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Chapitre 4

Il s'est passé un truc horrible (pour une personne qui écrit sur un ordinateur) avec mes histoires... Surtout celle-ci... Bon ce n'est pas à cause de ça que mon absence s'est prolongée bien au contraire. 

Comme j'ai pas envie de raconter dans tous les détails, parce-que c'est juste trop long, je vais faire bref. Samedi matin mon histoire s'est effacée sans raison, enfin "effacée" se serait trop simple, elle est devenue un ama de mots incompréhensible. Alors là je peux vous dire que c'est les boules, surtout quand on commence à poster et que seulement 3 chapitres sur 12 sont sur wattpad. Je vous dis pas l'horreur, j'ai chialé toutes les larmes de mon corps mdr... Bref, c'était sans doute le destin qui me rappeler à l'ordre désirant que les tournures de l'histoire changent...

Mais ça ne m'a pas empêché de continuer... Même si... C'est vrai que j'ai eu ce moment de doute, et que la suppression de cette histoire allait sans doute finir par l'emporter dans cette bataille de sanglot et de rage.

Enfin voilà, si je suis là, c'est que la voix de la raison a su me remettre sur le droit chemin. Bref,

Bonne lecture.
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"Précédemment : Cahaya ne voulait pas voire ça. Elle avait alors fermé les yeux, et les avait rouvert à l'entente de la masse sonore qui venait de heurter ses oreilles.
Il lui avait dit les pointes, et elle en était sûre. Elle savait que ses cheveux étaient abîmés, mais était-il nécessaire de lui couper 10 bons centimètres ? Elle n'était pas d'accord.

Cahaya- Mes cheveux !? "

Ses yeux pointèrent ahuri le sol. Elle avait eu raison, il venait de lui couper 10 centimètres voir plus, sans exagérer. Et à ce stade là si elle le laissait faire, elle savait très bien qu'elle finirait avec un carré plongeant.

...- C'est trop tard Cahaya. Ce qui est coupé, est coupé.

Elle se leva en furie et utilisa la chaise comme arme de défense. Elle l'avait vue dans de nombreux films d'action, alors elle savait comment cela fonctionner.

...- Reposes cette chaise tout de suite. Et fais le pendant que je suis calme.

Cahaya- Oh non ! Certainement pas pauvre fou ! Dis moi d'abord ce que je fous là ! Tu as fait des recherches sur moi j'imagine, tu es sans doute tombé sur mon caractère ! Tu devrais savoir qu'une fois ma décision prise je n'abandonne pas ! Et vois tu, si tu réponds pas à ma question, j'hésiterais pas à te fracturer le crâne avec !

Il se mit à rire, comme si, il ne prenait pas au sérieux les remarques précédente. Ou plutôt, comme si il maîtriser la situation.

...- Écoute Cahaya, à l'inverse de moi, toi tu n'as effectué aucunes recherches sur moi. Tu ne connais ni mon nom ni mon caractère. Alors pour ton bien... Reposes cette chaise immédiatement.

Cahaya- Ah ouais !? Frappe moi alors ! Vas-y ! Mais seulement tu contredirais ce que tu as dit ! N'est-ce pas !? Je ne dois pas avoir de traces ! Vas-y j'attends que ça ! Par contre, je sais pas si la somme d'argent qu'ils te verseront restera la même ! Il risquerais d'avoir marqué sur le petit bon de livraison « marchandise défectueuse ».

...- Tu crois vraiment que je vais te vendre ? Toi ? Tu vaux plus qu'une maudite somme d'argent Cahaya. Tu es l'enfant chérie du peuple. Dit-il en laissant s'échapper un petit rire. Les demoiselles te jalousent, les jeunes hommes te désirent. Quant aux adultes, ils t'envient, et tu n'es qu'une figure à écraser pour les anciens. Alors non je ne te revendrais pas.

Cahaya- Qu'as tu l'intention de faire alors !? Tu comptes m'exploiter ! Tu comptes te servir de mon corps pour assouvir des désirs !?

...- Si je me basais sur le critère du physique, je ne t'aurais certainement pas choisi.

