mon père débouler dans la pièce. Notre nouvelle villa à Paris est géniale, mais elle aurait été bien mieux avec verrous. Pour une nana de bientôt seize ans, j'ai besoin de mon intimité !
Papa : - T'entends pas quand je t'appelle, putain ?!
Il se fige soudainement lorsqu'il aperçoit Jio dans mon lit.
Jio : - Oh putain, j'suis mort !
Papa : - J'te le fais pas dire ! Vous avez pas compris quoi dans "aucune de vous ne toucher mi hija" ?!
Sa voix froide résonne et fait presque trembler les murs. Je peste en me levant, serrant mon drap autour de moi.
Sakura : - J'ai plus cinq ans, papa. Je fais ce que je veux !
Papa : - Pas sous mon toit ! Pas avec mes gars ! C'est l'heure de ton entraînement, tu fous quoi là ?!
Sakura : - J'arrive, il suffisait d'être patient, Jio allait justement me montrer...
Papa : - Quoi, comment sucer ou comment baiser ? Ouais, là je comprends maintenant pourquoi vous entendiez rien !
Sakura : - Tu as fait insonoriser les murs, tu l'as oublié ?
Ses yeux lancent radicalement des éclairs. Je serais carbonisée sur place s'il avait recours à la magie ! Il comble la distance entre nous, sa main vient fermement agripper mes cheveux. Je retiens un râle de douleur, j'ai appris à ne plus lui montrer ma souffrance. Mes doigts sont serrés sur le drap pour ne pas qu'il tombe, je vois bien qu'il y a des mecs des Dagger Rose sur le seuil de porte. Le démon se déplace toujours avec ses toutous bien apprivoisés.
Papa : - Je t'ai laissé croire que j'étais en train de faire de l'humour, là ? Ca fait des mois, des années, qu'à quatorze heures tapante, tu dois être en tenue de sport, au gymnase. Au final je te retrouve à poil, en train de baiser un de mes gars. Je savais pas que j'avais élevé une salope.
Sakura : - Je fais ce que je veux de mon cul. J'ai plus peur de toi, papa. Va falloir que tu te mettes ça dans la tête. Je te respecte, mais laisse-moi vivre tranquillement.
Papa : - Tu veux que je te foute la paix, hein ?
Sakura : - Exactement.
Papa : - Puisque les coups ne te rendent plus dociles, je testerais autre chose maintenant pour t'humilier.
Il me relâche comme s'il s'était brûlé, avant de siffler ses gars. Trois montagnes de muscles avancent dans la pièce. Trèn, Nico et Quarit. Je connais tout le monde, à force.
Papa : - Vous avez carte blanche, les gars. Mais vous la violez pas, le premier qui met sa queue en contact avec mi hija se prendra une balle en pleine tête.
Je fronce les sourcils. Il se fout de moi, là ?
Sakura : - T'es pas sérieux, là ?
Papa : - Tu vas apprendre à m'obéir continuellement. Quoique, toi, vu qu'elle t'a choisit, tu peux la baiser.
Je tourne la tête vers Jio qui arbore un sourire en coin malsain, chose que je n'apprécie guère. Je reporte mon attention sur mon père qui s'échappe de la pièce presque en courant. Je me fais détailler de toute ma hauteur par trois paires d'yeux.
Quarit : - Lâche le drap.
Sakura : - Vous pouvez aller vous faire foutre ! Le premier qui me touche, je le castre !
Trèn : - On a l'accord du démon, on va pas se priver !
Ils détachent en rythme leur ceinture et se déleste de leur froc. Leur queue respective est immédiatement frictionnée dans leur main et je recule d'instinct. Mon corps tape contre celui de Jio qui s'est levé bien rapidement. Il attrape fermement mes poignets qu'il lève, mes doigts lâchant aussitôt la seule barrière de tissu qui m'empêchait d'être nue. Là, je suis totalement vulnérable !
Sakura : - Espèce de fils de pute !
Jio : - Du calme, ils vont juste regarder, t'as entendu ton père... On peut continuer à faire ce qu'on faisait...
Sakura : - Je suis certainement pas adepte du sexe en public ! Dégage !
Je gigote comme je peux, tel un ver pris en toile. Les yeux des vautours devant moi se délectent de ma poitrine qui bouge au gré de mes mouvements.
Nico : - Tes seins sont magnifiques... Ronds, et certainement fermes.
Il approche, me faisant grogner comme un animal. Il se penche pour venir aspirer l'un de mes tétons entre ses lèvres, m'arrachant un cri.
Sakura : - DÉGAGE !
Jio : - Shhh... T'as entendu le démon comme nous... Leur queue doit pas te toucher... Mais en ce qui concerne leurs doigts ou leur langue... Ils peuvent faire comme bon leur semble...
Sakura : - Il a dit non au viol, je suis pas d'accord, donc c'en est un PUTAIN !!!
