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15


"Je faisais parti des populaires du lycée, pour moi toute les filles étaient pratiquement à mes pieds. Mais aucune d'elles m'intéressaient. Seule cette fille m'intéressait. Elle était pour moi tout ce que je n'avais pas, tout ce qui me manquait. De jour en jour, elle devenait encore plus belle. Ses longs cheveux noirs, ses yeux chocolats, sa peau aussi blanche que la neige, ni trop provocante ni trop coincé. Tout chez elle me plaisait.

Un jour j'ai décidé d'aller la voir. Certes mes amis n'étaient pas du même avis que moi, pour eux je devais prendre une fille qui pouvait assouvir tout les désirs que ce soit sexuel ou autres. Pour eux je devais juste jouer avec elles, mais je n'étais pas comme eux, je voulais juste une fille qui en un seul regard, je savais si c'était la bonne, celle avec qui j'allais passer toute ma vie. Donc, je suis allé la voir. Ce jour là, elle était assise sur un banc avec ses amies, certes son groupe n'était pas important mais c'était suffisant. À mon approche, j'ai attisé tous les regards dans ma direction. C'est vrai je n'étais pas le genre de garçon à ne pas passer inaperçu, mon uniforme mis simplement avec quelque touche personnelle, mes cheveux noir avec une touche de gris, grand et assez musclé pour mon âge, sans me venter j'avais tout pour plaire.

_ Est-ce que je peux te parler s'il te plaît.

À mes dire, elle regarda ses amis et je pu voir une légère teinte rosée sur ses joues. Je souris tandis qu'elle accepta et me suivit dans un coin de la cour.

_ T-tu voulais me dire quoi ?

Je la regarda et souris encore plus. Elle était vraiment mignonne quand elle voulait.

_ Je...

Elle me regarda surprise de mon état. Je n'étais jamais dans cet état quand je devais parler à quelqu'un mais pour elle tout était exception. Je souffla légèrement et ancra mes yeux dans les siens.

_ Euh... Comme tu dois t'en douter, je ne suis pas une personne de très fréquentable.

_ Non ! Enfin je veux dire c'est ce que dise les gens. Je ne pense pas ça de toi.

_ Ah ! Merci. Disais-je en me grattant la nuque. Tu vas te dire que j'ai été trop direct mais je ne suis pas doué pour ce genre de chose. Donc... Je t'aime So-eun. Voudrais-tu sortir avec moi, être ma petite amie ?

Elle écarquilla ses yeux et je la vis pleurer. Paniquant quelque peu, je pris son visage en coupe et l'obligea à me regarder.

_ Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai dis quelque chose de mal? Je t'ai blessé ? J'ai-..

Je ne pus dire plus puisqu'elle posa ses lèvres naturellement rouge sur les miennes. Comprenant ce qui se passait, je ferma mes yeux et approfondissa le moment. On finit par se séparer, ses joues rougies, elle releva les yeux vers moi.

_ Oui, je t'aime aussi Ji-Sub et plus longtemps que tu ne le penses.

Surpris, je la regarda attentivement pour voir une quelconque moquerie mais rien. Juste de la sincérité et de l'amour. J'ai souris et je l'ai pris dans mes bras.

_ Merci !

Elle m'a sourit à son tour et nous sommes restés ensemble jusqu'à la fin de la journée pour faire plus connaissance. Certes je suis sortis avec elle comme sur un coup de tête mais c'était un coup de foudre, mon coup de foudre.

Les années sont passées et nous étions encore ensemble. Ayant fini le lycée depuis plus de cinq ans, nous avions décidés au bout de la troisième années de vivre ensemble. Notre chez nous. Les jours étaient vraiment magnifiques.

Mais de jour en jour, je ressentais comme le besoin de la posséder plus que je ne l'avais déjà. En la voyant chaque jour, je devenais jaloux. Dans n'importe quelle situation, que ce soit une simple sortie entre amie, un simple appel avec son ami d'enfance qui plus est un garçon, je devenais aveugle de part ma colère. Je ne pouvais m'empêcher de la suivre ou encore de savoir à tout bout de champs ce qu'elle faisait, de savoir le lieu, le moment, avec qui... C'en était presque maladif. En rentrant du travail, je ne savais pas ce qu'elle avait fait de la journée. Sentant la haine m'envahir, je suis allé dans la cuisine où elle était, entrain de faire le dîner.

_ Tu étais où aujourd'hui ?

Elle se retourna surprise de mon haussement de voix. Elle posa le couteau et me fit face.

_ Euh... Bonjour à toi aussi mon cœur. Je suis resté à la maison aujourd'hui, pourquoi ?

_ Te fou pas de ma gueule. Tu étais où ?

_ Mais je t'ai dit que je suis resté à la m-..

N'en pouvant plus de ses mensonges, je lui ai mis la main dessus. Étant recroquevillée dans le coin de la cuisine, elle pleurait à chaude larmes. La voyant dans cet état, je me sentis encore plus coupable. Je ne savais pas pourquoi je m'étais comporté comme ça. Je m'approchais d'elle.

_ So-eun ? Disais-je en mettant ma main sur son épaule.

_ N-ne me t-touche pas...

_ J-je suis désolé. Je... Je ne sais pas ce qui m'a pris.

Je l'entendis sangloter, mon cœur se fissura. Je la pris dans mes bras, même si elle me frappait, je resserrais mon étreinte. Je ne savais vraiment pas ce qu'il s'était passé. Mais c'est à partir de ce jour là que tout à commencé. Chaque jour, je l'a frappais, mais je savais que je n'étais plus moi-même. Je savais que ce que je faisais n'était pas contrôlé. J'étais devenu fou amoureux d'elle. Mon amour était différent de toute ces personnes dans le monde. Je pouvais mourir pour elle.

Un jour je rentrais du travail légèrement fatigué, j'ouvris la porte et me débarrassa de mes affaires. Je regardais la pièce qui était plongé dans la pénombre, des bougies aromatisées étaient sur tout les meubles, des pétales ainsi que deux chandelles étaient sur la table. J'avançais dans la maison en l'appelant. Quand je la vis vêtue de la robe que je lui avais offert pour notre quatrième anniversaire, je souris grandement.

_ Que me vaut toute cette belle mise en scène chéri ? Disais-je en souriant.

_ J'ai une surprise pour toi. Viens suis moi.

Je la suivis jusqu'à la table dressée. Étant face à face, elle me regarda de ses yeux remplis d'amour comme notre premier jour de rencontre. Pour moi c'était la femme parfaite, je savais qu'elle ne me méritais pas mais je ne pouvais pas la voir avec quelqu'un d'autre. Cette idée n'était pas la bonne. Nous avons mangés, discutés jusqu'à ce qu'elle me prenne les mains dans les siennes. Le sourire aux lèvres, elle me regarda.

_ Je dois te dire quelque chose.

_ Oui...

_ Tiens.

Elle me tendit une enveloppe rouge. Je la pris avec la boule au ventre et l'ouvrit. Plus je lisais la lettre et plus mes larmes n'arrêtaient pas de couler.

_ C'est vrai ?

Elle hocha de la tête alors que je me levai et l'ai prise dans mes bras.

_ Merci So-eun. Merci merci !

Elle sourit alors que je l'embrassais tendrement. Nous attendions un enfant. Elle était enceinte.

Les mois passèrent et ma "folie" reprit le dessus. Je ne la frappait plus mais je devenais fou jusqu'à croire qu'elle m'avais trompé avec un de ses amis. Et croyant que cet enfant n'était pas de moi. Quand nous avions appris qu'on attendait un garçon, j'étais l'homme le plus heureux. Attendre un garçon quoi de mieux. J'avais une seule hâte c'était de le tenir dans mes bras.

Arrivé le jour de l'accouchement, j'étais aux urgence alors qu'elle était en salle d'accouchement. Ils vinrent me chercher afin que je puisse y assister. Au bout de 2h de souffrance de sa part, elle était enfin en train de dormir alors que je regardais notre fils dormir lui aussi. Un sourire étira mes lèvres. Je me disais que ma vie de famille serait magnifique.

