Jour 25 : Univers
- Nous n'aurions pas imaginé d'autre destination ! Nous n'avons pas la capacité de vous proposer d'autre bien plus exotique que vous n'avez pas déjà visité. Nous ne sommes pas en mesures de vous emmener plus loin.
- Mais voyons, nous ne sommes pas encore allez partout ! Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas nous proposer une escapade exotique, s'exclama la jeune femme.
- Non, cela me semble impossible.
- Voyons... Chérie, nous n'avons pas tant voyagé.
- Tu as raison, cela remonte à quand notre dernière balade, argumenta son mari.
- Il y a trois ans.
- Cela fait longtemps.
- Trop longtemps.
- Vous avez intérêt à nous trouver un voyage d'ici peu. Nous avons toujours privilégié votre compagnie mais si cela se passe comme ça, nous irons autre part, éclata l'homme.
Au bord de la catastrophe les deux clients s'éloignèrent de la boutique de voyage intergalactique. Le vendeur n'avait pas su quoi faire. Il savait bien que c'était de très bon client de leur entreprise mais quoi leur proposer lorsqu'il avait déjà complété deux cent trente-trois des deux cent quarante-deux destinations qu'il proposait. Les seul qui restait était les zones que leur client avait expressément voulu éviter. Cela aurait été un drame que de leur reproposer de réfléchir sur leur choix. Il n'avait plus de possibilité, il devait ouvrir une nouvelle destination exceptionnelle pour ce couple. Mais qu'elle endroit choisir ? Un lieu plaisant, assurément, mais aussi difficile d'accès sans trop être isolé. Un chalenge pour ces voyageurs aguerri. Quelque chose qui les change de leur zone de confort. Il réfléchit longuement. Il devait trouver vite.
- Halléluia ! Je sais qu'elle destination leur proposer. Nous n'avons qu'à les envoyer sur la planète Terre !
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Autre début de texte que je n'ai jamais terminé :
De loin, on ne peut pas les voir, les immenses nuages de poussières. On ne voit pas les milliers de petites lumières qui resplendissent. Si on s'ouvrait un peu plus...
Je veux lever la tête lors d'une chaude nuit d'été, perdue dans la campagne et imaginer les monstres qui me dominent. Les planètes, gigantesque mère, tournant imperturbable à nos états d'âmes. Leurs plaines de sables et de rocs se couvrent et s'effritent. Leurs gaz s'élèvent et s'envolent. Leur vie continue loin de nous.
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Grimaud
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