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26 ✔︎



As'Salam Aleykoum

Avec un peu de difficulté, je me suis levé du lit puis je me suis dirigé vers la porte.

Lorsque je suis arrivé en face de la porte, je l'ai ouvert mais le garde qui était assis à côté, s'est mis en face de moi m'empêchant ainsi de sortir de la chambre!

Super!

J'ai voulu lui parler sèchement afin qu'il se pousse de mon chemin toutefois, j'ai rien fait parce que je me suis rappelé qu'il y'a peu de temps, je me suis promis de changer, d'arrêter d'être insolent et irrespectueux envers les autres.

Et je compte bien respecter ma promesse même si je sais que ça sera très dur pour moi!

_ As'Salam Aleykoum mon frère ! Vous allez bien?

M'enquis-je.

Des jours en avant si on m'avait dit que j'allais parler si poliment avec l'un des gardes, c'est sûr que je n'y aurai pas cru!

Que la vie est pleine de surprises !

Le garde est même surpris de la manière dont je lui ai parlé.

Je pense que c'est la raison pour laquelle, il est resté quelques secondes avant de me répondre.

_euh..j...je vais bien et vous?

Me demande t-il à son tour néanmoins, il était resté sur ses gardes.

_ ça va aussi... je rends grâce! Vous pouvez, s'il vous plaît, me conduire dans la chambre de la juge Diakhate, la mère de Gagnado? J'aimerai la voir afin de me rassurer personnellement qu'elle va bien...

M'expliquai-je.

_je suis désolé mais, je n'ai pas le droit de vous laisser sortir de cette pièce.

Me fît-il savoir avec désolation.

J'étais dégoûté et déçu n'empêche, je n'ai rien laissé paraître.

_ je comprends... merci quand même.

Lui dis-je avant de reboucher chemin pour rentrer dans ma chambre.

_ Attendez!

Me dit-il.

Je me retourne et le questionne du regard.

_ attendez je vais appeler M.Gagnado pour qu'il m'accorde la permission de vous ramener voir sa mère .

M'explique t-il avant de prendre son téléphone et de s'éloigner un peu pour parler avec Gagnado .

Connaissant bien Gagnado, je sais qu'il sera d'accord.

Et c'est sans surprise qu'il revient quelques instants plus tard pour me dire que c'était ok.

Puisque j'avais quelques difficultés à marcher tout seul, il me demanda de m'appuyer sur son épaule.

Chose que je fis.

Il est très serviable et gentil ce gars, heureusement que je lui avais jamais manqué de respect auparavant parce que j'aurais vraiment eu honte.

Je ne me rappelle même pas lui avoir vu dans le passé.

Peut-être que c'est un nouveau.

_je voulais vraiment m'excuser auprès de vous!

Me dit-il.

_ tu sais on peut se tutoyer... et vous excuser de quoi?

Lui demandai-je perdu.

_ je vous ai juger sans vous connaître parce que les gardes m'ont dit des choses pas du tout jolies sur vous raison pour laquelle, je vous prenais pour un petit merdeux, un criminel, un connard etc... je m'étais fait une mauvaise image de vous alors que je ne vous connaissais même pas.

M'avoue t-il un peu honteux.

_ ils n'ont pas tort dans l'ensemble.... et l'idée que tu t'étais fait de moi, n'est pas du tout fausse. Car oui, je suis un connard!

_ ce n'est pas ce que j'ai constaté. De ce que j'ai remarqué, vous êtes respectueux, humble, serviable et vous avais un bon cœur et un bon fonds.
Seul un homme qui a un bon fond peut s'inquiéter de l'état de santé de la personne qui l'a envoyé derrière les barreaux.

Si seulement tu savais....

_ l'apparence est souvent trompeuse, très cher! Bref... tu t'appelles comment ?

_ Sheikh Omar Sarr .

_ c'est un plaisir de faire ta connaissance

Lui dis-je avec sincérité.

_plaisir partagé, MRF...

Me dit-il le sourire au coin des lèvres.

Quelque chose me dit que Sheikh Omar me sera très utile...

_voilà, nous sommes arrivés !
Je vous attends ici...  vous trouverez Gagnado à l'intérieur de la chambre !

Je hoche la tête, souffle un bon coup avant d'ouvrir la porte et de rentrer à l'intérieur de la pièce.

Je ne sais pas comment vous l'expliquer...mais, l'image que j'ai vu en face de moi me fit mal au cœur.

J'ai eu de la peine de voir Gagnado dans ce piteux état.

Il avait l'air si fatigué, si inquiet, si désespéré...

Et que dire de la juge?

Elle est allongée sur le lit, les yeux fermés, reliée à plusieurs fils...

Cette vision d'elle me fait de la peine et pour je ne sais quelle raison, j'ai mal au cœur.

J'ai peur... peur que la mort l'emporte avec elle.

Venant de moi, je sais que ça peut paraître très bizarre et incroyable n'empêche, c'est ce que je ressens.

Et intérieurement, avec toute la sincérité qu'il m'est permis d'éprouver, je me suis mis à prier pour qu'elle aille mieux, pour qu'elle s'en sorte.

Sans faire de bruit et en marchant lentement, je me suis dirigé vers elle et arrivé à son niveau, une envie incontrôlable de lui prendre la main m'est venu et c'est ce que je fis.

Et là encore, je ne sais comment l'expliquer mais ce que j'ai ressenti est juste inexplicable.

Ce fut très fort comme sentiment.

Je me sens perdu...

Je n'arrive pas à comprendre ce qui m'arrive.

J'étais sensé détester la juge... alors pourquoi, j'ai peur qu'elle lui arrive quelque chose?

Pourquoi la voir dans cet état me fait mal?

_ Ah c'est toi...

Me dit Gagnado en remarquant ma présence.

_ comment va t-elle?

Demandai-je.

_ mal! Il n'y a aucune amélioration dans son état. Les médecins disent qu'elle ne montre aucune volonté, qu'elle ne se bat pas pour se réveiller.
Ils disent que son réveil ne dépend que d'elle. Ils m'encouragent à lui parler disant qu'elle peut m'entendre et que lui parler peut lui donner la volonté de se réveiller et depuis, je n'arrête pas de le faire cependant, elle ne fait aucune réaction.
Sauf les fois où elle verse des larmes..

Termine t-il en cachant son visage à l'aide de ses deux mains.

_ tu peux me laisser, s'il te plaît, avec elle?

Il enlève ses mains et me regarde bizarrement.

_ te laisser avec elle?

Répète t-il.

_ oui! Si ce n'est pas trop te demander.

Il semblait hésiter.

_ je te promets qu'après je t'expliquerai..
Pour l'instant, il me faut parler avec elle.
J'en ai grand besoin!

Après hésitation, il regarda sa tante quelques secondes puis se leva de la chaise et sortit de la pièce.

Je me suis assis à mon tour sur la chaise et je me suis mis à la regarder.



Et à la regarder de plus près et avec attention, je remarque que son visage me dit quelque chose, qu'elle ressemble à une personne que je connais...

Son visage m'est très familier...

Mais je ne sais plus la personne à qui elle me fait penser....

Gagnado...

Me souffle ma conscience.

Peut-être... peut-être...


_ A ce qu'il parait, même si tu as les yeux fermés néanmoins, tu entends ce qu'on te dit...

Commençai-Je.

_ je pense qu'actuellement, tu dois bien te demander à qui appartient cette voix? Qui est-ce qui est entrain de te parler? Et je comprend que tu puisses te poser cette question.
Tu sais, Il y'a à peine quelques minutes, un homme m'a dit que j'étais serviable...lol!
Et rien que pour ça, je vais te rendre service en te disant qui suis-je.
Alors très chère juge Diakhate, je suis l'un des nombreuses personnes que tu as envoyé derrière les barreaux. Et contrairement aux autres, je t'avais mis en colère et en charge de revanche, tu m'as condamné à une peine de prison au dessus de la normale et aujourd'hui, je te confesse que depuis ce jour, j'ai un dent contre temps. J'ai toujours rêvé du jour où je me vengerai de toi et par magie, l'occasion m'est présentée sur un plateau d'argent. Ce serait vraiment bête de ma part de ne pas en profiter, tu ne trouves pas?

L'interrogeai-Je en lui caressant la main.

_ j'hésite entre t'étouffer ou débrancher tous ses fils qui te maintiennent en vie.
Et puisque je suis gentil, je te laisse choisir.
Donc si tu préfères la première option, je te prie de bouger ton index par contre, si tu es pour la deuxième option, tu n'as qu'à faire bouger ton pouce. Tu comprends ?

Lui demandai-Je comme si elle allait me répondre.

Vraiment nak mane wérou ma!

« A dire vrai, j'ai pas toute ma tête » !

Comment puis-je lui dire cela?

Si elle se mettait à s'agiter suite à mes propos jusqu'à en faire un arrêt cardiaque, qu'allai-je dire à Gagnado ?

Il m'arrive d'être vraiment con par moment !

Me dis-je en secouant la tête.

_ rassures toi, j'étais pas sérieux. Je ne suis pas un meurtrier, tu peux te détendre.
Je te ferai rien de mal..enfin, de manière intentionnelle. Si on exclut, la fois où je t'avais traité de vielle fille, de raté. J'avoue que je t'avais dit ces choses pour te faire du mal et à mon plus grand bonheur, ça avait marché. Je m'étais senti tellement bien de te voir versé discrètement des larmes suite à mes propos ! C'était vraiment la joie!

Lui avouai-je.

_je pense que tu dois te faire une idée de la personne qui est entrain de te parler...
Si tel n'est toujours pas le cas, laisses moi te dire qu'il s'agit de MRF.
Tu sais, la vie est tellement imprévisible qu'elle a fait que je sois le fils de ton mari.. celui que tu cherches si désespérément depuis des années. Je me demande comment il réagira le jour où il saura que tu m'as condamné injustement...?
Tu es partie sans lui donner d'explication, tu l'as abandonné, tu ne lui as pas fait savoir que tu attendais SES enfants, tu as abandonné VOS enfants sur le pas de sa porte et tu es partie sans te retourner et comme si ça ne te suffisait pas, tu as fait emprisonner ses deux fils... Très chère Frikéla, laisses moi te dire que tu es en mauvaise posture..., tu es très mal barrée pour te faire pardonner par mon père..

Luis fis-je savoir.

Je l'ai senti se raidir .

_ je ne te dis pas tout cela pour enfoncer le couteau dans la plaie mais juste pour te faire savoir que ça ne sera pas facile pour toi de te faire pardonner par mon père ...
Depuis des années, tu pries de retrouver ton mari et tes enfants.
Enfants que j'aimerai bien savoir où il se trouve... bref.., je disais que ça fait des années que tu rêves du jour où tu retrouverais ton mari et tes enfants et maintenant que tu es si près du but, je pense que la moindre des choses que tu puisses faire est de te battre rudement pour te réveiller, récupérer des forces et aller enfin, retrouver ta famille...

Lui dis-je tendrement en lui caressant le pouce.

_ n'as tu pas pitié de Gagnado ? Depuis que tu es dans le coma,le pauvre, il ne vit plus. Il va mal de jour en jour. Il désespère de te voir te réveiller, il meurt à petit feu. Il s'en veut et il ne cesse de se culpabiliser. Il croit que c'est de sa faute si tu es dans cet état que s'il avait fait plus attention, tu ne serais pas dans cet état aujourd'hui. Et pour toutes ces pensées absurdes qui le consument et le tuent à petit feu, tu te dois de te battre afin de te réveiller, pour le rassurer et lui faire savoir que ce n'est nullement de sa faute si tu t'es prise une balle.
Il te considère comme sa mère, tu es son repère, tu es tout ce qui lui reste, celle qu'il considère comme sa famille. Il a peur de te perdre et si..ça venait arriver.. il ne survivrait pas alors encore une fois, bats-toi et ouvres les yeux.

Elle a versé une larme que je me suis empressé de lui effacer avec mon pouce.

_oh! Je ne te dis pas tout ces choses pour que tu pleures, loin de là....
la juge Diakhate que j'ai connu est une femme qui sait s'imposer, une femme forte et une battante. Enfin...C'est ce que je pense de toi alors s'il te plaît, montres moi que je n'ai pas tort de penser que tu es battante .

La suppliai-je

Rien! Elle n'a eu aucune réaction.

_ il va falloir que tu arrêtes de verser des larmes et que tu fasses des efforts pour te réveiller. Ay dioy mome fayoul prix.

« Les larmes ne servent à rien »

_ saches qu'au même moment où tu es couchée sur ce lit à ne montrer aucune volonté de te réveiller... une autre femme est entrain de partager le lit de ton mari, de prendre soin de lui, de se battre pour gagner son amour et celui de ses enfants.
En somme, de prendre le place qui te reviens de droit. Si tu ne te dépêches pas de te lever de ce lit, l'autre va conquérir le cœur de TON mari et là tu n'auras plus aucune chance de revivre avec le père de tes enfants parce qu'une autre aura déjà pris ta place. Et qui sait?? Il se peut aussi que tes enfants la considèrent comme leur mère et te considèrent toi comme une inconnue. Et je pense que tu ne le veux pas alors chère Frikela, arrêtes de jouer à la belle au bois dormant et ouvres tes putain de yeux.

Terminai-je avant de me lever de la chaise et de prendre la direction de la porte.

_ et une dernière chose.... saches que ton mari se trouve juste à quelques mètres de toi et il te suffit tout simplement de te réveiller pour que je le ramène te voir ainsi tu pourras lui demander des nouvelles de tes enfants et essayer de recoller les choses entre vous.
Ça ne dépend que de toi.

Lui fis-je savoir avant de sortir de la pièce .

J'arrive pas à croire que je l'encourage à reconquérir mon père !

Qu'est-ce qui m'est passé par la tête ?

Toute façon, je préfère de loin la voir avec mon père qu'avec ma mère.

Car je sais qu'elle aime sincèrement mon père ce que je ne pourrais pas dire pour le cas de ma mère.

_ alors?

Me demande Gagnado qui était assis près de la porte avec Sheikh Omar.

_ elle n'a fait aucune réaction outre que verser des larmes.

Lui dis-je avec désolation .

_ je vois... je vais aller la voir.

Dit-il avant de se lever et de retourner à l'intérieur de la chambre.

_ On y va?

Me demande Sheikh Omar.

_oui oui... allons y.

J'aurai bien aimé aller voir Dabakh car depuis le jour de l'opération, je l'ai plus revu mais, j'ai quelque chose de bien plus importante à faire.

Demain, j'irai le voir et j'essaierai de passer la journée avec lui puisque je retourne à la prison après demain.

Je suis pas pressée d'y retourner mais ai-je le choix?

Il me semble bien que non...

Il me faut sortir de Reubeuss au plus vite.

J'ai un cœur à conquérir...

Je ne veux pas que mes enfants grandissent sans moi...

Je veux redevenir la fierté de mon père.

Apprendre à connaître mon petit frère.

Je veux me faire chouchouter par ma grand-mère.

Et même si ça paraît difficile à croire, je veux pardonner à ma mère , faire la paix avec elle et pourquoi pas.. nous pourrions redevenir comme avant..?

Je veux faire tellement de chose mais je suis coincé derrière les murs d'une prison


_ Nous sommes arrivés.

Me fit savoir Sheikh Omar. Je hoche la tête, le remercie avant de rentrer dans la pièce et me recoucher sur le lit afin de me reposer.

Chose que je ne pus pas faire parce que les paroles de mon père résonnaient dans ma tête.

Alors je me suis assis sur le lit et je me suis mis à cogiter.

Et après plusieurs hésitations, je me leva et me dirigea vers les toilettes.

Là-bas, j'ai fait mes grande et petite ablutions et je suis ressorti de la douche.

Sur la table de chevet, mon père avait mis un Qamis, un chapelet ,un exemplaire du coran et un tapis de prière.

J'ai pris le tapis de prière.

Et C'est avec beaucoup d'appréhension que j'étala le tapis de prière en direction de la Mecque puis leva les mains pour prier.

J'ai prié deux unités afin de demander pardon à Dieu.

J'ai fait de mon mieux pour ne pas éclater en sanglots, pour ne pas craquer mais faut croire que c'était plus fort que moi!

Je me suis mis à pleurer comme une madeleine après la salutation finale.

J'ai levé les mains au ciel et avec les larmes au yeux, je me suis mis à invoquer Dieu pour qu'Il me pardonne mon ingratitude envers Lui, mon égarement, mes péchés, ma mauvaise conduite .

Je Lui ai prié de me pardonner d'avoir douté de Son amour pour moi, de Lui avoir pris pour le responsable de mes maux, de ne Lui pas être reconnaissant, de m'être éloigné de Lui.

En somme, d'avoir juste été un connard...

Je me suis levé du tapis de prière et je me suis dirigé vers le table de chevet.
Lorsque j'y suis arrivé, j'ai voulu prendre le coran cependant, j'ai abandonné cette idée au moment où j'ai voulu le saisir car je ne me sentais pas pur pour oser le toucher.

Après quelques minutes, j'ai réessayé mais encore une fois, je me suis senti impur pour le toucher.

Tu peux le faire...

Me souffla une voix dans ma tête.

Et pour une fois, j'ai décidé d'écouter cette petite voix et c'est avec les mains tremblantes que j'ai saisi le coran.

Puis je suis reparti me rassoir sur le tapis.

Prenant une profonde inspiration et en priant intérieurement et avec sincérité, j'ai demandé à Dieu de me montrer un verset qui me donnera de l'espoir puis j'ai ouvert le coran et je suis tombé sur le verset 53 de la sourate 39.

_ Dis: «Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d'Allah. Car Allah pardonne tous les péchés. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux.


C'était trop pour moi, j'ai refermé le coran et j'ai craqué.

Je me suis mis à pleurer en à suffoquer.

Et comme si une force très puissante me poussait à réouvrir le coran, je l'ai fait.

Cette fois-ci en tombant sur le verset 110 de la sourate 4.

_ " Quiconque agit mal ou fait du tort à lui-même, puis aussitôt implore d'Allah le pardon, trouvera Allah Pardonneur et Miséricordieux ".

C'est un trop plein d'émotion pour moi!

Les yeux ne se détachant pas du verset, je me suis remis à pleurer comme une madeleine .


_je suis venue m'excuser de mon comportement de tout à l'heure et.....

Elle ne termina pas le reste de sa phrase Lorsqu'elle vu l'état dans lequel j'étais..

Automatiquement, elle courut vers moi.

_ Qu'est-ce que tu as?

Me demande t-elle lorsqu'elle arriva à mon niveau.

Et pour je ne sais quelle raison, elle s'est mise à pleurer.

_ s'il te plaît, parles moi!

Me supplie t-elle les yeux imbibés de larmes.

J'aurai bien voulu lui expliquer la situation mais je n'y arrivai pas...

_ s'il te plaît, MRF...

_ Mouhammad...

Elle m'interrogea du regard.

_je m'appelle Mouhammad Rasheed Fall...

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Alors on dit quoi???

On dirait que MRF est décidé à changer mais ne dit-on pas que chasser le naturel, il revient au galop🤔🤔🤔

une_voillee221
18/09/2019

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