Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 6

Corrigé par : Sarah Nobelois (Sur google +). Je la remercie vraiment

CHAPTER 6 DR0 (partie 1)

Je me suis rendue compte après un certain temps que je courais, que des larmes et de la morve coulaient sur mon visage et que j'étais en train d'écrire quelque chose dans mon carnet.

Mais je ne pouvais pas me rappeler pourquoi j'étais là. Je commençai à ralentir et à lire ce que j'avais écrit dans mon cahier. Le souvenir que j'avais oublié il y a un instant revint instantanément.

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !" Pendant que je criais, je courais à travers la Place Centrale à pleine vitesse. Après avoir grimpé aveuglément sur la clôture de fer, je suis tombée sur le trottoir et ai couru jusqu'à voir le dortoir devant moi. Je courus dans le dortoir aussi vite que je le pouvais, à la recherche de la chambre de Matsuda. À un moment comme celui-ci, le seul sur lequel je pouvais compter était cette personne !

En plus de courir dans le couloir du dortoir, je feuilletais mon carnet, à la recherche de l'emplacement de la chambre de Matsuda-. Je me suis souvenue de quelque chose.

" À moins que tu aies une bonne raison, ne viens pas dans ma chambre."

Mais si cela n'était pas une bonne raison alors je ne savais pas ce c'était, donc j'ai ignoré cet avertissement. Je tournai encore les pages et me souvins enfin de l'emplacement de la chambre de Matsuda. J'étais devant elle.

BANG BANG BANG BANG BANG

J'ai violemment cogné à sa porte et crié de toutes mes forces :

"M-Matsuda! C-C-C'est est une urgence, une urgence !!"

Peu importe combien de temps j'ai attendu à sa porte, il n'a pas ouvert.

"M-Matsuda ! OY, Matsuda !"

À ce moment-là j'ai remarqué quelque chose.

"Oh, vous m'avez enfin remarqué ?"

Juste en face de mes yeux se tenait un jeune petit garçon qui ressemblait étrangement à un Zashiki Warashi. (Yokai japonais.)

"... Ah, ne vous sentez pas mal de ne pas m'avoir vu. Vous voyez, ma présence a toujours été à peine perceptible, depuis que je suis né. Presque aucune des personnes que je rencontre ne me remarque. Ça ne me dérange pas, je suis habitué."

"Alors, quel est le problème ?"

".... Hein ? Que voulez-vous dire par 'quel est le problème' ?"

"Oy, oy, je veux dire vous êtes venue frapper à la porte en criant à l'heure où même les insomniaques seraient endormis, et vous ne savez même pas ce qui ne va pas ?!"

Dans ses mains, il tenait un énorme sac rempli à ras bord de pains sucrés qui seraient appropriés pour l'appétit de personnes dans une poussée de croissance. Sur le devant du sac de papier, on distinguait le logo "Handel & Gretel". Il prit un pain sucré hors du sac et le jeta dans sa bouche.

"Fhwonf, Fwe hi Fwehaf ?"

"..... Eh ? Qu'est-ce que vous avez dit ?"

Le jeune garçon mâcha et avala le pain. "J'ai dit, qu'est ce qui se passe ? Dîtes-moi. Mes talents sont assez utiles. "

Il m'a regardé de haut en bas. Accordant une attention particulière à ma poitrine et mes jambes.

"Um, avant d'arriver à ça, je voudrais demander quelque chose ... Pourquoi y a-t-il un enfant ici ? Est-ce que votre grand frère ou grande sœur - "

«Je suis Kamishiro Yuuto de la 77ème promotion. Ravi de vous rencontrer."

"..... Huh ?"

«Je suis un étudiant du secondaire."

... Quoi ?

... Oh mon dieu !

"Ne soyez pas surprise, de toute façon je me suis présenté alors pourquoi ne pas me dire votre nom ?"

"E-exact, euh ..." Je mis mon portable en face de son visage.

"Ha ha ! Eh bien, c'est une façon de vous présenter." Il répondit de l'autre côté de mon ordinateur portable. "Hmmm, Otonashi Ryouko, hein ? .... Hm, ce n'est pas une mauvaise chose. Ma patience nivelée vous attend, préparez-vous bien."

Il avait un rire innocent, tout comme un étudiant de l'école primaire.

"Eh bien" Son visage est soudainement devenu très sérieux. "Quel genre d'ennui ?" Ses yeux pétillaient de curiosité ... ou plutôt, ils me fixèrent avec curiosité. En fait, pas que de la curiosité, ils étaient plus avides, plus calculateurs, plus fanatiques.

"Vous courrez l'air paniqué, donc je ne peux que supposer que vous avez vu quelque chose de très mauvais."

Il me regarda dans les yeux avec une aura qui semblait entrer en conflit avec sa jeune apparence. Il enfonça sa main dans le sac en papier et en sortit un pain sucré, comme s'il était à la loterie.

"Oh, bien ! Pain au melon !" À ce moment, il fit un sourire innocent et fourra le pain dans sa bouche.

"Alors qu'est-ce ? Ce trouble ?"

"Euh ... il n'y a pas vraiment problème ou quoi que ce soit ... C'est juste que je devais entrer dans la chambre de Matsuda ..."

"Fwhou Fhafufhwaf".

"Désolée, je n'ai pas très bien compris ...".

Kamishiro a avalé le pain et dit "Matsuda Yasuke est sorti."

"... dehors ?"

"Ouais, dehors !"

"EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEH !" J'ai crié sans le vouloir et ma voix résonna dans le dortoir. "P-Pas possible ! Il ne peut pas, il ne peut pas ! C'est sûr que l'enfer a choisi un bon moment pour apparaître ! "

"Vous dites ça, mais c'était inévitable." Kamishiro a continué de grignoter son pain, malgré mon état émotionnel désemparé. "Je veux dire, sa nervosité est la plus élevée dans le lot 77. Après avoir cogné contre sa porte si fort je suis sûr qu'il l'aurait remarqué maintenant. Je suis dans la chambre voisine je l'ai remarqué et suis sorti pour enquêter."

"Mais s'il n'est pas là ... alors où est Matsuda ?"

"Peut-être qu'il fait une nuit blanche dans son laboratoire ? Il peut passer des nuits entières là-bas."

"Bien sûr ! Son laboratoire !" Je me suis tournée loin de lui et me suis mise à courir.

"Ah, attendez !" Kamishiro m'a arrêtée. "Vous ne pouvez pas aller là-bas maintenant, si ? Avez-vous oublié ? Je pense qu'il y a un capteur de prévention contre le crime sur la clôture de fer dans le quartier Est."

"... Eh ? Je ne peux pas y aller ?" Alors je ne peux pas compter sur Matsuda pour cela. "Ça doit être une blague ... ..." Je cherchai une solution dans mon cerveau. "Oh non.... Que devrais-je faire ? Ceci est la plus grande crise que ... "

«Alors pourquoi ne pas me le dire !" Kamishiro- regarda vers moi avec une expression calme. "Il est dommage de voir grande sœur, avec un visage si mignon, avoir une telle expression troublée ? Je ne peux pas partir. Quelle est la situation? Je vous écoute."

Quel genre d'ennuis ?! Eh bien ...

"... Hein ?"

Juste...

«Euh ... quoi ?" Apparemment mon cerveau ne savait plus. On dirait que j'avais oublié de nouveau.