La bouche de Jio glisse sur mon lobe qu'il mordille. Il y a quelques minutes, ça m'excitait, là ça me dégoûte !
Sakura : - Je te jure que je vais...
Jio : - Profite juste...
Sa queue durcit plus fort contre mes fesses, Trèn venant s'occuper de mon autre sein de la même façon que son collègue. Je me débats toujours autant, mais j'ai l'impression que mon traître de corps ne répond plus de rien ! Je n'aperçois plus Quarit, jusqu'à ce que je comprenne où il se trouve quand une langue visqueuse passe le long de ma fente.
Sakura : - FOUTEZ-MOI LA PAIX !
Jio : - Détends-toi...
Quarit : - Écarte les cuisses.
Sakura : - Va te faire foutre !!!
Jio : - Sois docile, Saku, tu risques d'avoir mal sinon...
Il rassemble tout à coup mes poignets dans une seule de ses mains, l'autre venant s'enrouler autour de ma taille pour me soulever. Les langues des deux autres sur mes seins me font trembler, j'ai beau dire non, beau lutter, mes hormones font tout le reste. Le plaisir est en train de m'assaillir ! Et vu le gémissement qui m'échappe, je fais grogner les quatre hommes autour de moi en harmonie. Me voilà réceptive à leurs caresses, putain !
Jio : - Tu vois... Je vais te lâcher, reste sage...
La pression sur mes bras se relâche et ces derniers tombent le long de mon corps qui bascule d'instinct en arrière. Les paumes de Jio viennent écarter mes cuisses, offrant une vue parfaite directement sur ma féminité à Quarit. Ce pervers fonce sur moi pour dévorer ma cyprine s'étant échappée entre mes lèvres intimes. Sa langue tournoie autour de ma vulve sans la moindre douceur, alors que le membre gorgé de sang de Jio glisse entre mes fesses.
Jio : - Détendez-la, les gars...
Trèn : - C'est prévu...
Des pressions sur mes tétons me font comprendre que les dents se sont mêlées au langue. Sans oublier les deux phalanges que je sens dans mon vagin et qui m'arrachent un hurlement.
Sakura : - PUTAIN !
Cette diversion étant faite, Jio prend ça pour une invitation et presse son gland contre mon anus. Je me tends aussitôt en sentant qu'il prend ce chemin-là.
Sakura : - Certainement pas !!!
Jio : - Tu vas apprécier, tu dois juste te détendre, Saku...
Quarit : - T'es déjà ben trempée, t'es excitée comme ma possible !
Des mouvements de va-et-vient sont réalisés avec ferveur entre mes chairs humides, alors que le membre de l'idiot derrière moi s'insère en moi sans plus de cérémonie. Des bouches sur mes seins, une langue et des doigts au niveau de ma féminité, une queue entre mes fesses... La vache, je prends cher de partout, et le pire, c'est que ça commence à me plaire ! Quel genre de salope je fais, là ?!
Mes yeux s'humidifient alors que je ne suis plus maître de moi-même. Je laisse les mecs poursuivre leurs caresses et la voix qui s'échappe de ma cage thoracique n'est aucunement contrôlée.
Sakura : - Plus fort !
Je les entends ricaner, tandis que Jio n'est plus doux dans la seconde qui suit. Mes fesses claquent lourdement contre son bassin, son membre m'emplit grandement. Je tremble tellement que je sens plus rien d'autre. Une vague de chaleur monte progressivement en moi, les râles des garçons s'intensifient d'autant plus.
Trèn : - Putain, elle est tellement bandante !
Quarit : - C'est clair, je vais plus tenir longtemps !
Jio : - Mon non plus !
Et pareil pour moi ! Mon corps se tend en arrière au moment où l'orgasme me ravage pleinement, mon hurlement strident résonne dans la chambre.
Sakura : - PUTAIN OUII !
Mes larmes roulent en même temps que je sens une chaleur entre mes fesses, la veine de Jio palpite nerveusement en moi. Son torse s'abaisse et se lève fortement dans mon dos, alors que j'entends perceptiblement les grognements des trois autres.
Trèn : - Baisse-la !
Jio se retire vivement de moi, cette fois m'arrachant un râle de douleur. Il m'a fait mal, là, cet abruti ! Mon cul endolori est posé sur la moquette, les doigts de Quarti me quittent ainsi que sa langue. Sans oublier les bouches sur mes seins qui en redemandent ! Je lève mon visage maculé de larmes vers le plafond, faisant soudainement face à trois queues en train d'être branlées. Je n'ai pas le temps de réagir que je me prends une giclée de sperme, puis deux, et une troisième. J'ai juste pu fermer les yeux, retenant une nausée lorsque je sens les semences chaudes sur mes joues, mon front, mes lèvres, mes cheveux. Ma bouche se met à trembler sous les sanglots qui m'assaillent et les gouttes d'eau s'échappant de mes yeux roulent plus en abondance sur mes pommettes.
Nico : - Continue à désobéir à ton père, on va adorer ce genre de punitions !
Sakura : - Dégagez...
Je les fais rire en chœur, alors que ma rage prend le dessus sur la tristesse qui m'étreint le peu de cœur qu'il me reste.
Sakura : - Je vais vous couper la bite, à tous les quatre...
Trèn : - T'es pas très crédible avec tout ce sperme sur le visage... Mais on a du boulot, maintenant qu'on s'est vidés on peut aller bosser requinqués !
Et nouveaux éclats de rire. Bande de connards ! J'entends leurs pas s'éloigner, puis la porte qui claque. Je rouvre les yeux, mes mains tremblant comme si j'avais parkinson. Je me redresse difficilement, mon cul a pris cher et je le sens à présent... Que je les recroise, un par un je les éclate ! Et Jio... Je pensais lui faire confiance, mais comme on dit : ne jamais faire confiance à personne...
Je me traîne jusqu'à la douche que j'allume, l'eau est glacée. Mais je me sens tellement sale que plus rien d'autre n'a d'importance, je me glisse sous les trombes qui déferlent sur ma peau souillée, mes larmes se mélange à tout autre fluide. A tâtons je tends la main pour récupérer ma fleur de douche. Je vais tellement frotter ma peau qu'on risque d'atteindre les os !
* * * * *
J'ai toujours la nausée, et il me semble que mon épiderme ne cesse de réagir. Je sens que je vais être malade pendant plusieurs jours. Je ne portais pas mon père dans mon cœur, autant dire que là, je le hais du plus profond de mon être ! Je redresse la tête quand je sors de la salle de bain après m'être lavée pendant plus d'une demi-heure puis habillée d'un jean et débardeur. Les jupes, on oublie pendant un bon moment.
J'entends soudainement des cris. Je fronce les sourcils, là c'est ma mère, j'entends un timbre féminin. D'un pas lent, j'avance vers la porte. Je lève le pied pour m'extirper de la chambre, depuis que j'ai découvert qu'Hicho avait mis un détecteur de mouvement sur le seuil, j'ai cru que j'allais l'étrangler ! Mais au moins, je fais attention maintenant quand je fais le mur !
Les hurlements résonnent jusque dans le couloir, la discussion semble bien plus qu'houleuse.
Papa : - Tu te fous encore de ma gueule, hein ? C'est quoi, ça ?!
Maman : - Rien putain, arrête de tirer des conclusions hâtives !
Papa : - Tu me prends pour un demeuré ? Je sais à quoi ressemble un flingue ! Tu comptais faire quoi, hein ? T'as payé ce petit merdeux pour qu'il rapproche Saku' ?!
Mes sourcils se froncent d'avantage. Qui m'aurait approchée sans que je ne vois la supercherie ?
Maman : - Mais non enfin, je...
Papa : - Je l'ai retrouvé dans le lit de mi hija, ne ME MENS PAS !
Je fais aussitôt le lien. Jio ? C'est le seul avec qui je m'accorde du bon temps !
Maman : - Je connais pas ce mec et...
Des bruits sourds se font entendre. J'accélère le pas et dévale l'escalier aussi vite que je peux. Je me stoppe près de la colonne au rez-de-chaussée, ayant pleinement vue sur le salon où j'aperçois mes parents, mais également Jio plaqué au mur, la main du démon autour de sa gorge. Son visage est presque violent, il est en train de l'étrangler !
Papa : - Ah ouais ? Et toute cette thune qu'il a sur lui ? Depuis quand ce manège dure, hein ?!
Maman : - Lâche-le enfin, tu vas le tuer !
Papa : - Aaaah, une once de peur. Tu le connais, avoue !
Maman : - Non, je... Damian, laisse-le respirer !!!
Aussitôt, la main de mon père se relâche, le corps de Jio tombe lourdement au sol. Dans un souffle bruyant, il reprend difficilement sa respiration.
Maman : - NOOOON !!!
Papa : - Alors ? C'est qui pour toi ?
Maman : - Mon neveu ! T'es qu'un malade mental !!!
Une claque part, je sursaute sous la violence du coup. Je serre les poings lorsque je vois du sang couler hors de la narine de maman. Je déteste quand il lève la main sur elle !
Papa : - Et tu le connais pas, hein ? Espèce de chienne...
Maman : - La chienne t'emmerde, elle sait quels sont tes points faibles, ne l'oublie pas.
Papa : - Est-ce que tu me menaces ?! Tu oses faire ça sous mon toit ?!
Maman : - Ce n'est pas toi, ma cible principale... Tu sais que Sergio mettra la main sur Sakura, coûte que coûte.
Papa : - Tu ne toucheras pas un seul cheveu de ma fille, et ton putain de toutou à la queue tendue non plus !
J'ai à peine le temps de voir une lumière refléter sur le canon du flingue de papa que la détonation retentit et une balle se loge entre les deux yeux de ma mère.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro