Je me rassieds silencieusement, j'avais mal au cœur suite aux paroles de cette peste qui vint à se présenter après moi, je ne l'aimais pas ! Elle n'avait pas le droit de remettre ma parole en cause et n'avait aucunement le droit d'insulter ma mère de Marie Couches-toi là, surtout que ma mère n'a jamais été ce genre de femme. C'était une femme aimante, adorable, qui m'aimait malgré ses différents avec mon père, et qui aimait mon petit frère, Jamie, de dix ans mon cadet qu'elle avait eut avec mon beau-père Didier et pourtant, ils me manquaient tous les trois.

Je restai sur place, n'écoutant plus ce qu'il se passait en cours, j'avais tellement envie de pleurer, de m'en aller de cette classe. C'était la première fois que quelqu'un ne croyait pas en ce que je disais, et puis d'un côté cela me rassurait, je n'avais pas la même situation qu'auparavant, mais c'était tout de même horrible, je me faisais passer pour une menteuse, ce que je n'étais absolument pas...

Tout ceci me tourmentait l'esprit et cela se faisait remarquer par mes traits de crayons sur le bloc note que je possédais, les mots « menteuse » et « Marie Couche-toi là » parsemaient ma feuille, je les écrivais avec rage, avec tristesse, car oui j'avais fortement envie de pleurer une nouvelle fois.

Mais bon sang, qu'est-ce qu'il m'arrivait, j'étais une Stark et je me permettais de tomber dans la tristesse, alors que je n'en avais pas le droit, alors que le regard d'Olivia, cette pétasse, se montrait victorieux, elle avait trouvé une future victime, où bien l'était déjà, en la personne d'Evalia Stark ; moi !?

Et dire que je pensais que cette journée commençait bien ; merci pour le réveil J.A.R.V.I.S ! Je devrais le désinstaller, bien que cela ne ferait aucunement les affaires de papa, il en a absolument besoin.

Malgré tout, je restais silencieuse, je rageais, j'explosais de l'intérieur, mais à l'extérieur j'étais douce, calme, j'aurais aimé que tout reste comme lors du commencement de la journée. Je fermai les yeux, essayant d'écouter ce qui m'entourait, et j'entendis le froissement de quelques papiers devenus boules. Je savais parfaitement où elles allaient finir, sur moi, ou dans la poubelle à la fin du cours.

Essaye de penser à autre chose Eva... Essaye de penser à autre chose...

Je me permis de me concentrer sur le tableau de Monsieur Rolway, il se lançait dans l'introduction de son cours qu'il nous passait en même temps, au moins je pouvais apprendre quelque chose de bien pour la première fois de la journée. Car avec Monsieur Yoni cela ne, c'était pas passé de la même manière, il nous avait laissé du temps libre après les présentations, ici, on attaquait directement le cours, ce qui n'était pas mauvais, au contraire, je préférais cela à un temps libre, rapidement, je regardais chaque mouvement de notre professeur d'histoire, prenant note de ce qu'il notait, rajoutant cela à son syllabus, on ne sait jamais, tout pouvait être important et dans l'examen de décembre. Ce serait à ce moment-là que papa m'aurait sorti : Tu fais bien de t'y prendre à l'avance ! Alors que maman m'aurait sans doute dit : Tu es bien la fille de ton père, mais Eva, prends du temps pour toi car Stark ou pas, tu restes une adolescente et tu as besoin de moment shopping ! De ce côté-là, je ne savais jamais lequel écouter, et c'est ce qui est normal étant enfant.

Le cours continuait encore et encore et j'écoutais d'avantages essayant d'éviter les regards d'Olivia, des regards persistants, évidemment, c'était presque impossible, elle était installée à quelques bancs sur la même ligne horizontale que moi.

