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Chapitre 8

Je suis désolée, et je sais, je ne suis jamais réglo dans les postes de mes histoires... J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes et tout ça, et tout ça. Bref.

PS: C'est le premier et dernier chapitre écrit à la première personne du singulier. Je sais pas pourquoi à cette époque j'avais écrit à cette personne là, mais voilà, lol.

Bonne lecture !
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"Précédemment: JungKook- Maintenant. M'ordonna t-il avant de se lever et de partir rejoindre la porte. J'arrive...

...- Voici la valise de madame, et le démaquillant.JungKook- Merci, au revoir."


  « PDV Cahaya »  

En ouvrant la porte je laissais sortir une fumé de buée. Je nouais enfin le nœud du peignoir et comme il me l'avait ordonné (pour changer) je partie en direction de cette fameuse « chambre ».

En passant devant ses nombreuses fenêtres je pris le temps d'observer la vielle carcasse que je suis devenue. Je me trouvais laide, souiller, voir rouillé. Les cheveux plus court ça ne m'allait pas du tout et les cernes que j'affichais comme un musé affiche ses œuvres, m'horrifiés. Ce cadre m'horrifiait. Je m'auto horrifiais.

Alors que je commençais à cauchemarder sur la vue que je m'offrais moi-même je décidais de reprendre mon court chemin pour rejoindre la chambre.

Ce qui ne mit pas une dizaine de minutes non plus.

Moi- JungKook ?

Depuis que je l'avais quitter pour rejoindre la salle de bain, j'avais essayé de me remémorer les quelques souvenir de lui que je gardais. Et, ce tatouage avait toujours figuré sur son visage. Comment avais-je fait pour ne pas m'en rendre compte plus tôt.

J'avais alors imaginé de moult choses, idées, idiotes pour certaines et réfléchit pour d'autres. Et qu'il est un frère jumeau et qu'ils me pièges, était belle et bien une de mes idées peut-être la plus intelligente, ça pourrait confirmer beaucoup de chose comme cette humeur différente. Parce-que entre le JungKook qui me tire une balle et me l'enlève à main nue et celui qui m'ordonne de prendre une douche, la différence est grande.

Ou alors, qu'il s'est enlevé son tatouage à ses heures perdue était une autre idée. Celle là était quand même moins réaliste mais c'était avec cœur joie que je m'étais mise à imaginer son expression de souffrance dès que l'aiguille avait commencé à percer sa peau de bébé.

Ouais, non, oubliez la dernière, c'était juste pour me remonter le moral.

JungKook- C'est pas trop tôt.

Moi- Non mais...

Quand je me retourne, je prends immédiatement peur. L'homme qui se tenait devant moi était celui qui s'était toujours tenue devant moi, mais ici, il était différent.

JungKook- Assis toi sur le lit.

Moi- Pas avant que tu m'expliques où sont passé tes tatouage de punk !

Il soupira, je venais de l'ennuyais. Mais à ce moment plus rien ne comptait à par la réponse à ma question.

JungKook- J'ai oublié de le faire dans la voiture.

Je arque un sourcil surprise par sa réponse qui n'a absolument rien à voir avec ce que je lui ai demandé.

JungKook- Du coup je l'ai fait maintenant.

Moi- Enlever tes tatouages ? Ils étaient faux !?

Le jeune homme attrape alors mon poignet et m'emmène jusqu'au « salon ». Il attrape la télécommande puis allume la télé sur la chaîne des informations.

Celle que je ne regarde habituellement jamais à par pour la météo...

« ...- Un pull bordeaux des cheveux longs. Le dernier endroit où Cahaya à été vue pour la dernière fois remonte à deux semaines, et c'était dans ce parking souterrain. Elle était au téléphone quand un homme tatoué d'une trentaine d'années l'embarqua inconsciente. Ce que nous savons sur lui, c'est qu'il roule avec une grosse voiture noir, et que surtout son style punk se démarque de tous les autres styles, il porte des tatouages un peu partout sur le corps et ce jour là, il était vêtu d'un simple sweat gris à capuche. Si vous... »

Moi- Tu les as mené sur une mauvaise piste ?

