>> Chapitre 4
Hi my friends !
Voicie enfin le chapitre quatre ! et, Oh mon dieu ! 547 lectures !! vous êtes des amours !! merciiiii !! Alors, voilà enfin un peu plus d'action, bonne lecture ! (désoler pour les fautes, je n'ai pas trop eu le temps de me relire donc il y en a peut être un peu plus que d'habitude ^^' )
vote & commente ! vos commentaires m'encourage!
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Un coup de pied me réveille en sursaut. Une fille qui dormait au pied du lit marmone quelque chose que je ne comprend pas. Je regarde autour de moi. Les filles son serrer, en train de dormir parterre sur des couvertures et des matelas. Je remarque la place de Mathilde vide, surrement que celle ci doit être au toilette. Puis je regarde l'heure : 4h00 du matin. Je pousse une grognement. Sa ne fait qu'une haure et démie que j'ai trouver le sommeil et on se permettait de la réveiller? Qui a put commettre un tel sacrilège ?
Hier, les filles étaient toutes arriver à quatorze heure tendis que je n'ai débarquer qu'a dix huit heures. Mathilde avait eu peur que je ne la lâche, mais j'ai bénie Dieu en apprennant que j'avais rater la fabrique de bijoux fantaisy et de bougies. Mais mon enthousiasme fut de courte durée en apprennant que je suis arriver à temps pour le salon de beauté et le moment karaoké. Après avoir entendue des musiques se faire massacré (sauf par Samantha qui a la voix d'une déesse) mettre faîte habillé comme prostituer (je veux oublier à tout jamais mon visage avec ce maquillage) et sans oublier la scéance que j'appellerais "KYYYAAA" pour une raison que vous avez surrement compris. "Kyyyaaa ! mais je peux pas lécher le sol !" "Kyyyaaa ! mais c'est dégoutant!" "Kyyyaaa ! mais je peux pas le dire comme ça, c'est trop intime" (je suis sur qu'en faîte elle en mourrait d'envie). Bien sur, j'exagère, mais je suis ressortie de cette scéance avec la tête prête à exploser, pourtant j'ai jouer le jeu. Pour finir la soirée, nous avons enchaîner les films d'amour les plus horribles que j'ai jamais vue (Bon, j'avoue que le troisième était pas mal) et encore une fois, les filles lançaient des petits crie éguï à chaque moment tout moue et tout tendre. A une heure du matin, elles dormaient toutes et certaines ronflaient et je ne me suis assoupie que deux heures plus, tard parce que je n'arrivais pas fermer l'oeil dans ce lit et me sachant entourer.
J'ai fichue un coup de pied dans les reins à la fille qui m'en avait donner un plus tôt en demandant, sans même prendre la peine de chuchoter :
-Tu peux répéter? J'ai rien entendue.
Elle grogne contre son oreiller avant de parler, cette fois plus clairement.
-Ton téléphone bordel ! Il arrêtre pas de vibrer.
Je lève un sourcile étonner. Mon père? Ma mère? A une heure pareil? Non, pas possible. Son image passa dans mon esprit et j'ai vite fais d'extirper mon téléphone de mon sac. J'ai sauter à l'autre bout de la pièce, traverser le couloir sombre pour rejoindre les escaliers, et le tout avec la discrétion d'une sourie, irrepérable. J'ai décrocher, à peine arriver dans le salon.
-Allo? m'empressège de dire, heureuse comme pas possible.
Mais on me recroche au nez. Je regarde mon téléphone, perdue. C'était quoi ça? Une farce? Je laisse mon regard fixer un point innéxistant. J'espérais tellement que ce soit lui... Je ricane intérieurement en me disant que je doit vraiment avoir l'air d'une drogué. Mais au fond, c'est vraie. Je suis totalement accro à ce gars. La nuit n'a pas d'étoiles, et seul une demie lune brille dans le ciel créant une atmosphère étrange, calme... sereine. Je peux voir la poussière en suspension sous les raillons de la lune. Une ombre attire mon attention dans le jardin. Je m'approche pour mieu observer, en faisant en sorte de ne pas être trop repérable. Non, pas une ombre, mais plusieurs. Je ne saurais vraiment en dire combien. J'observe attentivement leur mouvements, on dirait qu'il ce déplace contre le mur et dirige vers le devant de la maison. J'écarquille les yeux en voyant l'ombre des armes.
- Ah ! hoquetais-je.
Je sursaute quand je sens que quelqu'un me tire le bras. Je me retourne et recule d'un pas instictivement. Grace au rayons de la lune, je peux distinguer les trais fin et féminin de Lara. La rouquine se raproche à nouveau et me sers le bras. Je remarque son regard panniqué qui me fixe, prête à hurler au moindre mouvement.
-Ness, il y a des gens autour de la maison... les filles en haut son morte de peur et n'ose pas faire de bruit, on sait pas quoi faire... Ton père est flic, non? T'as bien grandie avec toute la police? Alors on fais quoi? Et si c'était des cambrioleures?