Son regard était toujours méchant, et accusateur de méfaits alors que je n'en voyais toujours pas l'utilité, alors que cependant, il me rendait encore plus mal qu'autrefois, j'aurais tellement aimé que la fin des cours soit plus rapide, mais je ne pouvais pas en demander tant, premièrement, car ce n'était pas possible et secondement, il fallait laisser le temps au temps, le laisser parler librement et nous faire jouer le rôle qu'on se devait de jouer à l'instant ; malheureusement, le beau rôle devenait le plus mauvais, celui du gentil canard devenant un canard boiteux et détesté des autres.

Mon père semblait avoir plus de chance que moi, tout le monde le croyait quand il disait quelque chose, et quand il montrait qu'il n'avait ni femme, ni enfant devant les caméras, tout le monde le croyait, et un peu trop même ! Stark n'était tout de même pas un nom de famille courant dans la société actuelle ; il fallait donc se douter que j'avais réellement un lien avec ce dernier.

Bien évidemment, ce n'était pas ce qu'il se passait. Tans pis.

La sonnerie retentit une bonne dizaine de minutes plus tard et j'attendis que cette peste sorte. Ce qui ne tarda pas longtemps, pourtant, je voyais bien que cela arrangeait Monsieur Rolway, qui s'approcha de moi, une fois tout le monde partit. Il me regardait, qu'est-ce qu'il me voulait ?

Son regard me rassurait et il ne semblait pas me vouloir du mal, je me laissai border à la confiance.

_ Mademoiselle Stark ?

_ Oui Monsieur ?

_ Alors comme cela, vous voulez rejoindre le club de musique ? C'est une chance pour vous, je suis justement le professeur qui s'occupe du club ! Si cela vous intéresse vraiment, nous recrutons aujourd'hui après les cours à la salle 004. Bien évidemment, vous devrez passer une mini audition.

Je le regardais totalement surprise alors qu'il sortit un livre de son sac, qu'il me tendit. Je le pris doucement, tout en le feuilletant rapidement, il y avait énormément de chanson. Je me demandais pourquoi ? Sans doute pour cette mini audition.

_Choisissez une des chansons pour nous la présenter au club, si votre voix plaît au groupe déjà présent, vous serez accepté, même si elle ne me plaît pas.

Je souris doucement, gardant bien précieusement le livre entre mes bras, j'allais entrer dans le club de gré ou de force. Je devais avoir confiance en moi, comme quand je suis à la maison. De plus, j'avais déjà chanté devant le club pendant la récréation, juste pour le plaisir, mais là, cela influencera mon entrée ou non. Et j'avais fortement envie d'y entrer.

Je le remerciai avant de quitter la salle de classe, ne lâchant pas le bouquin du professeur, et je me dirigeai vers le même endroit que lors de la pause de dix heures. Le « Glee » Club était toujours là, présent, chantant encore et encore, j'appréciais vraiment leurs prestations et je ne pouvais pas m'empêcher de regarder Chuck et ses camarades, ils étaient fusionnels et toujours aussi complices dans les différentes chansons, riant même à la fin de ces dernières. C'était toujours mignon à voir après tout.

Je me décidais pas de ne pas manger, regardant ensuite les différentes partitions du bouquin, cherchant la chanson que j'interpréterai dans quelques heures. Bien que je vis Peter se mettre devant moi, pourtant rien ne sortit de nos bouches, aucun son. Qui voudrait parler à une « menteuse » ou la fille d'une « Marie Couche-toi là » ?

Peter restait tout de même et je gardais mon regard sur lui en souriant lentement, essayant ensuite de retourner sur ces partitions.

_ Est-ce que tu es vraiment la fille de Tony Stark ?, me demanda-t-il calmement. C'est parce que j'ai beau regarder sur Internet, mais il n'y a aucune trace de toi, aucun signe, mais j'ai bien envie de te croire.

C'était une première et en même temps une bonne nouvelle, quelqu'un cherchait à me croire dans ce foutu lycée.

