>> Chapitre 1
Coucou les criminels ^^ voilà le premiers chapitre, j'éspère qu'il vous plairas ;-)
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"Je suis sortie de la boîte de nuit, furieuse. Tout mes amis m'on plantés, et celui qui est censé être mon "petit copain" s'est mis a dragué ouvertement des filles sous mon nez. Bon, OK, je tiens pas particulièrement à notre relation, mais tout de même! J'entre avec rage dans la voiture et démarre. Je n'ai ni permis, ni papiers, mais pour le moment je m'en fous. Je démarre comme une folle, mais ralentie au bout d'un moment. Il commence à pleuvoir. Géniale. J'attérie bientôt sur une route un peu paumé. Géniale. Je m'apprête à revenir sur l'autre route, mais remarque une voiture sur le bas coter. Avec cette pluie... Et si c'étais une famille en détresse? Je ne me le pardonnerais jamais si demain matin on parle d'une famille morte aux infos. Lorsque je m'approche de la voiture, je constate qu'il n'y a qu'une seule personne, un gars qui ne bouge pas, et que la voiture est dans un sale état.
- Euh... T'es vivant?
Le gars ouvre les yeux et me regarde.
- Fous le camps.
C'est seulement maintenant que je remarque qu'il est blaissé.
- Tu es sûr? Tu veux pas que je t'emmène à l'hopital?
- Mais putain dégage!
Je hausse les sourciles devant tant d'haustiliter.
- Ah, non mais si tu préfère crever dans une voiture ça me va aussi, dis-je sans qu'il me réponde. Aller, bouge tes fesses. J'ai une boîte de premier secour dans la voiture et là je suis glaçée et trempée.
Je vais chercher la boîte, mais cet idiot n'a pas bouger. Très bien, il l'aura voulut. Je me dirige vers la porte passager de sa bagniole. Il est surpris, mais je ne lui laisse le temps de rien et attrape son bras pour le soigné."
Je regarde le policier droit dans les yeux. Nous savons tout les deux que je ne répondrais à aucunes de ses questions, j'ai été formé à la bonne école. Un autre homme entre, il a l'air plus vieux que celui devant moi, mais moins sévère. C'est Ben.
- Il ne viendra pas, c'est mort. Il reste enfermé dans son bureau.
- C'est bien notre veine! Si il y en a un qui peux lui faire cracher quelque chose, c'est bien lui. Elle parle pas, et de toute façon j'ai pas le courage de torturer une gamine.
Cela fait deux jours que je passe mes journée devant deux policiers qui tente de me faire parler, mais aucune information n'a franchie mes lèvres. Ben vient s'asseoir devant moi, à côté de son collègue.
- Mais enfin, Ness, pourquoi tu as fais ça? Il est anéantie.
- Alors comme sa il ne veut même pas sortir de son bureau? Quel lâche.
- Comprend-le, il y a encore quelques jours, il te croyait vierge! Ca lui a fait un sacré choc!
- Mais merde, Ness, qu'est ce qui t'arrive?! Que s'est-il passer? Il t'a forcer? C'est ça ?
Je les regardes. Mon père n'est qu'un lâche, incapable de me regarder en face. Je veux le voir. Je voudrais lui cracher la vérité à la gueule, que j'aime un criminel, que je sors avec un criminel, que je couche avec un criminel, que notre relation dure depuis presque un an et demie et qu'il ne s'est douter de rien. Mais je ne lui dirais pas. Je ne sais pas ce que je lui dirais, mais ça ne seras pas ça.
- Alors c'est ça votre interrogatoire? demandais-je. C'est merdique.
- Ness, je te connais depuis que t'es sortie du bidon de ta mère, c'est moi qui l'ai emmenée à l'hôpital. Je te connais depuis toute petite et je...
- Depuis combien de temps? demandais-je brusquement, pour couper son monologue.
- Pardon?
- Depuis combien de temps vous savez?
- Ca fais quatre mois que ton père se doutais de quelque chose, et environs trois pour la police. Tu agissais de manière suspect. Au début, il croyait que tu avais un petit ami secret, mais vous vouliez trop vous cachez, vous étiez beaucoup trop discret et prudent pour des ado amoureux en quête d'adrénaline. C'est là que les vrais doutes ce sont installés. Mais on s'attendait pas... à ça.
C'est de ma faute... C'est de ma faute si il a faillit se faire attraper. Ben et le policier me poses des questions auquelle je ne répond pas. Je reste stoïque. Complètement froide. Lorsqu'ils me ramènent dans ma petite cellule, je m'assois sur le sol et ramène mes jambes contre ma poitrine. Je veux sortire d'ici, je veux retrouver ses bras musclés et fort, je veux qu'il m'entoure de son étreinte protectrice... Mais tout ça c'est de ma faute... Je sers ma chaine dans mon poing, et baisse la tête. Instentannément, son odeur me parvient de sa chemise. Sa chemise... Et je m'endors entouré de son parfum.
C'est le bruit d'une ouverture de porte qui me réveille. Je cligne plusieurs fois des yeux et dévisage l'homme devant moi. Il est plutôt jeune, brun au sourire sympathique et porte un jean, un t-shirt et une veste de costar qui le rajeunie. Je ne l'ais encore jamais vue, ce doit être un nouveau.
- C'est donc toi...
Il s'agenouille et ce penche. Nos visages ne sont qu'à quelques centimètres.
- C'est donc toi la seule et unique capable de ne pas flancher sous l'interrogatoire du grand maître. Ravie de te rencontrer Ness.
Génial, un rigolo. Est-il vraiment flic?
- Bon, suis moi.
Je le suis sans broncher. Nous retournons dans la salle d'interrogatoire d'hier, mais cette fois mon père m'y attend. Des cernes sous les yeux, les cheveux en bataille. Comme ça, il parait beaucoup plus vieux. Son regard est d'un gris froid et imposant, semblable à celui d'un Dieu, d'un seigneur contemplant une chose contre nature, moi. Nous nous fixons du regards, et l'autre agent n'en perds pas une miette.
- Ness, nous avons quelques questions à te poser. Que faisais-tu dans cet hôtel avec cet homme?
Il ne fait pas comme d'habitude. Comme je l'ais vue faire un million de fois, faisant pression. Là, il ne pause que des questions. Je lui offre un horrible sourire.
- Ce n'est pas assez évident? Je peux te le raconter en détaille si tu veux. Alors on s'est donner rendez-vous là-bas, et à peine un pied dans la chambre, qu'il m'a balancer sur le lit, attraper les poignets avant de me lécher le cou et de...
- Depuis combien de temps fréquente-tu cet homme? Que sais-tu sur lui ou de ses activités ?
- Et de laisser ses mains se balader sur mes rains avant de...
- T'a t-il forcer à quoi que ce soit?
- Avant de déboutonner lentement mon jean, il m'as mordue dans le cou, et puis embrasser, et ses baisers sont aller de plus en plus en plus bas jusqu'à mes seins et...
- ça suffit!
Sa voix résonne entre les murs, alors que je reprend un air stoïque. Mon regard deviens glaciale alors qu'un sombre silence s'installe dans la pièce.
- Non, toi ça suffit! Pourquoi tu réagis comme ça? Parce que t'arrivais pas à croire que ta petite fille que tu croyais connaître par coeur puisse avoir une vie sexuel? Ou une relation avec un voyou?
- C'est un criminel Ness! pas un voyou! Tu comprends ce que ça implique ? Je te croyais moins conne !
-Et Miranda était une mafieuse pourtant tu n'as pas hésiter à tromper maman avec elle et la baisée certainement plus d'une fois! Tu crois me connaître mais tu ignore tout de moi! hurlais-je. J'ai l'impression d'être ton hammester, que quand tu n'as plus envie de t'amuser tu le ranges dans sa cage et tu l'oublie! Tu ne me connais pas, papa!
Et il quitte la pièce, furieux. Un lourd silence s'installe, tandis je fixe mes poignets rougis et entraver par les menottes.
- Aller, viens.
Le rigolo me ramène dans ma cellule, mais à ma grande surprise, il entre avec moi. L'ignorant, je m'asseois sur le petit ban et il fait de même.
- Détester ses parents... Ouais, je connais. C'est pas facile, hein?
- Pourquoi je vous parlerais? Je vous connais à peine.
- Tu peux me tutoyer tu sais.
Je ne répond pas. S'en suivie d'un long silence durant lequel j'évite tout contacte avec lui.
- Pourquoi un hammester?
Je le regarde un peu confuse. C'est quoi cette question?
- éh bien... J'avais un hammester. Et je me suis rendue compte qu'il m'arrivait de laisser passer plusieurs semaine avant que je ne change sa cage ou ne m'occupe de lui. Si ma mère n'était pas là, il serait mort de faim.
- Et il est mort comment?
- Je l'ais sortie dehors, dans le jardin, dans son petit enclos et le chat des voisins l'a bouffer.
- Ouille. Pas cool.
- Bah sur le moment, j'étais plus en colère contre les voisins qui on débarquer comme des fleurs son cadavre à la main en nous conseillant de le jetter à la poubelle après s'être excuser.
Et de nouveaux un silence. J'observe le sol dure et froid. Il ressemble au yeux de mon père. Je me suis mise à repenser à Boule-de-poils, mon hammester. Il était noisette et... C'est tout ce dont je me souviens. Mais j'aimais bien cette boule de poiles, d'où son nom. Quelqu'un me force à tourner la tête. C'est le rigolo. Nos visages son proche, et cette fois ça me fais rougire. Il me dévisage un long moment de ses yeux noisette, et une chaleur que je ne connais que trop bien me traverse le corps et s'attarde sur mon bassin.
-Tu sais que tu es vraiment jolie lorsque tu n'affiche pas ton masque de froideur? me dit-il toujours mon menton entre son pouce et son index. Je m'appelle Christian.
Et il sort, non sans me balancer un "à très bientôt, Happyness !". D'où il connais mon prénom?
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