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Chapitre 23 - Sucreries et impression

Me retrouver dans le réfectoire à parler sucreries avec une personne sans doute un peu plus âgée que moi n'était pas vraiment ce que je pensais faire en acceptant l'invitation de Nise-san. Mais c'est le cas, et elle semble vraiment passionnée par ce sujet. Je l'écoute silencieusement en grignotant des ours en gélatine aromatisés aux fruits qu'elle a sorti d'un placard de la cuisine. Elle parle de douceurs avec une précision telle qu'on pourrait la prendre pour l'ultime confiseuse.

«Et c'est comme ça que sont faits les ours en gélatine que tu manges ! Des questions ?

- Aucunement. Si ce n'est que je me demande comment vous avez toutes ces connaissances.

- Mes parents sont confiseurs, c'pour ça.» elle gobe un bonbon acidulé à la pomme et a une légère grimace «C'est tout bête, du coup avant d'aller à Hope's Peak, j'aidais dans le magasin.

- C'est rare de trouver des confiseurs artisanaux de nos jours. Ce n'est pas trop dur ?

- Bah, on mangeait parfois un peu moins mais ça allait. Et une fois que je suis rentrée à l'Académie, c'était bon, on a eu encore plus de clients ! Je pensais pas voir autant de gens devant la caisse un jour.

- Intéressant.

- D'autres questions ?

- Comment vous êtes-vous intéressée à l'hypnose ? J'ai du mal à voir un lien entre des bonbons et soigner par l'hypnose.

- T'es vraiment curieuse à propos des autres, bouboule m'en avait parlé y a pas longtemps...» Bouboule ? Parle-t-elle de Seishin-san...? «Mais bon. En gros, un jour j'ai eu des gros soucis de stress à cause de l'école. Et une amie de ma mère étant hypnothérapeute, elle m'a proposé de me soigner. J'y ai pas cru au début, mais en voyant les effets, j'ai voulu apprendre, et j'étais douée !

- C'est donc une amie de vos parents qui vous a enseigné ?

- Nan, j'ai fais en autodidacte. D'abord sur moi même, puis sur mes parents et des amis et ça a commencé à faire du bruit.

- Vous vous occupiez des maux de vos amis et votre famille ?

- Pas que.» elle rigole en mangeant un bout de réglisse, m'arrachant une très légère grimace. Je hais le goût de la réglisse. «Il se peut que j'en ai hypnotiser certains pour m'amuser ou pour m'arranger un peu. Mais vu que ça marchait, ça veut dire qu'ils avaient rien contre !

- ...

- Bouh, tu vas me juger maintenant !» je vois les larmes lui monter aux yeux, de fausses larmes «Pourquoi c'est mal de se servir de ses dons pour soi hein ? C'est toujours comme ça avec les adultes ! Je raconte des choses mais on me juge ! C'est pas juste !

- Je ne vous jugeais pas. Alors vous pouvez arrêter vos fausses larmes.

- Roh, t'es pas drôle.» et les larmes disparaissent aussi vite qu'elles sont apparues alors qu'elle fait une moue agacée «T'aurais au moins pu paniquer un peu en mode "nan, c'est pas ce que je voulais dire, pardon Chie !", mais non...

- Je ne m'abaisserai pas à traiter quelqu'un de mon âge comme une enfant à cause de son apparence enfantine ou de son comportement. Si tel était votre but, vous pouvez abandonner.

- T'es tellement formelle... Un vrai robot ! Je t'ai pas vue sourire une seule fois en plus, t'es sûre de pas être une invention du professeur Iruma...?

- Si c'est ce qui vous amuse d'imaginer.

- Roh, tu peux au moins défendre ton humanité... T'es pas drôle madame le robot !

- Je ne souhaite pas l'être, c'est donc une bonne chose.

- Ah, est-ce que c'est un début de sourire ? Yay, Chie est contente ! Le robot a sourit !»

Elle rigole joyeusement et je l'observe silencieusement, faisant attention à son comportement. Elle mange encore plus de bonbons acidulés en grimaçant encore. Une nouvelle question vient à mon esprit, sur un sujet complètement différent.

Mais avant que je ne puisse lui poser la moindre question, elle se lève et court comme une flèche vers l'entrée du réfectoire où se trouve Kikenna-san. J'ignore depuis combien de temps la chanceuse se tenait ici, j'espère ne pas l'avoir ignorée trop longtemps. Elle me fait un signe amical de la main auquel je réponds avant de partir en compagnie de l'hypnotiseuse qui sautille presque, joyeusement.

Un regard à la pendule me permet de comprendre qu'il est assez tard pour que j'aille dormir, ou tout du moins que je m'enferme dans ma chambre pour la nuit.

Je me lève donc, salue les gens que je vois rentrer dans leurs propres chambres avant de fermer la mienne à double tour. Je soupire légèrement et vais m'assoir au bureau de la chambre, reprenant l'écriture que j'avais laissé de côté quand Taiwa-san est apparu. J'en étais à aujourd'hui même assez ironiquement, je me mets donc à compléter ce "rapport".

Mais bien rapidement, une sensation désagréable m'envahit, celle d'être observée. Je regarde derrière moi, avant de me lever et chercher d'où vient cette sensation. Je ne peux pas m'empêcher d'avoir peur.

Est-ce que quelqu'un est arrivé dans ma chambre avant moi et je ne m'en suis pas apperçue ? Est-ce qu'on va encore essayer de me tuer aussi vite...?

Je prends le stylo qui m'a servit pour écrire dans ma main, la plume sera une arme de self-defense suffisante avant de m'enfuir, il me suffit de viser correctement.

Mon regard se pose un peu partout, là où quelqu'un pourrait se cacher ou sortir pour m'attaquer. Je resserts ma prise sur le stylo, la sensation d'être observée ne disparaissant pas le moins du monde.

Je me rapproche à reculons de la porte, toujours sur mes gardes, déverrouillant la serrure rapidement avant de me jeter dehors, cette affreuse sensation disparaissant enfin alors que je ferme ma porte.

S'approchent de moi Yamada-san, Shoyo-san et Taiwa-san, l'air inquiets. Ça ne m'étonne pas vraiment, Yamada-san est celle supposée surveiller les dortoirs ce soir.

«Masayoshi-san ? Tout va bien...?

- Oui. Oui, juste une sensation désagréable.

- Tu veux dormir aut' part ? Vu que tu nous as dis que t'avais été attaquée dans ta chambre, c'est normal que tu t'y sente pas bien.

- Ça ira. J'ai simplement besoin de marcher un peu je suppose, inutile de vous inquiéter.

- Et bien... Personne n'est parti de sa chambre, tu peux y aller... Essaie de faire vite, d'accord ?»

Je rassure Yamada-san avant de quitter le trio, entendant les deux garçons discuter l'un avec l'autre en faisant rire la doubleuse rapidement.

Sans même réfléchir, je sors sur le pont, profitant de l'air nocturne pour en remplir mes poumons un grand cou. Je fixe le ciel, en partie voilé par la cage de fer. Je ne connais aucune constellation, mais regarder le ciel nocturne me détends en cet instant. La fraîcheur de la brise marine sur mon visage m'aide à décompresser, la tension dans mes épaules retombant petit à petit.

Je suis sans doute juste paranoïaque et ait inventé cette sensation d'être observée par peur. Après tout, il y a peu de chances que quelqu'un tente de me tuer aussi vite alors que deux personnes sont mortes hier, l'une sous nos yeux.

Oui, c'est parfaitement inconcevable. J'ai simplement eu peur et me suis inventé une menace...

Je soupire. Pourtant... Cette sensation était si réelle. Je pouvais sentir un regard sur moi, venant de quelque part dans la pièce...

***

ET C'EST UN AUTRE CHAPITRE ÉCRIT EN UNE NUIT PAR AMBRE-

Heelu : Va dormir, t'es sensée être en forme toi. T'as d'autres projets à commencer demain.

Chhhut, je t'entends pas >>" Mais bref, un peu de FTEs avec Chie et de scénar. À votre avis, c'était quoi cette sensation ? De la paranoïa ou... Quelqu'un dans la pièce avec notre chère protagoniste ?~

Bon, je vais vous avouer que c'était pas simple d'écrire quand les musiques que t'as dans tes oreilles en premier c'est Rewrite de FMA. X) Mais au moins c'est fait~

À la base, je voulais continuer un peu les FTEs de Chie, mais ça aurait mangé son troisième alors j'ai préféré couper ici. J'espère que c'était pas trop brusque-

Sur ce, je vais écrire la suite ou dessiner ou dormir. À voir.

PS de deux jours plus tard : JE N'AVAIS PAS REMARQUÉ MAIS ON EN EST DÉJÀ À PLUS DE 1500 VUES ET PRESQUE 300 VOTES C'EST ÉNORME EN SEULEMENT 22 CHAPITRES

MERCI MILLE FOIS, QUE SE SOIT CEUX QUI SE CONTENTENT DE VOTER, CEUX QUI COMMENTENT ET VOTENT, CEUX QUI RESTENT EN FANTÔME, JE VOUS AIME TOUS ;-;

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