Chapitre 8 : Conseil de famille
Un mois, une semaine et deux jours que France ne faisait plus rien. Une semaine qu'elle avait foutue dehors son frère. Une semaine qu'elle ne parlait plus à personne... elle ne répondait pas au téléphone, ni aux messages. Elle ne laissait entrer personne...
Peu importe ce qu'on lui disait, peu importe que c'était important ou non. Elle ne voulait voir personne.
Pourtant elle sortait, régulièrement même. Aller faire des achats, aller chez le coiffeur, pleins de trucs. elle avait acheter une ou deux tomes de manga, des vêtements, des bijoux, des fournitures de dessins... elle c'était faite plaisir.
Ses enfants étaient très, très inquiet. Elle n'avait jamais réagit comme ça... en même temps, on ne lui avait jamais fait autant de mal... mais... tout de même, personne ne s'attendait à cette réaction...
Elle n'avait jamais fait ça. Elle qui était une maman aussi attentionné, une grand-mère aimante...une très bonne aime... tout le monde pensait qu'elle se réfugiait en famille comme après tout les moment difficile. Mais pas la, la elle était resté seule. Complètement seule. Elle n'avait pas beaucoup parlé d'ailleurs. La coiffeuse avait essayé de lui arracher une conversation, un petit mot... et elle a eut droit à un : « j'ai envie de me détendre, pas jouer les hypocrite ». C'était si méchant, si gratuit que personne ne croyait que c'était France qui avait dit cela.
Alors réunion de crise... personne n'aimait ça surtout quand c'est quelqu'un qui n'est pas de la famille qui la convoque.
« -Qu'est-ce que tu veux UK ?
-Et pourquoi tu nous convoque comme si t'étais notre père ?
-Sachant que t'as jamais été foutu d'être notre beau-père. »
Merci à Limousin, Picardie et Poitou-Charentes pour leurs intervention très blessantes mais totalement vrai.
« -But... is for... pardon, c'est au sujet de votre mère que...
-Tu ose parler de maman alors que c'est de ta faute ? » Bretagne se leva, s'approchant de son voisin avec un air légèrement menaçant.
« -Tu n'arrête pas de te foutre d'elle en la quittant et te remettant avec elle. Sans parler de ce que l'on vient d'apprendre. »
Si il y avait bien trois personnes qui n'avaient jamais put supporté UK, c'était bien Bretagne, Haute et Base Normandie. Le troisième né de la famille et les jumelles n'avaient qu'une seule envie concernant leurs voisin d'outre manche : transformer sa petite île en parking ! Mais bon, France n'a pas voulut, soit disant c'est pas logique d'avoir un parking si loin de la destination... et au passage, on ne tue pas gratuitement des gens ! Et elle avait raison... c'était UK le fautif, pas ceux qui vivait sur son île.
« -Please... » demandait UK en reculant un peu.
« -Je veux réparer mes erreurs...
-Parce que tu pense que ça se répare ? C'est pas deux mots de travers qui l'on fait rougir UK. Tu l'as humilier pendant des siècles ! Sans parler du fait que tu lui était tellement infidèle qu'il y a ta photo sous la définition de l'infidélité. » si Bourgogne s'y mettait...
« -Aller, dégage. C'est ton truc non de lâcher les gens ? Et emmène pif, paf, pouf et bim. » conclu Île-de-France en montrant USA, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande.
« -On est autant c'est enfant que vous !
-Ca fait combien de temps que tu l'as plus vue Australie ? Ou juste téléphoné !
-Ben..
-T'es même pas venue pour son anniversaire.
-C'est mon droit !
-C'est vrai. C'est ton droit de ne jamais lui parler. Mais dit toi que ça te fait perdre ton droit de parler ici ! » et « pouf » était mort, pour preuve, il alla se cacher derrière son père. Félicitons Rhône-Alpes.
« -Oui mais... on vit loin et...
-Commence pas Nouvelle-Zélande ! T'es pas mieux ! T'es même pire ! Toi tu refuse de parler avec maman mais par contre tu passe tellement de temps avec ton père qu'on peut se demander si vous êtes pas en couple ! » victoire de Centre qui vient de sortir « bim ».
« -Bien, plus que pif et paf. » ou USA et Canada.
« -C'est vrai que, eux, on peut pas leurs reprocher d'être tout le temps ici.
-Oui, pour foutre la merde. USA qui veut nous bloquer commercialement parlant sous prétexte de protectionnisme mais qui ouvre en grand à son papa chéri.
-Ben oui, en même temps, il le mérite, qui lui à payer une révolution tout entière pour se libérer de ce qu'il a décrit comme un monstre oppresseur buveur de thé ! Ah ! Mais oui, c'est Royaume de France qui l'a fait payer à maman. » Auvergne avec son ton sarcastique était si méchante... mais efficace.
« -Ne reproche pas trop de choses à USA, il tient de son père. On ne peut pas demander à un crétin génétiquement programmé d'être moins con. Canada par contre...
-Ben, tu vois, la c'est le même problème que Nouvelle-Zélande.
-C'est à dire ?
-Ben, Nouvelle-Zélande et le petit toutou de son père et d'Australie, Canada celui d'USA.
-L'inceste c'est pas bien. » si Alsace et Loraine s'y battaient et ensemble en plus, c'était foutue.
« -But who do you think you are ! You are nothing ! You can't even speak english ! Without mom you are nothing ! »
Un silence...
C'est que pif pensait déjà avoir gagné...
Mais les régions éclatèrent de rire.
« -Mais t'es con ou quoi ?
-Bien sur que si, on comprend l'anglais !
-Et peut être qu'on est rien sans maman...
-Mais nous, au moins, on l'admet et on est la pour elle.
-Vous avez commencer sans moi ? » tout le monde se tourna vers la nouvelle arrivante.
« -C'est pas gentil, moi aussi j'avais des trucs à dire à...
-Pif, paf, pouf et bim.
-Merci Martinique. Donc... » Liberté s'assit, tout sourire.
« -Comme ils disaient, c'est vrai qu'on est rien sans maman. Mais, c'est vrai que vous êtes beaucoup plus loin que nous...
-Ah ! Elle est de notre côté !
-Pas du tout. » dit sévèrement Liberté.
« -Les DOM TOM sont la tout les jours et ils sont tout le temps la pour maman. Ils ont raison, vous avez rien à faire ici. Et votre connard de père encore moins.
-Liberté... tu m'en veux encore pour la...
-Le fait que j'ai dû me battre pour que tu aille aider maman ? Et qu'au final tu m'as chassé ? Non, je t'en veux pas du tout à mort et pour toujours ! » Liberté prit un air songeur.
« -Maintenant que j'y pense, tu pensais peut-être que maman était morte et, comme je lui ressemble, c'était à moi de continuer à payer pour elle ? »
Les régions prirent un air choqués avant de lancer d'une seule voix :
« -Ca explique tout ! »
Alors la, comme il est dit dans un certain jeu, c'est ce qu'on appel un pentakill.
« -Je... je suis désolé... je vais vous laisser... mais... il ne faut pas faire payer à mes enfants pour mes actes. » il baissa la tête avant de tourner les talons et partir...
Mais à peine la porte fermé, elle se rouvrit et les quatre états furent éjecté comme des torpilles pour heurter le murs d'en face...
« -Et ne revenez plus jamais ! » Vichy claqua la porte...
Oui, même Vichy était choqué.
C'est pour dire comme la famille en voulait à UK.
« -Bon ! Maintenant qu'on c'est bien amusé, parlons plus sérieusement. » déclara Vichy en se tournant vers Empire de France.
« -Donne nous une bonne raison de ne pas te foutre dehors.
-J'en ai trois : Je suis votre oncle, je suis blessé et je sais comment remonter le moral à votre mère. En plus, contrairement à UK... moi je m'en veux à mort. Alors si ça réussit pas, vous aurez pas à me tuer.
-Pas mal tes arguments, on t'écoute. »
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