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Prologue

Dans la quiétude de la nuit, alors que les étoiles scintillaient paisiblement, le destin se jouait d'une jeune fille nommée Iris, la transportant loin de chez elle, vers un temps oublié...

Quelques mois plus tôt...

Les études de médecine sont si épuisantes, que jamais je ne pouvais trouver du temps pour moi. Avoir eu la chance d'intégrer l'Université d'Oxford fut une réelle chance pour moi, mais j'étais loin de m'imaginer que ma vie allait devenir celle qu'elle est aujourd'hui. Il est facile de la résumer : se lever, réviser, aller en cours, rentrer, réviser, se coucher. Et cela depuis maintenant cinq ans.

J'ai toujours eu pour habitude de m'infliger une pression constante, l'envie de devenir chirurgienne m'animait depuis ma plus tendre enfance, et pour moi cette profession était ma seule option.

En cinq années, je n'ai pas eu une seule seconde à m'accorder, la seule personne que je connaissais sur ce campus était ma colocataire de chambre universitaire Amy. Je ne n'apercevait que très peu constamment en train de s'ambiancer dans les fraternités avoisinantes. On a pas tous les mêmes priorités, même si après toutes ces années elle me proposait au moins deux fois par semaine de l'accompagner, la réponse restait la même : non.

J'ai toujours été cette étudiante, très discrète, qui passait inaperçue, avec aucune rumeur sur elle, peu voir, pas d'ami. Plutôt que de me plonger dans la vie nocturne ou de chercher des relations amoureuses, je préfère me concentrer sur mes objectifs académiques. Ma motivation et mon sérieux me poussaient à consacrer tout mon temps et mon énergie à approfondir mes connaissances et à exceller dans mes cours. Bien que je n'aie jamais eu une vie sociale très active, ma détermination et mon engagement envers mes études faisaient de moi une élève remarquablement disciplinée.

Aujourd'hui nous étions le 31 octobre, jour d'Halloween ou comment dire : la  fête la plus ringarde de l'année. Une journée parfaitement banale, mais qui était rythmée dans mes déplacements dans le campus, par des écervelés s'amusant à jaillir de derrière des portes, avec des masques de personnages de films d'horreur affreusement reproduit.

Arrivant dans ma chambre, je déposais toutes mes affaires sur mon lit, un tas de classeurs plus lourds que moi sans nul doute. La porte s'ouvrit derrière moi pour laisser apparaître Amy ma compagne de chambre avec un maquillage de morte vivante.

– Iris, tu ne vas jamais deviner !

Bien sûr que j'avais deviné.

– Laisse-moi deviner quand même, ce soir, tu vas à une fête d'Halloween ? J'ai répondu de manière faussement intéressée.

Elle me regarde fixement, surprise de ma réponse.

– Comment tu as pu deviner ? Me répondis-t-elle subjuguée.

Depuis maintenant cinq ans on partageait la même chambre, depuis cinq ans elle allait à la même fête d'Halloween, qui se déroulait au manoir pas loin du campus chaque année, depuis cinq ans elle me posait la même question, avec un maquillage de plus en plus délirant chaque année. J'ai de la chance d'avoir une colocataire, comme elle. C'était l'étudiante la plus banale de la terre, "sortir, sortir et encore sortir", mais qui excellait dans ses études de psychologie. En cinq ans, je la connaissais par cœur. Je pouvais même deviner, sa réplique suivante "Tu es beaucoup trop intelligente pour nous petit Einstein, ça te dit de m'accompagner cette année ?"

– T'es trop intelligente Iris, s'il te plaît accompagne moi cette année, ça va être beaucoup trop cool, tu verras !

Chaque année j'avais ce doute de me dire, pourquoi pas cette année ? Puis, ma raison me ramenait toujours à moi, si j'y allais j'allais perdre du temps dans les révisions, être fatiguée pour la journée du lendemain, et tout simplement, je n'avais pas trop envie de jouer la plante verte. Mais je ne sais pas, après ma discussion avec moi-même ce matin dans la salle de bain, me réprimandant de ne rien faire de ma vie, d'avoir une vie de jeune adulte ennuyante au possible. J'ai répondu sans réfléchir.

– Bon c'est d'accord, mais ça sera la seule et unique soirée étudiante de ma vie et...

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que Amy me sautait déjà  dans les bras.

Je repris vite mes esprits, cette soirée était une soirée costumée, mais cela m'étonnerait que j'ai de quoi m'habiller dans mon placard rempli de vêtements basiques.

– Amy, par contre j'ai un problème et avant que je change rapidement d'avis, il me faut une tenue, mais je te préviens rien d'extravagant ! Lui ai-je dit pour la prévenir.

Déjà que je n'allais à aucune soirée, si en plus j'étais la seule à ne pas m'habiller comme on devait le faire, la honte rien de tel pour se faire remarquer.

J'aurais tellement aimé penser comme elle, passer outre le regard des gens, faire ce qu'il me plaît, tout ce que j'aime, et dire tout ce que je pense haut et fort. Mais, je n'ai pas été éduqué comme ça, j'ai été éduqué par ma grand-mère, qui est malheureusement partie aujourd'hui. J'ai été élevé dans la simplicité, dans la campagne en Écosse. Le choc a été brutal quand je suis arrivée en Angleterre pour mes études. Les anglais sont tellement plus dans l'extravagance.

Je n'ai jamais connu mes parents, apparemment décédé dans un accident de voiture dans lequel moi toute petite enfant j'aurais survécu. J'ai toujours fait un très grand travail sur moi-même pour essayer de ne pas me souvenir de ce drame. Néanmoins, il m'arrivait d'y penser quelques fois. Je n'ai qu'une photo avec eux, on me voit jeune enfant dans les bras de mon père. J'ai toujours cette photo avec moi, pour me rappeler de la personne que je suis devenue aujourd'hui.

Amy m'interrompit dans mes pensées.

– J'ai ce qu'il te faut ! Tu te souviens il y a trois ans, j'ai porté une robe de princesse pour le bal masqué du printemps. Tu peux reprendre cette robe, personne ne doit s'en souvenir, je suis restée à peine vingt minutes à la soirée... m'expliquait-elle gênée.

Mais oui ! Cette soirée, où en me réveillant, j'ai tourné la tête et elle était dans le lit avec Zack, le capitaine de l'équipe de baseball. Je m'étais vite forcé à oublier cet épisode gênant pour elle comme pour moi. Mes yeux m'en brûlaient encore quand j'y pensais.

Cette robe dans mes souvenirs était plutôt jolie, et pas spécialement volumineuse. Elle s'était quand même permis de me proposer le costume de Cléopâtre, mais la couleur blonde de mes cheveux aurait tout gâchée. Un costume de Catwoman, mais beaucoup trop sexy à mon goût. Un costume de poulet, oui de poulet, je ne vais pas m'attarder sur ce pourquoi je préférais quand même cette robe de bal.

Amy m'a aidé à l'enfiler. Pourquoi autant de couches, et un corset. Oui oui, un corset aussi serrant que j'étais sûre de ne rien pouvoir avaler de la soirée. Puis s'est amusé à lasser le dos de la robe.

Je me dirigeais vers le miroir de la chambre quand Amy me stoppa.

– Attends avec ça, ça sera encore mieux.

Amy était aller dans ma boîte à bijoux prendre le collier avec un camé, que ma grand-mère m'avait confié peu de jour avant qu'elle ne parte.

– Comment tu sais que j'ai ça ? Je lui ai demandé, surprise qu'elle me le tende, car je ne le porte jamais.

Elle me regarda d'un air un peu gênée.

– Je t'ai déjà vu le prendre dans tes mains, et le regarder une fois un soir. Mais je t'ai jamais vu avec, je me suis dis que c'était la bonne occasion pour le porter. Il va très bien avec la robe.