Cahaya- Quel connard...

Au fond elle était rassurée, blessée mais rassurée. Elle savait qu'elle ne plaisait pas à tout le monde, mais jamais personne ne lui en avait fait part d'une telle manière.

...- Hum... Je croyais que tu avais prit des cours de politesse plus jeune. Mes sources sont-elles fausses ? Tu n'es pas moche, j'avoue que tu es plutôt attirante. Tu es contente ?

Cahaya- Tu crois vraiment que de la part d'un psychopathe, ce genre de compliments me fera sourire !? T'as tord ! Dis moi pourquoi je suis là !? Dis moi !?

...- Pathétique... Il fouilla dans sa poche. J'aime pas en venir là mais je t'ai prévenu.

Il en sortit une arme qu'il pointa d'abord au plafond pour tirer.

« Merde elle est chargée ». Avait-elle pensé.

Puis il pointa le revolver sur Cahaya.

...- Pose cette chaise, je n'hésiterai pas à tirer.

Elle avait d'abord prit peur, puis elle avait fini par penser, que mourir sur le champs ce n'était pas si mal que ça.

Elle n'était pas lâche, mais elle ne se voyait pas passer toute sa vie avec un psychopathe.

...- Si tu penses que je vais t'achever. Enlèves toi ça de la tête. Je te l'ai dit, tu es bien trop précieuse pour que j'en finisse avec toi.

Elle oscilla les sourcils ? Alors pourquoi la menacer ?

...- Alors pose cette putain de chaise.

Il n'attendit la réponse de la demoiselle, pour tirer en plein dans sa cuisse droite. Le choc fit qu'elle lâcha la chaise, puis, par manque d'équilibre elle s'écroula au sol sans perdre connaissance.

Elle grimaçait de douleur, et celle-ci par la même occasion faisait ressortir les goûtes de sueur. Elle n'aurait au grand jamais imaginé après ce qu'il lui avait dit, qu'il tirerait sur elle malgré tout.

...- Tu veux que je fasse l'autre jambe, ou ça suffira ? Pour le coup je te laisse choisir.

Cahaya- Tu aurais juste pu me donner quelques informations...

...- Tu aurais juste pu lâcher cette chaise. Maintenant relève toi.

Était-il aveugle ? Il venait de lui tirer dans la cuisse, il l'avait touché ! Et il voulais malgré ça, qu'elle se relève ? Par quel miracle pourrait elle faire ça ?

...- Lève-toi. Tu peux encore marcher.

Elle questionna l'homme du regard.

...- Tout est dans la tête, alors lève toi rassis-toi sur la chaise.

Elle rampa en premier lieu, puis quand elle s'estima prête, elle se releva pour s'installer sur son ancienne arme.

Il rangea son arme dans la même poche, et reprit la paire de ciseau. Avec celle-ci, il découpa un bout de son haut et se dirigea à son tour auprès de Cahaya en prenant par la même occasion la gamelle d'eau.

Tout en la regardant dans les yeux, celui-ci s'agenouilla.

...- Mets ta jambe là. Avait-il dit en pointant sa cuisse. Dépêche toi.

Elle ne savait de quoi il était capable, alors elle exécuta rapidement et sans broncher l'ordre du jeune homme tatoué.

...- C'est pas très profond et j'ai pas de pince sur moi.

Quand elle vit les doigts du tatoué se diriger au niveau de sa blessure, elle crut perdre connaissance. Allait-il vraiment faire ce qu'elle redoutait ? Chercher la balle à l'aide de ses doigts !? C'était classe dans les films, mais en réalité le scénario n'était guère le même. Avait-il pensé aux infections !?

En tous les cas Cahaya oui, et bien qu'elle est accepté qu'il lui coupe les cheveux, ça elle refuserait catégoriquement. Du moins elle essayerait de s'interposer...

Et puis si elle n'y arriverait pas. Elle trouverait un autre moyen.

Cahaya- Je préfère vivre avec.

Il ne l'écoutait pas.

Cahaya- Oh je te parle pauvre con !