JungKook- Cela ne durera pas.

Moi- Deux semaines !? Tu m'as fait quoi !? Comment cela se fait t-il que je me rappel seulement que de ses deux-trois derniers jours !?

JungKook- Baisse d'un ton.

Moi- Non ! Tu m'as drogué !? Quand tu as vue que j'étais méconnaissable tu t'es dit « tiens faudrait peut-être la sortir ».

« PDV extérieur »

La jeune fille était tellement énervée, tellement remontée que même si une armée de militaire la menaçait à l'aide d'une arme, elle n'aurait toujours pas fermé sa bouche.

JungKook- Cahaya ferme la.

Cahaya- Ben oui bien évidemment, tu crois que je vais me plier à tes règles !? Je me casse, salut !

Elle resserra son peignoir et s'empressa d'aller à l'entrée. Le jeu avait assez duré, elle même ne savait pas pourquoi elle y avait participé.

JungKook- Je vivais là avant.

Alors qu'elle était prête à ouvrir la porte, elle se retourna toujours aussi énervée pour faire face à JungKook.

JungKook- Lâche la poignet et viens par là.

Cahaya- Tu vas me faire quoi !? Me droguer !? Je veux juste rentrer chez moi ! Je te promets je ne dirais rien sur toi, mais laisse moi retourner voir ma famille !

Les larmes quittaient peu à peu le rivages s'échouant violemment sur la joue de notre jeune protagoniste.

JungKook- Je te laisserais passer un coup de fil. Mais d'abord viens.

Voyant qu'elle avait décidé de rester planter là, devant la porte, JungKook décida d'aller la chercher et de l'emmener du côté de la chambre.

Cahaya- Aigo, lâche moi !

JungKook- Moi aussi ils me manquent.

Il souleva juste un des quatre recoins du matelas et en sortit précieusement un cadre photographique qu'il tendit à la jeune fille.

Ils étaient trois sur la photos. Mais Cahaya n'avait reconnue que JungKook, sur celle-ci. Sur ce cadre photographique il devait avoir 10 ans à tout casser et il tenait fermement le bras de deux adultes. Elle fut d'ailleurs surprise de voir que cet homme avait eu un passé, et qu'il savait sourire sincèrement.

Parce-qu'à part des sourire sarcastique, c'est tout ce qu'elle avait pu voir de lui.

Cahaya- C'est tes parents ?

Il se contenta de hocher la tête. Alors elle se replongeât dans la photo comme elle avait pu le faire auparavant. Elle regrettait alors amèrement de ne pas avoir passé assez de temps à contempler le portrait familial qu'ils avaient accroché dans le hall de l'entrée.

Cahaya- Ils sont où ?

JungKook- Mort quand j'avais 15 ans.

Cahaya- Comment ?

Il se gratta la tête avant de soupirait, mais pas d'ennui cette fois-ci, de tristesse.

JungKook- Un accident.

Elle hocha alors la tête de haut en bas, comprenant ainsi la triste situation.

Cahaya- Je suis désolée...

JungKook- Et l'endroit où tu dormais, j'y ai longtemps vécu.

Il paraissait si calme. C'est ce qu'elle admirait chez lui. Comment pouvait-il garder son sang froid ? La jeune fille n'en serait jamais capable. Si elle pétait les plomb alors qu'ils étaient encore envie, qu'allait-elle faire si un drame de ce genre allait se produire ?

JungKook- J'ai besoin de toi. De ton aide.

Cahaya- Mais comment ? Penses-tu que mon aide fera revivre tes parents ?

Elle était crue dans ses paroles, mais elle avait raison. Comment pouvait-elle l'aider ? Et surtout en quoi ?

JungKook- J'ai vécu dans la misère et aujourd'hui des centaines de gens vivent dans la misère. Mon but est de les aider à surmonter ça.

Elle hoqueta de surprise. Cela ne répondait pas aux questions qu'elle s'était posée dans la tête, bien au contraire, ça ne faisait qu'empirer les choses.

Cahaya- Tu m'as enlevé pour ça ? J'ai du mal à te suivre. Je pensais que ça avait un certain rapport avec mes parents... En tous les cas c'est ce que tu m'as fait croire avec ton comportement.

JungKook- Il faut croire que c'est dans mon tempérament... Dit-il en attrapant une valise rosé, qu'il posa délicatement sur le lit. Quand on fait pas ce que je dis. Il marqua un temps de pause. Je m'énerve facilement. Et tu fais rien pour que ça s'arrange. Et là il ouvre la valise exposant ainsi à l'air libre son contenue.

Des vêtements pour femmes.

Cahaya- Manquerait plus que je me fasse faire. Avait-elle alors pensé à voix haute.

JungKook- Figure-toi que ça serait beaucoup facile pour toi comme pour moi. Dit-il en pointant légèrement de l'œil la plaie qu'elle avait sur sa jambe.

Cahaya- Hum...

Elle n'était pas vraiment satisfaite de la réponse qu'il avait pu lui fournir .

Cahaya- Cela dit. Comment se fait-il que tu transportes avec toi une valise de femme ?

Elle se pencha pour contempler de plus près ce qu'il y avait à l'intérieur. Une trousse de toilette, des robes, des jupes, encore des robes puis encore et encore des jupes, rien de bien « méchant » à vue d'œil. Mais pour notre protagoniste, c'était si l'enfer existait, l'envoyer là bas.

Le jeune homme farfouilla alors dans cette valise si bien organisé. Les vêtements de couleur blanc dans un côté, les noirs dans un autre et les colorés en centre tout en gardant cette même logique des assortiments, chaussettes, bas, haut et accessoires ensemble.

Cahaya- Ces affaires tu les as volé ? Ou non emprunté ?

Trop obstiné dans sa recherche, il soupira juste fortement.

Cahaya- Pire encore... Tu as tué une femme pour... Je toucherais pas les affaires de cette pauvre femme !

JungKook- Mais tu vas la fermer ta gueule oui !? Ces vêtements sont neuf ! Je les acheté pour toi !

Elle se sentait comme flattait par cette dernière déclaration mais une chose lui trottait à la tête depuis peu.

Cahaya- Pourquoi m'acheter de jolies vêtements ? Un kidnappeur n'achète pas de jolies choses à ses victime comme un criminel n'achète pas un cercueil à ses morts...

JungKook- Parce-que je ne suis pas un kidnappeur, tu es seulement un emprunt. Met ça pour dormir.

Cahaya- Cela dit. Je ne porterais pas ce genre de chose.

Il lui tendait en même tend un simple pyjama, rose claire. Bien joué, mais ici même si la jolie brune était féminine, elle haïssait le rose, les jupes et les robes.

JungKook- Tu dois être belle et féminine. Je ne balade pas à mes côtés un vieux sac.

Cahaya- On peut très bien être belle et féminine en jean.

JungKook- Oui mais pas ma « futur fiancé ». Dit-il en faisant bien attention de mimer les guillemets.

Donc c'est bien ce qu'elle avait compris dans le hall tout à l'heure. Elle qui aurait tant aimé que pour cette fois-ci ses oreilles lui jouent des tours.

Cahaya- Je ne serais pas ta « fiancer ». Le reprenait-elle.

JungKook- Si. Maintenant enfile ça.

Cahaya- De toutes les manières ? Qui t'a dit que j'allais rester ?

JungKook- Je ne supplie pas les gens donc je ne te supplierai pas. Mais j'ai besoin d'une personne intelligente et caractérielle qui puisse m'aider.

Cahaya- Et pourquoi je devrais automatiquement être ta fiancer ? Y'a pas besoin de ça. Je peux être une cousine éloignée.

JungKook- D'une part, c'est plus facile de transporter sa fiancer, d'autre part, qui emmène sa cousine dans les dîners d'affaire ?