"Um, attendez une minute ..." J'ai rapidement regardé dans mes notes.

"Ahaha, je dis que vous n'êtes pas obligée de le cacher. Eh bien, si ce n'était pas grave alors vous ne devriez  pas frapper à sa porte comme ça. À cette heure de la nuit, c'est presque comme si vous aviez trouvé un corps mort à partir des fichiers Kindaichi Case ! "(*Manga policiers japonais)

Un corps mort ... Dès que Kamishiro dit cela je trouva les mots dans mon carnet. À ce moment-là, je fus attaquée par une soudaine prise de conscience et j'ai arrêté de respirer.

"Hé ... ce qui ne va pas ... .. oy, vous me regardez comme si vous veniez de voir un fantôme"

Un corps mort.

Cela n'avait rien à voir avec moi.

Je devais me le répéter.

"Rien à voir avec moi ... rien à voir avec moi ... rien à voir avec moi ..." Pour moi, c'était comme la répétition d'un enchantement magique.

"C'est vrai ... Rien à voir avec moi ... Rien à voir avec moi ..." En répétant cela, je pus enfin me calmer et fermer le bloc-notes

Cahier de mémoire d'Otonashi Ryouko aux pieds du corps mort.

À ce moment-là, je criai plus fort que jamais auparavant.

"AAAAAAAAAAAAAAAH! J'AI OUBLIÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ !"

Mon ordinateur portable avait été abandonné dans une flaque d'eau. Peu importe combien de fois je pouvais dire que cela n'avait rien à voir avec moi, je ne pouvais pas nier le fait que mon nom était là, sur la scène du crime.

C'était mauvais. Mon cœur battait violemment !

"Q-q-q-q-q Que f-f-f-faire ... ?". Il avait été brisé. Le monde sous mes pieds s'écroulait. Avant, je devais reprendre mon cahier !

Poussé par mes pulsions au niveau maximal, je fonçai à pleine vitesse.

" Attendez une seconde ! "Une voix m'appela derrière moi. "Si vous voulez bien me dire ce qu'il se passe j-"

"Eh bien, si vous pouviez dire à Matsuda quand il reviendra que je le cherche. BYE !" Ai-je répondu bruyamment sans même regarder, et j'ai couru dans le couloir.

Je suis partie du dortoir et me suis précipitée sur le trottoir du quartier Sud. Je suis montée sur la clôture avec mon élan. Je courus aussi vite que possible à travers la nuit noire de la place centrale. Même à bout de souffle, je continuai de courir à pleine vitesse, arrivant vite à la fontaine.

Mais...

"... Quoi...?"

Je ressentais de l'inconfort.

Je tournai mes yeux encore et encore... oui, il y avait quelque chose d'étrange ici. J'avais tendance à croire plus les autres que ma propre tête, mais dans de telles circonstances, je ne pouvais pas douter de mon cer-

J'ai découvert le corps d'un vieil homme à la place centrale.

Le reste de ma mémoire me revint, renforçant ma certitude. La raison de mon inconfort venait de la scène devant moi.

Il n'y avait pas de corps. C'était la raison.

Ça aurait été étrange s'il y avait eu un corps, mais maintenant qu'il n'y en avait plus, c'était d'autant plus étrange.

Étrange et étrange... le sommet de l'étrangeté.

Peut-être était-il vivant ?

Ou peut-être pas mort ?

Je ne savais pas pourquoi, mais j'ai inconsciemment regardé autour de moi. À la base de trois arbres proches, j'ai vu quelque chose. C'était un cahier. Il y avait écrit "Cahier d'Otonashi Ryouko" dessus.

Mais, pourquoi ? Pourquoi mon cahier était ici ?

"Ta dadadada ta da~ !"

Je tremblai et regardai derrière moi. Il y avait une fille.

"Ha ! Ha ! Ha ! Donc tu as finalement décidé de te présenter !" Elle était dans une pose imposante, avec ses bras croisés sur sa poitrine, et semblait avoir le même âge que moi.

Elle avait l'air de sortir tout droit d'un magazine de mode. Elle avait une chevelure blonde importante et douce. Sa poitrine bombée sortait de son uniforme qui était partiellement déboutonné. Sous sa jupe courte, il y avait une paire de longues et minces jambes blanches.

À première vue, elle ressemblait à une fille normale et mignonne. Mais ses yeux, ses yeux semblaient tout sauf ordinaires. Ses yeux étaient noirs, des marécages sans fond, ils étaient si sombres qu'ils semblaient emprisonner toute l'obscurité ... Ses yeux étaient étranges.

Dès que je vis ses yeux, les feux de détresse dans ma tête devinrent rouges. Fuis, chaque cellule de mon anatomie me criait de courir. Mais en même temps, il sentait comme une résistance, futile. J'étais un prisonnier dans sa prison. Mais je ne pouvais pas rester immobile.

"... Hé, hé ? Pourquoi m'ignores-tu ? Es-tu un personnage muet par défaut ?" La jeune fille souriait, mais c'était un sourire que le pouvoir absolu a donné aux faibles, c'était un sourire de pur mal.

"Ah ! Je comprends !" Elle leva soudain la voix, leva la main et pointa son index sur mon front. "Tu viens de penser à ça. Tu regardais mes bras croisés, non ? Tu viens d'y penser, je ne croise pas mes bras sur ma poitrine. Mais c'est parce que mes seins sont trop grands pour mettre mes bras au-dessus, booon .... Si vulgaire ! Une femme qui est fière de sa taille de poitrine est horrible ! Tu dois faire confiance à tous les seins du monde ! Tu ne sais pas que toutes ces mauvaises choses sont nées de l'univers fantastique de merde de la variété des spectacles, animes et jeux ? Ah, dégueu ! C'est dégueu ! Mais tu sais, garde la foi ! Tout simplement parce que dans les zones rurales tu pourrais avoir été considérée comme la propriété chaude, quand tu sors de la ville, tu ne te compareras pas à tout le monde, mais tu veux toujours être remarquée donc tu prends bêtement tes vêtements pour toute personne, alors qu'en réalité ils peuvent voir que c'est juste une fille avec une tête vide et une pièce chaude du cul avec qui ils peuvent facilement perdre leur virginité !! Pour changer le sujet, les vierges sont les pires, non ? D'autant plus que le fait que les caractères vierges (童貞) et les caractères pour le nom de Dong Zhuo (董卓) sont si semblables ! Mais même ainsi, après tout cela, Lü Bu était encore celui qui assassinait. Bien que je pense qu'à la fin, Dong Zhuo est encore un trillion de fois mieux qu'une vierge ! .... Et, qu'est-ce que je dis ? ... Aaah, bon, bon. (Elle dit sou sou en japonais) ... L'histoire de Cao Cao (Cao Cao est prononcé Sou Sou en japonais) ? Rétrospectivement, Cao Cao qui se joint à la coalition contre Dong Zhuo est au moins un litt- "


"Hey, pouvez-vous ralentir o-Ow!" Évidemment offensée que j'ai essayé de lui couper parole, elle pressa son index sur mon front pour me faire taire.

"Ah, je me rappelle cette fois ! Nous parlions de la façon dont tu devrais avoir plus de foi dans les seins ! Tu sais, si tu as de mauvaises choses à dire sur la foi des seins, alors tu devrais juste partir dès maintenant. Ou tu devrais juste pronuncio en italien ! Si tu ne le fais pas, alors ce sera difficile pour toi quand tu vieilliras ! Compris ? Ils vont finir tombant ! Ou serais-tu une de ces personnes ? Qui finissent par vaincre les effets de la gravité ! As-tu d'une certaine manière acquis les compétences nécessaires pour vaincre la gravité ? Quelle surprise ! Eh bien, je dis, mais est-il possible qu'il est déjà fon- "

"S'il vous plaît, arrêtez-vous a- fugha" J'ai essayé de l'arrêter en étant plus insistante mais elle a poussé ses doigts dans ma bouche.

"Ferme.... attends, c'est pas ça. Qu'est-ce que tu dis quand tu veux que quelqu'un arrête de parler ? Bien, peu importe. Dans tous les cas, arrête de parler. Arrête de m'interrompre. J'adore parler, tu sais !Madame silence devrait garder sa bouche fermée. C'est mon tour en ce moment ... "

"Fhuga... Hafwhefa..."

"Ha ha ! Je ne comprends pas ce que tu dis~ !" Ma salive coulait de ma bouche sur ses doigts en un mince filet vers le sol, bien que la jeune fille ne sembla pas le remarquer du tout.

"Dans tous les cas, quel est ton nom  ?"

"Fhughahohe ... Fhuga ..."

"Oy, oy," Elle a fait un visage grincheux. "Ne dit pas fugafuga ... dit juste ton nom. Si tu ne le dis pas en trois secondes ou moins alors je vais suivre les trois règles et déchirer ta langue ".

Quand elle termina ce qu'elle disait, elle saisit ma langue de ses doigts. Elle enfonça ces derniers et les utilisa comme un étau pour ma langue.

"Okaaaaaaaay ! Un ... " Elle a commencé le compte à rebours. Huh ? Ce n'était pas une blague ? Mon corps était couvert de sueurs froides.

Attendez une seconde, je ne pouvais pas parler si elle tenait ma langue !

"Deuuuux..." Je réalisai que je tenais toujours mon portable dans ma main. Rapidement, je l'ai jeté devant ses yeux.

"Hmm. Otonashi Ryouko est-il ... Mais c'est trop mauvais !" Comme si elle était un démon de l'enfer, elle écarta sa bouche dans un sourire et se mit à rire. "Je t'ai dit de dire ton nom, n'est-ce pas ? Pas de me le montrer !"

"... FHWA ?"

"Eh bien, ça fait trois secondes, je prends votre langue maintenaaaaaaaaaaaaaaaaant !"

"Ha, HagaaAAAAAAAAAAAAAAAAfuguUUUUUUUUUUUUUUUUuuuUAAAAAA" Avec tout ce que je pouvais rassembler, j'ai essayé désespérément de résister. Ses ongles coupaient ma langue cruellement. Le goût de fer et de sang mélangé à ma salive à travers ma bouche, quand je l'ai goûté ma volonté de combattre a rapidement disparu. Elle me regardait d'un air absent, ses yeux remplis de la couleur sombre du désespoir car ils avaient absorbé tout espoir que j'avais. Elle me rappela qu'il était inutile de résister. Toute mon énergie semblait disparaître et mon ordinateur portable glissa de ma main. Je renonçai à tout et laissai mon corps se détendre.

"..... Uhu" J'entendis une voix rire.

"Uhu .... Aha ... Ahahahaha!" Elle riait bizarrement, avec une expression extatique, et les joues rouges.

"AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA!" Elle a impitoyablement, sauvagement rit. Quand elle eut fini de rire, elle a finalement tiré ses doigts hors de ma bouche.

"Kof kof" Dès qu'elle le fit, je toussai comme une folle. Le sang mélangé avec la salive coulait de ma bouche.

"Aha, je plaisantais. C'était une grosse blague ! Il n'y a aucune raison ! Pourquoi je voudrais ta langue ? Est-ce que tu viens du Moyen-Age ? "

"Kof,Kof,Kof,Kof,Kof"

"Hey, tu te demandes pourquoi je fais quelque chose comme ça ? Je vais te dire pourquoi : je veux voir ce visage remplit de désespoir. Tu vois, pour moi c'est le meilleur type d'auto présentation."

Elle se pencha vers moi alors que je toussais encore et essuya la salive de ses mains sur mon dos. Puis elle dit d'un ton très grave de la voix.

"Quoi qu'il en soit, je ne me suis pas présenté, si ?"

Je me levai, bien surprise. Je fus prise d'un mauvais sentiment, comme si quelque chose de vraiment terrible allait se passer.

"Mon nom est Tenkuujoura Byuta !"

"Tenkuujou ... ra Byu ..."

"Pas vraiment ! C'était une plaisanterie, une blague !"

Une blague ... avait-elle la notion de timing ?

«Ah, tu pensais "elle n'a pas de notion de timing ", non ?"

En outre, elle était excellente pour deviner mes pensés.

"Mais mes blagues sont tout simplement géniales, ne penses-tu pas ? Hey, n'est-ce pas Hirobumi Itou qui a dit 'Existent blagues et humour donc l'humanité peut vivre sans devenir folle' ? Hmmm, c'était un mensonge. Hirobumi n'a jamais dit une telle chose ! " (Premier ministre du japon)

Je ne savais pas comment répondre. Dans tous les cas, la jeune fille a finalement répondu.

Il a vraiment fallu un certain temps.

"Mon nom est Enoshima Junko. Je suis la "Super mannequin". Parfois, je suis une mannequin charismatique avec un public adorant. Parfois, je suis une charismatique ... Je ne peux pas encore te dire ! Pardonne-moi !"

Elle l'a annoncé elle-même et la lumière des éclairages extérieurs brillait sur son dos, comme si elle était un acteur à l'honneur sur scène.

Enoshima Junko.

Je ne pouvais pas du tout lire les pensées de cette fille, mais je savais que je ne devais pas m'associer avec elle. Mon corps a commencé à se déplacer par lui-même. Soit dit en passant, j'ai remarqué que j'avais ramassé mon carnet et écrit son nom à l'intérieur.

"... Oyoyo, qu'est-ce que tu fais ?" Enoshima me regardait avec une expression curieuse.

"Ah, euh ... c'est ..." Sans être en mesure de penser à une bonne réponse, j'ai hésité à répondre.

"Argh ! Ne me dis pas que c'est un secret ! Tu vas dans ton monde, encore !" Elle gonfla ses joues comme si elle était un petit enfant, et fit une expression de frustration. En un instant, son expression changea en un battement de cœur. J'avoue avoir été un peu impressionnée.

"Tu sais, madame silence n'est pas vraiment dans le style d'aujourd'hui, hein ? Puisque les êtres humains ont des excellentes compétences de conversation, tu devrais plus les exploiter. Pas d'attente, ce n'est pas ... C'est vraiment inutile !"

"Mais cette conversation va nul part, tout ce que vous dites n'a pas de sens"

«Arrête le "vous". Je me suis présenté plus tôt non ?" Son ton était menaçant.

"Um ... Enoshima, je n'ai pas été en mesure de comprendre quoi que ce soit de ce que vous m'avez dit pendant un certain temps, il a été trop c-"

"Arrête le "vous". Je déteste être appelée avec ces formalités !"

"Mais nous ne nous sommes rencontrées qu'il y a quelques minutes, je ne devrais vraiment pas être grossière ..."

"Nous ne sommes pas de parfaits étrangers ou quoi que ce soit. Ahaha, cela est faux ! Je veux dire, toi et moi sommes corespondanteeeeeeee !"

"... Une correspondance ?"

"Tu sais, tu as lu ma lettre, non ? Tu es venue ici parce que tu l'as lue, non ?"

Lettre ? Quelle lettre ? Je me souvins enfin.

"Eh ? Alors vous ?! "

"C'est vrai, je suis celle qui a pris en otage ta mémoire, je suis l'identité secrète de ce beau kidnappeur !"

"M-Mais, pourquoi-"

"Hey ! Ne compte pas sur moi, pense par toi-même pour une fois ! "

«Hum ... Donc tu voulais vraiment Matsuda et je de-"

"C'est absolument faux !"

J'ai essayé de mon mieux de bien répondre, mais je me fis simplement rejeter instantanément par elle avec une attitude menaçante.

"Eh bien, de toute façon, je ne peux pas vraiment t'en dire beaucoup !" Après ça, Enoshima prit l'ordinateur portable qui avait été placé sous l'arbre et le fourra loin dans son décolleté sans s'inquiéter à propos de la couverture humide.

"Ufufu, il est trop mauvais, mais je garde ce portable un peu plus longtemps. Je ne peux pas te laisser prendre part au crime oh bon, oh bon oh bon oh bon oh bon." Les yeux d'Enoshima s'écarquillèrent soudainement.

"Oh bien,bien,bien,bien,bien ?" A-t-elle dit en tournant autour, tout en regardant partout. Elle a crié comme une folle.

"C'est parti ! C'est parti ! C'est parti ! C'est parti ! C'est parti ! C'est parti ! Il est parti ! " Je fus surprise par son changement soudain et lui demanda timidement.

"Qu'est-ce qui est ... parti ?"

"C'est parti ! C'est parti ! N'est-ce pas bizarre ? Il n'y a rien ici ! Il n'y a rien ici !" Elle a couru autour du périmètre de l'arbre disant la même chose encore et encore comme un disque rayé, même si je ne comprenais pas pourquoi.

"Alors dis-moi ce qui est parti !" Je la pressai plus avec un ton plus fort de la voix.

"Hm ? Ahh ... " Finalement, elle me regarda. Contrairement à ce que j'attendais, son expression, son visage était complètement inexpressif. Elle a continué en me regardant avec un visage vacant et en parlant d'une voix terriblement monotone, d'un ton léger, comme si elle parlait de quelque chose comme une pièce de monnaie qui a chuté.

"Le corps mort, le corps qui était mort. Il y avait un corps mort ici avant !"

"Hein ?"

"Ah, tu as oublié ? Sérieusement, tu es vraiment amnesique. Je veux dire, tu as vu le cadavre aussi, non ?" Quand elle a dit cela, une autre question est venue à mon esprit.

"... Hein ? Comment savez-vous que je suis amnesique ? Est-ce que je vous l'ai dit ?"

"Ç-ça n'a pas d'importance. Il n'y a pas d'erreur, je sais qu'il y avait certainement un cadavre ici avant !" La voix d'Enoshima a augmenté de volume. Elle écarta ma question. "Tu dois me croire ! Il y avait un cadavre ici plus tôt ! Je sais qu'il était parce que je l'ai tué moi-même !"

"... Huh ?" Je suis devenue raide soudainement.

"Je veux dire, je suis venue par derrière et l'ai accroché, avec mes propres mains. Vous savez, il a mouillé un peu son pantalon ! Les vieux hommes comme lui devraient vraiment toujours avoir des couches sur la main ! "

"Hein ?" Je me tenais encore comme si quelqu'un avait jeté la confusion sur moi. En bref, malgré mon état confus, Enoshima a continué de parler avec des gestes exagérés.

"Teehee, je suis un peu hésitante à le dire, mais certains d'entre eux ont pissé sur mes vêtements. Donc je suis allée à la salle de bain pour me laver, mais alors que j'étais partie ... le cadavre semble s'être échappé. Il a totalement disparu. Alalala, il m'a vraiment surpris avec cette pisse. Donc tu sais, ce cahier que j'ai pris tout à l'heure était couvert de pisse. "

"Hein ?"

"Pour être honnête avec toi, je ne l'ai eu là que comme une sorte d'exemple pour d'autres ... Sérieusement, qui a fait cela ..."

"Hein ?"

«Honnêtement, encore ? Pourquoi avec le temps ne laisses-tu pas surgir ton caractère énergique ? "

"Hein ?"

"Quel idiot !"

C'était inutile. Dans ma tête, je ne pouvais pas donner un sens à ses mots, ils tournaient et tournaient dans mes pensées. Après un peu de temps, je fus frappée par un mal de tête terrible. Je n'aimais pas ça du tout. Quoi qu'il en soit, elle a dit qu'elle venait de tuer quelqu'un non ? Pourquoi m'avait-elle dis cela à moi ?

"Ah, tu te demandes pourquoi je t'ai dit tout cela, n'est-ce pas ?" Une fois encore, elle devinait correctement. "J'ai décidé ! Tu vas m'aider !"

".... Eh ?" J'étais dans un état second, mais j'eus une quantité énorme d'anxiété à l'intérieur de moi qui se propagea dans mon corps tout entier. "M-Moi, vous aider ? A-Attendez une seconde ! J-je ne peux pas participer à quelque chose comme ça !"

"Hein ?"

"Je l'ai dit ... Je ne peux pas participer à quelque chose comme ça !"

"Hein ?"

"J'ai dit"

"Arrête ! Tu commences à tourner trop dans ton caractère énergique !"

"Ce n'est pas, j-"

"Tu m'as mal comprise. Je veux dire, par exemple, quand tu manges un bol de ramens, tu dois attendre trois minutes après les avoir mis dans l'eau chaude. En attendant, tu te demandes à voix haute: «Pourquoi trois minutes ?» et attends une réponse. Mais personne n'a jamais répondu, si ?"

Mes pensées étaient complètement chaotiques.

"Q- qu'est-ce que tu racontes ? Cela n'a rien à voir ç- "

"Ça a tout à voir ! C'est la même chose !" A répliqué Enoshima d'un ton fort. "Je l'ai décidé, tu vas faire ce que je te dis de faire ! Je ne dois rien expliquer d'autre ! Ah, je ne me vante pas ou quoi que ce soit, mais je suis trop impatiente et tout doit être fait avant 3 minutes ! Les gens pensent toujours que je préfère les nouilles plus dures, mais la raison n'est nulle part ! Hey, tu as compris, non ?"

Tout mon cerveau s'écroula. Ne restait qu'un grand point d'interrogation.

Je ne la comprenais pas du tout.

C'était la seule et unique chose que je savais à coup sûr.

Il m'était impossible de comprendre parfaitement les autres, il est plus facile d'accomplir l'acte surhumain de gagner aux Jeux olympiques. Ce serait un exploit vraiment incroyable. Pourtant, je savais dès le début que je ne devais pas coopérer avec elle. Mais bon, au moins il n'était pas encore trop tard pour lui échapper.

C'est vrai, je devais fuir !

Enfin, c'était évident. Immédiatement, je reculai et m'écartai d'elle. Je me suis lancée sur le terrain et ai couru dans l'autre sens.

Mais Enoshima était devant moi.

"QUOI ?!" Je suis tombée sur mes fesses. Mon corps entier s'engourdit et, le dos blessé, je levai les yeux vers elle. Avant que je le sache, Enoshimanbloquait ma route. Comment avait-elle été en mesure d'y aller si vite ? C'était comme si elle avait bougé avant que j'eus même tourné et avait réussi à marcher autour de moi si elle était derrière moi en une fraction de seconde.

"T-Téléportation ?!"

«Je préfère Shukuchi*. Voilà ce qu'ils utilisent dans les romans, je préfère ça." (*Mot japonais pour désigner une technique de mouvement extrêmement rapide)

Tout mon corps se sentait battu et meurtri. Il semblait que peu importe ce que je faisais, je n'étais pas en mesure d'échapper à cette fille. Je pouvais dire que cela n'avait rien à voir avec moi autant de fois que je voulais ... mais cette fille ne me laissait pas n'avoir rien à voir avec elle.

"Hey, peut-être m'as-tu mal comprise ?" Elle s'accroupit et me regarda dans le yeux.

Je ne pouvais pas détourner le regard de ses yeux. Une alarme retentit dans ma tête. Je ne pouvais pas détourner le regard.

"Je t'ai dit, ça n'a pas d'importance si tu veux ou non, tout dépend de ce qu'Enoshima Junko décide. Voilà pourquoi, l'idée même de même fuir Enoshima Junko est juste idiote. Puisque tout dans ce monde appartient parfaitement à Enoshima Junko. Cet homme, cette fille, tout le monde et tout le monde sur cette planète sont tout simplement né et ont reçu l'hébergement sur le monde d'Enoshima Junko. Pour être bref "Tous ce qui est à toi est à moi" et "Tu es à moi" ... Toute cette planète est juste un jouet pour Enoshima Junko."

Comment ? Cette fille était tellement égocentrique et mauvaise, c'était écœurant. Je ne pouvais qu'espérer que cette fille n'était pas folle et maudire silencieusement mon manque de chance pour la course.

"Eh bien, c'est très bien. Mais, pour revenir sur le sujet, le corps mort." Elle semblait changer de discussion. Elle transféra son poids sur son autre jambe et me demanda "Hey, connais-tu le comité directeur de l'Académie de l'Espoir ?"

"Le comité directeur de l'Académie de l'Espoir?" Je vérifiai mon carnet, mais je ne pouvais pas trouver ces mots du tout. Il semblait que je ne savais rien à leur sujet. Mais pourquoi disait-elle tout à coup ce nom tout d'un s-

"Tu ne sais pas... Oh, mauvais sens, désolée ! Recommençons. On dirait que tu ne l'as pas !" Enoshima Junko étala ses mains d'une manière exagérée, tout comme dans un spectacle. "Bing Biiiing ! C'est vrai, le cadavre, qui aurait dû être ici, était celui d'un membre du Comité directeur de l'Académie de l'Espoir ! Ces gars-là ont plus de pouvoir que le personnel enseignant et le directeur, ce qui signifie qu'ils sont pratiquement en charge de toute la place. Ufufu, entendre ce genre de chose ne te rend pas toute excitée ?"

Non, cette fille était la seule à être excitée.

"Mais ne t'inquiète pas. Je veux dire, j'avais décidé de le tuer ici. C'est vrai, j'avais tout décidé dès le début. En fin de compte c'est inutile, peu importe combien ces gars essaient de cacher "cet incident"."

"... Cet incident ?" J'ai involontairement fait attention à elle. C'était juste une réaction instantanée, sans réfléchir.

"Oh bien, bien, bien, tu es intéressée après tout ? Tu es intéressée à propos de ça ? Après avoir entendu quelque chose comme "cet incident" plusieurs fois, tu ne peux pas t'empêcher d'être curieuse, c'est ça ?" Enoshima plaça ses mains sur ses hanches, se redressa et déclara lentement "Je parle du "Pire incident de l'Académie de l'Espoir"! C'est ce que j'entends en disant "cet incident"!"

Quand j'entendis ces mots, l'intérieur de ma tête était brouillon. Qu'était-ce ?

Une sensation de picotement chaud paralysa ma conscience. Dans le même temps, comme si j'étais manipulé par un mètre, j'ai commencé à écrire des mots dans mon carnet.

Le pire, le plus grand incident dans l'histoire de l'Académie.

"Tu serais vraiment bonne comme travailleuse à temps partiel. Puisque tu écris toujours tout dans un livre mémo. Mais si jamais je devais écouter parler constamment d'un gestionnaire, je les enverrais en enfer. Ce n'est pas une blague, je les prends tout droit en enfer. Premièrement, je voudrais attaquer leur famille, alors j'attaquerai tous leurs amis et connaissances afin qu'ils puissent obtenir une petite dégustation du désespoir. Puis, enfin, quand ils mendient de les tuer, je les ferais souffrir encore plus ... Quoi qu'il en soit, qui es-tu ? "

"Eh ?" Je levai mon portable surprise. Mais elle ne me regardait pas. À la place, elle cherchait quelque chose derrière moi. Je regardai pendant une brève seconde. Mais je venais de voir des arbres dans le terrain, l'obscurité de la nuit noire.

"Hey, je t'ai demandé qui tu étais, tu m'écoutes ?" Pourtant, Enoshima a continué à poser la question à l'obscurité.

Dans le coin de ma vision périphérique, je crois avoir vu quelque chose bouger. Juste après cela, quelque chose a émergé, se balançant d'un écart dans les arbres denses.

"... Eh ?"

Un masque blanc sur un fond noir est apparu. C'était le visage d'une personne. Il semblait presque entièrement recouvert de peinture blanche.

"Aah, vous m'avez trouvé, hein ?" Avec sa voix, je pus apercevoir la silhouette d'une personne hors de l'obscurité. Je pouvais voir une paire d'yeux, qui ressemblaient à ceux d'un serpent. Un long corps mince vêtu d'un uniforme scolaire noir. Il avait des cheveux noirs qui glissaient le long de ses épaules, correspondant à son vêtement. Noir sur noir. De la clairière, un visage blanc avec les yeux minces, pas très différent d'un reptile.

"Mon nom est ... Madarai Isshiki." C'était la voix d'un homme, mais il n'en avait pas l'air.

"Je vois. C'est gentil et tout, mais ... quel nom ridicule ! Enoshima Junko est mille fois plus frais !" Je pouvais voir Enoshima rugissante derrière mon épaule. Même dans cette situation, cette fille était souriante et énervée.

"Je ne peux pas discuter de ça, mais j'ai confiance en ce nom. Mais en parlant de qui, vous semblez avoir une main supérieure à autre chose."

"Huh, et ce qui est là ?"

"Si je pouvais, je voudrais parler avec vous seule. Eh bien, je suppose que cela est inévitable." Murmura dans un souffle Madarai. Il prit quelque chose de sa poche ... Qui semblait être une photo. Plaçant la photo entre lui et nous :

"... Je vois maintenant, c'est Enoshima Junko."

"Alors, tu as besoin d'Enoshima Junko pour quelque chose ?" A-t-elle répondu instantanément.

"Non, je viens d'entendre une rumeur."

" À propos de la façon dont Enoshima Junko est parfaitement parfaite, belle femme sans égale ?"

"Eh bien, c'est certainement le cas, mais non ..." Madarai sépara soigneusement ses mots et changea radicalement le ton de sa voix. "N'est-ce pas Enoshima Junko qui est impliqué dans "cet incident"?"

"Donc tu veux entendre ce que je sais à ce sujet ? Ha ha, j'peux pas !" Même après ça, Enoshima souriait aussi innocemment que jamais. Cette forte façade, elle n'avait montré aucun signe de rupture. "Je ne voudrais pas déranger. Apprends où est ta place !"

".... Je savais que vous me diriez ça. Eh bien, peut-être pas aussi facilement."

"Qu'est-ce que tu vas faire ? Ne me dis pas, tu vas utiliser la force ? Qu'es-tu ? Un vieux libéral façonné ? Une telle tactique vieille et stupide n'est à la mode et ne fonctionne que dans les films V-Cinema !"

"Je peux être vieux jeu, mais je dois vous dire, je ne suis pas du genre à y aller facile sur les femmes. Je peux seulement espérer agir bien." Madarai a jeté un regard vers nous.

Madarai et Enoshima-san se fixaient l'un l'autre. Je croyais être en mesure d'entendre un bruit sourd. Cela n'avait vraiment rien à voir avec moi, si ? Ceci était une question qui devait être réglée entre un homme nommé Madarai Isshiki et une femme nommée Enoshima Junko. Donc je n'avais vraiment rien à voir avec cela, mais si tel était le cas, pourquoi tremblais-je de peur ?

"Eh bien, tu as fini ? Si tu-"

"A-Attendez une seconde !" Je levai la voix pour protester. Enoshima-san et Madarai ont dirigé leur regard vers moi. "Euh, euh ... c'est juste, ce n'est pas étrange ce que vous dites ? Je veux dire, pourquoi suis-je l- "

"Je ne peux pas vous laisser partir, pas maintenant. Vous semblez être impliquée avec Enoshima Junko, donc il y a une possibilité que vous le soyez également dans cet incident." dit Madarai tout en léchant ses lèvres. "Vous pouvez seulement vous blâmer vous-même pour vous être impliquée avec Enoshima Junko. J'ai entendu des plaintes au sujet de cette fille depuis un certain temps maintenant. Je me suis préparé pour une seule personne, mais maintenant je dois faire face à deux? Ça fait deux fois plus de travail. Mais encore, depuis que je suis patient, la patience vient maintenant à moi."

"C-ce que ... est-ce que ...?" Tout était confus ... Non, ce n'était pas une théorie. C'était juste une écrasante majorité égocentrique et éthique. En parlant de centré sur soi cependant, il ne se comparait pas encore à la sienne.

"Hmmmm, je comprends. Tu as une bonne attitude. Mais tu sais ... cette fille a une attitude de tueuse !" Tout en disant cela, Enoshima m'a tapoté la tête en souriant. De quoi parlait-elle ? "Hey, maintenant pas le temps d'être distrait, je te verrai plus tard !"

Huh ? Voir qui ? Quand ?

"Ah ! Je vois la ressemblance ! Ton imitation de mauvaise otarie à fourrure s'est tellement améliorée. Mais je n'ai pas le temps pour ça, donc combattons rapidement maintenant. C'est ton travail, n'est-ce pas ?"

Avait-elle dit ... "combattre" ?

"Q-Q-qu'avez-vous diiiiiiiiiiiiiissss ?!" Je hurlai en jetant mes mains en l'air.

"C'est bien. Tu peux le faire, tu peux le faire ma fille ! C'est vrai, tu peux tuer, tu le peux ma fille !"

"Oy, oy, ne parlez pas avec ces mots tordus ... Dire des choses comme "peut-tuer, peut-mourir", ce n'est pas vraiment quelque chose qu'une fille du secondaire devrait dire." Quand il entendu cela, Madarai grimaça avec un amer sourire.

"Oh mon Dieu, oh mon Dieu, tu n'aimes pas tuer ?" répondit Enoshima avec un ton moqueur. "C'est tout ce que tu dois faire, j'attendais un peu plus. Je suis un peu déçue. "

"... C'est naturel. Je n'ai pas de raison de tuer. Après tout, j'ai toujours l'intention d'entendre beaucoup d'histoires. Je vais essayer de faire travailler vos bouches au moins." Madarai plissa ses yeux de serpent. Pour souligner son point, il répéta: "Mais seulement ... votre bouche."

Il était grand et se balançait comme une flamme de bougie, pire, il se rapprochait.

"Hmmmm, c'est sérieusement une attitude de gagnante."

"C'est naturel. J'ai attendu cette occasion depuis cet incident." Quand Madarai dit ces mots, il mit sa main sur sa poitrine et la serra, bien que sa main semblait contraster son apparence de serpent. Si je devais le frapper, son visage serait comme dans un manga !

"Q-Q-Q-que dois-je faire... J-Je peux faire quoi...!" Je les regardai avec mes yeux remplis de larmes.

"Je le savais, il ne peut vraiment pas être aidé." Enoshima avait l'air raide et répondit d'une voix calme et profonde. Elle la modifia ensuite pour revenir à sa normale, rafraîchissant son ton. "Tu es à la hauteur !"

"A-ATTTENNNDEZ !"

"Ahaha ! Ne t'inquiète pas, ça ira bien !" Elle me prit dans ses bras. "Bien sûr, tu coopères avec moi. Maintenant, tu seras en mesure d'afficher ta «capacité» au contenu de ton cœur! "

Huh ? Ma capacité ? A-t-elle dit ma capacité ?

"Hey, hey, quand tu es dans le pétrin. Ne te suffit-il pas de regarder dans ton ordinateur portable ?"

"Ah, oui ..."

Je me suis retournée vers mon ordinateur portable et soudainement ...

Whoosh !

Crack, bang !

Boom, boum, bruit, bam bam bam bam !

Des sons étranges firent écho autour de nous. Je levai les yeux par réflexe.

"... Eh ?" Enoshima, qui étreignait mes épaules il y a seulement un moment, était maintenant engagée dans une bataille intense avec Madarai à quelques mètres devant moi.

Kapow, vlan, bang bang bang bang !

Madarai attaquait avec ses membres comme s'ils étaient des fouets. Contre elle, Enoshima n'était pas en reste, malgré sa féminité ... Q-Quel était ce mouvement !

"Hé toi ! Tu ressembles à un cochon, arrêtes de simuler, et fais quelque chose !" Enoshima balança sa jambe autour comme si elle était un gymnaste incroyable et éleva la voix. "Continue à lire ton ordinateur portable !"

Quand elle fondit sa jambe autour, Madarai chuta au sol avec un court gémissement. Mais juste après, il tordit son corps mince et, avec l'élan qu'il avait, se retourna d'un coup comme si c'était du Break dance.

"Whoops !" Enoshima esquiva en sautant en l'air, Madarai eu l'occasion de se remettre sur ses pieds et jeta immédiatement un coup de poing de gauche à droite. De loin, il semblait trop loin pour l'atteindre, mais son poing la toucha quand même. Cependant, Enoshima réussit à bloquer son poing, renversa l'action et frappa son abdomen avec sa jambe droite.

"Gwah ... !" Madarai grogna en réponse. Les deux ont finalement cessé de se battre.

"Oh, je gagne. Ce fut un coup de pied en croissant. Depuis que je l'ai vu dans un magazine j'ai eu envie de l'essayer." Madarai resta accroupi. Enoshima avait un grand sourire sur son visage.

Comment le combat avait commencé ? Je l'avais oublié, mais il semblait n'y avoir aucun contexte lucratif.

"Je te l'ai dit, que fais-tu debout comme un idiote ?" Je me tenais immobile, stupéfaite, quand la voix frustrée d'Enoshima interrompit mes pensées. "Dépêche-toi et utilise ton bloc-notes. Je ne veux pas risquer ma vie pour rien."

Son expression changea.

Une belle tentative vint par derrière comme un fouet, le corps mince d'Enoshima fut fauché comme un morceau de papier.

"Ah !" Elle éleva la voix et sauta assez loin pour qu'il ne puisse pas l'atteindre.

"... Ouf, c'était risqué." Elle se leva de sa position à genoux, comme si rien ne s'était passé. En parlant de risque, son bras gauche semblait avoir une marque rouge. Il semblait qu'elle l'ait utilisé afin de bloquer le coup de Madarai. Je pensais que c'était étrange que les bras minces d'Enoshima ne soient pas brisés du tout par sa force. Non, il semblait que je ne sois pas la seule. Madarai avait une mine frustrée, clairement frustrée.

"Ufu, tu as peur de ma force ? Tu retiens ? Je suis la fille ultime modèle, la fille invaincue en 3 combats ! Bam !"

"Taisez-vous." Il a odieusement bafoué ces paroles. Madarai s'est approché d'elle. La bataille intense reprit. Ils faisaient un combat au corps à corps, main droite, pied droit, main gauche, pied gauche, et alternaient rapidement l'offensive et la défensive, pour revenir à l'offensive. Tout en les regardant, je commençais à écrire des choses dans mon carnet.

"ALLLLLEEEEEEEEEEEEEZ !" Enoshima venait de lui donner un coup de pied et le sourire de Madarai s'étendit. Il évita, s'accroupit, et plongea son corps. Ses longues mains se tendirent vers elle, et essayèrent de serrer sa taille.

Mais à ce moment, Enoshima enfonça son genou dans son menton.

"... Guh !"

Madarai réussit à dévier l'attaque et éviter de justesse le genou d'Enoshima. Mais il perdit son équilibre et essaya d'atterrir sur l'herbe avec sa main droite. Cependant, il débarqua son corps du côté droit, avec un "hiiiyah", et Enoshima livra un autre coup de pied. Hâtivement, Madarai a tenté de garder sa main droite, mais il était trop tard.

Le coup intense frappa la tempe droite de Madarai. Avec un bruit sec, il glissa jusqu'à la pelouse.

"Je gagne ! Je gagne ! Papillon samba a la samba en zigzag!" Dit-elle. Puis Enoshima éclata de rire.

"J'ai l'habitude de laisser ma bouche bavarde prendre en charge les choses. Eh bien, tu devrais vraiment prendre un certain temps pour réapprendre les bases. Tu dois ramper avant de pouvoir marcher !" Ricana Enoshima. Elle sortit un miroir à main de sous son uniforme et commença à fixer ses cheveux. En dépit d'avoir été juste avant dans un combat, elle respirait tranquillement, comme si de rien n'était. Je courus vers elle et applaudis joyeusement.

"V-vous l'avez fait ! D'une certaine manière vous l'avez fait ! Je pensais que vous étiez fait pour, pendant un certain temps !" L'expression d'Enoshima changea complètement.

"Huuh ?" Ses yeux se remplirent de dégoût. "... As-tu même prêté attention? Tu penses que c'est fini ? C'est un malentendu de taille d'Armageddon !"

"... Eh ?"

Je vis quelque chose se lever dans le coin de mon œil. C'était Madarai.

"C-Comment ?"

"Ce coup ne devrait pas le mettre hors d'état. Il utilisait sa propre force pour être jeté en arrière aussi. Donc il pouvait minimiser ses blessures. C'était tout simplement car j'avais trop d'avantages sur lui."

SCREEEEEEEEEEEEEECH

Je pouvais entendre le bruit de grincement du raclage métallique. Madarai grinçait des dents. Assez pour provoquer des étincelles.

"Oh, tu es en colère ... ? Es-tu en colère contre quelqu'un ... ?"

Je dirigeais mon attention en face de moi, vers Madarai. Une voix mal assurée est venue de derrière moi, dans la direction d'Enoshima.

"C'est très bien, il n'y a aucun moyen que je perde contre ce gars... probablement."

"Essayer au moins de paraître plus convaincue !" Dis-je, regardant par-dessus tout ce que je notais.

«Ne pas détourner le regard." La voix rauque d'Enoshima m'enseigna : "Ne pas détourner le regard de sa proie. C'est l'un des principes de base."

"Huh, proie ..." En revanche, je préférais penser que c'était mon cas. Alors que, grinçant des dents, Madarai tendait la main vers nous et se rapprochait, il dégageait une aura de soif de sang comme une vipère affamée, et je me sentais comme un lapin intimidé, tremblante.

Dans ce genre de situation, Enoshima était vraiment la seule sur qui je pouvais compter.

"Quoi ?" Les yeux de Madarai se sont soudainement élargis. "Q-Quand avez ..."

Quoi ? Je n'ai pas aimé ces mots. Je regardai derrière moi craintivement.

"....................."

Je regardai mon carnet nouveau et me souvins. C'est vrai, je savais maintenant.

"... C'était du Shukuchi, non ?"

Quand j'ai regardé derrière moi, il n'y avait personne. Sans le savoir, la figure, la forme et l'ombre d'Enoshima Junko avaient disparues.

"On dirait que vous avez été laissée derrière." C'était une voix derrière moi. En regardant en arrière, en face de moi, il y avait Madarai. Il me regarda avec ténacité. "Mais il n'y a personne à blâmer pour cela. Je vais devoir traiter avec elle plus tard. L'ordre vient de changer ... voilà tout."

Ses paroles étaient comme une condamnation à mort, j'ai finalement remarqué ma propre erreur fondamentale. J'avais fait confiance à Enoshima Junko. Donc je n'étais vraiment pas à plaindre sur ce sujet. Dans tous les cas, je devais faire quelque chose !

Je regardai douteusement où j'avais laissé tomber mon bloc-notes. J'ai entendu la voix de Madarai.

"... Oy, pourquoi continuez-vous de regarder ce cahier ?"

"U-Uhm ... c'est ..." Je ne pouvais pas lever mon visage. Mon esprit était vide et je feuilletais mon bloc-notes. Avec la façon dont les choses étaient maintenant, je ne pouvais pas trouver un bon moyen pour m'échapper. Je faisais de mon mieux pour gagner du temps.

"S-S'il vous plaît attendez un moment. Votre but est d'enquêter sur le pire, le plus grand incident dans l'histoire de l'Académie de l'Espoir, non ? Je ne pense pas que ça va faire du bien de me questionner sur ça. De plus que je ne sais rien à propos de l'inci-"

"Pourquoi est-ce que vous connaissez son nom ?" La voix froide de Madarai me fit tressaillir et trembler.

"Q-Que voulez-vous dire ?"

"Auparavant, je disais juste "l'incident". Comment savez-vous que c'est "le pire, le plus grand incident dans l'histoire de l'Académie de l'Espoir" ?"

