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Chapitre 16 : De sang froid

La chambre de France était noir de monde, tout ses enfants étaient la, même Alsace était venue pour voir sa mère. Elle avait encore des contractions et, bien sur, sa mère n'avait qu'à travailler avec ça alors que ses enfants ne se préoccupaient que d'elle.

« -Maman, ça va. Toi tu...

-Vas très bien. Sinon ce fichu médecin serait déjà venue me voir. » particulièrement agacée.

« -Mais toi, ma chérie, va voir un médecin.

-Je ferais mieux d'aller voir comment va Third.

-Envoie y Prussia ou Second, faut que tu pense à toi la, j'ai compté tu es a moins de vingt minutes entre chaque contractions.

-Maman, c'est toi qui est malade, faut qu'on s'occupe de toi, pas l'inverse !

-Tu n'as pas l'impression qu'il y a assez de monde ici pour s'occuper de moi ? » oui, elle allait beaucoup mieux.

Même, elle fit signe d'emmener la région voir le spécialiste, chose que firent Canada et Ile-de-France, tout gentiment et calme. Heureusement que c'était eux qui s'en occupait, Loraine aurait poussé sa soeur de toute ses forces ou USA l'aurait posé sur son épaule pour l'emporter. Mais bon, Loraine courrait partout, comme la pile électrique qu'elle était, pour enfin trouver un docteur, USA restait près de sa maman avec Nouvelle-Zélande, oubliant leurs disputes, même lui pardonnant. Au fond, ils savaient qu'elle avait raison... l'ainé se disait qu'il devrait perte moins autoritaire, le plus jeune qu'il ne devrait pas obéir toujours bêtement. C'était l'égo qui avait été touché, se faire dire ses quatre vérité en plus de se faire jeter par la fenêtre par une femme d'un mètre soixante-douze quand on en fait plus d'un mètre quatre-vingt, ça blessait. Mais c'était leur mère, elle était plus forte que tout...

La voir comme ça, dans un lit d'hôpital, c'était terrible. Le pire était de voir Empire, il était de plus en plus nerveux maintenant qu'il y avait du monde et que France avait un regain d'énergie. Il transmettait son angoisse à tout le monde sans même rien dire. En même temps, chez lui la peur de l'hôpital était phobique, pas pour lui, pas d'y aller, juste de savoir un proche hospitalisé ou malade...

« -Empire, va prendre l'air. » ordonna sa soeur.

« -Non, non... ça... va ?

-Justement non, ça ne va pas. Va prendre l'air avant de mourrir.

-Mais ça va.

-Ben alors, va retrouver... c'est qui de nouveau ?

-France.

-Oui ben, va la retrouver, et te détendre. Je vais bien. » rassurante.

« -Non. » il avait accourut...

« -Euh... » la laissant un peu en plan.

« -Je reviens. » il sortit, allant appeler.

UK en profita pour sortir à sa suite. En même temps, depuis que tout le monde avait débarqué, il se retrouvait dans un coin loin de sa compagne...

« If only there was nothing to hide... isn't it my dear me ? » il avait terriblement mal à la tête.

Ce « faux » était fou de rage, il n'arrêtait pas d'envoyer des piques.

« -Stop speak. » murmura-t-il tout bas une fois dehors.
Empire c'était vite éloigné pour passer un coup de file.

« Pas question. Je me demande même pourquoi je n'ai pas encore prit le contrôle ! Cette garce est enfermé par nous ! Dans une de nos prison gardé par nos service. Et, au lieux d'aller lui régler son compte, tu reste la à faire semblant de... of what besides ? To just be there because we love her but can't be together ? »

L'anglais partit à l'extérieur, croisant Prussia au passage. L'allemande était morte d'angoisse, faisant les mille pas en attendant qu'on lui donne enfin des nouvelles sur soit son petit-fils soit son arrière-petit-fils ou, maintenant, sur Alsace qu'elle avait vue...

« -Hey ! » les deux, perdu dans leurs pensées, se foncèrent dedans, elle se retrouvant au sol.

« -Oh... sorry. Je ne...

-Oui, oui, tu avais la tête ailleurs, moi aussi. »

Il tendit la main pour l'aider à se relever, Prussia se remit seule sur ses jambes.

« -Comment va France ?

-Très bien... elle semble se remettre vraiment vite.

-Bien sur, c'est France. L'inverse serait étonnant, pour ne pas dire inquiétant.

-Yes... of course. » il ferma les yeux, son autre lui ne faisait que s'énerver encore plus en entendant cela.

« -Tu vas bien ? » froidement, préoccuper par autre chose et, surtout, ne voulant pas qu'on s'en rende compte.

« -Tout va bien. J'ai juste besoin d'aller fumer.

-Tu fume encore ?

-I never stopped.

-C'est pour ça que tu n'es plus avec France. » l'allemande se détourna de lui, filant intercepter le docteur que venait de trouver Loraine.

Lui partit, tremblant, la douleur était atroce, il n'avait jamais connue ça. En partant, il tapa dans quelque chose.

« -Mh ? » il vit alors une arme à feu.

Bien sur, Prussia avait récupérer le pistolet de N*******. Elle avait dû le garder sur elle et l'oublier. Son corps agit tout seul, il le ramassa et le rangea dans son dos sous sa veste.

« -What are you doing ? » serrant les dents.

« T'occupe. Moi aussi j'ai envie d'un cigare, we'll talk outside. »
Il sortit, s'éloignant de l'entré, allant s'appuyer contre un mur de la ruelle. Il sortit enfin un cigare et l'alluma.

« -Je préfère la pipe... » soupira-t-il en le prenant en bouche.

Il aspira, retenue et souffla un épais nuage de fumée grise.

« Elle va nous tuer quand elle sentira l'odeur. » dit le faux, plus détendu.

« -I know... mais, la, j'en avais besoin.

-Me too. » répondit l'autre, un peu honteux.

« -Pourquoi tu as ramasser cette arme ?

-Why not ? » encore une bouffé.

« -Qu'est-ce que tu veux en faire ?

-Rien. Ça, je ne peux pas le faire en prenant le contrôle. »

UK soufflé la fumée par le nez.

« -Qu'est-ce que tu veux faire ? » froidement, comprenant tout doucement ce que son autre lui avait en tête.

« -Send her back where she should be. Je supporte pas de la voir roder autour de France ! Ca me tue ce qu'elle à fait à USA ! Et elle va continuer temps qu'elle est en vie.

-She will be judged and condemned.

-And smoking is not harmful to your health. » en colère.

« -Sincèrement, tu pense vraiment qu'elle attendra gentiment ? Que, cette fois, elle va se laisser faire ? All this naivety is disgusting. » il faisait si froid, l'air était glacé, le sol couvert de verglas, de la glace même.

Il regarda à ses pieds. Son reflet était tourner vers lui, le regard de l'autre était noir de colère.

« -She must die. Right now. You know that as well as I do.

-Y... yes... it is true. » il jeta le cigare sur la plaque avant de l'écraser.

« -Ah, tu vois, ça commence à venir.

-What ?

-You begin to understand that I'm right. » il serra les poings et les dents.

« -Vivement les séances chez le psy finalement. » grognant... y allant tout de même, bien décidé.

Il avait raison... ça le tuait de l'avouer mais il avait raison. Ce « faux » avait raison. C'était la dernière fois qu'il l'écoutait ou se laissait influencer, en espérant que enfin se faire soigner suffit.

« Hilarant, vraiment. As if drugs or a doctor can do anything. Dépêche toi, j'aimerais retrouver ma France. » en insistant bien sur le « ma », voulant mettre Uk dans le même état que lui.

Il restait peut être calme et digne en extérieur, à l'intérieur il bouillonnait, jaloux de son autre personnalité. Il arriva très vite dans la « prison ». Bien sur, personne n'avait à connaitre cette installation des services secrets. Ce n'était pas forcément légal mais tout le monde en avait une, sécurité maximal, quasiment impossible d'y entrer, tout autant d'en sortir.

Les militaires l'accueillir et l'emmenèrent vers la cellule.

« -Is she still alive?

-Yes, sir. But his condition requires several operations. The ribs punctured the lungs.

-Is she conscious ?

-Yes sir. She can speak but not move. We still attached it, as you ordered.

-Good. Leave us, I have to talk to him face to face. »

Il se mit au garde-à-vous, ouvrit la porte, le laissa entrer et referma derrière lui. Dans la pièce, sur le lit, N****** était couché, un masque pour l'aider à respirer sur le nez, pleine de sang.

« -Tiens... » siffla-t-elle avec difficulté.

« -Bist du gekommen, um mich fertig zu machen ? » souriante.

« -Je ne parle pas allemand.

-Bien sur... ton service de sécurité est aveugle ou c'est normal que tu te balade avec une arme à feu ?

-I am at home here. I do what I want.

-Je ne parle pas anglais.

-Mais bien sur. » il sortit l'arme, vérifiant qu'elle était chargé.

« -Tu supportera d'avoir mon sang sur tes mains ?

-Faire ce qui aurait dû être fait depuis longtemps ne me dérange pas.

-Et mon jugement ? » du sang coulait de sa bouche.

« -Il est déjà fait. Tu es coupable.

-Alors tu abrège mes souffrances ? » elle savait qu'elle allait mourrir de toute façon, sans soin, elle n'avait plus que quelques jours à vivre.
Et personne n'allait lui en donner, alors autant abandonner et retourner souffrir en enfer... au moins, elle avait eut un peu de « fun » pendant ses quelques années de liberté.

« -United-Kingdom, un homme si droit, le flegme britannique incarné qui va faire un geste impulsif par vengeance... ravie d'avoir put voir ça. » elle retira le masque de sa seule main libre.

« -Que vont dire les autres ? Surtout France ? Tu jeté tout tes principes pour... moi ?

-Personne n'est obligé de le savoir. » il brandit le pistolet.

« -Une dernière volonté ?

-Ja. Embrasse France pour moi. »

Le garde était toujours devant la porte au garde-à-vous, attendant qu'on lui donne l'ordre d'ouvrir. Il ne bougea pas en entendant le bruit si caractéristique d'un coup de feu, ne réagissant qu'au moment où UK toqua à la porte. Il ouvrit.

« -Sir. »
L'Etat lui tendit alors l'arme à feu.

« -Make this and the body disappear.

-Yes, Sir.

-Also find a cause of death ... less implicating.

-Of course. Officially, she died of her injuries.

-Perfect. » il repartit, sans trembler, sans le moindre état d'âme.

Une balle entre les deux yeux...
En même temps, c'était lui qui avait apprit à USA à tirer et, si l'élève avait dépassé le maitre, il n'en restait pas loins excellent.

« Congratulations, I could not have done better. » tout souriant.

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