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❥ Chapitre 23 - Amour fraternel

HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISE D'IDÉES SANS EN INFORMER LES AUTEURES, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI ⚠️

- - - - - PDV Myriam - - - - -

Une semaine que je ne suis plus que l'ombre de moi-même. Je ne mange plus, restant sans cesse dehors, les pieds dans la piscine. Qu'il vente, qu'il pleuve, peu importe, je n'ai plus goût à rien. Daryl ne cesse de vouloir me remonter le moral, mais rien ne fonctionne. Il me manque quelque chose. Quelqu'un. Mon point d'ancrage.

Je fouille nerveusement dans la poche de mon short, attrapant le paquet de cigarettes qu'Emilie a laissé traîner sur la table. J'en extirpe une, l'allumant aussitôt. Je déteste le goût de cette saloperie, mais ça me rappelle tellement ma sœur !

Daryl : - Putain, Myriam, tu fous quoi ?

Myriam : - J'me détends.

Daryl : - Tu peux te détendre sans fumer ! Je t'avais jamais vue toucher une clope avant, trésor...

Myriam : - Elle me manque trop, Daryl. Ça fait plusieurs jours qu'on l'a pas vue, j'ai pas de nouvelles, alors qu'elle a quitté le gang. Je sais pas où elle est et ça me rend folle ! Je fume cette merde sans vraiment l'apprécier, je crapote carrément, mais putain ça me fait tellement penser à Emilie ! Et je pense que c'est le seul moyen que j'ai de pas craquer !

Ma voix se casse en un sanglot, avant que le beau latino s'accroupisse à côté de moi.

Daryl : - Elle a sûrement voulu souffler, tu sais... Tes mots l'ont blessée, elle pense que tu la déteste et que tu n'as plus besoin d'elle...

Myriam : - Je la déteste pas, mais j'ai une dent contre elle ! Elle a mis sa vie en danger juste pour m'épargner une vie maussade, mais putain j'avais pas besoin de tout ça ! Il ne reste plus que nous deux, nous sommes toujours soudées, ça me bouffe de l'intérieur de pas savoir ce qu'elle fait... C'est ma sœur, et j'aurai toujours besoin d'elle !

Daryl : - Il suffit que tu lui dises, votre relation s'arrangera sûrement... Ne laisse pas ta fierté prendre le dessus. Je sais de quoi je parle, je partais souvent en conflit avec Matt, mais notre amour pour l'un et l'autre est plus fort que le reste. Emilie et toi êtes pareilles.

Je hoche la tête, essuyant les larmes qui ravagent mon mascara. L'un des hommes qui nous « prête » la villa apparait tout à coup à côté de nous. Maintenant que je suis au courant de toute l'histoire, ils n'ont plus besoin de se cacher. Je sais qu'ils sont là pour assurer notre sécurité.

? : - Patron, on a des nouvelles de Matt. Et d'Emilie aussi, par la même occasion.

Mon cœur s'accélère brusquement.

Myriam : - Patron ?

Daryl dépose un baiser sur ma joue avant de se relever.

Daryl : - Trésor, je te présente Eduardo, l'un de mes gars.

Je les fixe tour à tour, totalement abasourdie. Qu'est-ce que c'est que cette histoire encore ?!

Daryl : - Tu crois que je peux vivre dans le luxe rien qu'en étant le petit chien du Fauve ? Je lui dois beaucoup, mais j'ai moi aussi ma propre vie à côté, et les gars qui bossent pour moi me doivent la vie sauve. Je les oblige à rien, mais ils assurent ma protection.

Myriam : - Et tu comptais me le dire quand ? Encore des mensonges...

Je me relève, furibonde, jetant mon mégot au bord de l'eau.

Myriam : - Vous êtes tous les mêmes, putain !

Daryl : - Myriam !

Myriam : - Fous-moi la paix ! J'en ai marre de tout ça, de ces mensonges, merde ! Y'a-t-il une seule chose de vraie dans tout ce qui se passe au sein de cette villa ?!

Daryl : - Attends !

Je pénètre furieusement dans le salon, manquant de percuter un autre homme. Sûrement encore un « gars » de Daryl !

Myriam : - Putain, mais vous êtes combien ?!

Je le contourne, fonçant vers la porte d'entrée. Mais en l'ouvrant, je percute un torse de plein fouet.

Myriam : - Encore un ?! Mais c'est une invasion !

Les bras de Daryl s'enroulent autour de mes épaules, collant mon dos à son torse. Ma vue se brouille en vue des innombrables larmes qui se préparent à couler.

Daryl : - Calme-toi... T'es à bout de nerfs...

Myriam : - LACHE-MOI ! J'EN AI MARRE D'ÊTRE PRISE POUR UNE IDIOTE PAR LES GENS QUE J'AIME ! JE SUIS PAS EN SUCRE, JE SUIS ADULTE, ET MOI AUSSI J'AI UNE VIE TUMULTUEUSE !

Mes mots sortent difficilement, je ne réprime plus mes larmes, j'ai besoin de relâcher toute cette pression qui restait cloîtrée en moi !

Daryl : - Myriam...

Myriam : - C'EST MOI QU'ON A TABASSÉE ! C'EST MOI QUE JUAN MENAÇAIT ! C'EST MOI QUI SUIS SANS CESSE PRISE POUR UNE CIBLE PARCE QUE JE SUIS LA PLUS FAIBLE DES SŒURS SAEZ, MAIS PUTAIN, POURQUOI TOI TU CONTINUES DE ME CACHER DES CHOSES ?! JE CROYAIS QUE JE COMPTAIS POUR TOI !

Daryl : - Et c'est le cas !

Myriam : - JE PEUX PLUS FAIRE CONFIANCE A PERSONNE !

Dans un mouvement vif, il me retourne contre lui, enfouissant ma tête au creux de son cou. Ses bras se resserrent plus fermement autour de moi, manquant de m'étouffer.

Daryl : - T'es importante pour moi, Myriam, plus que tout ! C'est pour ça que je te laisse à part de tout ça, ce monde est dangereux, et je refuse qu'il t'arrive quoi que ce soit, parce que je t'aime, putain !!!

Je pleure à chaudes larmes, trempant la chemise du beau brun.

Daryl : - Shhhhh...

Sa main caresse doucement mon dos. Je me calme petit à petit, mais cette douleur piquant mon cœur ne s'estompe pas pour autant.

Daryl : - Écoute ce que mes hommes ont à dire. Ils ont retrouvé la trace de ta sœur.

Je relève la tête vers lui. Ses prunelles brillent d'une lueur nouvelle, cet homme a le don de m'électriser en un seul regard. Et il est à moi !

Myriam : - Je t'aime Daryl...

Ses lèvres s'écrasent contre les miennes, me faisant totalement oublier la raison de ma colère. Ses baisers me donnent du baume au cœur. L'un des hommes autour de nous se racle la gorge, nous faisant glousser.

Daryl : - Bien... Je préfère te voir ainsi...

Il frotte son nez au mien, avant de tourner la tête vers Eduardo.

Daryl : - On t'écoute.

Eduardo : - Matt a été repéré en moto, sur les routes sinueuses au Nord de New York. Lana est sûrement avec lui.

Daryl : - On va aller voir. Et Emilie ?

Eduardo : - Nous l'avons aperçue se rendre à l'aéroport. Mais nous l'avons perdue à cause de la densité de la foule.

Myriam : - Elle est partie...

Daryl retourne la tête vers moi, relevant mon menton de son index.

Daryl : - On va voir ce que fout Matt, puis nous irons à l'aéroport.

Myriam : - Non ! Je veux aller chercher Emilie tout de suite ! Imagine qu'elle fasse une connerie ! Je me le pardonnerai jamais !

Daryl : - Je te laisse pas partir seule, et mon frère a besoin de moi !

Myriam : - Moi, c'est ma sœur qui a besoin de moi ! De toute manière, je vais partir et tu vas ordonner à l'un de tes gars de me suivre, où que j'aille !

Un rictus se forme sur ses lèvres. Il n'est pas très emballé par l'idée, je le connais à force, mais je ne passerai pas une minute de plus loin d'Emilie, je veux la retrouver, m'excuser et lui dire combien je l'aime !

Daryl : - Laisse-moi t'accompagner alors ! T'es épuisée, tu dors plus depuis des jours, je veux pas que tu prennes le volant !

Myriam : - Tu plaisantes ? T'es dans le même état que moi !

Daryl : - On prend le métro qui passe à deux minutes alors. Mes gars me récupéreront à l'aéroport. Je veux pas te laisser y aller seule !

Le regard suppliant de Daryl me donne un pique au cœur. A sa manière, il montre qu'il tient à moi.

Myriam : - D'accord.

Il embrasse ma tempe, enlaçant ses doigts aux miens avant que l'on ne prenne la direction de la station de métro. Très bon timing pour nous puisque qu'un train arrive dès que l'on arrive sur le quai !

Daryl : - Putain, ça fait longtemps que j'ai pas mis un pied dans un transport en commun !

Myriam : - Ça va, Monsieur le friqué, t'arrive encore à respirer ?

Il manque de s'étouffer avant de m'attirer contre lui.

Daryl : - Au lieu de dire des âneries, repose-toi. J'aimerai profiter de cette proximité entre nous avant que tu ne t'envoles vers l'inconnu.

Je me contente d'acquiescer, posant ma tête sur ses genoux. Il a raison, mes yeux se ferment tous seuls tant je suis en manque de sommeil !

* * * * *

Daryl a eu du mal à me lâcher. Heureusement que l'un de ses innombrables gars est arrivé pour le récupérer, s'il était encore resté deux minutes de plus il aurait insisté pour m'accompagner. Mais je refuse qu'il vienne, Matt à besoin de lui, comme Emilie à besoin de moi.

J'avais oublié qu'il y avait autant de destinations ! J'ai beau observer les panneaux d'affichage des vols prévus pour la journée, je ne sais pas où Emilie s'est rendue !

J'extirpe une photo de mon porte-monnaie. Il s'agit de l'un des clichés que l'on a fait avant que toute cette merde arrive. Nous étions tellement complices...

Myriam : - Je te retrouverai, Emilie, compte sur moi.

Je fais volteface, voulant me diriger vers un autre Terminal. Mais je percute encore quelqu'un, manquant de tomber. J'en lâche ma photo, frottant mon nez qui s'est pris un coup. Décidément, ce n'est pas ma journée !

Myriam : - Je... Je suis désolée ! Je ne vous ai pas vue !

? : - Aucun problème, Mademoiselle, plus de peur que de mal. Oh, vous avez fait tomber quelque chose !

Elle se penche pour ramasser la photo, la détaillant longuement.

? : - Cette femme... Je l'ai déjà vue.

Myriam : - Vraiment ?!

? : - Je m'en souviens. Un sourire angélique et cette chevelure blonde de rêve...

Myriam : - Il s'agit de ma sœur ! Cela fait plus d'une semaine que je suis sans nouvelle, je ne sais plus quoi faire...

? : - Oh ! Venez avec moi !

Je la suis sans hésiter jusqu'au comptoir d'un agent d'escale.

? : - Salut Mélanie !

Mélanie : - Flora ! Tu n'es pas avec ton Monsieur Jet Privé ?

Flora : - J'y allais de ce pas, mais je suis tombée sur cette jeune femme très chamboulée... Tu te souviens sûrement de cette passagère.

L'hôtesse glisse ma photo sur le bureau.

Mélanie : - Oh, oui ! Elle avait pris un billet pour Miami, si je ne me trompe pas !

