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Chapitre avec public avertit : violence et meurtre pouvant être mit en scène
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— Tu es sur qu'on a le droit d'être là à une heure pareille, Jennie ?
— Bien sur, pourquoi laisseraient-ils ouvert sinon?
— Bah je sais pas.. ils ont perdu les clés?
— C'est claqué là ton raisonnement Seulgi..
— Je sais je sais, souffla t elle en levant les yeux aux ciels, mais bon ça m'angoisse d'être là, la bibliothèque n'est pas sensé être ouverte à cette heure-ci.
— Aish puisque je te dis que j'ai demandée et que tout est toujours ouvert ! Fais moi confiance, va t'installer je te dis.

La belle brune qui venait de soupirer sur la dite Seulgi poussa cette dernière dans la pièce encore sombre leur faisant face.

— Bon.. je te fais confiance.. Lâcha finalement Seulgi en soupirant.

La plus âgée serrait ses cahiers dans ses bras, regardant les lieux autour d'elle, angoissée, et attendant avec impatience le moment où sa cadette allait enfin allumer la bibliothèque. Le lieu plongé dans le noir était terrifiant, les grandes bibliothèques semblaient la menacer de part leur taille imposante et une fenêtre laissée malencontreusement ouverte par un élève étourdi laissait passer un faible courant d'air glacé qui lui chatouillait les chevilles.

Pourtant, elle venait tout le temps ici, quasiment à chaque occasions qui se présentaient à elle pour réviser, mais ce contexte exceptionnel la terrifiait. Jamais elle n'était venue ici à une heure aussi tardive même s'il n'était que 21h. Il faisait nuit noir en ce début de décembre, et la bibliothèque du lycée était plongée dans une pénombre angoissante.

— Hum.. tu trouves l'interrupteur ou pas ? Demanda alors la belle rousse pour presser un peu son amie d'allumer la lumière.
— Attend deux secondes je le trouve pas ! S'exclama alors sa cadette derrière elle, encore entrain de chercher ce fichu bouton.

Un soupire anxieux passa alors la barrière des lèvres de la plus âgée, levant d'un regard intimidé les yeux vers la salle qu'elle sondait littéralement du regard. Pour se rassurer, elle était obligé de regarder, la bibliothèque déjà plongée dans un lourd silence seulement rompus par le passage des voitures dans la rue, qui au passage éclairaient l'espace d'un instant bref la pièce. Même pas les bruits de son amie derrière elle fouillant l'endroit ne lui parvenaient aux oreilles.

Elle était crispée face à ce tableau des plus angoissant, sans oser bouger et juste zieutant la bibliothèque du lycée de haut en bas en repassant plusieurs fois aux mêmes endroits qui ne l'a rassurait pas.

Doucement, une boule au ventre vient se former dans son ventre. Elle détestait cet endroit, du moins de nuit. Elle se sentait isolée, sans moyen de s'échapper, pas même la fenêtre entrouverte pouvait l'aider. Les faibles bruits faisaient tout l'inverse de la rassurer et la pénombre la faisait juste se sentir minuscule à mesure du temps. Elle était à un point où elle se sentait étouffée, et bien qu'elle était déterminée à travailler pour ses prochains examens, sa boule au ventre a eu raison d'elle.

Elle fit un premier pas en arrière mais n'osa pas quitter la bibliothèque des yeux et lâche simplement dans le vent pour son amie :

— Jennie.. je vais rentrer je.. je ne me sens pas bien ici.. j'ai un mauvais pré-sentiment..
— Mais attend mais je n'ai pas encore trouvé le bouton, attend un instant Seulgi.
— Aish ce n'est pas que ça.. y a une ambiance étrange ici, et le silence qu'il y a ne me rassure pas. En.. en plus tu ne penses pas que réviser si tard va juste nous épuiser ? Se serait bête de s'embrouiller l'esprit à quelques jours du bac.. on devrait rentrer Jennie vraiment j'insis-.

Le dernier mot de Seulgi se perd avec l'air frais que laissait cette seule fenêtre ouverte. À peine pu t elle finir, lâcher un dernier rire nerveux, que ses yeux s'arrondissent jusqu'à presque sortir de leur orbite. Elle resta juste immobile un instant, n'entendant soudainement plus les bruits des voitures à l'extérieur et ne voyant plus vraiment la moindre lumière qui pouvait se distinguer de l'obscurité de la salle. Le monde était flou. Son esprit entier était dans le flou et très vite son regard se brouillait sous une douce douleur dans la poitrine.

Comme un réflexe, ses bras lâchèrent et laissèrent tomber ses livres tomber sur le sol dans un bruit fracassant venant briser le silence qui résonnait depuis le début. Et pourtant dans la tête de la jeune et belle Seulgi cela résonnait comme un eco, comme si sa tête était complètement vide elle aussi.

Ses lèvres s'entrouvrirent également, sans qu'elle ne le décide non plus, comme tentant de reprendre son souffle. C'était comme ci son âme l'avait quitter, que son corps c'était débranché, et que désormais elle était seule, face à cette bibliothèque sombre au sein de cette pièce si silencieuse.

La seule chose qu'elle parvient à entendre distinctement fut bien un rictus chuchoté au coin de son oreille, laissant en même temps un fin bras se glisser autour de son cou pour désormais la maintenir debout. Pour ensuite doucement entendre, d'une voix familière et qui pourtant avait complètement changé d'intonation:

— Tu n'iras nul part Kang Seulgi..
— Jennie..

Se fut le seul et dernier mot que la plus âgée parvient à échapper avant que cette interpellée se recule et arrache le couteau de cuisine tout aussi nettement que lorsqu'elle lui a transpercé l'abdomen avec. En même temps de cela, la jeune femme avait lâchée son « amie » et désormais cette dernière pu sentir complètement son corps la lâcher jusqu'à ce que ses genoux tombent au sol. Suivit par le reste de son corps qui tomba dans un bruit sourd sur le sol froid de la bibliothèque. Ce bruit fit aussi éco dans la tête de Seulgi, qui elle ne sentait finalement plus rien d'autres si ce n'est un horrible goût métallique s'échappant de ses lèvres, ce qui s'apparentait à son sang qui désormais s'écoulait surtout du trou béant qu'il y avait en elle.

Elle ne sentait même pas son liquide rouge bouillonnant couler à flots sur son corps ou ses vêtements, ne sentant même pas la flaque qui se formait sous son corps. Car a force que cela coulait, ses forces la perdait au complet. Davantage, son souffle la perdait jusqu'à ce que sa vue se rende flou d'autant plus. C'était un véritable combat maintenant de rester éveillé.

La seule chose qu'elle parvenait encore à distingué était les sons environnant. Mais ce n'était pas tellement à son plus grand plaisir.

Un nouveau rire échappa de la salle, et dans le dos de la pauvre aînée, la cadette sortit un simple mouchoir de sa poche qui vient doucement essuyer le bout de sa lame qu'elle tenait en main.

— Je pensais pas que ça allait aller aussi vite.. tu ne tiens pas longtemps en place Seulgi, visiblement. Dommage, je voulais m'amuser.. une prochaine fois.

La plus jeune l'a sonda et doucement Jennie s'approcha en souriant. Sa main, armant le couteau de cuisine, se tendit au dessus du corps de la pauvre Seulgi qui était incapable de répondre avec un quelconque signe. Elle tendit son bras à un tel point que la pointe du couteau tirée vers le bas était juste au dessus désormais de la petite tête rousse au sol.

— Tu as été très divertissante, je t'en remercie et j'espère que tu es heureuse que j'abrège tes souffrances.. on se reverra en enfer.. Kang Seulgi.~

Le corps de la jeune Kang gémissant au sol tente de bouger, voir d'implorer pitié, ne pu en faire. Et, enfin, Jennie lâcha le manche retenant sa lame. Ce dernier son flagrant de la pièce fut indescriptible, laissant juste la jeune Seulgi avoir un réflexe cérébral entraînant la contraction complète de son corps. Puis, se fut terminer, et plus aucune chance n'était possible pour que l'aînée des deux jeunes femmes viennent bouger ne serait-ce que le petit doigt.

Pour Jennie, de son visage, partiellement et rarement éclairé par les fards de voiture, dépourvu d'émotions flagrantes mise à part un doux sourire sur le coin gauche de ses lèvres qui l'avait quitté en quelques secondes, observa la femme désormais immobile couchée sous ses yeux.

Il ne lui fallu que quelques instants pour baisser sa main et enfant se dégager d'au dessus de son « amie ». L'air de rien, elle s'écarte du corps en se dirigeant désormais vers la sortie de la bibliothèque. Mais avant cela, elle enfouit sa main dans sa poche pour en sortir son téléphone et ni une ni deux se retrouve en ligne avec quelqu'un à son oreille.

— C'est bon pour moi. Traîne pas, je te rappelle que les femmes de ménages débarquent pour 6h pétante alors ne fais rien dans la demi mesure... non, elle saigne moins que prévu, j'ai dû raccourcir la séance.

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