_Oui et je vais te dire pourquoi il n'y a rien sur moi dans les articles. Premièrement, mon père a toujours voulu me garder secrète tout comme son mariage et ensuite son divorce avec ma mère. Deuxièmement, ayant vécu seulement les vacances pendant dix ans chez mon père, personne ne savait rien, et maintenant cela fait 4 ans que vis l'inverse, donc les vacances chez ma mère et l'année chez mon père, il profite que se soit les vacances pour s'afficher un peu plus. Mais aucun journaliste n'a compris le stratège de mon père. Et en dernier point, est-ce qu'une photo de moi et mon père peut te faire croire en mon récit ?

N'ayant pas de réponse de sa part, je me demandais vraiment s'il en avait quelque chose à faire de ce que je venais d'expliquer. Sans doute qu'il essayait de faire la même chose que la peste d'Olivia. Rien que d'imaginer cela me donnait mal au cœur, je ne pouvais pas faire réellement confiance aux personnes de ma classe.

J'allais tout de même dans mon téléphone, allant chercher une photo de mon père et moi, une des meilleures de nous deux.

Je me souviens de ma réticence quand il avait voulut la prendre, lui avec sa casquette bleu, ses lunettes de soleil et pull street-hair pour éviter d'être reconnu et passer un moment père/fille avant que je n'aille en vacances chez ma mère. C'était marrant et au final je n'ai même pas regardé l'appareil.

Un faible sourire étira mes lèvres et je la présentai à Peter, qui l'analysa attentivement. C'était étrange, j'avais du mal à comprendre ce qu'il regardait. Bien que mon père était quelque peu méconnaissable, on pouvait bien voir que c'était Tony Stark si on regardait bien. J'avais de plus en plus peur, une peur qui ne te retire pas seulement les tripes, mais cela te retire aussi l'impression d'être en vie. Et c'était totalement ce dont il m'arrivait, et j'avais peur que cela me change totalement les idées. Je commençais à avoir confiance en Peter pour lui montrer la vérité. S'il n'acceptait pas, tant pis pour lui, et je me vengerais à ma manière.

À la manière de la fille de l'excentrique, Play-boy, milliardaire et philanthrope Tony Stark, car ce n'est pas la force qui aide... Mais l'esprit.

_Je te crois !, me dit-il alors que je commençais à perdre espoir.

_Merci... Je commençais tout de même à perdre espoir tu sais !

_Pourtant, même si personne ne le sais, quand on regarde cette photo, on voit bien que vous vous ressemblez... Vous avez les mêmes yeux, les mêmes airs. Donc je te crois... Sinon tu lis quoi ?

En plus de me croire, il commençait à me demander ce que je faisais. Ce qui était étrange, mais dont j'appréciais tout de même le geste. Je tournai les yeux en douceur et retournai ensuite à ces partitions, j'aimais tellement regarder ces différentes partitions, elles avaient toute une musique qui parlait, certes pas d'une vie que je connais bien que certaines oui. J'avais envie de prendre celle qui me représentait, celle qui représentait mes sentiments, mon histoire. J'avais besoin de parler de ma vie en chanson. Et Peter commençait à le comprendre lorsque je ne lui prêtai plus attention et qu'il vit les notes de musique, se rappelant ce dont j'avais parlé lors du cours.

Il sourit et regarda finalement avec moi les partitions, essayant de comprendre le sens des musiques, ce qu'elles semblaient faire sur mon moi intérieur, celle que je ne montrais pas au monde qui m'entourait, pas même à mes proches, la jeune fille brisée par le divorce de mes parents, la petite fille qui n'a pas su grandir avec ses deux parents en même temps. Et c'est cette image de moi que je gardai pendant toute la journée.

Il était seize heures trente lorsque je me dirigeai vers la salle 004 pour passer l'audition, j'avais choisi la musique qui tenait mon destin entre ses mains.

Beaucoup d'élèves de ma promotion passèrent, ils avaient tous de belles voix. Et un sens de l'interprétation qui entraient dans ce que j'avais vu de la part des élèves du club. Pourtant, lorsque je m'avançai au milieu de la classe en quittant le rang des auditions, tout le Club, surtout Chuck me regardèrent, ils m'avaient déjà entendu dans la cour de l'école.