Une semaine après mes folies ont repris. Je savais que je n'étais plus dans mon état Normal, je l'aimais de tout mon être mais je m'imaginais des choses qui n'ont jamais existaient. Un jour étant en train de dormir, je m'étais levé et étais partis dans la chambre de notre fils. Pour moi je n'étais qu'une simple marionnette. Une marionnette de mon amour envers elle.

Ouvrant la porte, je le regardais dormir paisiblement. Je le pris dans mes bras et sans savoir pourquoi je le pris avec moi et sortis de la maison. Le déposant dans le siège auto, je roulais sans m'arrêter jusqu'à la maison que j'ai eu en héritage par mes parents. Une fois à l'intérieur, je le mis dans une chambre que j'avais auparavant aménagée au cas où nous passions des vacances ici. Assis sur une chaise devant son lit, je pris ma tête entre mes mains et la baissa. Je savais que j'avais fait une bêtise, mais pour moi c'était la seule façon de le faire.

Les jours, les mois et les années passèrent. Je restais toujours dans cette maison avec pour seule compagnie celle de mon fils.

_ Pa-pa ?

Je le regarda. Ma haine ne fut que plus forte quand je le vis sourire. Son sourire était le même que le sien. Je me disais que l'avoir pris avec moi était un moyen de lui faire avouer. Oui, mais quoi ? C'était mon fils. Mais j'étais partagé entre deux mondes, entre celui où la vérité régnait et celui où la folie était maître. Dans ce monde ci, la tromperie était au cœur de mes actes. J'étais victime d'adultère. Je voulais lui faire payer ce qu'elle avait fait, enfin ce que je croyais qu'elle avait fait.

Quand il était enfin dans l'âge de comprendre, je lui disais que sa mère n'était plus de ce monde. Mais n'ayant pas l'envie ou encore le besoin de lui expliquer, je lui disais qu'il était responsable, le seul fautif de sa mort. Chose qui était fausse. Je le battais. Son visage, tout chez lui me rappelais So-eun. Je savais qu'il se faisait battre à l'école, qu'il se faisait insulter mais pour moi, cette façon de le traiter était la meilleur qui soit.

_ C'est toi qui a tué ta mère Jungkook. Comment tu vivras plus tard avec ça? Tu seras faible.

_ Tu me dégoute.

_ Aussi soumis et faible que ta pute de mère.

Voilà ce à quoi ce résumait les soirées. Quand il dormait, c'était comme si mon vrai moi refaisait surface. La culpabilité, le dégoût, la colère était en moi. Je m'en voulait de lui faire ça. Le jour de ses 15 ans, je l'avais délogé dans une pièce au premier étage de la maison. Il était frêle, son corps n'était plus qu'hématomes, de brûlures, de coupures. Je savais que j'allais trop loin en le traitant ainsi mais je voulais me défouler. À vrai dire plus je pensais à elle et plus je le frappais.

_ C'est l'heure de se réveiller Jungkook.

J'ouvris la porte et je ne le vis plus dans la pièce. Je savais qu'il s'était enfuis et je me disais qu'il avait eu raison de le faire. "




Externe

_ T'es fou ? T'es un malade ? Pourquoi lui avoir fait ça hein ? Toi même tu disais que tu savais que j'étais ton fils, alors pourquoi ?

Il ne lui laissa pas le temps de se remettre de toutes ces révélations qu'il le frappa.

_ Je t'ai dis de ne pas me parler et encore moin te rebeller.

_ Je m'en fou de tes ordres. Tu crois que je suis le garçon que tu frappais et menaçais à tout bout de champs?

_ Allez, dis moi que tu es devenu un homme fort maintenant ?

_...

Il sourit alors qu'il prit les cheveux de Jungkook. Il lui souleva la tête.

_ Comment as-tu réagis quand tu as appris que la mère de ton ami n'était autre que celle qui t'a mis au monde ?

_ Va te faire foutre.

_ Crois-tu qu'elle te cherchais depuis tout ce temps ? Il sourit. Je ne sais pas peut-être ou peut-être pas. Mais pour qu'elle se marie et qu'elle fonde une nouvelle famille c'est qu'elle s'en foutait de toi, tu ne crois pas ?

_ Laisse moi...

_ Désolé Fiston, ça va faire 5 ans que tu es partis. En parlant de ça, ça fait quoi de revenir à la maison ?

Jungkook le regarda avec haine. Ses yeux devinrent brumeux.

_ Tu vas pleurer?

_...

_ Pathétique, voilà ce que tu es Jungkook. Je ne t'ai pas éduqué de cette manière. Tu sais chez un homme, la maltraitance est une chose qui peut renforcer le caractère.

_ Qui te dis que les larmes que je verse sont dûes à la peur ? Dit-il un rictus aux lèvres. Tu me dégoute, crois-tu vraiment que tes menaces fonctionneront maintenant ? Je verse peut-être des larmes mais dis toi que seul le dégoût et la rancœur te sont destinés.

Ji-Sub regarda son fils les yeux assombris par la colère. Il leva sa main et cogna la peau, devenu doré avec le temps, de sa victime. Coups après coups, Jungkook retomba lourdement sur le parquet froid de la pièce. Crachant du sang et sentant son corps douloureux ainsi que ses poumons brûlant au fur et à mesure de ses inspirations et de ses expirations, il ferma les yeux essayant de se calmer.

_ Voilà où est ta place fils de chien. Tu crois que me tenir tête sera la meilleure des solutions pour me battre? Détrompe toi gamin, ici tu n'es rien et tu ne le sera jamais. Pour toi, seul le sang et la crasse t'es destiné.

Jungkook ne dis plus rien essayant tant bien que mal de rester éveillé. Trouvant le peu de force qu'il lui reste, il se rassit et regarda son père droit dans les yeux.

_ Vas-y ! Regarde tes coups n'ont plus d'effets sur moi. Tu te rends compte qu'avant je tombais immédiatement dans l'inconscience alors que maintenant je suis là et te regarde. Ça fout la haine tu ne crois pas ?

Il savait qu'il risquait gros en lui tenant tête mais qu'avait il à perdre. Même si ils venaient le chercher, il savait qu'il n'allait pas sortir d'ici indemne. Il vit son père sourire. Un sourire sadique ornait ses lèvres. Il sortit un couteau de sa ceinture et avança tel un prédateur près à attaquer sa proie. Jungkook, voyant l'objet tranchant dans ses mains, commençait à voir flou.

_ C'est pas le moment de faire une crise, dit-il à lui même essayant de contrôler sa respiration.

Ji-Sub sourit encore plus voyant l'état de son fils.

_ Me touche pas... Dit-il alors qu'il posa la lame sur sa joue.

_ Ou sinon quoi hein ? Tu vas te lever et te battre contre moi ?

Il le regarda et ne dit rien.

_ Passons aux choses sérieuses, qu'est-ce que t'en dis ?

_ N-non...

Il fit la sourde oreille et tout en souriant lui planta l'arme dans sa jambe droite lui soutirant des hurlements de douleur.

_ Cris ! Tu ne sais pas à quel point tes hurlements m'avaient manqué fiston.

Lui enlevant le couteau, il regarda son fils essayant de reprendre une respiration des plus correcte. Ses yeux mi-clos, il lui souleva le visage.

_ Allez rebelle toi maintenant.

_ C-conn-ard... Dit-il en essayant encore de rester éveillé.

_ Bon continuons!

Après ses dire, il poussa son fils afin qu'il soit sur le ventre et lui enleva son t-shirt. Se débattant de toute ses forces, il essaya de se défaire de l'emprise de son père mais sans succès.

_ Lâche moi...

_ Chut~ tu vas plus vite te fatiguer aussi non.

Il s'amusa à planter le couteau dans le dos sur les anciennes cicatrices de Jungkook. Laissant des sillons de sang s'écouler le long de son dos sous ses cris s'arrachant les cordes vocales, il se releva.

_ Bon retour à la maison Jungkook.

Et il sortit de la pièce sous les yeux légèrement choqués de l'homme en noir.

Après que la porte se soit fermé, Jungkook resta au sol n'ayant plus de force pour faire un quelconque mouvement. Il ferma les yeux et se laissa sombrer dans les ténèbres.

Du côté de Taehyung, les minutes comme les heures n'avançaient pas. Pour lui comme pour les autres personnes du véhicules, le chemin se faisait de plus en plus long. Commençant à perdre patience, il prit sa tête dans ses mains. Mais au moment où il s'apprêta à parler, Chanyeol prit les devant en annonçant leur arrivés. Voyant la maison au loin, et sans hésiter Jimin et Taehyung sortirent du véhicule et commencèrent à courir jusqu'à la demeure.

Ne voulant pas se faire repérer, Gong-Yoo resta dans la voiture aux côtés de Chanyeol et de Hoseok les suivant de près tandis que Yoongi suivit son frère et Taehyung, de peur qu'ils leur arrive quelque chose. Arrivant devant la maison mais étant caché derrière des buissons, ils se regardèrent.

_ Il faut entrer à l'intérieur.

_ Attends Tae, on a pas de plan pour y aller. Dit Yoongi. Ils doivent être armés jusqu'au cul les hommes à l'intérieur.

_ Il faudrait que quelqu'un fasse le guet le temps que deux personnes entrent par derrière. Dit Jimin essayant de calmer son calme.

_ Ouais...

Au même moment, le reste du groupe vinrent à leur rencontre essayant de trouver une solution. Au bout de quelques minutes, s'étant mis d'accord ils allèrent faire ce qui était convenu. Laissant faire le guet Hoseok, avec Yoongi qui surveilla les alentours, Gong-Yoo, Chanyeol, Jimin et Taehyung entrant par derrière. Arrivés à l'intérieur, ils décidèrent de se séparer en deux groupes afin d'accélérer les recherches. Étant peu armé, ils avancèrent prudemment.

_ Taehyung tu t'occupe de la droite moi de la gauche.

_ Ok...

Après les dire de Jimin, ils s'occupèrent de la rangée de porte leur faisant face. Ouvrant les nombreuses portes où la pièce était vide de monde, ils commencèrent à devenir fou. Essayant de garder le peu de sang froid qu'il leur restait, ils entendirent un bruit sourd venir de la pièce se trouvant au fond du couloir. Comme un accord, ils se dirigèrent vers cette fameuse pièce et décidèrent de l'ouvrir.

Laissant apercevoir une pièce sombre, ils avancèrent à tâtons et après avoir trouver l'interrupteur l'allumèrent. Survolant la pièce, ils tombèrent sur une masse couverte de sang.

_ JUNGKOOK!? Disent-ils en même temps.

Ils coururent jusqu'à lui et le voyant inconscient la panique se fit sentir.

_ Il faut le sortir d'ici. Dit Taehyung.

_ Appel ton père.

Il fit ce que Jimin lui demanda et après un appel bref, les deux plus grands arrivèrent jusqu'à eux. Voyant l'état du plus jeune, seul la haine les rongeait. Chanyeol se décidant de le porter, ils sortirent de la chambre et toujours sur leur garde marchèrent jusqu'à l'extérieur. Mais au même moment ils entendirent des pas précipités se dirigeant vers eux ainsi qu'une sonnerie de téléphone. Accélérant le pas, ils se demandèrent à qui appartenait cette sonnerie jusqu'à ce que Taehyung sortit son téléphone.

_ Taehyung !? Faites vite ils arrivent vers vous.

_ Okay hyung.

_ Sortez par derrière.

Il raccrocha et prévint son père afin de se diriger vers la porte de derrière.

_ C'est trop facile vous ne croyez pas ? Demanda Chanyeol.

Ils hochèrent de la tête approuvant ses dire. Ils s'approchèrent de la porte et sortirent de la maison, toujours Jungkook inconscient. Mais s'apprêtant à marcher jusqu'au véhicule un bruit se fit attendre.

_ Vous ne croyez tout de même pas que j'allais vous laisser me le prendre ? Ce serai bête de ma part vous ne croyez pas ?

Ils se retournèrent pour lui faire face, tandis qu'ils virent un homme pointant une arme vers eux.

_ Fais pas de conneries. On sait que tu n'es pas comme ça. Pourquoi t'acharner sur ce pauvre gosse ?

_ Pourquoi ? Très bonne question tiens. Je me demandais ça aussi. Il haussa les épaules. De toute façon vous me faites chier. Vous ne me connaissez pas, laissez le ici et je vous laisserais tous sauf.

