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Countryhumans -Un plan par trois-

Attention, histoire pour adulte à sujet sensible.
Violences, sexe, homophobie, et autre sujet sensible.

L'auteure vous rappel que les propos tenues par les personnages ou dans cette histoire ne sont pas les siens et qu'elle ne les soutient absolument pas.

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 1940, Third était au plus haut. L'allemand venait de terrasser France, cette femme qui avait tué de ses propres mains son père.

1940, Japan Empire était depuis plus d'un mois chez son allié de l'autre coté du monde, son allié le plus efficace et victorieux. Quelque chose qui la satisfaisait terriblement au vue de leur plan à venir. Le Reich devenait petit à petit un adversaire redoutable, un allié à la hauteur de la Japonaise, déjà grande conquérante.
Et les deux avaient le plaisir d'avoir le projet de se partager le monde... enfin, presque.
1940, le troisième luron, le troisième de l'AXE, le second d'Europe, Fascist Italy. Lui aussi était chez Third dans le but de le féliciter et de célébrer l'immense victoire mais, aussi et surtout, organiser une éventuel occupation. Apres tout, le sud du territoire de la française perdante. Lui avait en tête d'occuper le terrain jusqu'à Nice et plus loin même ? Peu importe les Régions, peu importait Vichy et l'accord qu'il avait dû conclure avec l'allemand pour qu'il soit considéré en allié...

Enfin, les trois associés pour le malheur du monde étaient réunit sous le même toit pour la première fois. Third avait déjà vue Japan Empire, la japonaise comme l'allemand étant allé rendre visite à l'autre sur son territoire plusieurs fois. Peu de temps après la mort de sa femmes, Reich était même allé plusieurs mois chez celle qui était sa maitresse non officiel depuis.

Celle qui venait des territoires du soleil levant n'avait qu'un seule et unique projet, pas de négociation, pas d'arrangement, pas de préparation, rien que ses jambes autour de la nuque de Third pour qu'il l'a prenne nuit et jour de la façon la plus brutal et profonde possible.

Un énième point commun entre eux deux.

Ils avaient une affinité physique parfaite, incroyable qui se traduisait par une attirance addictive. Ils se jetaient l'un sur l'autre constamment, dès qu'ils pouvaient, même la première fois qu'ils s'étaient vue. Simplement se serrer la main les avaient rendu bouillant.

L'arrivé de l'impératrice se fit en grande pompe. A sa sortit de l'avion, l'orchestre commença à jouer un air entrainant mais solennel. Un tapis rouge était installé pile au pied de l'escalier orné de fleur qui fut rapidement installé pour permettre à Japan-Empire et à ses accompagnants de descendre. La japonaise sortit en premier de l'appareil, tout en tenue militaire, l'uniforme de parade blanche et masculine lui allait à merveille. C'était sa tenue, elle était faite pour elle et elle l'a portait avec une prestance qui ne laissait aucun doute sur son statut.
Elle était le chef.
Militaire.
Politique.
Et même religieux de son territoire, il n'y avait pas un événement, une seule partie de la vie de son peuple qui n'était pas régit par son incroyable et puissante figure.

Third était sur le tapis rouge, il l'a regardait descendre, seul, en avant de la foule de militaire parfaitement aligné. Lui aussi était en uniforme, un tout nouveau. Fini son uniforme brun, désormais il apparaissait en noir. La couleur lui allait à merveille, appuyant son air froid, dure mais ceux qui le vénérait de façon absurde, lui attribuant des dons célestes, le trouvait élégant.

Surement trouvèrent-ils la même élégance à Japan Empire puisque la foule de civil se tut, un silence émerveillée et atrocement époustouflé.
Quand les deux se retrouvèrent l'un en face de l'autre, tout ceux qui les regardaient en eurent le souffle coupé, comme face à un spectacle divin. Pour eux, c'était comme si deux lumières sacré se croisaient et restaient un long moment unit pour apporter un miracle au monde...

Ce n'était qu'une poignée de main.
Un simple geste de courtoisie et de politesse pour une hôte de marque...

Mais ce n'était pas cela pour les deux au centre de l'acte. Non, au contraire, pour eux tout ce jouait dans le regard. Dans les yeux de l'autre, ils pouvaient lire la même envie bouillonnante, le même désir exalté, la même puissante chaleur qui les brulaient du fin fond de leurs entrailles.

Sans plus de cérémonie, les deux montèrent dans la longue voiture noir blindé qui les attendaient, pas un geste vers la foule, étrangement ce n'était pas la décapotable habituel de l'allemand. Les vitres teinté, le toit, la fenêtre de séparation opaque les séparaient du chauffeur, ils étaient dans une intimité total. Et, bien évidement, cela était prévue. Ignorant complètement l'extérieur, Japan Empire se rua sur son amant, s'installant sur ses genoux, jambes écartés, l'embrassant avec sauvagerie. Les deux entreprirent de commencer ce qu'ils n'avaient pas put faire depuis un long moment... ensemble en tout cas.

Sans se déshabiller, retirant juste ce qu'il fallait de vêtements, Third pénètre brusquement Japan Empire qui étouffa un petit cri de surprise en l'embrassant encore. Les coups de bassins arrivèrent immédiatement après, allant de fort à profond et intense.

Ils étaient fait l'un pour l'autre, même leurs corps allaient de paire.
Dans une série de grognements et de gémissement, le premier orgasme commun du séjour arriva.

Le trajet dura une heure jusqu'à la demeure de l'allemand, massive, tout dans l'architecture se voulait immense, démesuré. Le but était de démontrer un pouvoir, une puissance incroyable, solide qui ne pouvait être abattu. Ce bâtiment encore en construction par endroit voulait illustrer cela, cette incroyable puissance. Cette puissance qu'il avait déchainé contre France pour la vaincre en un seul mois.
C'était cette puissance qu'ils allaient fêter avec Japan Empire.

La porte de la voiture fut ouverte, Third en sortie en première, impeccable. Impossible de croire que celui qui se faisait passer pour un veuf endurcit et désespéré d'avoir perdu la mère de ses enfants avait sauvagement sauté celle qui le suivit. La foule hurla, il l'a salua d'un grand geste glorieux avant de se détourner, tendant la main vers son invitée.
Quand elle sortit, la même chose qu'à l'aéroport se produisit.
Le silence.
Attendant patiemment sur les marches avec sa délégation, Fascist était déjà la, lui. Arrivé par la gare, ce n'était pas Third qui était venue l'accueillir mais il avait eut droit à la voiture ouverte et aux acclamation de la foule en délire. C'était incroyable, lui avait à peine aidé à la victoire contre l'alliance UK/France et, pourtant, il était acclamé comme s'il avait ramener leurs têtes sur un plateau d'argent à l'allemand.

Que c'était bon d'avoir toute ses acclamations rien que pour lui. Bien sur, chez lui, il avait aussi le droit à tout cela... mais pas avec la même intensité, la même envie... et, généralement, ce n'était pas son nom qu'on scandait mais celui de son demi-frère, Royaume d'Italy... le vrai dirigeant.
Le fils légitime de leurs père...

Mais il n'était pas ici, il n'était pas invité. Third ne reconnaissait que Fascist, le vrai dirigeant, le vrai allié, le seul utile.
Que c'était bon.
Si bon que l'italien en conclu que l'absence de l'allemand était un cadeau. Il lui offrait ce moment de grâce, rien que pour lui, quelque chose qui changea le manque de respect évidement selon la délégation pour la chose la plus sympathique qu'avait jamais fait l'allemand.

Droit, un grand sourire au visage, dans son uniforme blanc rayonnant d'apparat, Fascist Italie était grand, musclé, un homme comme sa propagande en présentait. L'Italien parfait, le guerrier, celui qui permettait à son territoire de devenir grand, d'être important en Europe au milieux des vieux du vieux monde qui n'avait jamais prêté d'importance à ce territoire divisé en principautés toujours en guerre.

Le Reich avança tranquillement vers l'italien, lui serrant la main, les flash des photographes illuminèrent les marches de l'immense demeure.

Ils entrèrent, tout les employés, cadres du partie, militaires comme domestiques étaient alignés.

Les festivités commencèrent.

Ils bavèrent, parlaient, tous s'amusaient. La fête se voulait d'abord calme, solennel, une célébration distingué qui dégénéra rapidement face à la joie, à la victoire si éclatante !

L'alcool coulait à flot et, même Third qui n'avait pas une descente particulièrement raide en matière de boisson autre que la bière, levait avec joie le coude. Japan-Empire, s'installant confortablement sur ses genoux, en profitait pour glisser son visage entre son col et sa peau. Elle respirait sagement son odeur, sentant l'allemand sourire.
Son bel allemand.
Du coin de l'oeil, la japonaise surveillait un autre homme alors qu'elle dévorait la peau de son amant. Elle voyait bien les regards de Fascist posé sur elle... cette envie, cette éclat de désir qui irradiait la zone...

Oui, il désirait quelqu'un. Mais l'impériale Etat n'était pas stupide, comprenant immédiatement que ce n'était pas elle que l'italien voulait prendre mais sa place. Il mourrait d'envie de s'installer sur les genoux de Third, de respirer son parfum, de le caresser... et surement d'avoir ce qui attendait Japan Empire.
Tiens tiens...

Comme pour vérifier sa théorie, elle saisit le visage du Reich et l'embrassa avec empressement, laissant l'autre glisser sa langue dans sa bouche et dominer autant le baisé que son corps entier.

Les mains de Third se glissait partout, invité par le contact profond et bocal, il en glissa une directement sous les vêtements, sous le pantalon plus exactement, de sa maitresse.
Un couinement surpris mais d'appréciation ponctua le geste, suivit d'un grognement plus lointain et agacé alors que les deux chefs en chaleurs se souriaient.

Chaleur... c'était le terme parfait.

Plus ils étaient proche, plus ils se touchaient, se caressaient, plus Fascist se mettait très visiblement, trop visiblement en colère. La frustration de ne pas être à la place de la belle japonaise se lisait trop clairement sur son visage.

Un petit coup dans son dos le fit sursauter et quitter des yeux le couple en pleins préliminaires.
« -Qu'est-ce... » se tournant.

« -Guten tag, Fascist, comment vas tu mon cher ? » sourit alors N****, la soeur cadette de Third.

« -Ah, c'est toi. » retournant à sa surveillance...

Merde !

Ils avaient filé !

« -Oh... tu n'es pas d'humeur polie ? Pourtant... tu devrais l'être avec moi. » un sourire terrible se dessina sur son visage, une malice sinistre issue d'un plan tout aussi sombre.
A la limite de l'occultisme.

« -Apres tout, je suis la chose la plus proche de Third que tu peux baisé. » à ses mots, l'italien se tourna d'un bloc vers l'allemande, la saisissant par les épaules.

« -Qu'est-ce que tu viens de dire ? »

Un rire glaçant mais à la limite du sensuel. En tout cas, elle essayait de le rendre sensuel et pas du tout glaçant... hélas, elle ne savait pas faire.

« -Tu pense quoi ? Que je suis un...

-Attiré par mon frère ? Oh, bien sur que tu l'es. Mais, tu sais les lois, tu sais son avis sur... ce genre de chose. Moi, personnellement, ça me soulève le coeur. Voir un homme comme toi, parfait, grand, viril, se soumettre à des envies si immonde. Third te domine déjà en tout point, il ne va quand même pas t'enculé... si ? » doucement, elle lui caressa la joue, réussissant à se dégager assez pour bouger.

« -Tu es plus grand, plus fort, ton corps semble avoir été sculpté dans l'idéologie que nous servons et incarnons tous ici. Et, si tu soumet ton pays à mon grand frère chéri... » prenant un ton moqueur et sarcastique.

« -Tu peux au moins te venger en me soumettant à tes volontés. » s'approchât doucement, elle murmura alors des mots qui mirent Fascist encore plus en colère...

Alors qu'il ne les avaient pas vraiment entendu.

Ce n'est qu'une fois qu'il avait repoussé N**** pour partir, furieux, vers le couloir qui menait à sa chambre, qu'il les entendit clairement dans son esprit.

« Tu n'auras qu'à te dire que tu es en train de baiser Third. »

La prote de la pièce claqua, faisant trembler les murs jusqu'aux appartements du Reich.

La bas, Japan Empire était sur lui, en amazone, le chevauchant, forçant sur ses genoux pour monter et se laisser tomber, embroché sur son membre viril.

Durcissant et enflent à chaque gémissement de plaisir de sa maitresse, Third était prêt à passer la nuit avec elle sur lui à faire de long va et viens sur son pénis. Et chaque « bond » provoquait un autre gémissement, se transformant en susurrement du prénom de l'allemand au fur et à mesure que l'envie le boostait.

La nuit était chaude, encore plus pour les draps.

Fascist avait essayé de soulagé son envie du mieux qu'il put... en vain. Chaque contact sur son membre à demi-mou lui rappelait les paroles de N****, lui rappelait son besoin incroyablement dégueulasse de se faire enculé par le Reich le plus âgé.
Simplement s'imaginé à la place de Japan Empire, s'imaginer en train de se faire pénétré au plu profond de son être, se faire martelé la prostate par le membre dure de son allié...

Rien que d'imaginer un instant ça, il glissait sa main dans son pantalon et passait la nuit à se caresser.

Ça ne soulagea rien... au contraire.

Ça ne fit qu'aggraver le mal dont il souffrait.

Apres cette nuit, cette nuit où il était mit face à l'évidence, il ne pensa plus qu'à une chose, avoir ce qu'il désirait.

Etre dans le lit de Third... ou, du moins, la chose la plus proche possible.
Japan-Empire ? Surement.
N**** ? Non, certainement pas !

Il voulait Reich...

Mais quelle horreur !
Comment pouvait-il sincèrement désiré un... un homme ! Il se dégoutait lui même.

Il avait envie de se gifler, de vomir, d'aller se jeter dans les flammes... que faire ? Toute la journée, il resta à l'écart, silencieux, sombre, attirant l'attention comme jamais il ne l'avait fait. Même quand il essayait, il ne pouvait pas. Son sourire n'était pas aussi attractif que cette face boudeuse, sombre et profonde.
Les deux autres alliés, ayant finit leurs nuit dans une position complexe pour se faire plaisir l'un à l'autre, mirent un certains temps à émergé et à comprendre que le troisième de l'AXE était de mauvaise humeur.

L'allemand lui fit servir un verre de quelque chose de plus fort, la japonaise vint s'assoir près de lui. L'autre s'installa en face, un verre dans une main, une étrange sorte de tablette dans l'autre... peut être du chocolat ? Non, ça ne ressemblait pas à Third.

Surement un médicament de son médecin, le Reich avait, depuis la grande guerre, des blessures qui nécessitaient des traitements continue. Etrangement, il était toujours d'une humeur charmante, tendre même quand il en prenait. Il était plus souriant, plus tranquille, plus apte à supporter tout et n'importe quoi. C'était très étrange de le voir si calme, lui qui courrait partout d'habitude, qui avait un caractère si froid et dure.
Autant Fascist que Japan Empire se posait des questions sur ce que l'allemand était en train d'avaler comme des bonbons, avalé avec sa bière pour aider à faire descendre tout ça.

« -C'est quoi ?

-Mes médicaments. » déjà sur un ton plus... sympathique.

« -Et c'est quoi tes médicaments ? » demanda la japonaise, se serrant contre l'allemand, caressant doucement son torse à travers sa chemise, ouvrant tranquillement un bouton et défaisant le col retenue par une médaille.

« -Oui, tu en veux ? C'est pas mal. » tendant d'un geste lasse la fameuse tablette enrobé d'un papier doré.

Japan Empire lança un regard septique avant de regarder Third, se demandant ce qui lui arrivait et si elle avait vraiment envie que ça lui arrive. Fascist, lui, ne se posa pas tellement de question.

« -Si c'est des médicaments, ça peut pas être mauvais. » dit l'italien en avalant deux « carreaux » en une bouché.

Ca n'avait pas du tout le gout de chocolat, c'était exactement le gout immonde d'une pilule... mais l'effet était instantané. Tout de suite, son corps semblait être plus mou, tout ses muscles se détendirent, le laissant s'enfoncer tranquillement dans son fauteuil, son visage affichant un sourire ivre.

« -Voila, il fait plus la gueule. » l'allemand avala une autre gorgé de sa boisson, la gorge si sèche que sa voix en était plus grave.

« -Je faisais pas la gueule, je réfléchissais à... » jamais le tyran italien ne termina sa phrase.

En les voyant comme cela, Japan Empire fit une grimace exaspéré et dégouté, se détachant de Third et se levant de sa place.

« -Quand vous serez à nouveau dans votre état normal, appelez moi. En attendant... » mais Reich l'attrapa par le bras, la tira sur lui et l'embrassa.
Ne pouvant faire autre chose que tomber sur lui, la japonaise se laissa faire, bon gré mal gré, elle regarda son amant une fois le baisé terminé.

« -Bon, donne m'en un peu... ça peut pas faire de mal de se détendre de temps en temps.

-En voila des paroles sage. » sourit Third, lui tendant les restes de sa « sucrerie » amer.

Japan Empire eut la même sensation que ses deux camarades après avoir avaler la moitié de ce qu'avait prit Fasciste et même pas un quart de la dose de Third... en même temps, l'allemand devait être habitué.

S'il n'en prenait pas tout les jours, c'était au minimum une fois par semaine. Son médecin préconisait, d'ailleurs, d'augmenter les quantités en plus de procurer des doses plus forte, chose que le tyran allemand avait refusé... pour l'instant.

Les trois étaient avachie dans l'un des nombreux salons du bâtiment, dans une pièce tranquille, isolé des autres qui travaillaient ou fêtaient encore la victoire sur la française. La seule chose que l'allemand faisait de temps en temps était appeler pour avoir une autre bière. Il semblait être le seul encore capable de parler d'une façon compréhensible. La japonaise émettait de temps en temps de petits bruits, presque des miaulements ? Ou des petits sifflements, comme un oiseau. Dans tout les cas, elle réclamait quelque chose à Third, quelque chose qui donna un sourire moqueur à l'allemand, bien prêt à lui donner ce qu'elle voulait...

« -Monsieur ? » appela une voix à l'entré de la pièce, agaçant immédiatement Third, faisant sursauté Fascist qui était à moitié endormit.

« -Quoi ? » sa voix grave grondait comme le tonnerre, Japan Empire le lâcha et alla s'installer sur le fauteuil de Fascist d'un pas chancelant.

S'étalant sur lui, elle finit par enfoncer son visage contre son torse et, d'un geste sec, ouvrit toute sa chemise, dégageant sa peau du tissu.

« -On vous demande, c'est important. » dit l'homme de main, se préparant déjà à se faire hurler dessus.
Mais rien, Third lança simplement un regard colérique vers Japan Empire avant de se lever et de suivre son sbire. La japonaise, elle, se contenta de sourire, léchant la peau chaude et ferme de l'italien. A moitié sans connaissance, Fascist, se laissa faire, tenant par les hanches cette femme qui lui plaisait pour une raison aussi stupide que délicieuse.
Elle couchait avec Third... se la faire était comme se faire son cher allié allemand. Japan Empire se laissa mettre sur le dos, sous Fascist et elle entreprit de défaire la braguette de l'italien. A peine était-elle ouverte que Japan Empire fourra sa main dans le bas, sous le sous vêtement et saisit quelque chose de long et à la texture assez particulière sans la moindre délicatesse, faisant se crisper l'homme. Se faire empoigner le pénis comme ça, par un poigne aussi forte, ne pouvait pas être agréable... mais pas désagréable non plus.
Elle serra brusquement plus le membre, sentant surement qu'il durcissait dans sa main. Fascist se redressa, laissant à la femme l'opportunité de passer au dessus, le poussant au sol, elle vint s'installer sur lui, les jambes écartées, il était juste sous elle. Son membre dure et tendu était dressé devant l'entre jambe de Japan Empire, lui était redressé sur ses coudes, son regard faisant l'aller retour entre celle qui le tenait et ce qu'elle avait dans les mains. Elle se releva, juste assez pour baisser son sous vêtement, se disant que ça tombait bien, pour une fois qu'elle était en jupe et non pas en uniforme. Elle vint immédiatement s'emballer sur Fascist, il frémit en sentant l'entré humide de sa partenaire. Arrivant tout de suite à taper au fond, il comprit qu'elle n'allait pas perdre son temps, que se préparer à être pénétré n'était pas son genre.
Elle se mit immédiatement à bouger, imposant son rythme et elle était rapide. Chaque mouvement était comme un coup sur lui qui n'était pas forcément désagréable. Ça exerçait à chaque fois une pression sur son membre, comme si elle percutait sa prostate à chaque fois qu'elle mettait plus de pression.

Il n'était pas en train de se faire baiser par désir pour Japan Empire, en même temps. Se faire marteler d'une aussi étrange façon son intimité... c'était ce qu'il cherchait mais pas avec elle.

Fermant les yeux, il imagina qu'il était avec celui qu'il voulait être. Le coeur au bord des lèvres, ils se mit à gémir le nom qui n'était pas celui de celle qui le dominait.

« -Ah... Third... si seulement t'étais aussi bon que lui... » grogna la japonaise, entre le plaisir et l'agacement.

Alors que Fascist allait répondre, à moitié sans connaissance, sa vision se devint flou. La seule chose qu'il sentit fut son coup d'un soir se faire tirer en arrière, retirer de son membre comme un gant. Essayant de voir, il ouvrit plus grand les yeux, réalisant qu'il les avaient toujours fermer au final. Quand il compris enfin pourquoi il ne voyait pas, il tomba du regard sur Third, revenue surement entre temps.
« -A moi et je ne partage pas. » grogna-t-il avec son accent plus prononcé que jamais.

Japan Empire était dans ses bras, les jambes soulever, toujours à moitié nue. Sa longue jupe relevé jusqu'à la taille, sa culotte blanche et fine sur les cheville, l'allemand ne la reposa sur ses pieds que quand elle fut appuyé contre les murs. Une fois que la japonaise était face à la pierre du mur, l'autre fit pression pour l'y coller encore plus. Fascist se frotta les yeux, essayant de mieux voir... quand il entendit alors de longs soupir de plaisir.
Third était en train de prendre la japonaise contre le mur.
Fascist observa ce spectacle fascinant, rêvant maintenant d'être à la place de la femme, se sentant de plus en plus envahit par le désir alors que l'espèce de nuage cotonneux provoqué par les médicaments l'entourait de plus en plus.

Sans quitter le spectacle des yeux, il se leva, concentré sur les deux amants qui changeaient de position, Third qui soulevait le haut de Japan Empire pour venir embrasser le bout arrogant de sa poitrine. Et, pensant surement que le troisième allait partir, il lui fit signe de la main d'approcher.

« -Tu l'as veux ? » demanda-t-il en saisissant sa maitresse par les cuisses pour la soulever, l'empalant encore sur son membre, par devant cette fois.

Il l'écarta juste assez du mur pour laisser l'italien se glisser derrière elle.

« -Vas y. On va voir qui elle préfère. » toujours comme un grondement mais plus animal cette fois.

Sans réfléchir, au cas ou l'autre changerait d'avis, Fascist se dépêcha de passer, toujours son bas sur les genoux, de se placer et, difficilement, d'entrer par la même ouverture que Third occupait déjà.

Japan Empire vira au rouge, sentant la double pénétration. Assez large et confortable pour un, l'entré était étroite et, clairement, trop petite pour que les deux passe. Quand le membre de Fascist arriva enfin à écarter celui de l'allemand pour passer, la japonaise lâcha un cri qui se finit par un long soupir de plaisir tout en accrochant une main sur le torse de Third et l'autre à la cuisse de Fascist.

L'allemand sourit alors, voyant parfaitement le visage de Japan Empire se déformer sous l'effet du douloureux plaisir. Il recula alors, faisant aussi bouger Fascist, il n'avait pas le choix, suivre le rythme si rapide de l'autre...

Frotter entre Third et Japan Empire, l'italien vira aussi au rouge, il ne tenue pas longtemps avant de jouir... mais, piéger à l'intérieur, il continuait de suivre le mouvement.
Les cris de plaisir des deux soumis, finalement, à la volonté du Reich étaient de plus en plus fort, perdant la douleur pour l'une, grandissant en plaisir pour l'autre.

Ce n'est que quand Third était proche de se lâcher aussi qu'il s'enfonça assez en la femme pour forcer à faire sortir le second homme. Une fois l'autre sortit, arrachant un autre orgasme à Japan Empire, il s'enfonça plus profondément, chaque coup de butoir provoquait un plaisir sans comparaison à la japonaise...

Il jouit.
Quelques jours plus tard, Fascist était assit en face de Third. Japan Empire était dans ses appartements, incapable de bouger après s'être fait prise dans tout les sens.

« -Comment vas-t-elle ?

-Ca va. Elle s'en remet mais... » il pouffa de rire.

« -Plus question que tu rentre en même temps que moi. » continua le Reich.

« -Ah ? Je comprend c'est...

-Mais elle a apprécié... je pense qu'il faut juste changé de position. » l'italien devint raide et, malgré lui, rouge.

« -Tu préfère la bouche ou l'autre coté ? » demanda Third, sans nervosité ou gêne.

Fascist le regarda, un peu décontenancé... avant d'essayer de se montrer détendu.

« -Ce qui t'arrange. » répondit-il, comme s'il s'agissait d'autre chose.

Lui qui était venue négocier, il ne pensait pas que ça serait sur le partage d'un lit avec Japan Empire.

« -A moins que tu préfère être à sa place.

-Pardon ?

-Elle... m'a parler de quelque chose. Et... » croquant encore dans son « médicament », il laissa la fin de sa phrase en suspens.

« -Et ?

-Et bien, je pense que, vue tes petits cris aigüe de femme, tu as ta place à te faire prendre. »

C'était humiliant.
Sa fierté tout entière s'effondrait soudainement.

Mais peu importait sa fierté, son envie était plus forte que tout.

« -Je ferais tout ce que tu veux.

-Parfait. Ce soir, à quatre pattes, on verra si Japan Empire voudra se joindre à la fête.

-Mais... tu... enfin, je pensais... »

D'un geste de la main, Third le fit taire.

« -Je pense que ça ne compte pas. Tu n'es qu'une petite salope, soumise, sans autorité et sans pouvoir autre que celui que je te donne. Si j'ai envie de t'enculer, je peux. Apres tout, tu n'es pas un homme. »

C'était comme se prendre un coup, comme si Third brisait la chose la plus fragile en lui.

Pourtant...

La soir même, il était sur son lit, nue, dans la position exigé par Third Reich.

Quand l'autre le pénétra, il lâcha un cri aigüe de plaisir coupable et déshonorant.

« -Tu vois, même pas un homme. » ricana le dominant.

Et la réponse fut pire que tout pour Fascist.

« -Encore... continue, encore... s'il te plait... »

Un plaisir coupable qu'il n'allait avoir de cesse de demander encore et encore, espérant toujours que Third lui en donne plus.

Il était faible, c'était vrai. Mais il ne cédait pas à l'allemand, il cédait à lui-même.
Sa propre faiblesse avait brisé son être.
Finalement, être une petite chose obéissante était la seule chose qu'il savait faire et qu'il sera à jamais.


-Fin-


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Merci d'avoir lue ce one shot que j'avais très envie d'écrire depuis un petit moment.

En ce moment j'ai pas trop d'inspiration pour écrire alors ça fait du bien (oui formulation débile) d'avoir eut envie d'écrire. 

En tout cas, j'espère que ça vous à plue.

Merci d'avoir lue, laissé un commentaire et voté pour ce one shot.

Oubliez pas de vous abonner pour savoir quand je publie et à très vite pour une prochaine histoire ! (un jour j'en terminerais une que j'écris en ce moment, promis !)

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