Je sentis mes mains se crisper et je continuai à les regarder, Monsieur Rowlay me regardait en souriant lentement.

_ Alors qu'as-tu choisis comme chanson Evalia ?

_ What I Did For Love.

_ Très bon choix Miss, tu peux commencer.

Je hochai lentement la tête,déposant doucement la partition devant moi, laissant Rowlay se mettre au piano et ainsi commencer le jeu des notes, les harmonisant.

Et je commençai, les souvenirs au son des paroles me revenaient, je me laissais porter par la mélodie, l'harmonie. Ma voix, je la laissais porter, je laissais mon cœur crier, crier comme la petite fille qui avait souffert ainsi que comme l'adolescente qui avait subie les insultes qu'on envoyait à sa mère.

https://youtu.be/v9RofjYtuAk

La chanson se terminait dans un silence de plomb pour la seconde fois de la journée, c'était mort. J'ai fait un mauvais choix, et en plus de ce que j'avais vu pour les autres, il ne disait rien des résultats de manière direct.

Je regardai Rolway, qui hocha lentement la tête, je ne connaissais rien de sa gestuelle. Ce qui était dommage, mais c'était comme cela.

_Bien... Evalia, tu verras le résultat demain ! En attendant Merci ! Tu peux donc rentrer chez toi, et encore merci pour ta participation.

Je fermai les yeux, laissant le bouquin de musique sur le pupitre et sortis, il était 18:00 à présent, beaucoup étaient passés avant moi, et d'autres passaient encore. Je me dirigeais vers la sortie avant de voir Olivia, étrangement habillé, enfin pas vraiment, elle devait sans doute avoir réussi la sélection des Cheerleaders, voilà pourquoi elle en abordait maintenant la tenue. Elle s'approcha de moi et me bouscula ensuite, je me retournai vers elle, le regard noir, non mais !

Je la regardais lentement ce qu'il se passait, enfin ce qu'elle allait faire, je la supportais, mais vraiment pas.

_T'as un problème « Stark » ? Tu crois avoir réussi ? Mais personne ne voudra de toi, parce que t'es une menteuse, et puis ton « papa » ne te connais même pas !

_ Mais qu'est-ce que tu en sais au juste ? Qui es-tu pour savoir quelque chose de MA vie ? Ou même de celle de mon père ? Que sais-tu vraiment de la vie de Tony Stark ?!

_J'en sais beaucoup plus que toi « Stark » ! Je sais qu'il est en couple avec Pepper Pots, sa secrétaire ! Ma mère est la numéro 3 de la Stark Industries !

Je me mis à rire, d'où Pepper était avec mon père ??? D'où cette femme était en couple avec mon père??? Mon père ne l'aimait pas, et moi non plus d'ailleurs ! Le nombre de fois où elle avait dû me garder pendant les vacances ou pendant l'année quand papa partait avec les Avengers ou pour le travail et que cela avait mal tourné !

Je la détestais tout autant qu'Olivia.

En plus qu'elle possédait de fausses informations, sans doute des rumeurs de bureau, sans doute le jeu que devait jouer Pepper auprès des autres pour que mon père puisse garder un semblant de vie privée. Mais la douleur était là, très puissante.

Mon rire restait présent, nerveux, et Olivia se sentait mal à l'aise, tellement mal à l'aise que je sentais sa main s'abattre sur ma joue.

Une joue qui devint rapidement chaude et douloureuse, jamais personne ne m'avait encore frappé de la sorte, personne n'avait baissé sa main sur moi.

