Il était une fois, derrière un bureau poussiéreux, une petite personne courbée tombant. Penché sur des feuilles, l'inconnu écrivait. Non pas de long dossiers froid et excentrique, non pas des lignes de chiffres inlassablement dénué de vie. Non, toutes les feuilles qui s'étalait sur le bureau en pile précaire et désordonné mais faisant fi d'une logique connue d'un seul, étaient recouverte d'une longue écriture enfantine et irrégulières alternant entre de long paragraphe et des ratures trouant le regards.

Il était fou à écrire comme ça ! Qu'est-ce qui troublait son esprit déjà bien agité ?

La nuit engloutissait les lumières et il continuait d'écrire. D'écrire avec les ombres, sa petite lampe d'office n'allait pas soulager ses yeux. Il était fou. Et il écrivait. Des histoires troublaient son esprit c'était indéniable. Il était en train de voyager.

Pourtant son bureau empêtrer le retenait. Non les feuilles le retenaient, la plume le retenait accroché, penché sur son œuvre de maître. Et les heures coulaient sans l'affecté. Il avait passé le temps de courir après le jour ou en tout cas la nuit.

Il était fou et il voyageait. Il était fou et il écrivait. Comme un fou. Si ce n'était qu'un squelette craquant, son sourire et ses doigts tremblotant révélait tous l'émerveillement que son âme créait et donnait au monde, au papier. Oh quel fou ! Quelle beauté !

Il en était a élevé des montagnes. Il avait déjà traversé les océans et maintenant il s'enfonçait dans les plaines lointaines d'une contrée inconnue.

Mais le sommeil n'allait-il pas un jour le prendre ? N'allait-il pas d'un moment à l'autre lâcher sa plume et fermer ses yeux. Mais ne tremblait-il pas déjà un peu. La lampe grésillait. Ses yeux papillonnaient. Oh ! C'est bon ! Morphée a gagné. Il emporte ce petit vieux dans le repos. Le noir a pris le pas sur les quelques rayons électrique. C'est silencieux maintenant qu'on ne gratte plus frénétiquement le papier qui s'étale sur un grand bureau de bois ancien !

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J'étais curieuse et j'ai demandé une autre version à ChatGPT. La voilà: 

Dans un coin mystique de la bibliothèque oubliée, entre des étagères de cuir vieilli et de poussière oubliée, se trouvaient des histoires en suspens. Là, où la lumière filtrait à peine à travers des pages jaunies, les récits prenaient vie, chacun portant l'essence de l'inconnu.

Les pages murmuraient des contes énigmatiques, tissés avec des fils de rêves et de mystères. Les personnages prenaient vie, dansant entre les lignes avec une grâce insaisissable, leurs destinées s'entrelaçant comme des rivières dans une forêt enchantée. Les mots étaient des portails magiques, transportant les lecteurs vers des mondes inexplorés.

Les histoires se mêlaient, formant un patchwork d'émotions et d'aventures. Là, un amour interdit fleurissait parmi les ruines du temps, tandis qu'ailleurs, des héros courageux affrontaient les ténèbres pour préserver la lumière. Chaque mot était une note dans une symphonie éternelle, chaque page un tableau dans la galerie de l'imagination.

C'était un lieu où les frontières entre le réel et l'imaginaire s'estompaient, où les rêves prenaient forme et où les histoires prenaient vie. Et à travers les mots soigneusement choisis, l'écrivain, tel un enchanteur, continuait à forger des mondes inoubliables, laissant derrière lui un héritage d'histoires qui perduraient bien au-delà des pages.

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Question : Laquelle préférez-vous ?