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Chapitre 1

New providence, 1732

La foule était attroupé au centre ville, braillant sans cesse dans tout les sens, et tout excité par un événement, qui faisait la joie des petits et grands. Les plus grands nobles de la haute société étaient aux premières loges, et avaient accès au balcon. Sur les côtés, les barons quant à eux, avaient une vue dégagée, et pouvaient observer avec tranquillité ce spectacle, pour le moins sanglant, mais qui aux yeux de la société, étaient un véritable délice.
Au centre de la foule, se trouvait, à l'endroit où allait avoir lieu ce divertissement, une petite estrade, meublé d'un tout nouvel engin, tout juste inventé par un pays étranger : le bois de la machine était haut et fin, une lame de fer, fine et des plus tranchante, se trouvait tout en haut de la structure. Un simple panier de paille traînait d'un côté.
James, 10 ans, avait droit à la place des nobles avec son père, le baron, qui l'emmenais pour la toute première fois à un événement tel que celui ci. Le garçon ne se retiens pas de questionner son père, sur l'objet qui trônais au milieu de la scène.

-  quel est cet étrange planche de bois qui nous est présenté, père ?

James était un enfant bien élevé. Les valeurs de la bonne et due forme étaient le centre de son éducations.
Son père, lui répondit d'une façon tout aussi distingué, et lui expliqua l'utilité de la chose.

- Il s'agit là d'une nouvelle création, tout à fais exquis, que l'on doit à la patrie française.

Avant que celui ci ne pu terminer son explication, trompettes et tambours résonnaient dans tout le quartier, et en un éclaire, le silence s'installa. Les enfants qui criaient se turent, les gloussement des dames cessèrent, et les fanfaronnade des messieurs se stoppèrent.
Le baron s'excusa poliment auprès de son fils, et tous, étaient prêt à admirer ce qui allait se dérouler par la suite.

La porte de la cour, grande et imposante, s'ouvrit grand, dans un bruit sourd de pierre qui rappais le sol. Des gardes et des officiers de la marine entrèrent dans une synchronisation parfaite, avant de se positionner en ligne, avec une symétrie absolue.
Les armes étaient inclinés vers le ciel, soulevé par leur main droite à chacun. Cela formais un magnifique chemin, allant de la porte, jusqu'à l'estrade.
Entre les armes des officiers, un homme, coiffée d'une perruque blanche, aux cheveux lisse, et retroussé à la mâchoire ainsi que la nuque, s'avança fièrement, sous les roulement de tambour résonnant. D'un pas sec, il pivota sur ses talon, se retourna, et sortie de sa poche une lettre officiel, qu'il lu à voix haute, forte, et distincte.

- Afin de préserver le bien de nos concitoyens, et la paix au saint de nos territoires, il en devient alors une nécessité, de mettre un terme à la dégradation, impliquant l'application d'urgence du décret du gouverneur Martin, treizième du nom.
Toute personne, violant les lois de la patrie américaine, ou pratiquant l'activité de piraterie, se verra exécuté ici même, par guillotine !

Suite à ces paroles, les tambours passèrent d'un rythme rapide, à des bruits sourd et lent. Arriva une ligné de prisonniers, les armes pointés sur eux, et les mains enchaînés derrière le dos. Ils étaient aussi sale que des cochons baignant dans la boue, et leur peau était poisseux et infecté. Ils ne pouvaient hélas, lutter contre leur destin.

Le petit James, reconnus immédiatement ces criminels qui méritaient la peine de mort: des pirates

- vois-tu , fils, repris le père d'un ton tout bas, les criminelles, qu'ils soient homme, femme ou enfants, finissent toujours par périr, sous les yeux amusé des honnêtes hommes que nous sommes.
Ceux qui se mettent à dos le monde entier, sont humiliés, avant de tomber en poussière dans l'oublie.

Le fils écouta attentivement ces paroles, et son cœur battait de plus en plus vite. Aussi courtois qu'il pouvait être, il resta un enfant impatient, et il attendais avec hâte, le moment fatidique de l'exécution.
Ce jour là, James compris qu'il était à la bonne place, celui d'un privilégié, du bon côté de la loi. Dieu allait le bénir et lui donner la vie éternelle, la vie après la mort, et il goûta au plaisir de se comparer à des criminelles, qui marchaient droit vers l'enfer.

En ces temps là, l'exécution de pirate, était un événement public, où même les nobles se déplaçaient pour avoir la chance d'humilier ceux qui allaient à l'encontre de leur volonté. La punition mise à part, l'enfant admira une autre chose encore :
Son regard, remplis d' étoile et de convictions, ne cessais de se rediriger vers le gouverneur et le commodore qui se tenais fièrement à ces côtés.
Ils étaient les organisateurs de cette tuerie, et, ne bougeant pas un seul pouce de là où ils étaient, les officiers exécutent leur ordres, et ils jouissent de la sentence de leur capture.

- Père, demanda t'il, est-ce bien la marine  qui nous sont présenté ici ? Est-ce bien eux qui organise tout cela ?

- En effets mon fils.

Dès lors, James fis un vœux, bien mâture pour son âge , mais pas moins puissant qu'un souhait d'un cœur d'enfant. Il se jura de devenir un grands marin, dirigeant toute une flotte, à traquer d'infâmes pirates. Alors lui aussi, il pourrait se trouver là, à être admiré de tous, et sentir la satisfaction de la puissance de armée de la mer. Lui aussi, aurait le droit de posséder sa propre flotte, et chacun de ses ordres seraient alors exécuté sans question.

L'exécution se termina sans encombre, et petit à petit, tout le monde rentra chez lui.
Un majordome attendais la famille Hook, devant la calèche, qui les conduirai jusqu'à leur grande demeure.
Dans la voiture, le trajet était un peu long. Monsieur le baron, en profita pour rappeler à son fils, une chose très importante, qui le concernait directement.

- J'ai à te parler James. Je te pris d'écouter attentivement chacune de mes paroles.

Le petit, le dos droit et le regard haut, se daigna écouter son père, mais pour être tout à fais honnête, il y porta pas une grande importance.

- je t'avais déjà avertis que notre famille avait passé un accord avec les  Elomars, une famille au faible pouvoir, mais aux richesses très grandes. Ils ont une fille du nom d' Émilie, très charmante si je puis me le permettre. Nous les avons invités aujourd'hui même afin de préparer vos fiançailles avec cet enfant.
Je te pris donc d'arranger ta tenue dès que nous arrivons, afin de les accueillir dignement.

La voiture traversa la ville sous le soleil tapant, tiré par les plus beau chevaux du coin, au sang pur. Les galoppement se succédèrent un long moment, puis finirent par ralentir petit à petit.

le trajets toucha sa fin, et à la demeure, patientait madame Hook. La baronne était vêtu d'une robe de la dernière mode d'un vert étincelant, soigneusement brodé de fil d'or. Sa coiffe haute et charmante, montrait bien qu'elle était apprêté à un événement spécial. Après une petite révérence adressée à son mari, elle s'avança, et annonça à son homme:

-Les Helomars sont déjà ici, ils vous attendent patiemment dans le salon. Il s'agit là d'une famille tout à fais charmante. dois-je les faire appelez?

- Servez leur le thé, nous venons immédiatement à leur rencontre. Après nous être débarbouillé. N'est ce pas fils ?

Le petit ne se sentait pas vraiment concerné. Mais il se contenta d'hocher la tête, et de répondre clairement

- oui père.

Monsieur Hook baisa la main de sa femme, avant que celle-ci fît demi-tour, tout sourire, et retourna dans le salon en question, accompagné d'une domestique.

Peut de temps après, les deux hommes de la famille entrèrent dans le somptueux eux aussi. Peter et James prirent place, avant de prendre le thé servis par la domestique. Il fallait à présent parler de fiançailles.

- Monsieur et madame Elomars, je tiens à vous remercier pour votre déplacement, et nous sommes absolument ravis de vous accueillir chez nous.

- C'est un honneur mon cher, répondit monsieur Elomar. Ses yeux brillants changèrent de direction, pour se tourner vers le petit garçon si bien présenté. Alors c'est donc toi, le petit James?

Sans tarder, celui-ci se leva de son siège, et exécuta une petite révérence digne d'un prince.  Il ajusta son manteau fin, d'un rouge soyeux et brillant, avant de se présenter

- James Hook, enchanté. Je suis également honoré de vous rencontrer.

Monsieur et madame Elomar ne purent s'empêcher de lâcher un petit rire gentil, impressionnée par la politesse d'un garçon si jeune.

- Quel élégance vous avez! L'idée que vous serez le futur mari de ma Émilie me remplis de bonheur! fis madame Elomar

- Pouvons nous également rencontrer votre fille? On nous à tant compté la beauté de ses yeux et son sourire . Demanda la mère de James, avec une douceur infinie.

A ces mots, monsieur Elomar fit un signe de tête à sa domestique qui l'accompagnait. Celle ci s'absenta durant un court moment, et revint, tenant une délicieuse petite fille par la main.

James fut surpris de l'apparence de sa promise, quand il vit qu'elle ne devais pas avoir plus de 5 ans. Elle mesurait trois pomme de haut, peut être bien la moitié de sa propre taille à lui. Ses pieds minuscules étaient couvert de simple ballerines violettes et confortable, et sa robe, d'une blancheur étincelante, tombais sur les genoux de ses jambes douce et potelés. Ses cheveux blonds platines et lisses, tombaient en cascade sur ses frêles épaules rondes, et ses yeux scintillait la joie de vivre, avec un bleu ciel lumineux, aussi claire que les rayons du soleil. Lorsque celle-ci aperçu James, qui était debout comme le voulait la politesse, elle se sépara immédiatement de la domestique, et, sans que l'on puisse s'y attendre, courra à tout vitesse, sans aucune grâce, ni manière, sans les bras de son fiancé. Bien qu'elle n'avais aucune force, son emprise étais très puissante, et elle le serra le plus fort qu'elle pu

- Mon prince charmant! Murmura-t-elle d'une voix presque de bébé

James ne pu s'attendre à une telle réaction de sa part, si bien qu'il en oublia toute manière, et resta figée, complètement déconcerté. Il n'osa plus bouger d'un seul pouce, tandis que les adultes fondaient de bonheur devant le sourire si mignon de la petite.

Quand il pu enfin reprendre ses esprits, il la pris par les épaules, et revint sur ses bonnes manières. Il fit un pas en arrière, et lui baisa la main avec une élégance digne d'un duc. Les yeux de de l'enfant s'écarquillèrent à ce geste, et sa bouche, tout sourire s'ouvrit grands.

- C'est un très grands plaisir de vous voire enfin mademoiselle. Je...

- viens on va jouer! interrompis la jeune fille.

sans attendre de réponse, elle le tira par le bras, voulant aller en dehors de la pièce. Paniqué, il jeta un coup d'œil inquiet vers ses parents, qui ne lui répondirent que par un petit ricanement. Les deux enfants disparurent alors de la pièce, et ne résonnais dans les couloirs, plus que les rires merveilleux d'Émilie.










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