Il arrêta tous gestes avant de dévisager la jeune femme. Elle savait que ça allait marcher.

Cahaya- Tu touches pas à ça ! Et tu vas chercher ta putain de pince !

...- Ferme ta gueule.

Tout en regardant Cahaya, le tatoué avait enfoncé ses doigts dans la plaie de celle-ci, lui causant un terrible hurlement. Elle sentait ses doigts bouger et cela la rebuter. Si elle aurait mangé quelque chose, sûre elle aurait tout vomi sur ce prochain.

...- Tu vois, c'était pas profond.

Elle ne prit même pas la peine de répondre. Pas parce-qu'elle était énervé. Mais parce-qu'elle était entre la vie et la mort. Du moins c'est ce qu'elle pensait.

...- La prochaine fois, tu la fermeras, tu ne me donneras pas d'ordres, et tu ne m'insulteras pas.

Il attrapa la gamelle d'eau, en versa un peu sur sa blessure. Par la suite, il imbibât le tissue de cette substance, et l'accrocha autour de sa cuisse.

...- Très bien, maintenant que tu n'es plus en mesure de me gêner, je vais continuer mon travail.

Il reprit la paire de ciseau dans sa main et continua le travail qu'il n'avait pu terminer.

Cahaya- Pourquoi... Pourquoi tu me fais ça ?

Elle était au bord des larmes.

...- De quoi ? Te couper les cheveux ?

Cahaya- Arrêtes de jouer l'innocent, tu sais très bien de quoi je parle... Pourquoi moi ? Pourquoi !?

...- Je te l'ai dit, tu es précieuse.

Cahaya- Tu ne m'as pas kidnapper parce-que j'étais « précieuse » !

...- Aigo... Dit pas que je t'ai kidnappé. J'aime pas ce mot. Emprunter... Oui ça sonne un peu mieux.

Cette fois si s'en était trop. Si elle avait réussi à se contenir jusqu'ici, là elle venait de craquer. Aurait-elle dû écouter son amie quand il en était encore temps ?

Cahaya- Alors pourquoi !? Pourquoi !?

Le tatoué stoppa toutes actions, il mimât la réflexion, puis pour la seconde fois, il s'agenouilla à son niveau.

...- Arrêtes de pleurer.

Il arrangea en deux trois coups la nouvelle coupe de cheveux de celle-ci puis il se leva.

...- Une mission ?

J-2

Ce jour si, elle avait eu beaucoup plus de mal à se réveillé. Et pourtant elle n'avait pas été droguer. Du moins si c'était le cas, elle s'en rappelait pas.

Non, aujourd'hui elle ne se sentait pas si bien qu'elle avait pu se sentir la première fois qu'elle avait ouvert les yeux.

Certes elle n'avait pas eu le moral non plus, mais là c'était différent. On ne peut pas dire qu'elle avait plus le courage de se lever après 2 jours passé ici. Mais c'était tout comme.

Elle était alors resté dans le coin de la pièce, le plaide sur elle. Elle avait réfléchi à beaucoup de chose. Elle s'était aussi demandée si, sa famille la cherchait à l'heure actuelle. Elle souhaitait avoir passé plus de 48h ici pour que l'avis de recherche ce déclenche et qu'ils puissent enfin la retrouver.

Elle l'avait souhaité, mais elle savait qu'ils n'allaient pas la retrouvé de si tôt. Elle savait car ce matin (c'était une supposition) elle n'avait pas était réveillée par le bruit des passants d'une ruelle bondé. Ni par celui d'une voiture qui klaxonne en plein centre ville après un embouteillage.

Non... Ces bruits qu'elle détestait autre fois ne l'avait pas réveillé.

Ça aurait été trop beau.

Et c'est dès l'or qu'elle entendit ni l'un ni l'autre qu'elle avait su que c'était peine perdu pour elle.

En faite elle l'avait su bien plus tôt oui. Quand elle avait analysé la pièce dans laquelle elle se trouvait, et que les murs ainsi que le sol étaient recouvert de béton, et que la seul source de luminosité venait de quelques bougies, et non d'un puits de lumière naturel.

Oui, c'était à ce moment précis, mais elle avait gardait espoir. Jusqu'à aujourd'hui. À son réveil.

Les murs avaient tremblaient tout comme le sol, cela s'était répété plus d'une dizaine de fois depuis. Oui c'était de la circulation, mais pas sur une route.

Elle avait alors énuméré tout les moyens de transport possible. Mais elle le savait très bien. Ça n'appartenait pas à une voiture, ni à un bus.

Mais bel et bien à un train. Et c'était à partir de ce moment que tout le courage qu'elle avait gardé au fond d'elle avait fini par s'envoler.

C'est comme cela d'ailleurs qu'à son réveil elle sut qu'il était tout juste 7h du matin. Et qu'actuellement elle hésitait beaucoup entre 11h15 et 12h30. Elle s'était endormi, et par le même bruit quelque temps après s'était réveillé.

Hier le tatoué l'avait laissé après lui avoir annoncé le mot « mission ». depuis elle ne l'avais pas revu et entre nous elle espérait le revoir. Pas qu'elle avait fini par s'attacher à lui. Mais elle avait déjà fini sa gamelle de nourriture et elle mourrait de faim.

Elle s'était alors surprise quand dans sa tête elle avait murmuré la chose suivante « reviens... » et depuis elle ne s'était pas rendormi.

Du moins pas qu'elle le sache.

2 passages de train plus tard, sois 30 minutes après (elle connaissait la fréquence puis-que parfois elle emmener son jeune frère à la gare, quand celui-ci le manqué et parfois à deux ils réussissaient à le re manquer d'une minute seulement, d'où les 15 minutes d'attentes supplémentaire à chaque fois.)La porte s'ouvrit. L'homme entra, un plateau à la main. Il s'assura de bien ranger les clés avant de faire quelques pas de plus. Puis déposa le plateau en face de la jeune fille.

Cahaya avait quand même été un minimum éduquer, et donc elle n'avait pas comme une sauvage sauté sur la nourriture.

Elle l'avait d'abord examiné. Une simple purée de pomme de terre, qui ressemblait à celle de la pub bon marché. Et une petite saucisse. Dommage elle était végétarienne. Et ça il n'avait pas dû le voir dans son « dossier d'espionnage ».

...- Alors je suis désolé, c'est pas aujourd'hui que tu auras de la purée aux pépites d'or, et une saucisse aux foi gras.

Elle arqua un sourcil... Jamais elle n'avait goûté ce qu'il venait de décrire comme étant un repas « luxueux ».

Chez elle, la purée ne ressemblait pas à des lingots d'or et la saucisse, à quelque chose de beau à regarder.

...- Et tu devras te contenter de piquer à la cuillère en plastique.

Bon là par contre ce n'était pas du grand luxe, mais chez elle, pareille. Les cuillères n'étaient pas en or. Elle se souvenait même que c'est elle qui les avait choisi quand elle n'avait que 10 ans. Et ils n'avaient pas étaient dans une boutique des plus classe pour choisir leurs argenteries.

À l'époque, Ikea était sur leur route, et ce magasin les avait rendu heureux.

...- Tu as perdu ta langue ?

Comment pouvait-il lui dire ça après l'avoir honteusement frappé, puis après lui avoir tiré une balle dans la cuisse ? Avait-il oublié ? Cahaya non, et elle ne voulait pas se retrouver avec deux jambes perforées et qui sait, sans doute infectées !

Alors qu'elle venait de se perdre dans ses pensées, un bruit sourd, celui des quatre pieds d'une chaise traînant aux sols lui indiqua que ce n'était guère le moments de « batifoler ».

Il plaça alors cette chaise en face de la jeune fille, qui celle-ci toujours dans un silence, dévisagea le tatoué.

...- Bien... Dit-il tout en installant sur la chaise. Tu n'as pas faim ? Pourtant... Ah moins que ça ne soit que du muscle, j'ai eu du mal à te transporter jusqu'à ici.

Cahaya- Pas étonnant, quand le maigrichon que tu es kidnappe le sac que je suis. Si tu voulais une plus mince, tu aurais dû en choisir une autre.