Cahaya- Toi aussi c'est pour l'image que tu fais ça ?

Elle avait alors reconnue dans ses paroles, son père. Bien qu'il est eu sa femme et une partie de ses enfants durant les mauvais jours. Aujourd'hui il était facile de remarquer qu'il n'existait plus ce lien magique qu'ils avaient pu avoir.

« Pour le bonne impression » c'est ce que sa mère lui avait répondu quand la jeune fille lui avait posé des questions sur ses nombreuses présence dînatoires.

Alors elle en avait fini par conclure que si ils auto-assistaient, ce n'était plus pour l'amour qu'ils avaient pu ressentir l'un pour l'autre à une époque, mais bel et bien pour cette fichue image.

Tristement, elle baissa les yeux. Et attrapa l'ensemble du pyjama.

JungKook- Aigo...

Cahaya- Justifie rien.

Et à ce moment là, elle partie une seconde fois dans la salle de bain, pour se vêtir de son nouveau pyjama, qui entre nous, la tasser plus qu'autre chose.

Elle n'avait pas de rondeur, c'était juste l'ensemble qui ne lui allait pas. Et si il avait prit les autres vêtements de la même taille que ce pyjama, il devait se préparer à lui proposer une nouvelle garde robe.

Parce-qu'il en était hors de question qu'elle se balade à l'aire libre avec des vêtements pas à sa taille.

Avant de sortir de la salle, honteuse de ce qu'elle portait, elle s'empressa d'attraper le peignoir qu'elle avait portait jusqu'à présent pour que de la façon la plus élogieuse qu'il soit, elle puisse cacher l'horreur.

Habituellement, elle portait des choses deux fois trop grande pour elle. Elle aimait se sentir à l'aise dans ses mouvements et de ce fait, elle haïssait se sentir trop à l'étroit.

Quand elle apparue dans la chambre le regard noir, elle soupira d'agacement pour que celui qui lui ait passer les vêtements la remarque.

JungKook- Pourquoi tu mets un peignoir ? Tu as froid ?

Elle évita alors sa question pour surenchérir avec une autre, qu'elle jugeait plus importante à ses yeux.

Cahaya- T'as une couette et un coussin ?

JungKook- Tu as si froid que ça ?

Cahaya- Aigo ! Mais non, il est juste 3h30 du matin et j'aimerais continuer ce que j'ai abandonné pour aller ici, c'est à dire, dormir !

JungKook- Ah.

Il se gratte un court instant le cure chevelue puis il se dirigea vers cette grande armoire mural, pour en sortir une couette et un oreiller.

JungKook- Tu n'auras qu'à dormir sur le lit, j'irais sur le sofa.

Cahaya- Hors de question que je dorme dans un endroit où tu y as posé tes fesses !

JungKook- Tu dormais bien dans un plaide qui m'appartenait, et si tu savais ce que...

Cahaya- Je veux pas le savoir ! Et là, la situation est différente puis-que j'ai le choix !

JungKook- Qui a parlé d'un choix ?

Ses affaires de couchage en main, il partit les déposer sur l'un de ces sofas avant d'à son tour, se diriger dans la salle de bain et de s'y enfermer à double tour.

« Insolant » Avait-elle alors hurlé au plus profond de son âme.

Tout en pestant, elle alla rejoindre le lit, qu'elle inspecta sous tous les recoins. Elle n'avait jamais ou presque jamais, eu des comportement de diva, mais ici, peut importait. Elle pouvait même se faire passer pour une princesse, cela elle s'en contre fichait, ce qui l'importait, c'était de vérifier si l'endroit ou elle allait dormir quelques heure était digne de confiance.

Pas qu'elle ne doute de la propreté de JungKook, non, mais le jeune homme lui avait mit la puce à l'oreille en engageant une discussion (non terminé) sur le plaide qu'elle avait utilisé quelque heures auparavant.

Alors quand l'inspection fut terminé, elle partit se coucher et c'est sans surprise qu'elle rejoignit le monde fabuleux qu'étaient les rêves.

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