>> Chapitre 2
Après avoir passé quelques jours au troue, on me libère. Pas étonnant, mon père est flic, mon oncle juge et mon cousin policier lui aussi. C'est Christian qui est venue me délivrée. D'ailleurs, c'est toujours lui qui vient. Il m'explique que mon père -et presque toute la police- a déclarer que j'ai été forcer et menacer, puis l'histoire est passer sous silence. Il m'as aussi prévenue que je serais suivie 24/24h. Super.
Grace à toute cette histoire, j'ai pus ne pas aller au lycée durant quelques jours. Mon père à dit à ma mère que j'avais été arrêter pour conduite en état divresse, et qu'il a préférer me laisser en prison pour réfléchire et pour que sa me serve de leçon. Ils se sont disputer toute la nuit. Ma mère à pris soin de moi tout le temps que je me remmette de mon enfermement. En somme, 3 jours. Ensuite j'ai dus retourner au lycée.
Sachez que j'ai toujours détester cette endroit ; normal en même temps, je sortais avec un criminel, me direz-vous. D'ailleur, je porte sa chemise -que j'ai dus laver depuis- mais qui sent toujours son parfum. Je contemple la grande porte en fer, puis la petite (qui se trouve dans la porte en fer) ou les élèves affluvent. Je reniffle le col de sa chemise pour me donner du courage. Il va bien. J'ai presque l'impression de sentire ses bras autour de moi, ses mains qui carresse mon visage... Mais la sonnerie me ramène à la réaliter. Je tourne la tête pour voir une petite voiture grise, dans laquel deux hommes font semblant de ne pas me regarder. Tellement nul leur truc. Je soupire et entre dans l'enceinte du lycée, puis dans ma classe. Comme d'habitude, les bavarggent fuse de partout, et lorsque je prend ma place, l'innévitable interrogatoir commence. Trois filles que je connais bien m'entoure pour me poser toutes sortes de questions sur mon absence. Tout ce que je réponds, c'est :
-Maladie.
Incroyable mais vraie: elles me laissent tranquille. Elles commencent à blablater sur le fais qu'un nouvelle élève arrive au lycée.
-Ce seras une fille ou un garçon, à votre avis?
On dirait qu'elles parlent d'une fille qui attend un bébé. Heureusement, le professeur arrive et elles vont se rasseoir. Je ne suis vraiment pas d'humeur à entendre leurs tirades de gamine en chaleur. Le fais de savoir je ne le reverrais pas de si tôt me déprime et me dégoute.
-Voici notre nouvelle élève. Entre, je t'en prie! s'exclame le prof.
Un garçon, la peau mâte, des cheveux brun ébourrifer et une bonne carrure (le genre bien batit), fais un hochement de tête à tout la classe, puis son regard balade la classe avant de se poser sur moi. Mais le plus frapant chez lui n'est pas sa beauté, son air cool ou même encore son visage chaleureux qui aspire presque à la confiance, mais plus la cicatrice rosé qui traverse son oeil gauche. Il porte un t-shirt à manche longue noir et un simple jean avec une chaîne. Les murmurs se font dans la pièce tendis que le nouveau ce présente.
-J'm'appelle Andros Parcez, je n'ai pas sauter ou redoublez de classe, et j'espère bien m'entendre avec vous tous!
Il me regarde droit dans les yeux, et mon instin m'indique qu'il put le secret. L'idée qu'il puisse être de la police reste bloqué dans mon ésprit. Ils sont donc pret à aller jusque là pour me surveiller? Avant d'avoir pus prononcer mots, ma voisine jerte et je me retrouve à coter du nouveau. Comment déjà? Ah, oui, Andy. Le cour commence et il se met à me chuchoter :
-C'est quoi ton nom, déjà?
J'ai beau lui envoyer tous les signaux possible pour lui faire comprendre que je n'ais pas du tout envie de discuter avec qui que se soit, encore moins lui, mais il ne semble pas les captées ce crétin.
-écoute Andy,
-C'est Andros.
Merde.
-écoute Andros, en ce moment je suis vraiment pas d'humeur. Alors tu es gentils et tu m'ignore, je ferais de même.
-Je veux juste savoir ton prénom, pour ne pas à avoir à t'appeller Machin au cas où.
-C'est Ness, maintenant tu te tais.
-Non, c'est Happyness.
Je lui lance un regard noir qui le fais sourire. La prochaîne fois je vole le tazer de mon père et je lui fous une décharge dans les couilles.
-Pourquoi tu me l'as demander si tu le connaissais?!
-Comme sa. Pour être sur. Happyness, c'est pas courant...
Normale, c'est inexistant comme prénom. Mes parents m'on appeller comme ça pour porter bohneur, être heureuse et rendre les gens heureux. Mais c'est aussi un prénom ridicule et dure a porter, surtout avec les réflexions des prof d'Anglais qui aaaaaadoooore m'intéroger. C'est leur kiff. Andy me demande l'origine de mon prénom, et je lui répond par un magnifique doigt d'honneur qui le fais pouffer de rire ce qui lui vaut d'aller faire l'exercice au tableau. Qu'il réussit.
Au réfectoire, j'ignore ouvertement tout le monde, ce qui crées des haussements de sourciles exagérer. Je me m'est dans un coin isoler et réfléchis à la situation. Il faut que je trouve un moyen de le contacter. J'ai besoins de savoir. N'importe quoi, mais j'ai besoins de savoir. Le problème: les flics me colle, pire que de la glue. J'entame mon yaourt lorsque Andy vien s'asseoire devant moi. Je le regarde perplexe.
-Tu étais toute seul.
-C'étais voulue.
-Tant pis.
Je le vois. Là, au coin de son plateau, qui m'appelle comme un émant... Sans prévenir, je pique ma fourchette dedans, ce qui le fais sursauter. Et il comprend.
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