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Chapitre 3

Aller c'est tipar pour poster toute la soirée MDR et maintenant c'est au tour de cette fan fic !

Bonne lecture !
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"précédemment : HeaWoo- Cahaya !? Cahaya c'est toi !? CAHAYA !?
Elle entendit quelques pleures, puis plus rien. Le signal venait de disparaître."

« ...- Ce jour là, ma fille portait un jean noir, une paire de bottine de la même couleur, et un gros pull bordeaux. Elle avait autour de son coup une grosse écharpe en laine blanche...

La femme essuie quelques larmes qui avaient pu couler.

...- Ses long cheveux étaient détachés, et elle avait de légères ondulations.

Elle venait de rapportait aux média la description qu'avait pu faire HeaWoo plus tôt.

...- Elle était au téléphone avec sa meilleure amie quand tout c'est produit. L'homme plus tôt lui avait demandé une information... Et ma fille lui... S'il vous plaît si vous savez quoi que se soit, aidez nous... Aidez no... »

J-1

Ses paupières bougeaient encore. Elle était en vie. Sa longue chevelure ne faisait plus qu'une avec son corps presque découvert. Celui-ci gisait sur le sol bétonné et froids. Et à plusieurs reprise on pouvait distinguer quelques frissons.

La température ne devait pas dépasser les plus de 20 degrés, et l'odeur pouvait nous indiquer un taux élevé d'humidité.

Tout comme cette buée que celle-ci laisser paraître à chaque expiration nasale. Le bruit des gouttes d'eau tombant au sol, transgressaient le silence.

Ce courant d'air laisser sous entendre qu'il y avait une porte quelque part dans la pièce et le petit bruit sourd de clés qui s'entrechoquent nous faisait comprendre que la porte était verrouillée.

Doucement, mais sûrement ses yeux s'ouvrirent. Elle explora apeuré le moindre recoin de la petite pièce. 4 murs l'entouraient. Il n'y avait ni fenêtres ni issues de secours, seule, cette porte blindée.

Il faisait sombre mais les deux bougeoirs situés de part et d'autre la pièce ne la rendait pas totalement sombre.

À l'opposer de la jeune fille se trouvait de quoi manger dans une petite gamelle, et pareil pour l'eau. La personne avait sans doute « voulut bien faire ». Sur le côté, il était disposé de façon grossière, un vieux plaide jaunit par l'humidité.

La peur la rattrapa quand ses souvenirs réapparurent un à un. Comment avait-elle pu oublié dans quelle situation elle était ?

Comment avait-elle pu pensé à la nourriture plus loin ? Et à l'endroit où elle allait dormir.

Elle essaya de se relever mes son corps était comme engourdie. Alors elle s'observa un temps avant de comprendre qu'elle ne portait que ses sous vêtements.

Elle hurla en premier lieu puis décida de se calmer et de dégourdir ses membres.

Quand elle reprit entièrement le contrôle de son corps elle eu l'impression qu'il avait été endormi. Avait-elle été droguer ? Elle n'arrivait pas à s'en souvenir.

Elle se leva. Trop vite puis-que les maux de têtes lui avaient eux rappelé qu'elle n'était pas prête à se lever.

« PDV Cahaya »

J'avais compris depuis un certain temps que chercher une sortie ne servait à rien. J'avais déjà fouillé les moindres recoins de la pièce. Et je vous avouerez que j'avais espéré trouver, comme dans les films. Un conduit d'aération. Mais rien.

Juste de la nourriture à boire et une couverture, que j'avais d'ailleurs encerclé autours de mes épaules

J'avais alors compris que si il ne m'avait pas ligoté, c'est qu'il avait confiance en son lieu. Il savait que ne pourrait pas fuir.

Je m'étais alors faite déjà ma propre idée. J'allais mourir ici. Je ne savais pas de quoi encore mais si on m'avait transmis un arrêt de mort, j'aurais directement signé.

Avant de me lancer dans une périlleuse recherche, j'avais bien évidemment prit le soin de fouiller toute la pièce à la recherche d'une quelconque caméra. Si il avait confiance en lui ça voulait dire qu'il me surveillez. Mais comme je m'y attendais, je n'avais rien trouvé.

J'avais peut-être trop regardé de film policier.

J'attendis encore quelque minutes ? Heures ? Jours ? Je ne savais même pas, j'avais perdu toute notion du temps ici.

Quand j'entendis un bruit. Oui un bruit de pas. Ils descendaient les escaliers doucement.

J'avais beau être médaillé, et travailler plein d'art martiaux, mais je peux vous garantir ma peur était tellement puissante, que si mon professeur me voyait dans cette situation, il m'aurait fait directement passer à ma première ceinture sans broncher. Et moi sans broncher, je l'aurais fait.

En fait j'avais peur de tomber sur un pervers. Un horrible pervers. Enfin quoi que, un pervers tout court même. Je doute fort que même si il était beau j'aurais bavé dessus. Il resterait un pervers.

Il pénétra la clé dans la serrure, et en deux tours la porte fini par s'ouvrir.

« PDV extérieur »

L'homme tenait dans sa main gauche, un ensemble des plus basique de tenue.

Un haut noir avec des manches longues, et un pantalon ayant la même couleur que ce précédent.

En déposant les futur affaires de la jeune fille, il avait laissé paraître une paire de ciseau en acier.

...- Portes cette tenue.

Lui avait-il dit d'un ton des plus calme possible.

Cahaya avait peut-être peur, mais son caractère ne pouvait pas disparaître aussi facilement que son audace.

Cahaya- Rends moi ma tenue.

Elle avait alors longuement regardé le jeune homme, et en avait alors fait une rapide analyse, au cas où elle mettrait la main sur un téléphone et que le numéro de la police lui reviendrait.

Grand, fin, ça elle le savait déjà. Celui-ci était brun et il avait une peau incroyablement blanche et lisse. Il devait prendre soin de son apparence.

En regardant de plus près, elle put remarquer les nombreux tatouages qui ornaient son visage, mais surtout ses avant bras et ses mains. En premier lieu cela l'avait alors effrayé, puis elle avait fini par trouver cela normal pour un psychopathe.

Il portait les mêmes vêtements que l'autre fois. Du moins ils se ressemblaient. Il avait juste rajouté une petite veste en jean par dessus son sweat gris à capuche.

Le jeune homme sourie laissant transparaître ses dents incroyablement blanche et parfaitement alignées.

...- Très bien. Tu resteras en sous vêtements.

Elle ne put supporter cette idée, et se jeta sur les vêtements avant qu'il ne finisse par les emmener avec lui.

...- Je reviens dans 5 minutes.

Il ouvrit la porte puis la referma aussitôt.

Elle avait alors réussi à voir ne serait-ce juste un petit peu le décor derrière celle-ci.

Elle ne fut pas déçu, mais la joie ne l'avait atteint.

Elle n'avait pas trouvé de plan de télévision montrant sa cellule. Mais en revanche le seul « décor » de la pièce c'était ce grand escalier en colimaçon.

La bonne chose dans tout cela c'était que si elle voulait s'enfuir, elle pouvait le faire sans se faire remarquer dès la sortie. Mais la mauvaise, c'était qu'après la sortie, qui savait ce qui se pouvait trouver en haut ?

« Ce ne serait qu'un semi échec » avait-elle alors pensé. Ce qui semblait pas mal pour pour notre protagoniste accro à la réussite. (/!\ le cadre scolaire ne rentre pas dans tout ce qui s'apparente à la réussite ! )

Elle enfila en vitesse les vieux vêtements qui lui avait été donner. Dieu sait où il les avait trouvé, mais elle ne préférait pas y penser. Son cœur risquerait sans doute de lâcher.

Elle qui avait l'habitude de porter de belles choses, de beaux vêtements et de paraître toujours parfumé et maquillé. Elle risquerait d'être déçu de son « pseudo voyage ».

5 minutes après, l'homme était revenue, un miroir à la main. Elle se rendit alors vite compte qu'il n'allait pas servir de décoration à sa nouvelle chambre, et que le ciseau précédemment apporté pourrait alors bien être utile.

Cahaya- Tu comptes faire quoi avec ta paire de ciseau !?

Son ton était alors vite devenue agressif. Elle refuser cette idée là. D'une ferme poigne elle prit sa longue tignasse qu'elle cacha dans son tee-shirt.

Jamais quelqu'un lui avait touché ses cheveux, pas même le plus grand coiffeur du monde. Alors lui !? Il en était hors de question.

...- Tes pointes... Elles sont fourchue.

Pour qui se prenait il ? Un humoriste ? En tous les cas c'était gagné, il venait de faire rire la jeune brune.

Cahaya- Mais tu t'es prit pour qui !? Un coiffeur ou quoi !? Pauvre imbécile !

Le bruit sourd, celui d'une claque se fit entendre.

Cela ne lui faisait pas mal, elle avait reçu pire, mais seulement dans le domaine du sport. Hors de ça personne ne l'avait jamais giflé, pas même son père.

Il venait de s'abaisser à son niveau.

...- Ne me prends pas à la rigolade. Je ne suis pas comme ces dizaines d'hommes que tu as su dompter. Quand je te dis que tu as les pointes fourchues, c'est que tu as les pointes fourchues. En d'autre termes, tu me casses pas les couilles ou tu vas vite sentir les courants d'airs passer au dessus de ton crâne. Un coup de rasoir et tout est terminé.

Il était atrocement proche de son visage, et il n'avait pas l'aire d'avoir peur. Oui elle en avait conclue qu'il avait enquêté sur elle, et que si il connaissait ses nombreuses conquêtes masculines, il connaissait celles des trophées.

Cahaya- Tu ne couperas pas mes cheveux. Un point c'est tout.

Sa voix tremblait, elle avait se terrible sentiment, celui d'avoir était humilié. Il venait de la frappé mais pire que ça, il refusait de baisser les yeux.

Cahaya- Ni les pointes, ni les racines.

Celui-ci éclata de rire. Il fit une courte pause, puis brusquement il attrapa la jeune fille par les cheveux afin que celle-ci puisse se relever.

...- Ca-ha-ya... Tu es comme ta mère hein ? Tu es têtu...

Un ricanement narquois avait alors recouvert les sanglot de la jolie brune.

...- Combattante hein ?

D'une terrible force il projeta Cahaya à quelque mettre de lui.

...- Sportive de haut niveau hein ?

Cette fois ci, le jeune homme agrippa fermement son poignet.

...- Belle ? Coquette !? HEIN !?

Ses hurlements raisonnaient très fort, et ils étaient la cause de ces sursauts.

...- Alors tes pointes fourchues, on va les faire disparaître ! D'accord !?

Elle hocha positivement la tête.

...- D'accord !?

Cahaya- Je... Oui.

...- Très bien... Tu vois quand tu veux... On peut vachement s'entendre. J'aime pas m'énerver Cahaya. Pas du tout.

La main de l'homme caressa doucement la joue de Cahaya. Et si celle-ci n'aurait pas eu peur du danger, elle aurait sans doute remis cet individu à sa place.

Mais étant donné les circonstances, elle ne voulait pas terminer chauve. Bien qu'elle n'ai rien contre les personnes sans cheveux.

Il desserra la forte poigne qu'il avait exerçait plus tôt. Ce qui permit au bras de Cahaya de retrouver sa couleur d'origine.

...- J'espère que je ne t'ai pas fait trop mal, hein ?

Son rictus moqueur ne coïncider pas avec la question posée. C'est pour cela qu'elle ne lui donnerait pas ce plaisir, celui de répondre.

Cahaya avait bien était élevée, ce n'était pas ça le problème. Mais dans un cas comme celui-ci elle savait faire preuve d'impolitesse.

...- Tu ne dois pas garder de traces sur le visage.

L'homme se releva, puis il quitta la pièce, hélasse pas assez de temps pour que celle-ci envisage la fuite.

Il devait avoir déjà tout préparé, puisqu'il était revenue avec une chaise sans même avoir emprunté le grand escalier.

Il disposa l'objet en bois vernis au milieu de la salle et par un geste il l'ordonna de s'installer sur celle-ci.

Ce qu'elle fit en 30 secondes top chrono. Non elle ne voulait pas se retrouver à terre comme tout à l'heure.

...- Tu as des petits nœuds. Ça va pas être simple.

Il passa alors lentement sa main dans les cheveux de la jeune fille, afin d'en enlever le maximum. Par la suite, il attrapa la paire de ciseau qu'il avait mit auparavant dans sa poche.

Cahaya ne voulait pas voire ça. Elle avait alors fermé les yeux, et les avait rouvert à l'entente de la masse sonore qui venait de heurter ses oreilles.

Il lui avait dit les pointes, et elle en était sûre. Elle savait que ses cheveux étaient abîmés, mais était-il nécessaire de lui couper 10 bons centimètres ? Elle n'était pas d'accord.

Cahaya- Mes cheveux !?
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Vous pouvez me dire ce que vous en avez pensé ! Cela me ferait vachement plaisir !

Et il n'y aura pas de "tenue du jour" psk g pas trouvé LOL.

Bisous bisous !

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