Chapitre 10
CHAPITRE 10
Il y eut un grand bruit sourd et un nuage de poussière vola à travers la pièce. Les pots de peinture tombèrent et colorèrent le sol et le mur aussi vite que si quelqu'un avait dit une formule magique.
Je respirai la fumée et toussa. À chaque fois que je toussais, mon torse se relaxait.
Après avoir entendu l'explosion et vu le nuage de fumée géant, il n'y avait aucune raison pour que l'homme reste ici. C'était le résultat que j'avais prédit.
J'ouvris la fenêtre de la cabane, pris une pelle qui était près de moi et fus prête à poser quelques questions à ce Madarai. En face de lui, j'essayai de paraître forte, mais mes jambes tremblaient et mes mains étaient pleines de poussière.
"Bonjour lààààààààààà" Timidement, je regardai derrière l'étagère où il était tombé. Madarai était coincé entre l'armoire et le sol comme un sandwich. Mais il avait l'air d'être conscient, me regardant avec ses yeux fatigués.
"J'ai vraiment joué entre vos mains...." Peut-être que c'était car son torse était écrasé, mais sa voix semblait faible. "M-mais... Pourquoi n'y a-t-il pas eu d'explosion ? Quand l'armoire est tombée.... i-il aurait dû y avoir un cratère."
Je raffermis ma poigne sur ma pelle et répondis :
"Ah, la poudre était de la poudre de ciment, ce n'est pas inflammable...."
".... poudre de ciment ?"
Je réajustai ma prise sur la pelle pour pouvoir pendre mon cahier.
"Uh, voyons voir... pour avoir une explosion de poudre, il faut de la poudre compatible, de l'oxygène et un peu d'ignition... La poudre de ciment n'est pas oxygénée, donc non inflammable. En gros, tu ne peux pas avoir d'explosion sans poudre... ou quelque chose comme ça."
"Donc... tu savais ça..."
"On dit ici que le vieil homme qui possède cet entrepôt est terriblement bavard ... il semble qu'il aime tenir des conversations unilatérales avec ceux qu'il voit ... n'est-ce pas étrange qu'il raconte tout cela à une étudiante de seconde ? Il me semble que grâce à lui, j'ai été sauvée, mais je me demande si je devrais vraiment être reconnaissante ... "Quand j'ai feuilleté mon cahier, j'ai continué à parler. "Il s'avère que ce vieil homme a un intérêt pour le bricolage, et aime faire des choses lui-même. Donc, il semble que toute la poudre de ciment qu'il achète est stockée ici."
"D-donc ... tu l'as mentionnée comme un leurre ..."
"Oui, pour que je puisse vous aider à tirer l'aspirateur." Alors que je continuais à regarder mon carnet de notes, je hochai la tête vigoureusement. "Ah, d'ailleurs, avez-vous vu un film intitulé "Maman, j'ai raté l'avion" ? Le piège que j'ai utilisé vient de cela. C'est un gadget où il y a une corde placée juste au bon endroit, donc quand vous tirez l'aspirateur, les étagères tombent. Oh oui, et j'ai saupoudré de la poudre de ciment sur la corde pour la cacher. Mais puisque la corde que j'utilisais était déjà un peu ...
"... C'est assez." Madarai m'a interrompue d'une voix faible. "E-En fin de compte ... votre véritable atout était ce tour ...?"
"Hmmm, ce n'est peut-être pas tout à fait un atout. Je veux dire, à la fin de Maman, j'ai raté l'avion, c'est en fait un adulte qui effectue le coup de finition sur les voleurs et non Culkin. Il en va de même dans la suite. Donc, en réalité, mon vrai atout était que quelqu'un vienne me sauver ..."
"Je l'ai ... alors fermez-la déjà ..." Madarai avait l'air malade. "M-Mais ... n'est-il pas encore trop tôt pour célébrer ta victoire ?"
"... Oui ?" Surprise, j'ai fait une réponse étrange et mon humeur a changé. "Hum ... Qu'est-ce que vous voulez dire ?"
"Je ... je ne vous ai pas montré mon atout ... c'est ce que je veux dire ..." En disant ces paroles, Madarai retomba dans le silence.
J'essayai de l'interroger un peu plus, mais il ne répondit pas. On aurait dit qu'il avait perdu connaissance. Le laissant, avec un sentiment un peu indécis, j'ai lu dans mon carnet que la respiration de grandes quantités de poudre de ciment peut vous laisser avec une pneumoconiose, je devais sortir d'ici.
Dès que j'ai quitté l'entrepôt, le poids s'est levé de mes épaules et j'ai senti un vent rafraîchissant.
Eh bien, je pouvais laisser le service de la sécurité s'occuper de lui. Je pariais qu'une fois qu'ils attraperaient ce criminel, tout allait redevenir comme avant. Attaquer une jeune fille comme moi était un crime digne d'expulsion, au moins.
"..... Ugweh" J'ai entendu un sanglot, assez calme pour être celui d'un petit animal. Je me suis vite rendue compte que c'était moi.
Ma gorge se serra. Quelque chose de rugueux avait créé un étau autour de ma gorge et je ne pouvais pas respirer.
Que se passait-il ?
Qu'est-ce qu'il se passait ?
Dans mon état confus, je me suis rendue compte qu'il y avait une cabine téléphonique devant moi.
Mais pourquoi y avait-il une cabine téléphonique ?
Pour en rajouter à ma confusion, quand j'ai levé les yeux, au sommet de la cabine téléphonique, il y avait un visage blanc pur. J'ai supposé que c'était un visage humain. Il ressemblait à un visage familier. J'étais peut-être amnésique, mais c'était un visage très familier. Parce que ce visage était-
Le visage de l'homme qui avait été écrasé sous une étagère il y avait peu de temps, c'était Madarai.
"... Vous avez l'air choquée."
Mais il n'était pas blessé du tout, ses vêtements n'avaient pas un grain de saleté ou quoi que ce soit sur eux.
"Je sais ce que vous pensez, vous pensez "Pourquoi est-ce que l'homme que j'ai défait dans l'entrepôt il y a juste un moment est debout face à moi et m'étrangle ?" ... n'est-ce pas ?"
La bouche de Madarai se divisa en un énorme sourire.
"Rappelez-vous cet atout que j'ai mentionné ... Cela fait partie de ça." Il plissa les yeux et me regarda. J'étais réfléchie en eux. "Pour le moment, je vais juste vous briser les bras et les jambes ... ce sera douloureux, mais supportable ... Avant cela, il serait plus sage que vous vous évanouissiez. Ce serait une gêne si vous commenciez à crier." Dit-il plus impitoyablement que calmement.
Il ne me laissait pas de temps pour que je puisse plaider ma vie, alors que j'inscrivais vaguement ce qu'il disait dans mon esprit.
Madarai resserra sa prise sur ma gorge et ma conscience glissait de plus en plus. Je pouvais me sentir disparaître et je ne pouvais plus sentir mon corps.
Je ne pouvais plus parler.
Je ne pouvais plus respirer.
Je ne pouvais pas prédire.
Mon carnet glissa de ma main, mes yeux perdirent de la vue et dans ma vision floue, Madarai déformé dans le paysage.
Il était distordu.
Son corps se déformait, il tourbillonnait dans une spirale. Le ciel est devenu le sol et le sol est devenu le ciel, seule sa tête est restée la même .... Puis cela s'est froissé et je suis tombée à terre dans un bruit sourd.
J'ai regardé en face de moi.
J'étais dangereusement scintillante et hors de ma conscience, comme une bougie, incapable de déterminer si ce que j'ai vu était réel ou juste un rêve, mais je voyais quelque chose.
"Ghghghuhh !" En faisant un bruit de grenouille, Madarai tomba de sa position rapidement. Dès qu'il fut tombé, il sauta en arrière. Ses propres yeux se figèrent sur son bras droit. Juste au-dessus de son coude, son bras était tordu étrangement.
Je ne savais pas vraiment ce qui s'était passé, mais Madarai regarda son propre bras avec un visage vide, réalisant rapidement, il se mit à crier.
"H ... HIGHYAAaaaaAAARGGHHH fghwaaaAAAAAAAA !!!"
Un cri malheureux rempli de confusion, de peur et de douleur sortit de sa bouche, et expulsa tout l'air de son corps. Quand j'entendis son cri, j'étais dans une stupeur, debout au milieu d'un champ de bataille. En parlant de cela, je n'étais pas vraiment sûre du fait que je sois debout ou couchée à ce moment. Je n'étais pas vraiment sûre de quoi que ce soit, je n'étais pas vraiment sûre d'avoir entendu une voix tout à l'heure.
"Upupu, je me demande si j'ai été un peu trop dure." Dit la voix. Elle semblait proche. "... Mais on ne peut rien y faire. Ce serait embarrassant si tu mourais ici. Après tout, tu es la protagoniste de cette scène, pour une fois !"
C'est alors que j'ai remarqué quelque chose. C'était étrange, je ne l'avais pas remarqué jusqu'à présent. Une ombre sombre se tenait devant moi. Sur la silhouette noire, j'ai remarqué un autre visage familier.
Mais je ne me souvenais pas.
Je ne me rappelais plus de qui c'était.
"Upupu, tu ne peux pas te rappeler de qui je suis ? J'ai absolument raison, tu sais. Eh bien, tu n'as pas à t'inquiéter. Si tu regardes profondément en toi-même, tu t'en souviendras assez vite." Elle rit, et la voix de l'ombre s'abaissa brusquement. "De toute façon, avant tout, je suppose que je dois nettoyer ce gâchis."
Après avoir dit cela ...
Tout commença en un instant.
Et tout se termina en un instant.
D'abord, elle posa sa main sur la tête de Madarai, qui criait toujours comme s'il était brisé. Avec sa main, elle commença à lui caresser doucement les cheveux. Madarai leva les yeux, surpris, son expression demeura alors que sa tête tournait en faisant un bruit de crissement et s'arrêtant à un angle étrange.
Je ne savais pas ce qu'elle avait fait, mais Madarai tomba sur le sol immobile.Une mousse rouges jaillit de lui jusqu'à mes pieds et il convulsa.
Ah, c'était un rêve.
C'était une lutte pour garder la pensée droite mais, pour une raison quelconque, l'ambiance était beaucoup plus relaxante.
C'était vrai, j'avais décidé.
Cette scène étant trop étrange pour être réelle, j'avais décidé que je devais être dans un rêve.
"Upupupupu" Donc la raison pour laquelle le rire était en écho dans mon tympan, c'était parce que ce n'était qu'un rêve.
J'ai remarqué que l'ombre noire se tenait devant moi. Ce n'était pas différent d'un rêve non plus.
"Alors, je vais te rappeler qui je suis .... C'est vrai, tu peux m'appeler l' Ultime désespoir" je pense. Upupupu." Quand elle dit ceci, son visage familier est apparu sur son ombre.
Ses yeux étaient d'une couleur beaucoup trop profonde et sombre. Ils ressemblaient plus à des trous menant dans l'obscurité. Quand je regardai dans ces trous, je sentis ma conscience être aspirée. À l'intérieur de ces trous se trouvait une fosse noire sans fond et remplie de boue. J'ai été aspirée plus profondément dedans et la boue a érodé mon corps. Comme c'est arrivé, je pouvais entendre une voix dire à distance ...
«Revoyons-nous ! Alors je vais te tuer correctement !" Cela semblait être une voix lointaine, mais c'était une voix distincte, chuchotant à mon oreille.
Quel étrange rêve.
Avec cette dernière pensée, ma conscience s'écroula, et je disparus.
Corrigé par Sarah Nobelois.
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