Flora : - Tu peux donner une carte d'embarquement à cette jeune femme ? Il y a un avion qui décolle dans pas longtemps, elle souhaite retrouver sa sœur.

Mélanie : - Bien sûr !

Flora : - Et mets-le sur ma note.

Myriam : - Oh non, ça me gêne, j'ai largement de quoi payer, je...

La jeune hôtesse pose sa main sur mon épaule.

Flora : - Je suis admirative des relations fraternelles. Ça me fait plaisir, vraiment. Dépêchez-vous, ce serait le comble de manquer le vol !

Elle me sourit, avant de lancer un clin d'œil à sa collègue et de s'éclipser.

Mélanie : - Tenez. Filez, l'embarquement est en cours, porte C.

Myriam : - Merci infiniment !!!

* * * * *

Le vent marin fouette mon visage. Après 3 heures de vol environ, et une heure de navette, me voilà sur l'une des plus belles plages de Miami. C'était bien beau de me rendre ici, mais aucune idée de l'endroit où se trouve Emilie. Quand je l'appelle, elle ne décroche pas !

Je m'aventure dans le sable fin, mes escarpins à la main. Il y a beaucoup de monde, que ce soit dans l'eau ou en train de lézarder. L'ambiance est bien différente de New York, je comprends qu'Emilie soit venue ici.

Un ballon arrive soudainement près de mon pied. Des enfants attendent devant moi que je leur renvoie. Je shoote dedans, un peu trop fort d'ailleurs, les faisant courir jusqu'au rivage. Mes yeux se perdent sur une horde de surfeurs qui bravent les vagues. J'ai toujours rêver de surfer comme une professionnelle, j'ai souvent entendu dire que les sensations sont uniques, mais je suis trop apeurée des requins pour oser mettre un pied sur une planche !

Je continue de marcher, glissant mes pieds dans l'eau fraîche. Un rire parvient soudainement jusqu'à mes oreilles, sortant de cette cacophonie. Mon regard tombe sur un surfeur blond, couché sur sa planche, aidant une jeune femme à remonter à ses côtés. Mais...

Myriam : - EMILIE !

Sa tête se tourne aussitôt vers moi. Si sa mâchoire ne serait pas accrochée au reste de son crâne, je pense qu'elle se serait déjà échouée au sol. Nous restons toutes les deux à nous fixer, sans ajouter un mot de plus. Seule une vague nous oblige à briser le contact visuel, emmenant Emilie sous l'eau. Je ne peux réprimer un fou rire en la voyant remonter à la surface, frottant ses yeux.

Elle éclate de rire en croisant mon regard, avant de nager jusqu'au bord et de venir jusqu'à moi.

Emilie : - Qu'est-ce que tu fais ici ?! Et comment tu m'as trouvée ?!

Myriam : - Des personnes t'ont vue te rendre à l'aéroport, et ensuite je suis tombée sur une hôtesse de l'air qui t'a reconnue sur une de mes photos. Mais là, te retrouver ici, sur cette plage, c'est un pur hasard !

Emilie : - Pourquoi t'être déplacée ? Tu as pris l'avion seule ?

Myriam : - Oui ! Je me suis rongé les ongles durant tout le vol, tout ça pour aller retrouver ma sœur qui me laisse sans nouvelles !

Elle plisse les yeux, croisant les bras sur sa poitrine.

Emilie : - J'avais besoin de souffler, et c'est étonnant que tu sois là puisque tu me détestes !

Myriam : - Je t'en veux à mort, mais je ne te déteste pas ! Je me suis même mise à la clope parce que cette putain d'odeur me rappelait ta présence, comment t'as pu me laisser toute seule ?!

Emilie : - Oh, je croyais que tu n'avais pas besoin de moi ?

Myriam : - T'es ma sœur, Mushu, une petite sœur a toujours besoin de son aînée... Et tu as osé partir sans moi !

