Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 93 - Salle de contrôle

La marche pour atteindre le haut de l'escalier menant à la salle verrouillée est si longue, je l'avais presque oubliée. J'ai de plus en plus mal aux pieds, et j'ai l'impression que cela fait des heures qu'Ikaku et moi sommes partis de la cachette pour trouver des indices. Peut-être est-ce le cas, difficile de le savoir quand les hublots qui servent fenêtres sont si petits.

Arrivés au sommet des escaliers, je sors pour ce qui est la dernière fois je l'espère la clé de Yoshio et ouvre la porte qui fait un vacarme incroyable en étant poussé. Comment est-ce que qui que se soit ait pu entrer ici sans réveiller tout le monde ? Quoique, l'endroit est assez éloigné des dortoirs quand j'y pense, c'est donc logique que personne n'ait rien entendu si elle a été ouverte.

Au premier coup d'œil c'est... Une zone de navigation normale, pour un navire. Je ne connais pas l'utilité du moindre des boutons sur la machine au centre de la machine et la grande fenêtre permet de voir sans problème l'avant du navire et le pont... C'est ici, le "quartier général" ?

Je dis à Ikaku de regarder vers la table de commandes et commence à regarder dans des casiers autour, ouvrant et lisant le plus possible en diagonale. La fenêtre me permet de savoir que le jour est encore loin, mais on ne sait jamais où est Monokuma. Je tire quelques objets en plus de dossiers et rapports de navigation écrits à l'ordinateur, notamment des échequiers, des osselets et quelques boîtes de bonbons à moitié mangées - seule la réglisse demeure.

Je soupire et tire encore plus avant de rejoindre Ikaku qui semble essayer de déchiffrer des post-it posés sur certains boutons, avec des dessins d'assez pauvre qualité si je dois être honnête. J'appuie sur un bouton ressemblant à un appareil photo et des écrans descendent du plafond... Sur ces écrans se montrent rapidement des vidéos de surveillance des couloirs vides si ce n'est pour Taiwa-san, seul en train de peindre et fredonner un air que je ne reconnais pas. Il est tourné dos à la caméra et semble absorbé dans son travail. Kikenna-san est toujours dans sa chambre, et Nadeshiko-san a les bras croisés en surveillant le couloir. Les autres chambres sont.... Vides. Les chambres des morts n'ont plus le moindre objet a l'intérieur, et quelque chose en moi ne peut s'empêcher d'avoir mal. Il n'y a même plus de trace du pot que j'ai renversé ce matin... Enfin, plutôt hier, si j'en crois l'heure indiquée par le coin de l'écran, minuit est passé.

Je soupire, et grimace en voyant que Monokuma passe le balais dans le réfectoire... Comme si c'était le moment. Mais au moins ça a l'air de confirmer que c'est une IA et pas un cas comme la première tuerie. Je repose mes yeux sur le pannel de commandes et essaie de faire sens des autres dessins, alors qu'Ikaku se déplace à droite de la pièce.

Je décolle par curiosité le post it des caméras et le retourne pour voir un petit "sécurité" griffonné a la va vite. Je prends un autre post il, dont le dessin est complètement incompréhensible et quand je le retourne, un "huile" est inscrit... De l'huile ? Pourquoi faire ?

Ikaku m'interpelle d'un "Hey" et je me tourne pour le voir tenir dans sa main une petite poupée de chiffon, tellement délavée qu'elle n'a même plus de cheveux, et qu'une partie de ce qui devait être des couettes a disparu.

«C'etait dans un tiroir. Tu sais ce que c'est ?

- ... Je peux me tromper, mais je pense que oui.» j'inspire profondément et prends la poupée dans mes mains, tapant un oeil bouton du bout de l'ongle. Je relève les yeux vers Ikaku, et avec une voix trop petite a mes yeux je lui dis : «Il est temps d'avoir un procès.»

***

Aaaah bah enfin ! Le procès !

Je pense que lae MM est plutôt clair.e maintenant, mais si vous avez encore des soucis la suite est là pour ça. J'ai a la fois hâte de finir et pas du tout envie ahah

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro