>> Chapitre 8
Bien, soyons claire : je n'ai déprimer que trois jours. Je suis vite revenue au lycée et après avoir passer le blabla des filles j'ai repris ma vie en main. Oui. Ce connard veut prendre ses distences? Il veut un break? Parfait. Mais sachez une chose sur moi : je ne lâche pas mon homme aussi facilement. Je vais le faire sortir de sont troue ce petit con. Même si je doit le traqué, même si je dois cassé des gueules, même si je dois repousser les limites : je le retrouverais. Je ne supporterais pas de le lâcher, je suis devenue accroc. Et je sais par où commencer :
Andros.
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PDV C.
-Andros !
Je sers les dents, tendue comme un string. Andros arrive dans le salon, et soupire en me voyant charger mon arme. Je lui fais signe d'avancer et il ce poste devant moi en croisant les bras.
-Quoi? demande-t-il, lasse.
-Il faut que tu la surveilles, et j'apprends qu'au lieu d'être aux lycée tu es là. Un problème? demandais-je à mon tour d'un ton amère.
-Pourquoi tu me demande à moi de la surveiller? Et puis tu crois quoi, que tout les mecs vont lui sauter dessus?!
-C'est pas toi qui avais hâte de te sauter des p'tites ados? mon timbre de voix devenait plus noir et mes yeux plus dur mais ça n'avais pas l'air de lui faire peur.
-Ca me tentais vachement avant de comprendre que ta copine était vachement grognon, corriace et qu'elle ait les flics qui lui colle tout le temps au cul! Tu sais le mal que j'ai eu à pas me faire repérer? Ils ont même infiltrer le lycée !
-Andros, tu es le seul en qui j'ai vraiment confiance, OK? Alors tu bouge ton cul et tu vas au lycée avant qu'elle ne se fasse la moitier des lycéens juste pour me faire rager.
Nous nous dévisageons tout les deux dans un duel du regard, mais il fini par abandonner. Alors qu'il ce dirige vers la porte, je rentre le chargeur dans le beretta et fait coulisser la glissière pour le charger.
-Ah, et si elle sort avec un mec, casse-lui la gueule toi même, parce que moi je suis pas sûre de pouvoir me retenir de le tuer.
-T'es un droguer.
-J'ai beau t'adorer, en ce moment je suis assez tendue et irritable pour te tirrer une balle dans l'abdomen et ne pas avoir de regret avant plusieurs semaine. Alors tes gentil, dégage avant de sortire une connerie qui te seras fatal.
Il me fusille du regard et je lui offre mon sourire le plus innocent, donc un sourire démoniac. Il quitte le petit salon en claquant la porte. Un fois assurer de ne plus entendre ses pas dans l'escalier, je frappe le mur derrière avec une telle violence qu'il s'éfrite et qu'une légère fissure apparaît. Je traverse le salon et sort à mon tour, la mort dans l'âme, à fleur de peau, pret à égorger la première chose qui me tomberas sous la main. Ca tombe bien, les gars ont trouver un mouchard.
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Lorsque j'entre dans le sous sol mal éclairer de cette jolie petite maison de banlieu, comme toujours je suis impressionner par tout le matériel médical qui s'y trouve. Un vrai l'aborratoire... fusionner à une salle de torture. Je contourne un chariot à roulette recouvert de scalpelles, d'aiguilles et de tubes au contenue étrange. Au dessus de moi, le néons blanc éclaire une chaise de dentiste ou un homme est ligoter et bailloné. Je peux aussi voir mes hommes dans un coin, assis sur des chaises pliable. Je les saluts et ils me rendent l'appareil en ce levant. Je me tourne ensuite vers le Docteur Glaun qui me sert la main.
-Un rapport complet, dis-je en me tournant de nouveau vers mes hommes.
C'est le plus costaud, Svétislav, qui me répond.
-On l'a trouver au téléphone avec un mec d'une mafia afro-américaine. Je crois qu'ils jouent dans le cannabis et les autres sorte de drogues. Il leurs donnait des infos sur notre prochaine carguaisons.
Je hoche la tête en contemplant le corps un peu amoché de l'homme. Deux yeux poché, quelques dents en moins, un nez et une lèvres en sang et des écymoses un peu partout sur le corps qui donne une drôle de colorie à ses tatouages.
-Vous y êtes allez doucement les gars... Et vous docteurs?
-Des infîmes doses de poisons, rien de mortelle, juste pour le faire souffrir un peu. Nous essayons de le préparer à ce qu'il l'attend. Il nous as déjà réveler quelques petits trucs...
-Comme?
-Un accords avec la police.
Un silence plane soudain dans la pièce. Le docteur Glaun me fixe droit dans les yeux, légèrement inquiet tout comme mes hommes sauf que moi je ne suis pas dans le même état. Mes muscles ce contracte et une dangereuse envie de tout détruire me prend. Je prend une chaise et m'assois auprès de notre invité.
-Alors, si tu m'en disais plus sur cette accords?
L'homme me fixe d'un oeil vide et torturer qui m'exaspère.
-Réponds ou je te flingue.
-J'ai rien à dire...
Ses mots son faible, sa voix rauque et rocailleuse. Je sort mon flingue de ma ceinture et lui tire une balle dans la jambe. Immédiatement ses traits ce torde de douleur et il s'agite légèrement, mais est retenue par les liens qui lui colle les bras, les jambes et le bassin à la chaise. Un de mes hommes lui mes une serviette sur la bouche qui étouffe ses cris, et lui par la même occasion, pendant que le docteur s'accupe que la plait ne saigne pas trop, pour ne pas le tuer. Une fois tout le vacarne terminer, nous reprenons la discussion.
-Bien, seras-tu plus coopératif ou tu as besoins d'un peu plus?
A son visage, je voix qu'il est encore un peu réticent.
-Docteur, aurriez-vous du bon poisons?
-J'en ai qui ferais l'affaire. Ils durent environs trois heures et immite la douleur de l'acide.
-Parfait, j'ai tout mon temps. Faisons lui une petit picure.
Mais avant que le docteur Glaun n'ai eu le temps de planter la seringue dans l'épaule de l'homme, celui ci capitule.
-D'accords, je vais parler...
-Parfait ! m'écriais-je. Vous savez quoi docteur? J'adore la médecine et la science. Maintenant mon ami raconte moi tout.
Je lui tapote l'épaule, le faisant gémir de douleur. Mais je m'en fous ; je veux savoir exactement en quoi consiste cette accords avec la police. Et après, je lui tirais un balle dans la tête, pour faire bonne figure et me défouler.
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PDV Happiness
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Andros débarque trente minutes avant la sonnerie pour allez manger. Et avant d'aller au self je ne le loupe pas : je l'emmène dans les toilettes des mecs qui sont vide à cette heures et braque ma petite merveille sur lui.
-C'est quoi ça? demande-t-il totalement indifférent.
-Un taser. Je l'ai charger il y a deux jours, il est plein.
-Tu crois que ce machin va me faire peur?
Il s'approche, mais avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit d'autre, je lui plaque le bout du taser sur le bras et appuie sur le bouton (celui à basse décharge). Une grimmace de douleur apparait sur son visage et il recule en tenant son bras. Je sourie, satisfaîte.
-J'ai quelques questions à te poser.
-T'es obliger de me menacer avec une arme à chaque fois?
-Disons que si je veux que tu y réponde, oui. "On obtient toujours plus de choses en étant polie et armé qu'en étant juste polie".
-Connasse.
-Bon, premièrement, je ne t'en veux pas de m'avoir planter en boîte, et je me doute bien que tu ne diras rien sur Lui, alors je vais faire simple : Pourquoi es-tu revenue au lycée?
-A ton avis?
-Tu veux une nouvelle décharge peut-être ?
Il soupire, puis lâche sont bras et s'assoit au bord des lavabeaux.
-Il m'a demander, ou plutôt ordonner, de te surveiller.
Je dois me retenir de sourire à cette remarque : Il m'envoit un chaperon et espère que ça suffirat à me calmer? Qu'elle petit coquin.
-Je croyais que les gens ne devait pas être au courant pour nous. De sont coter comme du mien.
-Je ne suis pas "les gens".
-Très éclairant, précise donc ta pensé.
Nous nous regardons dans le blanc des yeux, en chien de faïence, chaquin près à bondire sur l'autre. Mon arme ne seras peut être pas d'une très grande aide, mais elle permet de me maître à niveau.
-T'es au courant que là, tout de suite, maintenant, je pourrais te tordre la bras et te prendre ton jouet?
-Bah vas-y, essais. Je me demande ce qu'Il en penserait.
De nouveau nous nous défions du regard. Je sais pertinament qu'il ne me ferras rien : sinon Il ne l'aurais pas envoyer me surveiller.
-Ness, dit-il, je te demanderais juste de ne pas t'enfiler les mecs, ce serais sympa. J'ai pas vraiment envie de leurs casser la gueule à la chaîne.
Je lui sourie, et je voie son visage ce décomposer : je vais empiler les mecs, jusqu'à ce qu'il réagisse. Et tant pis si je dois passer pour une pute et détruire ma réputation. Qu'est ce quelques amis et une réputation comparré à l'homme de ma vie? J'étaint mon taser et le range dans mon sac avant de sortire dans la cour, que la chasse commence.
Je me suis diriger droit vers un groupe de mecs, plutôt mignon, et je repère le plus beau, et surtout le plus costaud : sinon ce n'est pas marrant. Mais quelqu'un me stop.
-Tiens, Bonjour Christian, comment vas-tu?
-Très bien, merci. Dis-moi Ness, ou est passer la frêle jeune fille dans la cellule? Tu sais, celle qui me parlait de son petit Hammester ? dit il en ce pechant vers moi. Celle qui se comparais à ce dîte Hammester.
-Ferme-là Christian, tu es loin de me connaître. Je ne suis pas et n'ai jamais été un Hammester, sauf au yeux de mon père.
-Tu as raison, je ne te connais pas. Un rendez-vous ça te dirait?
-Non, dis-je froidement.
On ce regarde quelques secondes, et quand j'essaie de le détourner, il me retiens encore une fois.
-Quelle cruauté Ness.
-Alors écoute, t'es sympa mais quand je te voie j'ai juste envis de me pendre. Tu as peut être la tête d'un bon copain, pour moi tu restes avant tout un flic.
Cette fois, je m'éloigne de lui pour de bon, et il ne tente pas de me retenir. De tout façon j'aurais sûrement finit par le tuer s'il l'avais fait. J'aborde le groupe de garçons, très subtilement (ha,ha.) et du coin de l'oeil, je peux voir mes deux chaperons me fixer discrètement, l'un d'un oeil noir, l'autre indescriptible. Je sourie interrieurement : la machine est en marche, plus rien ne l'arrêteras.
Vous l'attendiez, le voilà !! J'espère que ce chapitre vous a plue, j'ai essayer un p'tit truc nouveau en changeant de point de vue... Surtout dîtes moi ce que vous en pensez !
merci encore,
votez et commentez si vous aimés, ça me ferais trop plaisire ^^
PS: qui trouve le nouveau disign Wattpad HORRIBLE sur PC ? je l'aime pas du tout ! XD
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