Elle n'avait pas tort, celui-ci se fondait parfaitement dans le costume. Je ne le portais jamais, car c'était un cadeau de ma grand-mère et le voir remontait en mois des souvenirs que je préférais oublier. Amy, me le passa autour du coup et je me dirigea vers le miroir. On aurait dit que j'étais tout droit sortie d'une série télévisée d'époque. La couleur lila, de ma robe faisait ressortir le vert de mes yeux et ma chevelure blonde un peu ondulé.

– T 'es parfaite. Me chuchota Amy derrière moi dans le miroir.

Elle n'avait pas tort, pour l'une des premières fois de ma vie, je me trouvais on va dire plutôt jolie. Je me regardais en détail dans le miroir passant ma main de mon visage à mon buste, en enlevant quelques froissures sur ma robe.

Nous nous sommes mis rapidement sur le départ. En effet, le temps était plus que maussade en cette fin octobre. Il faisait très froid, une averse se préparait, le temps était presque orageux. J'ai vite enfilé un manteau long et entouré mon cou d'une écharpe multicolore bien chaude. J'avais un style d'enfer avec cette robe de princesse ... Mais, comme j'ai toujours dit "confort avant le style".

Amy avait commandé un taxi pour vingt heures, le temps pour nous de faire nos dernières retouches maquillage et coiffure. Mon maquillage était simple comparé à celui d'Amy, où elle ne cessait de rajouter du faux sang partout sur son corps, tellement son costume laissait apparaître le moindre de ses atouts.

- Tu es un peu une morte vivante qui s'est fait arracher tous ses vêtements avant de mourrir ? Lui ai-je demandé ironiquement.

Un regard suffit pour que je comprenne ses attentions pour la soirée. Encore une soirée pour elle à faire partie des filles qui vont butiner autour de Zack... Le nombre de fois où, je lui ai dit d'abandonner avec ce mec, qui ne cherchait que des coups d'un soir. Elle était beaucoup trop crédule, quand il s'agissait des mecs.

– Bon allez, tu as tout ? m'a-t-elle demandé avant de se diriger vers la porte.

J'avais acquiescé, après tout je n'avais pas besoin de grand chose si ce n'est mon téléphone. Puis c'était moi qui l'attendait depuis maintenant quinze minutes, avec mon manteau sur le dos.

Le taxi était déjà en bas à attendre, nous sommes vite montées à l'intérieur.

Après à peine dix minutes de trajet, il nous a déposés pile devant ce manoir. Je voyais déjà au loin des costumes tous plus farfelus les uns que les autres. Puis on entendait déjà la musique depuis le taxi.

– Bonne soirée mesdemoiselles. Confia le chauffeur.

Cette soirée, j'allais la subir. Tout ce que je déteste : de la musique commerciale au possible, des hommes et des filles en chaleur avec de l'alcool à foison dans le sang, des regards emplis de jugement. Je me suis vite mise à regretter mon choix.

Amy m'a adressé un regard compatissant en me disant.

– Ça va être génial tu vas voir, on ne se lâche pas de la soirée ok ?

J'ai simplement hoché la tête, de toute façon je ne connaissais qu'elle. Puis je n'avais pas envie de me perdre dans cette bâtisse plus que angoissante aux premiers abords. On aurait dit une ancienne maison de maître. Apparemment, celle-ci avait été réhabilitée en fraternité, pour les étudiants les plus fortunés. En revanche, il est vrai que celle-ci est réellement imposante et dispose du charme de l'ancien.

Avec Amy nous nous sommes frayées un chemin à l'intérieur le tout déposant nos manteaux, et écharpes sur un fauteuil, il y avait une telle chaleur à l'intérieur, ça en était peu respirable. J'ai très vite remarqué Zack et toute son équipe au loin, et je n'étais pas la seule visiblement.

– Viens Iris, on va leur dire bonjour ! s'écria Amy à travers la musique.

– Super... j'ai balbutié.

Elle me tenait la main parmi toute cette foule pour accéder à la cuisine, là où Zack et son équipe jouaient au bière pong. J'entendais déjà les "bois, bois, bois, bois" au loin. Comment on peut aimer l'alcool, cette boisson peut nous mettre dans nos pires états.

– Hello tout le monde ! avait dit Amy en faisant la bise à tout le monde autour de la table.

J'avais fait mine de suivre, en disant bonjour à des gens que je ne connaissais que de vue, ou pour la plupart que je ne connaissais même pas. Un garçon s'est figé à mon approche.

– Bonjour. Je lui ai dit en m'approchant et en tendant ma joue.

– Salut. avait-il tout simplement répondu, en me faisant la bise et en détaillant ma robe de bas en haut.

Il m'a pas l'air commode celui-ci mais j'avais l'air de l'intrigué.

Pendant plus d'une trentaine de minutes on les avait regardé enchainer les verres un à un. Mais, ce garçon j'avais une impression de déjà vu. Et là, ça m'est revenu assez soudainement. Lui et moi, nous sommes dans le même cours d'anatomie, mais oui. Le garçon à qui j'avais apparemment volé la place, dans un amphithéâtre de plus de trois cents places presque vide. Ce jour là, j'en avais pris pour mon grade, et le pire c'est que je n'étais laissé faire, et étais partie, m'asseoir sur le rang du devant.

La partie finie, Amy s'approcha de mon oreille et me dit.

– Je crois t'as une touche regarde comme le mec là-bas te fixe.

Elle parlait de ce mec du cours d'anatomie, c'était pas faux il me fixait depuis maintenant plus de cinq minutes.

– Je ne sais même pas comment il s'appelle Amy.

– Mais si, c'est Jake ! Il joue au baseball dans la même équipe que Zack, c'est mon meilleur ami.

Rien que cette info "meilleur ami de Zack" non merci, cela me dégoûtait au plus au point. Puis j'ai pas le temps pour des gamineries comme ça.

– Amy, j'ai vraiment pas le temps pour ça.

– Mais allez, va lui parler, t'as besoin d'un mec dans ta vie. m'a-t-elle dit en me poussant pour que j'aille lui parler.

Je suis restée les bras croisés sur mes appuis. Il en était hors de question.

– Je me suffit très bien à moi-même, Amy, puis j'ai mes études, j'ai pas envie d'accorder une seule seconde de mon temps précieux à ce genre de personne.  Puis j'ai qu'une envie là c'est d'aller aux toilettes. Tu sais où ils sont ?

– Non, aucune, en revanche Jake, il doit savoir vu qu'il vit ici. m'avait-elle répondu avec son sourire malicieux au possible.

J'avais pas trop le choix, je me suis alors dirigée vers lui et ai demandé :

– Excuse moi, tu sais où sont les toilettes ?

Avant de répondre, il m'a intensément regardé dans les yeux, puis ceux-ci se sont baissés vers mon buste.

– Oui oui, deuxième étage, quatrième porte à gauche. A-t-il répondu comme un robot.

– Merci. Ai-je dis en me retournant pour lui faire volte-face.

Je tentais tant bien que mal de me frayer un chemin, parmi tous les étudiants dansant dans tous les sens. Et ce qui devait arriver arriva. Un verre empli de vodka, tout droit dans mon décolleté. J'avais senti le liquide couler à travers ma robe, une sensation affreuse.

Le garçon, instantanément, me balbutia toutes ses excuses. Mais, le mal était déjà fait en soi. En revanche, il a profité du moment pour tenter de ressuyer de ses mains la boisson au niveau de mon décolleté.

– Bouge tes sales pattes de là, connard. Lui ai-je craché en partant.

