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Chapitre 2 : L'intrus

Chez Alsace, la fête se déroulait exactement comme prévue... à part au niveau du cadeau de Second...

Un gigantesque nounours adorable, certe, mais qui faisait la taille de celui qui l'offrait ! Soit au moins trois fois la taille de la future maman. Un énorme problème pour Third étant donné que sa chère et tendre avait décréter qu'elle allait dormir avec. Le reste de la soirée, l'ex tyran ne faisait que se poser une question : lui, où allait-il dormir ? Il n'y avait clairement pas la place pour ce monstre de « doudou » et pour lui dans le lit ! Surtout, que c'était presque sur, entre lui et la peluche... le plus grand des deux avaient un large avantage.

« -Ich hasse dich. Wirklich. » à son père.

« -Mh ? Tu ne vas quand même pas me reprocher de faire un effort pour être un bon grand père ?

-Evidement...

-Oh ! Toi, tu as le droit de faire des efforts et de jouer les gentils papas, moi pas ? »

En guise de réponse, le plus jeune des deux fit juste non de la tête.

« -Commence déjà par t'occuper des petits enfants que tu as.

-Mais je le fais déjà. Germany et moi nous nous voyons régulièrement, c'est un bon petit bourré de qualité mais un peu trop travailleur qui aurait bien besoin de repos.

-Merci, je sais ! » grogna-t-il.

Son fils parlait donc plus à Second qu'à lui ? Pourquoi ? C'était de la faute de son père s'il avait été lui même un aussi mauvais parent ! Et puis... il avait fait des efforts ? Pourquoi Germany ne voulait jamais rien faire avec lui ? Alors qu'il faisait des choses avec son grand-père...

« -Merci Germany ! » sourit alors Alsace, admirant le jolie cadeau de l'allemand.

Russia était un peu en retrait, un air renfrogné sur le visage, il faisait clairement la tête. Un peu plus tôt, quand le couple était arrivé, Germany semblait triste, presque déprimé. Ils s'étaient disputés, clairement... mais à quel sujet ? Sur leur mariage à venir ?

Et Third réalisa que, si son fils préférait être avec Second, c'est que lui cachait très bien ce qu'il pensait de l'homosexualité... ou alors qu'il avait réussit à évoluer...

Second...

Evoluer...

Non !

Jamais il ne pourrait croire ça.

Mais enfin, lui essayait de le faire, il avait même finit par digérer le fait que son fils préfère les hommes. Au fond, il l'avait déjà fait bien assez souffert, s'il trouvait son bonheur dans les bras d'un « sale fils de communiste » et bien, il ne pouvait que s'en réjouir.
Quoi que, le mot réjouir était peut être un peu exagéré. Plutôt le supporter et s'y faire.

Un bon père se devait de vouloir le bonheur de son fils... même si c'était encore trop difficile.
même pas que ce soit un homme...

Mais Russia !

Russia !

Enfin, alors que sa femme avait reprit l'ouverture de cadeau, continuant de craquer malgré tout sur le body « baby shark » offert par le futur grand frère, Third alla voir son fils.

« -Très... adorable le cadeau. » essaya-t-il en souriant... plus flippant que rassurant.

« -M... merci ?

-Tu... veux être assortit à ton petit frère ou ta petite soeur... c'est ça ?

-Oh ! Oui, c'est vrai que j'ai aussi un... comment tu sais que j'ai aussi un Tee-shirt comme ça ?

-Les photos d'Alsace, bien sur. Elle en a beaucoup et de tout ceux qu'elle aime.

-Oui... oui, bien sur.

-Tu... as l'air pensif. » en cherchant un peu ses mots, essayant surtout de savoir avec « tact » la raison de la dispute des fiancés.

Germany nettoya alors ses lunettes avec un petit tissu sortit de sa poche.

« -Je me suis disputé avec Russie avant d'arriver.

-Tu veux en parler ?

-Werde nicht müde, alles wird gut.

-Quoi ? Mon fils à l'air mal et je ne devrais pas m'inquiéter ? Je sais que j'ai été un père horrible mais j'essaie de changer.

-Ce n'est rien, vraiment.

-Raconte moi, au pire ça te... comment on dit ? Es macht den Kopf frei. Au mieux, je serre à quelque chose.

-Ca ne coute rien... rien ne va dans les préparatif du mariage et, en plus, avec la situation politique... c'est encore pire. »

L'autre haussa alors un sourcil. Cette histoire lui rappelait bien France et UK... mauvais signe pour son fils et l'autre alcoolique.

« -Vous en avez discuté ?

-Oui mais ça ne sert à rien. Chaque petites contrariétés provoque une dispute et tout s'enchaine.

-Et... si vous déléguiez les préparatifs du mariage ?

-Comment ça ?

-Vous n'arrivez pas à vous mettre d'accord la dessus, c'est ça qui provoque vos disputes ? Si vos témoins ou autre s'en occupe, vous enlevez une source de stress et... si le début de la dispute n'existe pas, es wird nicht politisch.

-Ce... ce n'est pas une mauvaise idée. » il sourit, lui son sourire avait beau être aussi « pointue » que celui de son géniteur, il était beaucoup plus doux, tendre et amicale.

« -Merci pour les conseils... Elsass hat wirklich einen guten Einfluss auf Sie.

-Ne m'en parle pas... » il étira doucement son pull qu'il portait au dessus de sa chemise.

« -Je porte du beige... du beige. » insistant sur la couleur, sur le ton de l'humour.

« -C'est vrai que... je ne t'ai jamais connue autrement qu'en brun ou noir. Mais ça fait un moment qu'Alsace t'habille, non ?

-Ja... Ein Ratschlag : Lass dich nicht wie ich sein. »

France s'approcha alors.

« -Encore heureux qu'il ne fait rien comme toi. » elle tapota doucement l'épaule de son ami.

« -Alors ? Le plan de table ou les costumes ?

-Les deux mais...

-Je viens de lui donner une potentiel solution. » coupa Third, vexer, encore une fois, de voir son fils toujours plus proche de France que de lui !

« -Oh, temps mieux. J'espère que ça va fonctionner. » souriant de façon réconfortante.

« -Et pour les témoins ? Vous avez trouvé ?

-Ben... Russia hésite avec une de ses soeurs et Chine... et j'ai pas super envie de voir Biélorussie sur mes photos de mariage après le coup qu'elle a fait.

-Oh... » France détourna le regard, grimaçant un peu.

« -Oui... c'est la seule responsable. Enfin, ne parlons pas de ça. Dit toi, juste, tu préfère qui sur ta photo : Chine, qui est toujours très chic et calme sur tes photos ou Biélorussie à ta table de mariage avec... et bien, les tendances génétiques de cette charmante famille ?

-Y'a pas photo sincèrement... » murmura Third pour lui même.

« -Et toi ? Qui sera ton témoin ? » demanda-t-il de façon audible.

« -France. » en souriant à la française qui afficha alors une mine radieuse.

« -Et oui. » très fière.

Le père du futur marié haussa les épaules.

« -Oui, pas un mauvais choix.

-Toujours aussi sympathique. Je te rappelle juste que, non seulement je suis ta belle mère mais aussi la grand mère de ton enfant.

-Et ?

-Tu te rend compte que je peux faire de ta vie un enfer ? »

Il blêmit.

« -C'est vrai que j'avais oublié ce détail. » il se tourna vers son fils.

« -Tu as très bien choisit ton témoin... et, pitié France, je sais pas ce que tu compte faire mais ne le fait pas. »

Germany sourit.

« -Qui n'a pas peur de toi France ?

-Ceux qui ne me connaissent pas personnellement... » un sourire malicieux.

« -Et puis ils sont surpris... et le regrette. » riant.

« -Maman ! » appela alors Liberté et Vichy... en même temps.

« -Ah... le devoir m'appel.

-Courage. » se fut à Germany de tapota doucement l'épaule de France, pleins de compatissions.

Elle laissa l'allemand avec l'ex tyran...

« -C'est moi ? Enfin, je crois. » soupira-t-elle... un peu amusée par la réaction enfantine de ses deux petits derniers.

« -Et ben, si c'est pas toi notre mère, on a aucun lien avec les intrus.

-Chose qui m'arrangerais autant que ça arrangerait Vichy.

-Wow. Qui sont ses odieux criminelles pour vous mettre d'accord ?

-Regarde. » ils emmenèrent leur mère dans la cuisine...

Quel ne fut pas sa surprise en voyant assit autour de la table USA, Australie, Canada et Nouvelle-Zélande.

« -Ah. Oui, effectivement. » ils partirent tout de suite.

« -Il ne semblait pourtant que, vous avez répondu tout les quatre, « I'm not coming, rather die than come if mom comes. »

-Faut qu'on te parle.

-Tu sais que, à cause de toi, papa est malade ? »

Elle haussa les épaules.

« -J'en suis désolé mais je ne vais pas céder à tout pour qu'il arrête de faire sa petite déprime. Et je ne céderais pas non plus parce que, tout d'un coup, vous vous sentez proche de votre père.

-C'est notre père ! On est tes enfants ! Tu dois céder !

-C'est politique. » froidement.

« -Je ne cède plus par émotions. Soit vous faite la part, entre travail et personnel...

-Soit ?

-C'est une menace ?

-Soit je fou dehors le crétin abus d'autorité, le connard assit à coté de lui incapable de tenir sa parole et les deux éternels suiveur qui préfèreraient mourrir plutôt que de penser par eux même. » puis elle soupira.

Les quatre n'en revenait pas, leur mère pensait vraiment ça d'eux ?

« -Oh, ne faite pas cette tête, entre les coups de putes, entre autre les sous marin, je ne pense pas que vous soyez de bons alliés. Et alors, de bons fils... ça, il n'y a même pas de sujet. » la française leur jette un regard noir.

« -Donc libre à vous de choisir. Soit je vous parle comme une mère et je vous fracasse la tête. Soit je vous parle comme une alliée bafouée et je vous met juste dehors en vous envoyant des pique devant la presse ?

-Pour qui tu te prend ? » l'américain se leva, tapa sur la table, se voulant encore plus menaçant.

« -Pour quelqu'un qui peut t'éclater la tête sans se forcer USA, qui ne le fait pas parce que je te respectais sur les deux plans. » sans agressivité, juste de la colère froide, sans insulte... mais très sérieuse.

« -Alors, maintenant, dégagez de chez ma fille. Et quand vous serez calmé et que trois d'entre vous ne seront plus les chiens du quatrième, on re parlera. »

Mais aucun d'eux ne bougea.

« -Je m'en fiche de ce que tu pense de nous, on partira pas temps que... »

France se leva pour ouvrir la fenêtre en grand, étonnant tout le monde. Empire observait la scène depuis le seuil de la porte, comprenant ce que sa soeur allait faire. Il hésita à en rire ou à prévenir ses neveux... finalement, il en rit.

Etonnant encore plus les quatre autres qui se concentraient que sur lui.

Quand, soudain, la française attrapa USA par le col, le soulevant d'une seule main et, rapidement, le projeta à l'extérieur. Lui offrant une chute d'à peine deux mètres cinquante... aucun risque pour lui de se blesser. Australie recula, se doutant très bien que c'était lui le suivant.

« -Maintenant, soit vous dégagez, soit je fais par ordre de naissance. »

Canada prit la fuite... suivit de très près d'Australie qui était tout aussi trouillard que son ainé. Seul Nouvelle-Zélande resta assit.

« -Tu le pense vraiment ?

-Non. Mais, sincèrement, tout le monde pense ça de vous. Surtout depuis qu'USA vous traine tout les trois comme si vous aviez que ça à foutre.

-On est inquiet pour notre père !

-UK en a de la chance de vous avoir. Moi je n'ai jamais eut droit à pareil attention.

-Tu sais très bien que c'est faux !

-Je n'ai pas envie de débattre de ça avec toi. Soit vous restez neutre, comme ce que vous devez être, soit vous êtes contre moi et, ça, je ne le laisserais pas passer. Donc, pour la dernière fois, tu sors ou je te sors. »

Le plus jeune partit, bousculant son oncle au passage.

« -Hey, moi, je ne t'ai rien fait.

-T'es la même ordure. » et il s'en alla.

« -Et ben... » le premier né des De France entra.

« -C'est pas demain la veille que ça s'arrangera avec ton petit dernier.

-C'est Vichy le plus jeune de mes enfants.

-Certe mais je te parle du dernier avec UK.

-J'ai été plus qu'odieuse.

-Parfois, il faut l'être, surtout que eux ne s'en veulent pas de l'être.

-Oui...

-Sans parlé que tu as raison. Ils veulent te punir de pas être tendre avec leurs père. Toi, tu les punis de t'avoir poignardé dans le dos.

-Je vais quand même en parler avec UK... ça sert à rien de se tuer pour ça, il a qu'à déléguer les négociations.

-Si tu veux. » il s'assit en face de sa petite soeur adoré.

« -Tu vas me le dire ?

-Te dire quoi ?

-Ce qui se passe entre toi et l'autre plumeau la où je pense.

-Plus rien. C'est terminé.

-Définitivement ou comme les autres fois ? »

Un silence.

« -On arrête, une croix sur le passé.

-Pour mieux recommencer ?

-Non. Pour pouvoir vivre l'un à côté de l'autre et enfin terminer ses maudites négociations du Brexit.

-Tu peux aussi déléguer.

-Pas question.

-Laisse les se calmer, laisse UK avaler sa vie de merde et... ça ira. Mais reste ferme.

-Tu sais à qui tu parle ?

-Oui. Mais y'a un début à tout, non ?

-Pas chez moi, je sais que j'ai raison, que c'est moi qui fait bien. Je vais leur montrer que, non seulement je retiens de loin ma force mais, en plus, que j'ai la tête très dure.

-Voila, ça c'est ma soeur. Et ne t'en veux pas. parfois, faut être odieuse, même avec ses enfants. »

Il retourna s'amuser...

France resta encore un peu seule, repassant à sa mère. Elle n'avait jamais eut besoin d'être comme ça, elle n'avait jamais été que douceur... aussi longtemps qu'elle était en vie en tout cas. C'était plutôt son père, Royaume de France, qui était méchant, insultant...

Elle n'avait pas envie de finir comme lui, détesté par ses enfants.

« -Mamie ? » Néo arriva.

« -Oui mon ange ?

-C'est toi qui a jeté papa par la fenêtre ?

-Oh... euh... et bien... oui ?

-C'est trop cool ! Je savais pas que t'étais si forte ! Papa, il est super grand. C'est incroyable d'arriver à le soulever et le lancer comme ça.

-Ah. » elle sourit, amusée par l'émerveillement de son petit fils.

« -C'est... génétique.

-Ah ? Mais tata et les autres sont pas aussi fort !

-Si, Tonton Empire l'est. Juste... on essaie de faire attention, faut pas que ça se sache ou qu'on le montre de trop.

-Pourquoi ? »

Elle haussa les épaules.

« -Secret de famille ? »

Il vint lui faire un câlin.

« -Tu pense que moi aussi je peux être aussi fort quand je serais grand ?

-Y'a un test tout facile pour le savoir.

-Je peux le faire ? S'il te plait ?

-Bien sur. » Elle alla alors prendre un pot de confiture dans le frigo, le serra aux maximum sans le briser et le posa devant le petit.

« -Ouvre le. »

Il essaya...

En vain.

« -Je suis pas super fort.

-Pas grave mon ange, aucun de tes oncles et tantes ne le sont, ni tes cousins ou cousines. Mais vous avez tous vos qualités et vous êtes très bien comme vous êtes. » elle rouvrit le pot, c'était comme lever un scellé.

« -C'est vrai ! Moi, je ferais tout pour être un super grand frère.

-Une excellente idée. On va manger ?

-Oui ! »

Dans deux jours, elle avait un rendez-vous avec l'anglais, justement, pour négocier au sujet du Brexit, des pêcheurs... conversation très joyeuse.

Avec tout cela, elle n'aura surement pas le temps de penser à lui et à sa santé. Surtout que, plus elle y pensait, plus elle se disait que le seul soucis de son « ex » était qu'il devait être célibataire...

Il avait toujours eut du mal à être célibataire.

Et, même quand il ne l'était pas, il ne pouvait être fidèle.

C'était le passé.

Surtout...

Surtout qu'il allait vite retrouver quelqu'un... comme toujours.

Oui, elle n'allait pas lui donner des recommandations, tout ses soucis disparaitront très vite quand une sublime créature sera la pour lui offrir ses bras et plus encore au moindre petit chagrin.

Elle... elle était mieux seule.

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