Emilie : - C'est peut-être mieux ainsi.

Une larme roule sur sa joue. J'en suis le tracé, jusqu'à ce qu'elle perle dans l'eau de la mer.

Myriam : - Est-ce vraiment ce que tu penses ?

Elle reste silencieuse durant plusieurs minutes. Son regard se pose partout autour de moi, avant qu'elle ne déride enfin son visage.

Emilie : - Bien sûr que non, putain, Zazou !

Elle court jusqu'à moi, fonçant dans mes bras. Elle me percute d'une telle force que nous tombons dans le sable, nous roulant comme des enfants.

Myriam : - Je veux plus de mensonges, je veux plus que tu me quittes comme ça, et je t'interdis de dire que je te déteste ! Je t'aime, Emilie, tu es toute ma famille !!!

Emilie : - Je te le promets, Myriam, nous allons prendre un nouveau départ, je veux retrouver notre complicité !

Notre étreinte est interrompue par une voix masculine derrière nous.

? : - Eh bien...

Emilie : - Oh, désolée !

Ma sœur m'aide à me relever. Du sable me colle sur les bras et les jambes, je transpire comme jamais, il ne fait pas aussi chaud chez nous !

Emilie : - Adam, je te présente ma petite sœur, Myriam. Myriam, voici Adam, un ami qui essaye de m'initier au surf.

Adam : - J'essaye...

Je lui souris chaleureusement. Il n'est pas moche, je le conçois, mais j'ai du mal à croire qu'elle ait oublié Matt.

Myriam : - Emilie, tu...

Mon téléphone vibre soudainement dans ma poche, me coupant la parole.

Myriam : - Désolée... Allô ?

Daryl : - Trésor...

Myriam : - Daryl ? Un souci ?

Daryl : - Dis-moi que tu as trouvé Emilie...

Myriam : - Oui, elle est à côté de moi ! Qu'y-a-t-il ?

Daryl : - Matt... Il... Il a eu un accident...

Myriam : - QUOI ?!

Daryl : - Il est tombé dans le coma... Je déteste les hôpitaux, mais je suis à son chevet... J'ai besoin de toi, trésor...

Myriam : - On prend le premier avion et on arrive !!!

Je raccroche vivement, sondée par le regard énigmatique de ma sœur et de son ami.

Emilie : - T'as l'air chamboulée !

Myriam : - C'est Matt !

Emilie : - Daryl l'a retrouvé ?!

Myriam : - Il a eu un accident, Emilie... Faut y aller !

Elle hoche automatiquement la tête, attrapant ma main.

Adam : - Une minute ! Matt Ortega ?!

Emilie : - Tu le connais ?!

Adam : - Bien sûr, c'est un bon pote à moi !!! J'appelle immédiatement notre agent, vous aurez une place dans le premier vol qui retourne à New York. Je peux pas vous suivre, mon groupe et moi nous nous produisons sur scène ce soir, mais tenez-moi au courant !

Emilie : - Compte sur moi !

Ma sœur me tire sur le bras, courant à perdre haleine sur le sable fin. Je vois dans ses yeux cette lueur d'inquiétude, elle tient à Matt plus que tout, même si elle essaye de se persuader du contraire, pourvu qu'il n'ait rien de grave, elle sera dévastée et malheureusement je ne saurai comment panser cette blessure !

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[Si  vous vous accaparez certains des montages de Mushu, merci de nous  demander la    permission... ❤️Concernant les plagieuses : notre histoire est en version papier, adaptée pour qu'il n'y ai plus aucun lien avec IIL. Nous sommes protégées par les droits d'auteur et répertoriées légalement dans le jargon des écrivains. Nous n'hésiterons pas à vous signaler à Wattpad pour que votre compte soit supprimé si l'on voit que vous pompez littéralement nos idées... Et on remercie énormément Yunie Hime pour la réalisation de nos avatars en chibis❤️]

XOXO ❤️

Myriam & Emilie ❤️

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