Je regarde Lara comme si elle était en train de manger ses crottes de nez. Je sais pas trop pourquoi, mais j'ai l'impression que cette fille me parait deux fois plus idiote. Non mais franchement, des inconnues traine autour de la maison, et elle ne pense pas à appeller la police mais à descendre dans le salon?
-Ness... dit-elle en s'aggripant encore plus à moi.
-Retourne là-haut avec les filles, ne faîte pas un bruit et n'allumer aucune lumière. Je m'en occupe.
Elle hauche la tête, mais ne se détache toujours pas.
-Ness, Mathilde n'est pas dans la chambre...
-Remonte et enferme toi avec les autres dans la chambre!
Elle me lâche immédiatement le bras et remonte les escaliers quatre à quatre. Je regarde une dernière fois à la fenêtre, mais les ombres ce sont déplacer. Je les vois ce diriger vers la petite cabane au fond du jardin. Deux gars à la sillouette baraqué monte la garde, et tout reste figer pendant plusieurs secondes. Enfin, trois homme ressorte de la cabane avec de gros sac sur le dos, et la petite troupe disparait derrière les buissons. Que peuvent bien contenir ces sac? Et qu'y avait-il dans cette cabane? Je n'ai pas le temps de méditer sur la question que la voix de Mathilde me fais sursauter.
-Ness? Qu'est ce que tu fais là?
Je fronce les sourcils devant mon amie. Comment ce fait-il qu'au moment où des hommes armé vont chercher quelque chose de suspect dans le cabanon au fond de son jardin, mon amie disparaisse et réaparait au moment où ils sont partie? N'est-ce pas légèrement suspect?
-Et toi alors? Pourquoi tu ne dormais pas? demandais-je sur la deffencive. Mathilde hausse des épaules et me montre son téléphone.
-Mon père m'a appeller, il rentrera plus tard finallement et maman doit aller opérer un patient à la ville d'à coter, résultas ; J'ai la maison pour moi. Et toi?
-Les filles ont vue des gars trainer autour de la maison, mais ce n'était que des ados bourré.
Mathilde hauche la tête avant de replacer une mèche de cheveux derrière son oreilles. Je me demande un moment si elle n'a pas froid dans son short et son débardeur, mais apparement non.
-Tu compte faire une fête? demandais-je l'air de rien, parce que malgré tout son excuse me parait un peu douteuse.
-Pardon? répond t-elle surprise.
-Demain, tu as la maison à toi, alors tu vas faire une fête?
-Oh... Non. En temps normale je l'aurais fais mais demain je peux pas, j'ai rendez-vous avec mon copain .
-Depuis quand tu as un copain ?
Elle semble soudain mal à l'aise et ce tortille en évitant son regard. Je penserais presque à de la gène, mais quand j'arrive enfin à croiser son regard j'indentifie immédiatement son sentiment : de la culpabilité, de l'embarra et de la gène. Pourquoi cette air coupable? Elle tourne immédiatement le regard.
-Bah... pas très longtemps... c'est récents, je crois pas que tu le connaisse... J'ai pas très envie d'en parler, parce que tu sais, il est un peu plus vieux et les gens l'accepterais pas trop... du coup ont essaie de garder ça un peu secret.
-Mathilde, tu sais ce que tu fais au moins?
-Oui, ne t'en fais pas. Elle retrouve son air normale et me sourie, tu viens, ont remmonte? Les filles doivent être inquiète.
Toujours suspicieuse, je la suis jusque dans la chambre et, pour rassurer les filles, je leur dis la même chose qu'à Mathilde, de simple gars bourré. Elle ce sont misent à rire de soulagement, mais moi j'ai garder le regard fixé sur Mathilde. Elle me cache quelque chose, et son histoire de copein ne me rassure pas du tout. Mais en même temps... serrais-je devenue paranoïaque ? La mafia et la police n'a pas pus autant s'infiltrer dans ma vie...? Si ?
Les pièces commencèrent à s'emboitter dans ma tête. Si. Je suis au centre d'un réseaux mafieu, en liaison avec la police. La police n'a pas passer mon affaire sous silence parce que je suis dans une famille de flic, mais pour les mener lentement à eux. Et eux essaient de me faire fausser les pistes les conduisants. Les deux camps joue avec moi, et Mathilde à un lien avec un des deux camps, tout comme Andy. Andy fait partie de Son camps, alors Mathilde doit être dans celui de la police... Mais comment? Comment ont-ils fais d'elle un lien avec moi? Comment ont-ils fais pour l'avoir? Avec ce fameux petit copain, ou le fait-elle de son plein grés? Et puis ces gars dans le jardin, que sont-ils venu chercher, armé comme ils étaient? Il me manque une pièce, il me manque un réponse.
Il faut que je trouve un moyen de prendre contacte avec Lui. Mais surtout, il me faut des réponses, des preuves, et je sais où en trouver, avant d'aller le trouver, Lui.
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