Je levai mon visage timidement, Madarai me regardait avec une intensité croissante. Je regardai mon carnet immédiatement pour échapper à son regard.

"C-C'est ... eh bien, euh ... je viens seulement de l'entendre moi-même... Je-je ne savais pas qu'il y avait une telle chose ..."

"En premier lieu, dans la mesure où tu connais le nom "Le pire, le plus grand incident dans l'histoire de l'académie de l'espoir "... seulement quelques personnes dans cette école le savent. Le fait que tu aies dit ça sans aucune hésitation est suspect. On dirait que j'ai vraiment touché le jackpot."

Je ne devais pas chercher, ses yeux cruels de reptiles me souriaient. Un frisson descendit le long de ma colonne vertébrale. Mes membres froids se raidirent et je fus complètement paralysée.

C'était la fin.

Ce fut probablement la première fois depuis ma naissance que j'étais pleinement consciente de ma mort. Ma tête est devenue complètement vide.

Matsuda.

Je t'ai vraiment aimé.

Je voulais me souvenir de lui au Paradis. Mes souvenirs pour lui n'étaient que des sentiments que j'avais après tout. Donc je murmurai son nom dans mon esprit et essayai de me rappeler ...

Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda ...

Huh ?

Um, essayons encore une fois.

Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda, Matsuda ... Matsuda...

... Hein ... ?

C'était bizarre, je ne me sentais pas mieux.

"Je ne peux pas ... Rappelle-toi... ?"

Tout mon corps était flou. Le fait que je ne me souvienne pas de Matsuda a amené une attaque sans précédent de peur et de solitude.

Était-ce un sentiment de perte que je sentais,  oubliais-je définitivement Matsuda?

Ce fut un sentiment terrible que je n'avais jamais ressenti auparavant, comme si j'avais été envoyée dans les profondeurs de l'enfer. Ce fut un sentiment terrible, comme si mon corps était rongé par mille mauvais monstres.

"Qu'est-ce qui ne va pas ? Votre visage est blanc."

"... Eh ?" Je levai les yeux vers le visage de Madarai et compris enfin. L'homme en face de moi m'avait fait si peur que, maintenant, je ne pouvais pas contrôler mes émotions. À cause de cela, je ne pouvais pas me souvenir de mes sentiments pour Matsuda du tout.

"On dirait que vous êtes sur le point d'être attaquée." Il rit de sa propre blague terrible.

Matsuda, Matsuda.

Même si j'étais complètement submergée par la peur, je continuais à répéter son nom dans mon esprit. Mais j'essayais de ne pas montrer ma peur. Je murmurais désespérément son nom encore et encore. Comme une prière, je répétais son nom avec mes émotions.

Je voulais voir le visage de Matsuda. Je voulais entendre la voix de Matsuda. Je voulais sentir l'odeur de Matsuda. Je voulais toucher Matsuda. Je voulais rencontrer Matsuda. Je voulais rencontrer Matsuda. Je voulais rencontrer Matsuda.

Puis soudainement...

Mon cœur bondit et frappa lourdement ma cage thoracique, et mon sang traversa mon corps à une vitesse vertigineuse. J'avais chaud, et mes membres glacés de peur étaient une fois de plus en mesure de se déplacer.

Je voulais rencontrer Matsuda.

Je continuais à murmurer cette petite phrase, et la peur que j'avais fondu.

Je voulais rencontrer Matsuda ! Je voulais rencontrer Matsuda ! Je voulais rencontrer Matsuda !!

"... Je veux ... rencontrer Matsuda ..."

"... Hm?" Ayant remarqué mon étrangeté, Madarai prit un moment pour se distancer de moi. Peut-être qu'il était juste prudent par nature. J'ai calmement analysé et réfléchi à la situation. Restant recueillie, je relis le bloc-notes rapidement dans ma tête. Je regardai tout à coup à la première page. Je pouvais voir que j'avais écrit "une certaine capacité". Je me demandai pourquoi je ne l'avais jamais remarqué auparavant. Ceci était sûrement le pouvoir de l'amour de Matsuda !

J'allais rencontrer Matsuda ! J'allais rencontrer Matsuda ! J'allais rencontrer Matsuda !

C'était non seulement un désir, mais plus. Il était tout mon objectif maintenant, je me suis sentie plus chaude juste en y pensant.

"... Bougez maintenant." Je levai la tête de mon bloc-notes et regardai Madarai. "Je vais rencontrer Matsuda !"

"Qui est "Matsuda"... Quel est ce changement soudain de caractère ?"

"C'est l'amour bien sûr !" J'ai triomphalement crié. "C'est la puissance de l'amour, Matsuda!" Je criais sans aucune honte.

"Erm, la puissance de l'amour et tout ce qui est grand ... elle pousse les gens à faire des choses folles, parfois stupides ... Mais, même après tout cela, je ne vous comprends pas vraiment."

"... En tout cas, vous êtes une nuisance." En le disant je foudroyai du regard Madarai.

"... Vous êtes tout simplement désespérée ou quelque chose comme ça ? Ceci est un peu maladroit. Les gens désespérés sont toujours imprévisibles au meilleur des cas. Peu importe qu'ils soient forts ou faibles, ils sont toujours un souci à traiter. "

"C'est très bien, il suffit de se déplacer."

"Ouais ... Je ne vous comprends pas du tout." Il se pencha en avant et laissa tomber son centre de gravité. Il devait se préparer à attaquer. Mais c'était...

Pas mon problème.

Il ne pouvait pas éteindre mon feu rouge et chaud.

J'allais rencontrer Matsuda ! J'allais rencontrer Matsuda! J'allais rencontrer Matsuda !

J'avais décidé, donc, avec mon bloc-notes encore ouvert, je me suis avancée totalement sans défense. Madarai a réagi en abaissant son centre de gravité plus loin et a attiré son poing vers sa taille. Il était prêt. Bien que, en dépit de l'être, il ne semblait pas qu'il allait faire le premier pas. Il devait juste être très prudent. Il avait vraiment une personnalité prudente.

Mais...

Non, car ...

Je me suis arrêtée à mi foulée et ai déclaré :

"Madarai Isshiki, échec et mat !"

"Que voulez-vous dire, c'est une ligne assez boiteuse."

"... Madarai Isshiki, c'est échec et mat !!" Je ne pouvais pas penser à quelque chose d'autre à dire que ça.

J'étais comme un animal sauvage prêt à bondir sur ma proie et je baissai mon centre de gravité. Je suis restée dans cette posture et poussai tout le pouvoir que j'avais dans mes jambes.

Tout à coup je l'ai libéré !

Je me suis lancée sur le terrain avec une force explosive dans la direction opposée à Madarai.

"H-Hey !!"

Je suis partie derrière le Madarai surpris et perplexe, et il m'a couru après. Quand j'ai entendu cette voix, j'ai ouvert mon bloc-notes à nouveau et ai vérifié la première page "ma capacité".

C'était vrai, c'était ce que ma capacité était. Je pouvais l'utiliser pour me sortir de cette situation. Je ne me souvenais pas avant donc je ne savais pas que j'en avais une.

Après un certain temps, je pus entendre des pas derrière moi, me chasser.

Peut-être que je devais essayer de prédire quelque chose. Si j'avais pu prédire ce à quoi le gars qui me poursuivait pensait, j'aurais parié qu'il était en train de penser quelque chose comme ...

Je ne comprends pas cette fille.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro