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Chapitre 4 : Brisé ?

Un mois c'était écoulé. France ne faisait plus rien et... la crise n'en était que plus grave. Et oui, c'est facile de parler mais agir c'est plus compliqué ! Surtout quand on a pas l'habitude de valeur de compétitions... et fière de l'être en plus ! Mais la, c'était encore plus compliqué puisque, normalement, quand il y a demande d'aide... et bien le pays en question est encore la. Sauf que France à complètement lâcher l'affaire... et puis, aussi, normalement, on sait pourquoi il y a une crise. Celle des gilets jaunes avaient un voir plusieurs motif même si, pour beaucoup, il n'était pas clair...

Mais celle-ci...

Impossible de savoir ! Il n'y avait aucune revendication, rien ! Même pas de motif apparent clair ! Peut-être l'envie de tout détruire mais... à part ça... rien.

France les avait vraiment eut sur ce coup !

Et que faisait-elle pendant ce temps ? Surement allongé dans sa baignoire à manger des macarons ou de la brioche !

Oui, ils la prenait tous pour Marie-Antoinette. C'est pas parce qu'elles étaient amie qu'elles sont pareil ! Et puis même, l'ex raine n'était pas comme ça. France le savait bien, c'était sa belle mère... la seule qu'elle aurait voulut voir survivre à la révolution de 1789.

Enfin...

La vérité était que France ne faisait pas du tout ce qu'on pensait qu'elle faisait. elle s'entrainé à la boxe et autre sport de combat. aussi, elle c'était remit au dessin, à la lecture, révisait le système de justice de son état et aussi les origami. Ca faisait six mois que Japan lui avait offert tout ce qu'il fallait pour en faire et elle n'avait pas le temps d'en profiter. Maintenant elle l'avait ! Même Empire de France s'y mettait... enfin, jusqu'à qu'on lui enlève son plâtre.

« -Dit... petite soeur ?

-Non, pour la dernière fois, ce n'est pas un éléphant ce que tu as fait.

-Mais je t'assure que si.

-Empire, ça c'est un éléphant. » dit-elle en lui montrant une photo sur son portable.

« -Toi ce que tu as fait, c'est une pomme de terre qui veut se suicidé !

-Mais c'est pas un couteau ! C'est sa trompe !

-Non, c'est une pomme de terre avec un bras qui tiens un couteau !

-C'est pas vrai !

-Si !

-Bref ! C'est pas ça que je voulais demandé.

-Je sais mais, je te l'es déjà dit, je ne les aiderais pas, je ne reprendrait pas non plus les commende avant au mois trois mois et des excuses.

-Tu es d'un cruelle quand tu t'y met.

-Je sais. C'est de famille je crois.

-Je confirme ! et je confirme aussi que, ceci est un éléphant ! » il ressortit fièrement son ignoble origami.

« -Mais arrête, tu as tord ! » et France avait raison.

« -C'est pas vrai !

-J'abandonne...

-J'ai gagné.

-Parce que j'abandonne.

-Une victoire par abandon reste une victoire.

-Sans gloire.

-Pas faux. donne moi du papier, je vais en refaire un bien mieux et tu devra admettre que j'ai du talent.

-Tu as six ans d'âge mental.

-Et toi quatre-vingt dix ans !

-Oh, merci, tu me rajeunit.

-De rien. »

France se leva.

« -Tu vas où ?

-M'entrainé.

-A ?

-L'escrime.

-Vraiment ?

-Oui.

-Tu t'y remet ? Sans moi en plus ? Je vais pleuré !

-Tu as une jambe cassé, tu veux perdre ton bras en plus ?

-Pas faux, amuse toi bien et ne tue personne.

-Je vais essayé. » chantonna la française en attachant ses cheveux.

Elle allait massacré son pauvre entraineur... sauf que son frère adoré lui avait préféré une petite surprise.

« -Germany ?

-Hallo France !

-Salut ? Tu...

-Vas bien et toi ?

-Tu fais quoi ici ?

-Ben, empire de France m'a appelé et m'a dis que tu allait redonné des cours de box.

-A non. Pas à toi, tu sais déjà te battre.

-Oui, je sais, ne t'en fait pas ! J'accompagne deux personnes.

-Salut France !

-Coucou ! » saluèrent Pologne et Japan.

« -Ah. Je vois. Mais tu veux quoi ?

-Ben... oui, je sais me battre mais sans plus et...

-On veut tout les trois un cour pour apprendre à cassé des nez !

-Japan... pas le droit de frappé USA.

-Il est méchant avec moi...

-Encore ?

-Oui...

-Bon ben... je vais encore lui parlé... et toi Pologne ?

-Alsace est ma super amie et elle sort avec un connard.

-Elle sait se battre...

-Parce que tu lui a apprit dans les années soixante. Et moi tu vas m'apprendre maintenant !

-Tu nous doit bien ça, surtout depuis le coup que tu nous a fait à la réunion.

-On allait prendre ta défense お姉さん.

-Tu veux me prendre par les sentiments Japan ?

-Oui お姉さん. » sourit le jeune pays.

« -Ca veut dire quoi Onēsan ?

-Ca veut dire grande soeur Pologne.

-Ah ! Oh aller Starsza siostra ! »

France rit un peu.

« -C'est bon... mais changez vous, en robe c'est pas super pratique pour commencer.

-Oui !

-Toi aussi, les cravates, c'est dangereux Germany.

-Ah mais j'ai encore un cadeau !

-Oh... j'ai peur.

-Coucou maman !

-Salut ma puce. Comment tu vas ?

-Mamy !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » néo sauta dans les bras de sa grand mère qui le souleva.

« -Mon ange, ne me dit pas que toi aussi tu veux apprendre à te battre ?

-Non ! Mais tante Alsace veut réviser et tonton Thrid va se faire taper ?

-Ah. Il est la.

-Avec URSS et tu peux les utiliser comme punching ball.

-Alsace, tu es ma fille préféré tu sais ?

-Depuis quand tu as des préféré ?

-Depuis jamais en fait.

-Chouette, j'ai prit le devant de la course ! »

Elle trottina aller chercher les cobayes.

« -T'avais dit qu'on allait faire des courses...

-Attend moi on m'a juste appeler et dis que c'était urgent... et que je pouvais taper Thrid...

-Oh aller ! Arrêtez de pleurer ! C'est qu'un mauvais moment à passer ! »

Les deux s'arrêtèrent net en voyant France.

« -Je sais pas bosser. » dit tout de suite Thrid.

« -Et moi j'ai une machine en verre ! » continua URSS.

« -Ah ! Et puis ma blessure va pas mieux !

-Les miennes non plus !

-Quels blessures ?

-La pelle et le mur dans ma tête. Et toi ?

-La binette dans mon ventre.

-Oh ! Je veux essayé ça ! » déclarèrent France et Pologne en même temps.

« -Tu veux essayer la pelle ou la binette Pologne ?

-Les deux !

-Ah ? Comme moi. Et sur lequel ?

-Les deux !

-Tu vois... c'est pour ça que t'es mon amie.

-Je sais. »

Les deux ancien dictateurs échangèrent un regard... c'était vraiment le : « Vas y en premier, je tiens plus à mourrir. »

« -Aller Alsace, aller Japan ! On va se préparer !

-France, ne les tue pas avant qu'on arrive. »

La petite bande partit.

« -Néo, va aussi te changer.

-Et toi mamy ?

-Je vais m'échauffé.

-Les tuent pas, tonton Thrid m'a promit une nouvelle console de jeu.

-et bien je te promet de te l'offrir si il lui arrive quelque chose.

-Merci mamy ! » et il fila comme l'éclair.

« -Alors Thrid ? On essaye de corrompre mon petit fils ?

-Seulement l'un d'entre eux ! Tu constatera que ni Haut-Rhin, ni Bas-Rhin n'est la !

-Heureusement pour toi. Ca te permet d'avoir deux secondes d'avance pour fuir. »

Thrid fuit.

« -Moi j'ai rien fait France !

-Alsace m'a envoyé des photos de la bagarre.

-Je peux aussi avoir deux secondes d'avance ?

-Court. »

Il fuit aussi.

Juste le temps pour France de prendre des couteaux à lancé...

« -Ah... j'aurais dû prendre des vacances bien avant... » jubilait-elle avant de lancé ses lames.
et quand les autres furent de retour...

« -On est... ah non ! Tu as commencé sans nous !

-Moi aussi je veux les couteaux ! » dit avec sa joie naturel la jeune japonaise en examinant de près Thrid et URSS épinglés aux murs, retenue par une dizaine de couteaux, incapable de bouger.

« -Japan... si tu me détache du mur... je te débarrasse de ta mère pour un mois...

-Attention Third. » menaça la région en prenant une des lames de sa mère.

« -Attention.

-Je vais faire comme si tu n'avais rien dit. »

Dix minutes plus tard, les deux meilleurs ennemis étaient à nouveau sur pied, l'un à coté de l'autre alors que France rodait autour d'eau, réfléchissant.

« -Alors... on va voir les bases.
-Nein...

-Pas les bases.

-Oh si messieurs ! Les bases ! »

Elle éjecta Thrid au sol.

« -On va commencer par l'adversaire con mais plus grand.

-Pitié... commence par le petit con.

-Non, j'ai dit on commence par le grand con. »

Néo était assit trop loin, avec Empire de France, pour entendre les insultes.

« -Alors, pour commencer, aussi grand et fort qu'il soit, il a des points faible. Il faut toujours viser les points les faibles.

-Pas les points faibles...

-C'est pour cela qu'il ne faut pas faire comme URSS et paniquer quand vous faites violemment agresser. C'est valable maintenant mais aussi en 1941.

-C'est petit ça ! » il put à peine finir sa phrase qu'elle le chopa au col et le retourna comme une crêpe.

« -On ne coupe pas la parole. » elle posa son pied sur la face du communiste.

(Attention ! Ceci n'est pas un vrai court d'auto défense. Si vous voulez apprendre à vous défendre, allez voir des professionnels.)

« -Donc, comme je disais, on essaye de rester le plus calme possible même si c'est difficile. Ensuite... » elle le laissa se relevé.

« -Chope moi.

-Quoi ?

-Attrape moi comme si tu essayait de m'agressé.

-Non.

-Tu veux que je te frappe tout de suite ?

-Ok. » il l'attrapa par le bras.

« -Alors, dans ses cas la, ne tirez pas, vous vous feriez mal tout seul. Faite diversions... » elle le frappa au nez ce qui fit reculé URSS sans qu'il la lâche.

« -Puis le bras. » elle lui mit un violent coup de genoux dans le coude ce qu'il le plia dans l'autre sens avant qu'il la lâche.

« - Et ensuite, une fois qu'il vous à lâcher, assurez vous qu'il ne puisse pas vous suivre. » elle le poussa.

« -Mais ça ne suffit pas ! » et un coup de pied à l'entre jambes plus tard.

« -Plus vous taperez fort, moins vous risquerez que sa progénitures futur vous causera de problèmes. »

URSS remplit sur le sol, essayant de fuir.

« -Bien, maintenant je vais vous apprendre à remettre un bras dans le bon sens.

-Non ! Pas ça ! Ca va aller mais pitié non... » pleurait-il.

« -Ah, c'est bon. On va passer au petit... »

Thrid dormait.

« -Con. Première leçon, le réveiller ! »

Un grand coup de pied retourna Thrid comme une crêpe !

Mais rien...

« -Ah.

-Maman ? Je crois que ça ne sert à rien. Il dors très mal en se moment...

-A ce point ?

-Oh oui... tu n'imagine même pas... »

France soupira avant d'aider URSS à se redressé et, d'un coup sec, elle lui remit le bras droit.

« -Aie...

-Oh arrête, ça ne fait rien. »

C'était vrai, c'était allé si vite, ça à fait si mal avant qu'elle ne le remette que... et bien, ça va finalement.

« -Aller, ça suffit. Ils savent très bien comment faire mal.

-Et j'ai assez souffert ?

-Non. Clairement, jamais tu ne souffrira assez. Mais ce n'est pas à moi de te punir. » elle se tourna vers les quatre autres.

« -Aller, le spectacle est terminé les enfants. »

Des applaudissements retentit.

« -Attendez ! Je sais comment réveillé Thrid ! »

Alsace se leva et alla murmurer quelque chose à son oreille.

« -Ja ! Ich will ! » il se redressa d'un coup... avant de se plier en deux.

« -On va rentré je crois.

-Quoi ? Mais mamy n'a pas cassé URSS !

-Si si... elle l'a assez cassé... on peut rentrer ? Germany... tu m'aide ?

-Oui... bien sur... » le jeune allemand s'en voulait.
C'était une idée de Russie, c'était lui qui avait dit à son père de faire cela... mais quand même... c'était petit d'avoir fait cela.

Alors que tout le monde rentrait, Pologne finit par ce retrouver seule avec France.

« -Ca se voit que ça ne va pas...

-Ah... je pensais que j'arrivais à faire illusion...

-Oui, pour beaucoup. Mais ça se voit que ça ne va pas.

-Je vois...

-Tu sais, si tu as besoin de parlé, je suis la.

-Je sais Pologne. » elle sourit à son amie.

« -Merci mais... la, tu vois, j'ai plus envie de tout envoyé baladé et ne plus rien faire...

-Je comprend... a très vite ?

-Promis. » les deux femmes et amies se séparèrent sans plus un mot.

France arrêta l'entrainement pour aujourd'hui.

« -Madame ! Madame ! » appela quelqu'un.

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