Le blanc, pas si pur que ça...
État du rêve: Cauchemar
Un hangar était là où j'avais atterri, je regardais autour de moi pour savoir où, comment et pourquoi je me suis retrouvée dans cet endroit.
Je dirais plutôt un grand espace de stockages pour des vêtements car il y avais des linges blancs partout !
Il y en avais dans des cartons, des cintres, déjà empilés pour ranger et vendre.
En explorant un peu les lieux, j'ai pu rencontrer des gens mais était tous habillés en blanc et me rendit compte que moi aussi j'étais vêtue de blanc.
Autre chose, on était enfermés derrière une vitre, nous séparant de l'autre côté du hangar.
M'approchant pour toucher la vitre j'entendis quelqu'un dire "NON !" mais j'avais déjà déposé mes doigts sur la paroi lisse et un peu usé.
Tout d'un coup, cette dernière s'enfonça dans le sol; les gens me regardèrent avec stupeur.
Quelqu'un m'attrapa l'épaule me disant "Qu'as-tu fais !? Il vas essayer de nous tuer maintenant !".
Confuse, je vis tout le monde d'un air malheureusement résigné et angoissés, se mettaient tous en ligne derrière la vitre enfoncé.
Pendant ce temps, je pu observer le reste du hangar, il y avais deux sorties que j'avais repéré, l'un était en face de nous avec un rideau métallique (vous savez comme dans les magasins) à demi-ouvert, l'autre était tout à gauche, comme les entrés pour les camions de livraison avec un rideau métallique ouvert en un quart mais on pouvais passer.
En regardant à nouveau au milieux de l'espace, se trouvait à environ 5 mètres au-delà de la limite, un homme ressemblant à un cantinier de mon lycée, se positionnait sur une épaisse ligne blanche, vêtu de cette même couleur, il possédait aussi un gros couteau dans sa main droite.
Soudain, certaines personnes se sont mises à courir vers la sortie en essayant d'éviter l'homme à tout prix, l'un se faisait poignardé, un coup de couteau dans le ventre pour un autre, ceux qui avais de la chance se faisaient égratigner.
Au fur et à mesure que les cadavres jonchaient le sol dans des flaques de sang, j'angoissais sur le fais que j'en ferais bientôt partie si je ne fait rien, je pouvais constater qu'il y avais plus de personne mortes que de personnes qui on pu sortir.
D'autre personne ont fait cette astuce tel que quand il s'occupe de quelqu'un l'autre peu esquiver et sortir, je pris part à cette astuce mais différemment: J'attendis que les derniers partent pour me diriger non pas vers la sortie principale, mais celle des camion de livraison car elle était plus éloigné de sa ligne.
Pris d'une dose d'adrénaline, je courus de toute mes force vers cette sortie.
Tandis que le meurtrier en finissait avec les derniers, il me remarqua entrain de me diriger vers la mauvaise direction et commença à me courser pour me rattraper rapidement (et bougre qu'il était rapide !), mais je pu me glisser sous le rideau métallique.
Malheureusement, je me coinça les pieds sous un camion, coincée dans une impasse, presque à l'extérieur, coincée avec un tueur qui remonta le rideau avec sur son visage, du sang de ses précédentes victimes et un rictus souriant de psychopathe.
N'ayant pas pu me dégager à temps, il se mit au dessus de moi et me planta son couteau dans la poitrine.
[Ce qui me réveilla dans la vraie vie en sursaut en plein milieu de la nuit.]
Réveil (très forcé).
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