_ Jamais de la vie, plutôt mourir que de le laisser là. S'écrit Taehyung se mettant devant Chanyeol.

_ Un petit courageux ? Que c'est touchant. Mais que dirai ta pute de mère si tu revenais à elle un jolie trou entre les deux yeux hein ?

_...

_ Je le savais, que de la gueule. Il enleva la sécurité de son arme. Dites adieu à votre misérable vie.

Au moment où il s'apprêta à faire feu, des sirènes ainsi qu'une voix se fit entendre dans les alentours de la maison.

_ Jeon Ji-Sub lâchez votre arme.

À l'entente de cette voix presque robotisé, ils ouvrirent les yeux en grand tandis que le dit Jeon Ji-Sub regarda en direction du bruit. Voyant trois voitures de polices ainsi qu'un camion de la brigade et une ambulance, il soupira mais ne lâcha pas son arme.

_ Je ne le répéterai pas.

Il ne dit rien et les garda en joue. Reculant au fur et à mesure vers les nombreux agents de polices tout en regardant larme devant eux, Ji-Sub éleva la voix.

_ Le premier qui fait un geste repartira de ces terres morts.

Ils ne bougèrent plus tandis que Chanyeol resserra sa prise sur le corps inanimé mais vivant de Jungkook.

_ Réfléchis Ji-Sub.

_ Ferme la, j'ai aucun compte à te rendre. Il ria. Avoue c'est toi qui a poussé So-eun à me tromper ?

_ Mais... Qu'est-ce que tu raconte ? Je ne la connaissais même pas à ce temps là ? Et même pourquoi j'aurais fait ça ?

_ MENTEUR. Il sourit alors que les larmes coulèrent le long de ses joues. Tu mourra comme les autres.

Il pointa son arme vers Gong-Yoo qui s'était avancé pour essayer de le calmer. Voyant l'arme se diriger vers son père, Taehyung se mit à hurler tout en courant vers lui. Mais au moment où il voyait son père s'effondrer au sol, une déferlante de balle se firent entendre tuant sur le coup Jeon Ji-Sub.

Taehyung de son côté accourut toujours jusqu'à son père et le prit dans ses bras en pleurant et lui criant dessus. Faisant sourire le concerné, il resserra l'étreinte et se leva à l'aide de son fils tandis qu'il vit Jimin tomber à genoux sur le sol. Yoongi arrivant en courant jusqu'à son frère, le prit à son tour dans les bras lui murmurant des mots doux.

_ Vous allez bien messieurs ?

_ Oui... Merci.

_ Il n'y a pas de quoi. L'agent de police sourit. Venez avec moi nous allons emmener en urgence Jeon Jungkook.

Chanyeol hocha la tête et s'éloigna de la maison pour aller déposer Jungkook dans l'ambulance. Au même moment, Hoseok arriva un sourire fier collé au visage et pris ses amis dans les bras.

_ Comment ça se fait que la police soit là ? Demande Gong-Yoo.

_ Remerciez Hoseok pour les avoir appelé avant notre départ. Dit Yoongi.

_ Mais comment ?

_ J'ai fait croire à une prise d'otage et ils sont venus. Ajoute-t-il fier de son idée.

Ils le prirent dans leur bras et après une accolade remplis d'émotion, Chanyeol revint vers eux leur disant qu'ils devaient tous partir avec les agents de polices.

_ Et l'ambulance ? Demanda Jimin la gorge noué.

_ Ils sont partis avant nous. Mais ne t'inquiète pas il est entre de bonne main.

Il soupira alors qu'il marcha jusqu'au nombreuses voitures. Ayant arrêtés les hommes du complots ainsi que d'avoir mis hors d'état de nuire l'homme en question, ils rentrèrent dans leur 4x4 et suivirent les véhicules de polices jusque dans la capital.







































Jeon Ji-Sub mort. Quoi de mieux non ?
Maiiiis, je ne vous cache pas qu'il me fait un peu de peine j'ai bien UN PEU hein ne me frappez pas

Petite idée de qui peut-être son père.

De son vrai nom So Ji-Sub

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