034 - BRUNO
Ça y est nous sommes arrivés à destination, Mariella et moi sommes enfin en voyage. On a dû régler cette histoire d'appartement avant mais, ça y allait nous sommes enfin arrivées à Oahu après 9h de vol dans son jet parce qu'elle en a un que généralement elle partage avec son petit frère. Il l'utilise quand il part en exploration. Là c'est notre tour de partir en exploration. Mariella a planifié tout ce voyage moi j'ai planifié autre chose. Ma demande en mariage. J'ai été beaucoup trop distrait ses derniers temps. Je me suis concentrée que sur Eva et sa nouvelle vie et pas sur la mienne. Je dois me concentrer sur ce que j'ai et ce que j'ai une petite amie merveilleuse qui se démène pour ma carrière et pour me donner de l'inspiration.
Du coup une fois descendu du jet nous avons attrapé nos valises pour aller rejoindre notre chauffeur qui nous attendait avec impatience. Il a récupéré nos valises pour ensuite les mettre dans le coffre tandis que ma petite amie et moi sommes aller nous installer sur la banquette arrière. Il nous a amené à notre hôtel d'où nous avons récupérer nos cartes magnétiques pour ouvrir nos chambres. On a laissé nos valises au bagagiste. La seule chose que ma ravissante petite amie avaient avec elle c'était son sac à main. Nous sommes montés dans l'ascenseur pour monter à notre étage. Quand il fut arrivé, nous avons quitté la cage pour nous approcher de notre porte que ma chérie a ouverte avec carte.
Je suis directement allée dans notre chambre et je me suis jeté sur notre lit. C'est fou ce qu'il est confortable. D'ailleurs, je ne me souviens même pas de la dernière fois que j'ai pris des vacances c'est peut-être vraiment ce qu'il me faut pour retrouver l'inspiration. C'est sûr que rester enfermer dans un appartement sombre ça n'aide pas du tout. C'est le sourire jusqu'au oreille que ma petite amie a fait son apparition dans notre chambre.
« Il est comment le lit ? Me demande-t-elle en posant son sac sur le bureau.
- Vient par ici et tu le verras, lui répondis-je. »
Elle a donc enlevé ses talons puis, elle est montée sur le lit venant se blottir dans mes bras. Le lit est très confortable encore plus confortable que mon ancien lit. Pas celui de mon nouvel appartement mais, celui de mon ancien appartement parce que c'était juste un appartement comme ça quoi. On s'en fichait un peu du confort quand on l'a acheté Eva et moi. On n'avait pas trop de moyen. Maintenant, on a les moyens, on peut se le permettre.
« Sinon j'ai quelque chose à te dire mais, le prend pas mal, me dit-elle en se redressant sur ses coudes.
- Je vais essayer qu'est-ce que tu as à me dire, lui demandais-je.
- J'ai invité tes parents, me dit-elle.
- Tu blagues ? Lui demandais-je en me redressant sur mes coudes. »
Non je n'avais pas besoin de ça. Mes parents ? On n'est pas toujours en bon terme avec mes parents mais et il n'approuve pas le fait que j'ai rompu avec Eva parce que mine de rien même si leurs relations n'ont pas bien démarré ils sont finis par l'apprécier surtout parce qu'elle avait un petit côté sportif mais, Mariella n'a rien d'une sportive c'est une fille comme les autres et pour des compétiteurs comme mes parents elle ne serait pas assez bien pour moi.
« Ben quoi je ne les ai jamais rencontrés et je me dis que c'était le moment idéal, me dit-elle.
- Oui mais, tu sais mes parents sont...
- Ouais, je sais à fond sur le sport, me coupe-t-elle en se levant du lit. Mais, ils vont quand même tomber sur mon charme, ajoute-t-elle avant d'aller ouvrir la porte étant donné qu'on venait de sonner. »
Il ne manquait plus que ça mes parents vont me pourrir les vacances et puis depuis quand c'est elle qui doit décider quand elle devrait rencontrer mes parents ? Cette décision m'appartient. Enfin d'un autre côté si ça ne tenait cas moi je ne les lui présenterais jamais. Elle a dû se dire que comme j'ai rencontré ses parents et son frère il était temps qu'elle aussi rencontre mes parents. Ce n'est pas une bonne idée.
J'ai fini par laisser tomber mon dos sur le lit. D'ailleurs, je n'y suis pas restée longtemps allonger étant donné que ma chérie m'a appelé depuis notre salon. Surement pour aller chercher les valises. Donc je me suis levé puis, je suis allé la rejoindre. J'ai pris les gosses valises et elle les petite après avoir fermé la porte. J'ai déposé les valises sur le lit et elle a fait de même avec les sacs qu'elle avait dans les mains.
J'ai repris ma place sur le lit tandis qu'elle a décidé de vider nos valises pour ranger nos affaires dans les placards et nos affaires de toilette dans la salle de bain. Je la regardais faire.
« Je ne vois pas pourquoi tu as si peur que je rencontre tes parents, me dit-elle.
- C'est que rien n'est assez bien pour mes parents, lui informais-je.
- S'il aimait bien Eva, ils vont bien m'aimer, me dit-elle. »
Je suis content de voir qu'elle soit confiante mais, ce n'est pas aussi simple que ça. Eva a dû se battre pour leurs montrer qu'elle était faite pour moi. Ils l'ont difficilement accepté. Je ne suis pas sûr qu'elle réussisse à monter dans leurs estimes. Mais, enfin c'était censé être des vacances pour trouver l'inspiration ce n'était pas censé être une bataille pour impressionner mes parents et puis, s'ils devaient venir pourquoi on n'a pas fait le voyage ensemble ? Après tous ils vivent aussi à New-York. Enfin je crois qu'ils s'y sont toujours. On ne se voit pas souvent. Quand ils partent ils ne me préviennent pas. On ne croirait pas qu'il est un enfant pas vrai ?
« Je l'espère dans ce cas lui répondis-je en m'asseyant sur le lit. »
J'ai ensuite attrapé les hanches de ma petite amie pour l'attirer contre moi. Je voulais profiter un peu de ses vacances avant que mes parents ne gâchent tout. Ma chérie savait ce que je voulais donc elle a fait glisser les bretelles de sa robe de long de ses bras pour se débarrasser du tissu puis, elle assise en califourchon sur moi.
Elle m'a enlevé mon t-shirt pour ensuite me pousser, me forçant à m'allonger. Elle s'est ensuite débarrassée du haut de son maillot avant de venir prendre possession de mes lèvres. Oui c'est ça profitons de cet instant temps que mes parents ne sont pas là. Alors que mes lèvres dévoraient les siennes, je l'ai fait basculer pour me retrouver au-dessus d'elle. Je voulais goûter à sa peau douce temps que je le pouvais encore. Parce quand mes parents vont débarquer, je peux vous dire qu'elle ne sera pas d'humeur pour le faire. Croyez-moi.
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