Je regardai ensuite Olivia, je voulais aussi lui rendre son coup, mais non rien ne venait, j'avais envie de lui donner la même sensation, mais si sa mère était la numéro trois de l'entreprise de mon père, je ne savais pas ce qui pourrait me retomber sur la tête.
Voyant que je ne lui répondis pas, elle se permit de m'en mettre une seconde, et ainsi de suite, semblant s'acharner sur moi, en plus, ses mots semblait de plus en plus francs, mais faux, mais me faisait horriblement mal au cœur, je n'aimais pas cela du tout, je souffrais de plus en plus. Pour la première fois de ma vie, je haïssais la rentrée scolaire.

_Tu mens, jamais Stark n'a eu d'enfant ! Et puis tu ne réagis pas maintenant ! Tu sais que je connais la vérité, t'as peur d'agir ! Sale traînée, tu dois être pire que ta Marie Couche-toi là de mère ! Fille de traînée !

_Je ne mens pas !!!

_La ferme !!!

Mes joues me brûlaient de plus en plus, mais elle arrêta partant ensuite. Je fermais les yeux, qu'est-ce que je me haïssais ? Qu'est-ce que je haïssais cette journée ?

Me dirigeant vers les toilettes, je remarquai dans le miroir, les gourmes sur mes joues, les rougeurs, elle n'y avait pas été de main morte, et c'est en me regardant, que je laissai les larmes que je retenais à chaque douleur, elles coulèrent, me brûlant intensément plus. Je fermai les yeux en soupirant, je voulais me retrouver un peu avec moi-même, sacrifiant ensuite du temps pour rentrer, je ne voulais pas déranger mon père, je ne voulais pas qu'il vienne me chercher, je rentrerais toute seule. Et puis il fallait que ces gourmes et ces rougeurs disparaissent !!

Je ne savais même pas combien de temps, j'étais restée dans les toilettes lorsque je sortis du lycée, il était tard, il faisait sombres et quelques élèves passaient encore les auditions pour le club de musique. J'étais sortie, mettant mes écouteurs sur mes oreilles, mettant la seule musique française que j'avais, la seule que je connaissais, elle parlait tellement de la souffrance.

J'avançais encore quelques pas, j'entendis malgré le son dans mes oreilles des coups de klaxon, mais je ne me retournais pas, ce n'était sans aucun doute pour moi, enfin, c'était certains. Je continuais encore mon chemin avant de sentir une pression sur mon épaule. Non, pas elle ! Elle allait payer, j'étais plus dans l'école.

Je serrai mon poing et me retournai vivement, voulant lui donner un coup.

Oh non ! Je rabaissai rapidement le poing, c'était papa. Mais qu'est-ce qu'il fichait là ? Et son secret ? Il pouvait toujours être avec des journalistes ou des paparazzis à ces trousses, et pourtant, il était là, devant moi.

_ Ah c'est toi...

_ Bien sûre que c'est moi Eva' ! Tu croyais que se serait qui d'autre ?J.A.R.V.I.S ?!

_ Non papa... Mais qu'est-ce que tu fais là ?

_ Je suis venu te chercher ! D'ailleurs d'où tu quittes le lycée à 20:00 ?

Je soupirai lentement et ne lui adressai pas la parole, restant dans ma musique, la remettant sur mes oreilles, je n'adressais donc plus aucun mot à mon père, je n'avais pas envie de lui raconter et puis de toute façon, il ne voyait rien, absolument rien. Pas même ma souffrance.

Je sortis rapidement une fois garée dans le sous-sol de la tour, je devais retrouver ma chambre, me permettre de pleurer, la vie ne sera plus jamais la même. Et pourtant...

La seule chose que j'entendis pour le reste de la nuit était la voix de mon père qui essayait de me parler avant de retourner à ces inventions. Je partis ensuite dans les bras de Morphée.

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Tada :3

Chapitre 4 PDV Evalia est terminé, excusez moi des mots crus, excusez moi des insultes, j'espère qu'il vous ait tout de même plus, et oui il est plus long que les autres :D

PS: J'ai galéré pour faire l'image de Tony avec Evalia :)

Bisou

GhostAdventures-SLG