Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Partie 2

Izuku roulait doucement la nuit éclairée par les luminaires nocturnes, prêt à rejoindre la demeure familiale pour un dîner prévu le lendemain. Son père avait sûrement prévu de le marier à une femme afin de faire perdurer l'entreprise familiale avec un héritier, mais Izuku n'était pas ainsi, préférant les hommes et surtout il était un génie car il avait créé une nouvelle science pour les personnes comme lui : voulant porter la vie au moins une fois.

Il avait réussi, cependant, cela avait un coût sur son corps et puis, même s'il construisait son propre empire anonymement de ses propres mains, aidant par la même occasion des personnes qui voulaient une famille, il en était bien heureux.

Alors, une fois le feu tricolore passé à cette douce couleur qui était la même que ses yeux, il était prêt à annoncer à ses parents sont indépendance, son envie de vivre sa vie, continuer avec son empire et qu'ils n'avaient qu'à faire un autre enfant.

Son souhait avait l'air d'exaucer la seconde suivante, un camion, dont le conducteur s'était endormi l'avait percuté de plein fouet. Le sifflement continu aux oreilles, Izuku peinait à garder les yeux ouverts, entendant le crépitements des flammes et il réussi à bouger, malgré lui, son instinct de survie étant plus fort que l'envie de mourir. Il cracha un filet de sang lorsqu'il détacha la ceinture, tombant sur son cou, lui faisant comprendre que la voiture était retournée. Il sortit comme il pu, haletant, le sifflement ayant cessé et le crissement des bris de verre sous lui, arrachant ses vêtements, mais il en avait que faire. Il tenta de puiser dans ses forces, mais sa joue rencontra le bitume recouvert de débris de plastique, de fer et de verre.

Son odorat reconnu une acre de feu, de carburant, mais aussi cette odeur de pollution de ville.
Son ouïe avait laissé les sifflements de l'accident par le bruit de sirènes, de véhicules arrivants sûrement rapidement.
Sa vue se brouilla, remarquant les couleurs bicolores de la police qui patroullait toujours un peu partout entre les buildings.

Il n'avait plus la force de rester éveiller, il voulait quitter ce monde, comme s'il savait que son bout de vie n'avait pas survécu avec lui, voulant le rejoindre. Pourtant, on le maintenait en vie sur ce lit d'hôpital, sentant les blessures sur ses bras, son ventre et ses jambes.
Il avait entendu les voix de dédain de ses parents, il ne comprenait pas un traître mots, mais leur tonalité exprimait le dégoût, la colère et ils semblaient avoir dénigré leur fils qui ouvrit finalement les yeux une fois l'hôpital quitté.

Izuku sentit un masque sur lui, les infirmières s'étaient montrées agréables et compatissantes avec lui, l'aidant dans son rétablissement. Le directeur avait été plus que ravi d'apprendre que l'anonyme qui avait permis tant de couples à avoir des enfants se trouvait dans son établissement, il n'était autre que le fameux Toshinori Yagi. Cet homme remarquable lui avait tendu la main et des mois durant, ils avaient plusieurs collaborations sans que rien ne se sache, laissant des mois pour Izuku de se remettre de sa perte, se remettre de ses émotions pour se redresser plus fort et plus haut.

Toshinori lui avait conseillé de faire un sport, Izuku avait pratiquement tout essayé et finalement, il était tombé sur une vidéo sur Internet, découvrant un sport gracieux qui semblait correspondre afin de pouvoir exprimer tout ce qu'il avait à dire. C'était difficile et douloureux au début, n'ayant pas de salle, ni d'accessoires afin de pratiquer.

Son ami de l'hôpital le guida jusqu'à l'opéra où il pu découvrir une salle à l'abandon, comme lui, pensait Izuku fortement, le faisant sourire et il demanda à avoir cette dernière sous les regards surpris de deux amis. Le directeur de l'opéra avait accepté, laissant Izuku la remettre à neuve, achetant le matériel lui-même afin de pratiquer et Toshinori avait fait appel à Momo, une excellente kinésithérapeute afin de montrer quelques mouvements d'échauffements de sport. Quelques personnes de passage lui montraient des échauffements divers, puis finalement, le vert avait fini seul dans cette salle, exprimant sa douleur, sa tristesse, sa colère et sa solitude. Il avait laissé tomber son sourire, laissant place aux larmes qu'il avait contenu tant de mois, ayant montré tant de sourires afin de rassurer le monde qui l'entourait.

Il avait fini par rencontrer Shôto qui l'avait surpris, pourtant, un lien s'était créé par la musique et la danse. Leur amitié silencieuse, laissant leur passion et leurs sentiments exprimer au gré de leurs mouvements, de leur sumphonies.

Izuku ne pensait pas pouvoir sourire à nouveau, pourtant il avait réussi grâce à Shôto et Toshinori qui venaient souvent le rendre visite à l'opéra. Il savait que quelques personnes le regardaient, mais il savait aussi pertinemment qu'aucune n'avait le courage d'entrer dans cette bulle où un homme seul s'y trouvait à faire un sport qui avait été abandonné des années durant.

Le vert avait appris que tout n'était pas perdu. Il avait encore sa maison, des proches et cette envie de voir de nombreux sourires grâce à lui anonymement. Il savait que beaucoup essayaient de connaître l'homme ou la femme qui était derrière ce miracle scientifique, mais Izuku préférait l'anonymat, ne voulant pas que ses parents sache le bonheur dans lequel il était. La dernière image d'eux, même si elle n'était qu'auditive, avait laissé des séquelles comme si elles dataient d'hier, il aimait ses parents même s'ils n'étaient pas agréables, mais il avait su avancer sans eux.

Il n'avait pas tenter de nouveau de porter la vie, ayant comme ce brin de peur de perdre cette vie naissante en lui. C'était une nouvelle hantise qui ne semblait pas partir de ses pensées, préférant admirer les écrans, montrant les échographies toujours aussi brouillon mais qui rendaient les visages rayonnants de bonheur de bien nombreuses personnes.

Et rien que pour ça, Izuku était fier d'être anonyme, pouvant ainsi de sa liberté à danser tout ce dont il souhaite.

Alors, après des semaines à voir un cendré s'arrêter devant sa porte, il n'avait pu s'empêcher de se poser des tas de questions, mais aussi de laisser entre cet homme aux traits aussi durs que doux dans la bulle qu'il s'était créé. Il s'était autorisé à danser face à cet inconnu, à découvrir son monde, le laissant s'approcher, se rapprocher les semaines suivantes.

Peut-être qu'il pouvait aussi lui faire confiance ? Faire confiance à ces doux et flamboyants yeux carmin dont ses propres yeux émeraudes emplis d'espoir aimaient s'y perdre.

01.07.23
Publié le 08.07.23

{Qui a dit que derrière un sourire ne se cachait pas tant de larmes ?}

Comment avez-vous trouvez le chapitre ?

🖤

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro