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Countryhuman -L'histoire du soir-

Le feu crépitait dans la cheminé.

Le son des flammes dévorant avec avidité la buche résonnait délicieusement dans le salon alors que la lumière chaude illuminait la pièce calme.
Le sapin, installé au fond de la pièce, dans le coin, rayonnait des reflets par les dizaines de boules lumineuses soigneusement placé par des petites mains impatiente. La guirlande débranchée laissait en paix le calme, ne l'agressant pas, pour l'instant, de sa lumière criarde et clignotante.

Pour l'instant.

Car le calme ne pouvait être sans silence. Et le silence se brisait très simplement. En particulier quand Noël était devant la porte et que la maison de France se préparait à accueillir certains membres de sa famille.
Pas tout le monde, loin de la. Ce n'était pas la soirée de Noël, elle serait chez Alsace comme le voulait la tradition. Non, ce soir, elle n'allait être que avec une de ses petite-fille en fait.

Elle entra dans le salon, venant poser des biscuits sur la table basse, vérifiant que tout était en place, que tout était parfait. Ça faisait si longtemps qu'elle n'était plus venue seule, qu'elles n'avaient plus eut un moment de tranquillité ensemble.
Louisiane.
France ne faisait jamais de favoritisme que se soit entre ses enfants ou ses petits-enfants. Mais, elle devait bien l'admettre, certains d'entre eux avaient plus d'atome crochue avec elle que d'autres.

Louisiane était une de cela.

La fille de USA avait toujours eut ce coté rêveur, presque excentrique, charmante petite tête dans les étoiles mais avec les pieds sur terre. Elle avait l'imagination d'inventer et de créer mais aussi le sérieux d'étudier et de faire des recherches sur l'histoire. Elle était passionnée et investit dans ses croyances, peu importe qu'on l'a trouvait bizarre pour ça.

L'amour des légendes, du passé, de la culture.
France sourit en posant la théière remplit de chocolat chaud.

Quand elles avaient le temps, elles avaient toujours fait ça avant Noël, se retrouver rien que elles deux et raconter des vieilles légendes aussi poussiéreuses qu'inconnues mais interessantes.

« -Devine qui c'est ! » dit une voix joyeuse alors que deux mains se posaient sur ses yeux.

France sourit avant de se retourner.

« -Bonjour Louisiane. » tout aussi rayonnante de bonheur.

En se retournant, elle la prit dans ses bras.
« -Comme tu es belle.

-Oh, mamie, tu dis ça parce que je te ressemble.

-Tu me prend pour ton père ? Je ne suis pas aussi narcissique. » les deux gloussèrent exactement de la même façon avant de se faire la bise.
« -Comment va-t-il d'ailleurs ?
-Papa ? C'est à toi de me le dire, non ?

-Comment ? C'est toi qui gère une partie de son territoire.

-C'est à toi qu'il téléphone tout les jours depuis tes fiançailles. »

France remit son châle correctement sur ses épaules avant de faire un geste pour invité son hôte à s'installer.
« -Fait comme chez toi ma chérie.

-Merci mamie. » elle s'assit et son regard tomba sur ce qui était sur la table.
Il n'y eut même pas un mot de prononcé que une tasse fumante de chocolat était entre ses mains, quatre chamallow fondant dedans.

« -Mamie, on t'as déjà dit que tu étais la meilleure ?

-Oui mais je pense que je mérite de l'entendre plus souvent. » elle sourit.

« -Mais rendons a ton grand père son cailloux perdu au large de mes cotés, il ne sait pas cuisiner mais il sait reconnaitre ce qui est bon. » en lui tendant l'assiette de petit gâteaux.

« -Il connait toute les bonnes adresses. »
Louisiane en prit un et, le croquant avec appétit, elle s'installa dans le canapé.

« -Ils sont bon mais, franchement, ça vaudra jamais ceux que fait tante Alsace. Oh ! Et sans parler de la pâtisserie d'oncle Île De France... » elle prit une profonde inspiration.
« -J'ai jamais rien mangé d'aussi bon que ce qu'il a fait !

-Tu lui diras, la prochaine fois que tu le verras, à lui non plus on ne fait pas assez de compliments. »
La plus jeune, sirotant doucement sa boisson, approuva d'un signe de tête.

« -Je suis contente d'avoir put venir. » elle se lova contre sa grand-mère qui s'était installé à coté d'elle.

« -Moi aussi. » France l'entoura de ses bras.
Louisiane ferma les yeux.
Elle se retrouvait comme quand elle était petite fille, sous un plaide, dans les bras de sa grand-mère, heureuse. Dans une bulle de bonheur.

Et elle rouvrit les yeux, tout sourire.
« -Mamie, tu te souviens de cette légende que tu me racontais ?

-Mh... la dernière fois ? Il me semblait que j'avais réussit à tout te raconter.
-Non, pas celle ci. Même si c'était très interessant ! » elle but encore son chocolat.
« -Celle que tu me racontais à chaque fois quand j'étais petite. Les amoureux éternels. » ce n'était pas le vrai nom de cette sorte de conte de fée.

Mais c'était titre que la petite fille qu'elle était lui avait donné.

Assez approprié d'ailleurs.

« -Oh ! Cette légende la. Sincèrement, je te l'ai tellement raconté que je la connait par coeur. » France rit alors qu'elle se penchait pour se servir aussi une tasse de chocolat.

Miam, un vrai délice. Pas fait avec de la poudre de cacao mais avec du chocolat fondu, du lait chaud et une pincé de sel.

« -Je me souviens, quand tu n'arrivais pas à dormir, ton père essayait de te la raconter et tu passais ton temps à le corriger.

-Oui. » Louisiane gloussa encore en se rappelant ces soirs.

C'était très long, une vrai épreuve de patience pour USA... et, aussi étrange que ça pouvait l'être, il avait toujours réussi. Sans jamais s'énerver, toujours souriant et tranquille, il écoutait sa fille lui raconter cette histoire jusqu'à ce qu'elle tombe de fatigue.

Il avait de très bonnes idées... en ce qui concernait ses enfants du moins.

« -Tu l'as connait aussi par coeur et je suis sur que tu t'en souviens très bien.

-Oui. » elle lui sourit.

« -Mais j'aime tellement quand toi tu l'as raconte. » ses yeux prirent un air suppliant.

« -S'il te plait ma mamie chérie d'amour que j'aime. » suppliant presque maintenant.

« -Oh, si adorable. Mais, tu sais, ne te donne pas toute cette peine, je vais la raconter. De toute manière, on est la pour ça.
-C'est vrai ! » et une gorgé de chocolat, vidant la tasse.

Et, alors que France s'installait pour récolter une histoire, Louisiane se resservait en petits gâteaux et boisson chaude.

« Il y a des lieux en ce monde où le calme et la monotonie de l'habitude ne peut être rompue sans bouleverser l'existence de tout ceux qui y vivent, même de la plus petite des façon.

Pourtant, c'est toujours se qui arrive et rien ne peut l'empêcher.
Ces lieux sont rare, assez pour que leurs histoires soient raconté et, en particuliers, l'histoire de leurs bouleversements.
Ainsi, l'histoire du petit village de Bourg-Les-Bois commença par l'arrivé d'une étrange femme. Cette femme était d'une telle beauté que tous tombèrent sous son charme d'une façon ou d'une autre. Hommes comme femmes furent séduit, presque poussé à la folie par les émotions que leurs inspiraient sa vision. Et ceux, rare, succombèrent à la jalousie. Une jalousie violente qui leurs firent cracher le mot « sorcière » sur la jeune femme.

Mais elle n'en fit pas du tout perturbé, au contraire même. Avec un sourire qui pouvait faire fondre la glace, elle se présenta comme une sorcière mais pas n'importe laquelle. »

Louisiane ferma les yeux, son imagination s'activa pour animé les paroles de France.

Et elle vit la scène comme elle avait dû se dérouler... à un détail près.

La sorcière avait prit dans son esprit d'enfant, et même maintenant d'adulte, les traits de France. Elle qui n'avait jamais vraiment connut sa mère, sa grand mère était la seule figure maternelle qu'elle avait eut dans sa petite enfance.

Elle l'était restée.

Alors, elle imaginait France, arrivé dans ce petit village perdu dans une foret brumeuse. Foret qu'elle imaginait être en Grande Bretagne. D'ailleurs, au milieu de cette foule qui, maintenant, reculait terrifié. Ils murmuraient tous le mot « sorcière » et, malgré l'émerveillement, la foule était terrifié par cette beauté qu'ils savaient maudite.
Les jaloux, satisfait d'avoir même le droit de la bruler maintenant, hurlaient des insultes, des menaces et des condamnations.

Mais, elle ne se laissa pas intimidé. Au contraire, son sourire était rayonnant de joie.

« -Allons, allons. Aucun de vous ne pourrais serais-ce qu'arriver à me faire mal. » et, joignant acte au mots, elle claqua des doigts pour se mettre souplement à léviter.

« -Je pense même que aucun de vous ne parviendra même à me décrocher une larme. » aux mots larmes, le ciel se couvrit, un éclair déchira le ciel.

Alors, tout les villageois voulurent fuir.

« -Mais, dans mon immense bonté, je vous laisse la vie. En échange de quoi, personne ne devra jamais venir me déranger dans ma demeure. »

La foudre frappa en pleine foret, chassant la brume et, dans un grand nuage de fumée noir, une tour plus haute que le plus grand arbre apparut à cet endroit.

Les portes claquèrent, les volets se fermèrent et le silence envahis la contrée toute entière.
Satisfaite, la sorcière retrouva le sol avec la même souplesse qu'elle ne l'avait quitté... pour se retrouver devant un homme.
Un homme qui n'était pas particulièrement grand, pas particulièrement beau, pas particulièrement courageux, pas particulièrement quoi que se soit...

Mais il n'avait pas fuit, au contraire. Il était la, devant la sorcière, lui rendant son sourire avec le même air confiant, sans peur.

« -N'ayez crainte. Je ne vous ferais jamais pleurer, ma dame. Je ne vis que pour que votre coeur bat pour moi. »

Les mots étaient si surprenant qu'elle ne sut quoi répondre. Alors, après quelques secondes de réflexions et d'hésitation à le regarder de la tête aux pieds, elle éclata d'un rire moqueur.

Pourtant, quand leurs regards se croisa, la foudre frappa et leurs coeurs s'emballèrent... mais au même rythme.

« -Tu veux mon coeur ?

-Je ne veux que cela. »

Doucement, elle se pencha vers lui avant de déposer sa main sur sa joue, lui caressant avec tendresse.

« -Jamais je ne donnerais mon coeur à qui que se soit et certainement pas un petit homme banal comme toi. »

Il posa sa main sur la sienne, son regard doux toujours plonger dans celui de la sorcière.

« -Je suis, à partir d'aujourd'hui et pour toujours, votre petit homme banal. »

Sa main glissa dans celle de celui qui venait de faire une si belle déclaration. Elle avait disparut... ne laissant derrière elle qu'une bague à la pierre rouge.

Refermant sa main dessus, il ferma les yeux, essayant de mémoriser cette sensation en lui.
Celle du bonheur d'être avec l'être aimé...

Et tout le village l'entoura, instantanément il était devenue le centre de tout. Non seulement il avait fait face à la sorcière qui avait fait enragé le ciel par sa simple présence mais, en plus, il avait volé un de ses bijoux.

« -Mamie, s'il te plait, passe à la fin. » interrompit Louisiane, toujours les yeux fermée, toujours souriante.

« -D'accord. » lui répondit une voix douce et calme.

La même qui avait bercé toute son enfance.

Elle l'attendait patiemment au sommet de sa tour quand un bruit venant du village attira son attention.

« -Non, pas le moment de sa mort. Je veux quand ils se retrouvent.
-Pourquoi ? » c'était très étonnant, d'habitude, Louisiane voulait qu'on lui raconte toute l'histoire et pas seulement quelques moments bien précis.

« -Vous allez vous mariez, papi et toi, dans cinq mois. Je me suis toujours dis que la sorcière était toi et papi était l'homme amoureux.

-Uk ? » France était septique.

« -Tu es sur ? Je ne pense pas qu'il aurait fait tellement d'effort pour moi.

-Je suis sur qu'il te protègerais comme dans l'histoire. » Louisiane se redressa et la regarda.

« -Reprend, s'il te plait. »

Alors France reprit mais pas comme le demandait Louisiane.

L'homme regardait le ciel, rêveur. Tout le monde parlait de cette sorcière enfermé dans sa tour. Tout ceux qui avait osé s'en approché était revenue au village soit terrifié bredouillant des choses sans queue ni tête et, les autres, en revenait l'esprit vider de tout incapable de parler ou de réagir.

Mais lui s'en fichait.

Lui ne pensait qu'à ses yeux gris qui l'avait envouté sans la moindre magie.

Elle l'avait dit, personne ne pourrait l'approcher pour lui faire du mal. Mais, lui, il le pourrait. La bague dans la main, la lune éclairant ses pas dans la foret, il se présenta devant la tour.

« -Tiens, le petit homme. » elle apparut immédiatement, flottant au milieux des étoiles.

« -Votre petit homme, oui. » son regard pétillait.

« -Pardonnez moi, je suis simplement venue vous rendre votre bague. »

Elle s'approcha.

« -Tu es courageux ou fou. Dis moi, tu n'as pas vue les autres revenir de chez moi ? M'affronter ne te fais vraiment pas peur ?

-Je ne veux pas me battre. Pas contre vous. » il lui tendit.

« -Que veux tu en échange ? » allant même jusqu'à se mettre à son niveau.

« -Vous parler. Simplement vous parler de temps en temps. » elle rougit en réponse.

« -C'est si important pour toi ?

-Plus que tout. »

Elle accepta.

Il prit doucement sa main, y glissa l'anneau couronné de rouge.

« -Tu vois, parler de la fin où il se sacrifie pour la sauver et elle le ramène pour passer l'éternité avec lui n'est pas le plus important de l'histoire.

-C'est une histoire d'amour... c'est le début qui compte.

-Non plus. Certains on un très mauvais début qui se termine bien. C'est le tout qui compte je dirais. »
Louisiane s'assit droite à coté de sa grand-mère avant de sourire.

« -Tu as pas tord mais je voulais te dire...

-Ah ! Je sais. Plus de chocolat chaud.

-Tu lis en moi comme dans un livre ouvert. »

France se leva et, tranquillement alla en cuisine pour remplir la théière.

Louisiane regarda autour d'elle.
Le sapin.
Les décorations de Noël...

Mais surtout, les photos. Les photos de la famille. Sa grand-mère, ses oncles, tantes, frères, soeurs, cousines, cousins, elle, son père, son grand-père.

Sa famille toute entière.

Elle bondit sur ses pieds, prit une des photos où Uk et France échangeaient un regard si touchant, sincère et aimant.

« -Tu as de si belle photo et tu les met dans des cadres horrible !

-Tu n'es pas la fille de ton père pour rien. » soupira-t-elle.

« -On reprend l'histoire ? » demanda la plus âgée.

Louisiane regarda la photo.

« -Grand mère, j'ai une idée.

-Oui ?
-Raconte moi le mariage du vampire et de la sorcière, s'il te plait.

-Oh, une inédite, donc.

-Depuis le temps que je l'attend. » elle se rassit, la photo dans ses mains.

« -Encore cinq mois ma chérie.

-Cinq mois pour l'éternité... ça va, je peux attendre. Mais, pour Noël, je t'offrirais de nouveaux cadres. »

France leva les yeux au ciel, lui réservant du chocolat.

« -Bien, maintenant a toi de me raconter quelque chose.

-J'ai une variante du baron Samedi si tu veux.

-Je suis toute ouïe. »

C'était leurs tradition de Noël préféré, ça le restera pour toujours.

Les petites choses simples faisait le plus beau de Noël.

« -Pour Halloween, je vous inviterais tous chez moi.

-Très hate. » conclut France.

-A suivre-

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J'espère que ce petit one shot de Noël vous à plus.

Merci pour les votes, les commentaires et les vues.

A très vite pour plus d'histoire^^

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