Du grand n'importe quoi, je savais que je n'aurais pas dû venir, me répétais-je constamment dans ma tête en montant les escaliers. Mon regard se baladait parmi tous les étudiants en train de se balloter, s'embrasser, crier dans tous les sens. Quelle horreur, je veux juste partir d'ici, je regardais mon téléphone qui n'indiquait que 21h30  ! Puis j'ai promis à Amy qu'on rentrerai ensemble en taxi.

Une fois arrivé au deuxième étage plus personne. Bizarre, normalement les toilettes sont convoités de tous, dans ce genre d'endroit. C'est un lieu cosy pour être tranquille, où pour rejeter tout l'alcool ingéré. Sur le coup, mon envie d'aller aux toilettes a vite effacé tous les films que je pouvais me faire sur l'endroit et ce qu'il pouvait m'y arriver. Après avoir monté le dernier escalier, on entendait à peine la musique du bas. L'endroit était calme, joli, l'ancien avait pris de dessus sur toute la partie rénovée des étages du dessous. Dans ce vieux couloir de manoir, les murs défraîchis étaient ornés de tableaux anciens, figeant des instants perdus dans le temps. Une odeur moite de l'ancien flottait dans l'air, mélange de poussière et de bois vieilli. Le sol craquait sous chacun de mes pas, témoignant des années écoulées. C'était un lieu où le passé respirait. Je détaillais les tableaux, avec des hommes et des femmes, en tenue d'époques, sûrement que ce manoir a appartenu à une ancienne famille. Je comptais les portes, pour arriver sur celle qui allait enfin me dévoiler des toilettes ou une salle de bain.

– Quatrième porte à gauche c'est toi. ai-je dis la main sur la poignée.

J'ai alors tourné celle-ci et j'ai pénétré dans la pièce doucement, tout était noir. Je me suis donc mise à chercher l'interrupteur sur les côtés de la porte en tâtonnant, et j'ai pressé le bouton. La lumière eu quelque difficulté à s'allumer, j'entendais l'ampoule grésiller.

Ce n'est pas une salle de bain qui s'était érigée devant moi, mais une somptueuse bibliothèque, emplie de livres tous plus beaux les uns que les autres. Ma curiosité me jouera des tours un jour. Je ne suis pas chez moi mais je ne pouvais m'empêcher d'avancer calmement dans cette pièce, détaillant tout ce qui m'entourait.

Mais je repris vite mes esprits, je ne me suis pas trompée sur ce que Jake m'a dit pourtant.

Avant même que je ne puisse réfléchir à quoi que ce soit. J'ai entendu dans la serrure, une clé verrouillant la porte.

Ni une ni deux, j'ai foncé sur celle-ci tentant de l'ouvrir par tous les moyens, mais rien. Je tambourinais dans tous les sens.

– Eh ouvrez-moi je suis à l'intérieur. Eh oh !

Mais rien et cela pendant une dizaine de minutes. Épuisée je me suis résiliée et me suis tournée dos à la porte.

En me retournant pour regarder la pièce dans laquelle j'avais été malencontreusement enfermé, mes yeux fut attirés par un tableau, dessus y était peint une femme magnifique. Je me suis approchée doucement et j'ai penché la tête à gauche puis à droite, détaillant chacun des traits de ce visage. Une femme d'un peu près mon âge, une chevelure châtain, les yeux d'un vert incroyable, portant une robe jaune pastel. Et un magnifique collier. Mon collier. Elle portait la réplique parfaite de celui-que j'avais à l'instant même sur moi.

J'ai alors vite détaché mon collier, pour regarder dans le moindre détail si c'était le même. Je le pris dans mes mains, et le leva face au tableau.

Les contours délicats de la silhouette de ce camé prennaient vie alors que des lumières douces se répandaient de l'intérieur, éclairant subtilement les détails minutieux de sa conception. C'est comme si une lueur magique s'était emparée de cette pièce, transformant ce simple camé en une éclatante déclaration de style et de mystères. Tout d'un coup je me suis sentie partir, mes jambes ont lâché et je me suis sentie comme : aspirée.

À suivre...

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