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Epilogue

Genji observa la grande salle de Gibraltar. Tout avait été décoré de façon festive.

Dix ans.

Le cyborg, avait entamé sa quarantaine. Grâce à ces implants cybernétiques, il ne ressentait quasiment pas les inconvénients de la vieillesse, mais il se dit vaguement que le temps avait passé.

La Griffe n'avait pas refait surface, même si tout le monde se doutait bien que certains de leurs dirigeants s'agitaient dans l'ombre. Enfin bon. Pour l'instant, tout était tranquille. Angela s'approcha de son mari, et ajusta sa cravate qui s'était légèrement défaite. Le japonais observa une énième fois son visage qu'il trouvait vraiment magnifique.

Des petites rides ornaient maintenant son visage, mais elle restait juvénile, comme si, malgré sa vieillesse apparente, elle resterait belle femme toute sa vie. Genji remarqua qu'elle avait enfilé une veste grise sur sa robe bleue qui lui descendait aux genoux. La blonde annonça, un peu inquiète.

« Je crois qu'il est frigide. Le cyborg s'empêcha de rire. Frigide ?
— Tu t'inquiète pour rien Angel'..
— Mais tu as vu comment il est ? Je ne l'ai pas vu sourire une seule fois dans sa vie..
— Peut-être qu'il ne veux tout simplement pas ressembler à son frère. La blonde marqua une pause avant de répondre.
— Peut-être... Le japonais posa une main protectrice sur son épaules.
— Je suis sûr que c'est ça. Arrête de t'inquiéter pour rien ! Il n'est pas frigide. Il est tout simplement.. »

Genji essayait de peser ses mots. Il allait continuer, mais un jeune homme de la quinzaine qui s'approchait d'eux l'interrompu. Des cheveux d'un noir puissant décoiffés ornés de mèches bleues claires surmontaient son visage, d'une beauté époustouflante. Son regard perçant asiatique d'un bleu déstabilisant était accentué par ses cheveux teints. Un débardeur laissait voir un bout d'un tatouage turquoise dans son dos qui représentait un dragon d'un style japonais.

Un grand sourire constamment amusé au visage, il s'approcha du couple, et annonça fièrement.

« J'ai décidé de mon métier ! Angela souria grandement en joignant ses deux mains, tandis que Genji l'observait avec méfiance.
— Ah oui ? Dit nous tout mon poussin !
— Je veux faire médecin ! »

La blonde eu des étoiles dans les yeux. Malgré le fait qu'elle disait que ses enfants pourront choisir leurs métiers, elle rêvait de pouvoir partager sa passion avec l'un d'eux. Son mari, lui se doutait de quelques chose. Il plissa les paupières sous son masque avec méfiance pour demander.

« D'accord.. Dans quelle branche ? La médecin à ses côtés, s'emballait déjà.
— Ton père a raison ! Cardiologue ? Généraliste ? Le garçon souria de plus belle.
— Gynécologue ! »

Sans hésiter un seul instant, la main de son père lui vola à la figure, dans un claquement et un sursaut de la part d'Angela à ce bruit. Le cyborg rétorqua alors froidement.

« C'est non. La blonde à ses côté regarda la joue de son fils avec inquiétude.
— Mais pourquoi tu l'as frappé ? Même si il souffrait énormément (et pour cause, son père l'avait tout de même frappé avec une main en métal) Armin riait avec idiotie. Genji râla.
— C'était mérité.
— Rien ne mérite un tel geste Genji ! Être gynécologue est une passion !
— Pour lui se n'est pas " une passion " j'ai eu son âge ! Et je sais parfaitement que moi aussi, l'idée d'être gynécologue m'a traversé l'esprit ! Je me souviens aussi très bien qu'elle a quitté mon cerveau quand j'ai reçu deux baffes, une de mon frère, et une de mon père !
— Je suis sûre que tu aurais fais un très bon médecin !
— Angela... Ce n'est pas pour la médecine...
— Pour quoi alors ?
— On en discutera plus tard, tu veux ? »

Tandis que les deux étaient en plein débat, un petit garçon de neuf ans à peu près, blondinet avec des yeux d'un brun presque noir passa à côté d'Armin. Avec exaspération, il murmura, nez dans un énorme livre.

« Quelle démonstration de ta maturité, bravo. Étonné, le plus grand regarda son cadet avec amusement, pour prendre son livre et le pointer vers le ciel. Le blond fronça les sourcils. Le noiraud demanda, avec agacement.
— Et toi ? Quelle belle démonstration de ton indifférence ! Tu sais, c'est la fête aujourd'hui ! Tu pourrais, genre.. Avec sa deuxième main, il força son petit frère à monter les commissures de ses lèvres. Je sais pas moi, sourire comme un gamin normal, n'est-ce pas, pousse de bambou ? Le benjamin s'énerva face à ce surnom et se dégagea.
— Rend moi mon livre, imbécile ! »

Les deux frères chahutèrent, et Ana, vieille, mais toujours en forme, les sépara en râlant. Mais il n'y avait pas qu'eux à séparer. Lúcio était en face d'une jeune fille de dix ans environ, qui, malgré son âge, avait une longue cigarette à la bouche.

Sa peau mâte s'alliait avec un regard perçant et des yeux bridés, pour une longue chevelure décolorée, quasiment blanche. Ses habits noirs et déchirés s'alliant avec des accessoires semblables à des têtes de morts. Le DJ lui demanda, incompréhensif.

« Euh.. Théodora ? Tu ne penses pas que fumer si tôt est pas très bon pour ta santé ? La jeune fille le fusilla du regard et elle grinça, d'une voix plutôt grave pour son âge.
— Arrête de m'appeler Théodora, c'est un nom de merde, et j'ai plus cinq ans ! Je fais ce que je veux ! Et puis cette fête, c'est de la grosse merde, j'me barre. »

C'est en laissant le pauvre brun déstabilisé et les larmes aux yeux, que la gothique s'éloigna rapidement, pour sortir de la pièce principale, pour sûrement retourner dans sa chambre. Le brésilien s'approcha alors d'Hana, qui buvait discrètement un verre de bière, malgré son ventre rond. Lúcio s'accrocha à ses épaules pour chouiner.

« Hanaaa... Elle m'a encore mal parlééé... La coréenne fronça des sourcils, et mit ses poings sur ses hanches.
— Lúcio ! Prend ton rôle de père au sérieux bon dieu ! Tu vois bien qu'elle profite de ta faiblesse là ! Tu manques d'autorité ! »

Plus loin, Ancy, qui avait bien grandit, dégustait une glace à la noisette avec un petit sourire. Depuis que sa vengeance était un peu partie, la glace avait gagné sûrement vingt pour-cents de son cerveau. Même si sa haine était toujours présente, son visage était plus serein, et sa beauté ne laisser plus à déplaire.

Ses formes s'étaient d'ailleurs bien affinées depuis le temps. Un nouvel arrivant débarqua, un grand sourire aux lèvres. Abran salua le monde, et ria avec Angela et son fils aîné, et un peu avec Genji, car l'espagnol était toujours un peu méfiant de la personne qui l'avait quand même séquestré.

Son regard émeraude rencontra enfin le visage de celle qu'il voulait le plus revoir. Ancy. En courant, il la serra dans ses bras, en collant son torse à son dos. Réflexe, elle lui envoya sa jambe dans les côtes, après avoir sursauté. En découvrant son identité, la jeune femme l'aida à se relever en s'excusant.

« Oh excuse moi Abran.. Je pensais que tu voulais m'assassiner... Le blond se frotta douloureusement les côtes, petite larme à l'œil.
— C'est rien... »

Leur relation avait bien changé en deux ans. Vu que la franco-chinoise n'était plus obsédée par sa vengeance, elle commençait à s'ouvrir un peu plus aux autres. Abran avait sauté sur l'occasion, et lui avait demandé directement sa main. Évidement, s'en suivi à ça, un énorme vent, et une menace de mort de la part de Jesse.

Mais bon. Ils s'étaient revu régulièrement, et étaient maintenant, presque amis.

Dans l'agitation de tout le monde, qui commençaient à manger et à boire, Genji demanda, distrait.

« Mais où sont donc les rois de la soirée ? »

Hanzo poussa un soupire de bonheur, et ramena la couette sur son corps nu, car des frissons commençait à le prendre. Jesse, lui, s'alluma un cigare pour en souffler la fumée, un grand sourire au lèvres. Il murmura simplement.

« Nous voilà donc mariés Chéri.. Qu'est-ce que tu veux faire maintenant ? On s'installe dans une maison en bois en face d'un lac et on s'achète un labrador ? Le japonais ria un peu, et câlina le cowboy.
— Non, je ne sais pas...
— Roh, le maire, il m'a saoulé ! »

En effet, l'homme qui les avaient mariés était un vieux un peu vieux-jeu, qui avait accepté de les unir, même si il les observait avec un regard méfiant et bizarre. En bref, l'américain s'était sérieusement ennuyé pendant son discourt, et l'archer l'avait détesté au plus haut point. Le noiraud eu un léger petit rire, et leva la main au ciel, pour observer l'anneau argenté à son doigt.

« Oui c'est vrai.. Mais quand même... On devrait peut-être les rejoindre en bas... C'est la fête de notre mariage, et on est pas là... Jesse roula pour se mettre au dessus de son amant, avec un sourire séducteur et regard bouillant.
— Oh, on s'en fou... »

Et il l'embrassa tendrement.

– VRAIE FIN –

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