...- Je suis content que tu l'ai retrouvé cette langue fourchue.

Puis comme si il réfléchissait à ses dires futur, il se gratte d'un mouvement commun le crâne.

...- Je te l'ai dit Cahaya, tu es spéciale, fine ou enrobée, je t'aurais emprunté quand même. Je dis juste ça comme ça.

Et puis comme si la jeune fille avait été vexer elle ne pu s'empêcher de revenir aux propos précédent. C'était plus fort qu'elle, sous entendre dire qu'elle était musclé c'était une chose, mais sous entendre dire qu'elle était grosse, s'en était une autre.

Cahaya- Et puis, si ce n'est que pour préciser. Je suis musclée. Pas enrobée vieux con.

Le jeune homme en face d'elle ne pu s'empêcher d'étouffer un léger rire face à la remarque dite « haineuse », de Cahaya.

...- Aux dernières nouvelles, sous de la cellulite, ne se cache pas un corps svelte et suintant.

Estomaquée ses mains alla rejoindre automatiquement son corps, lui servant alors de carapace protectrice anti voyeur.

...- C'était une blague. Je ne t'ai pas observé comme tu aurais pu le penser. Je rigolais.

Ironiquement mais surtout hilare, Cahaya finit par joindre une main à sa joue.

Cahaya- Non ? T'es trop drôle.

...- Je sais. Bon mange.

Cahaya- Tu veux voir comment une gosse de riche avale de la nourriture dite invariable à ses yeux ?

...- Peut-être bien.

Cahaya- Je ne te ferais pas ce plaisir.

Le tatoué se racla la gorge comme pour dissimuler l'ennuie qu'il venait à éprouver.

...- Je présume que tu n'as pas faim. Très bien je le mangerais moi même.

Il attendit un court instant avant de s'élancer et d'attraper le plateau repas. Et sans vraiment crier garde et comme il s'y attendait, la jeune lui arracha tout en restant dans le cadre de la « politesse » l'assiette garnie des mains.

Cahaya- Laisse. Je vais manger.

...- mange bien.

Celle-ci ne prit même pas la peine de répondre et enfourcha la première boucher de purée et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il ne reste plus que la saucisse.

...- Tu manges pas las saucisse ?

Cahaya- Désolée de te décevoir, mais je suis végétarienne et tu n'as pas à me forcer, ça serait contre nature.

Le jeune homme fixe alors la jeune fille un air narquois aux bouts des lèvres. Laissant ainsi Cahaya perplexe.

Cahaya- Quoi tu m'as empoisonné ?

...- Non mais il serait tellement simple de le faire. Comme il a été simple de t'emmener jusqu'ici.

Dans un gémissement presque inaudible, Cahaya laissa transparaître son outrance. Comment pouvait-il lui raconter cela avec tant de dextérité ?

...- Tu aurais pu t'échapper si tu avais suivi ton instinct de départ. Cela prouve à quel point l'humain peu être bête en essayant de vaincre quelque chose qui ne doit pas être vaincue.

Cahaya- Oui mais mon instinct me disait que si je fuyais tu m'aurais retrouvé, et aujourd'hui je n'aurais pas qu'une horrible plaie sur la cuisse, et cette chance d'avoir les cheveux aussi long.

...- Hum... Peut-être que tu n'as pas tord.

Elle attrape alors son plateau pour lui tendre.

Cahaya- J'ai jamais tord.

Avant qu'il n'attrape le plateau et qu'il s'en aille, un énième tremblement comme ceux qui le précéder se fit entendre.

Cahaya- 11h45 ? Ou 13h ?

Le ravisseur s'arrêta un cours instant avant de se retourner complètement.

...- 13h09, le premier train à eu du retard.

Elle acquiesça un sourire aux lèvres.

Cahaya- Merci... euh... Le détraqué aux tatouages ?

...- Tu n'as qu'à m'appeler.........

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Ce chapitre est hyper long, mais j'espère qu'il vous aura plu ! 

Bisous bisous !

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