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Chapitre 3 : Devin

Alsace était enfin rentrer chez elle avec Néo... et la...

« -Oh ho...

-Tu l'as dis mon chéri. » Alsace était toute raide, elle ne souriait pas du tout.

Thrid et URSS c'était battue... et avait dévaster la maison d'Alsace.

« -Tantine ? Tu sais que la violence n'est pas une solution ?

-Oui mon coeur, c'est même moi qui te l'es dit mais... avec ton oncle c'est différent. Il faut lui faire entrer dans la tête... »

Tiens, une pelle aux pieds d'Alsace, d'où sort-elle ? Oh... peu importe, elle l'a prit.

« -Mon ange, va dans ta chambre et ne passe surtout pas par la cuisine.

-Ok tata. » très obéissant, Néo alla dans sa chambre sans même jeter un coup d'oeil à la dite pièce...

Heureusement parce que c'était celle qui était le plus détruite. Et... le pauvre enfant aurait été torturé par la question : comment ils ont fait pour faire une silhouette dans le mur comme dans les cartoon ? Il valait mieux qu'il ne sache pas que son oncle et URSS, dans leurs bataille, avait respectivement traverser la fenêtre et le mur... Qui avait balancé qui et comment, ça personne ne le saura jamais même les concernés. Ben oui, traverser un mur ou une vitre et on verra si vous vous souvenez encore de quelque chose !

Mais voila ce qui c'est passé la veille :

« -Tu vois cette tasse ? »

Il lui explosa dans la tête.

« -Et ben la, tu la voit mieux. »

URSS recula. Il savait que tôt ou tard ça allait commencer mais, généralement, l'allemand avait un peu plus de mordant. Non mais c'est pas digne de lui de juste éclater une tasse dans le visage. Surtout que ça n'avait pas fait grand mal !

« -C'est tout grand père ? T'as oublié comment on tape ? Fait gaffe, tu cumul, en plus de parkinson tu as alzheimer ?

-Ich werde dir ins Gesicht schlagen.

-Quoi ? »

Thrid lui mit une droite en pleine mâchoire.

« -Ca veut dire ça.

-Ah... Я верну это тебе. » URSS fit une tentative... mais l'allemand esquiva.

« -Quoi ! Mais...

-Non, tu me le rendra pas ! » et un directe du gauche que le russe n'arriva pas à esquiver.

« -Tu parle russe ?

-да.

-Oh putain... cet accent fait bien plus mal que tes coups.

-La c'est la guerre.

-Evite Stalingrad cette fois ! »

Thrid vit encore plus rouge que sa peau, il essaya encore de mettre un coup sauf qu'URSS le vit venir cette fois et l'attrapa par le bras pour le retourner comme une crêpe, l'écrasant au sol. Ce qui explique le parquet explosé.

« -Pense à ton dos papy, si tu... »

L'allemand se redressa, lui faisant une balayette au passage et lui mettre un coup de pied dans le ventre.

« -Tu m'appel encore une fois comme ça et je t'explose tout les os de ton corps. »

Sauf que la menace n'était pas très convainquant étant donné qu'il n'avait déjà presque plus d'énergie.

« -Mais oui, mais oui, je vais t'envoyé faire une sieste bien mérité ! » et un coup de boule en se redressant.

Thrid recula, étourdit par le coup... il s'accrocha au mur... oui, le mur. URSS chargea de toute ses forces... alors que l'allemand se laissa lentement glisser pour atterrir doucement sur le sol et ainsi éviter l'autre trente trois tomes pur russe qui allait l'écraser. C'est ainsi qu'il traversa le mur, laissant une jolie forme de brute géante dans le mur. L'ancien tyran, quand à lui, retrouva un peu ses esprits, il desserra sa cravate pour avoir un peu plus d'air.

C'était compliqué... est-ce qu'il avait la force de se relever ? Ca faisait longtemps qu'il n'avait plus eut à sa poser cette question. Sauf qu'il a mit beaucoup trop de temps à réfléchir. URSS s'était relevé, était remonté. Il attrapa son meilleur ennemi et le balança par la fenêtre. Sauf que Thrid le tenait et l'entraina avec lui dans sa chut... droit dans le petit jardin d'Alsace. Un jolie petit coin avec un potager...

C'est la que le combat et le massacre se poursuivit...

Et qu'ils tombèrent tout les deux K.O. Match nul...

C'est donc la bas que la région, armée de sa pelle, les retrouva. URSS venait de retrouver ses esprits et essayait péniblement de se relever...

C'est ainsi que, après sa rencontre avec la tasse, il croisa la pelle qui lui présenta la façade ! Oui, Alsace lui avait mit un coup de pelle tellement fort qu'il en déforma le métal de l'outil... pour finalement l'enfoncer dans le mur. Voila un communiste incrusté à la manière d'une poutre dans la belle maison à colombages de la région. Elle laissa son arme fermer le sandwich URSS et mur pour aller vers Third qui était encore inconscient, assit contre le mur, pleins de sang. Son sang. Il avait une sorte de binette enfoncé dans le bas de son ventre. La jeune femme l'examina rapidement... visiblement ça n'avait rien touché de vital. En plus il avait déjà eut pire ! Elle attrapa la petite pelle à bulbe et la retira d'un coup sec, faisant hurler de douleur son mari.

« -Hallo Schatz, wie geht es dir ?

-Scheiße...

-Ich zwinge dich nicht dazu, es zu sagen. Tu as détruit ma cuisine et mon jardin. Ca va te couter chère. Très chère.

-Nimmst du die Karten ?

-Oh mais c'est qu'il fait de l'humour en plus !

-Ok... en liquide alors...

-Il va t'en falloir beaucoup pour réparer tout ça !

-Tu sais... si ça peu te soulagé... tu met la binette deux ou trois centimètres plus tôt et c'est terminé pour moi...

-D'abord tu vas réparer ma cuisine, mon jardin et... bon, la façade c'est URSS qui va la faire.

-Er hat der Kopf keine dazu. » La région regarda mies Thrid.

« -Oh non... tu as perdu tellement de sang ? »

Ben oui... Thrid qui fait de l'humour... c'est qu'il est aux portes de la mort !

« -Non... juste deux litres. Ca va encore quand on sait qu'il me l'a planté y'a... je sais plus mais un petit moment...

-C'est bon, j'appel le SAMU. »

Deux heures plus tard, des pointes de sutures et une petite transfusion, Thrid était à nouveau sur pied. La vermine est résistante, les connards le sont encore plus. L'ancien tyran était de retour dans la maison... dont la cuisine était toujours en ruine.

« -Tiens. » la région lui posa un casque d'ouvrier la tête et lui jeta un bleue de travail.

« -Euh... Alsace, tu sais que je ne sais absolument pas bricoler... alors réparer une cuisine... es ist unmöglich.

-Ja. Ich Weiss. Mais ça semblait aussi impossible que je me mette avec toi alors autant te dire, ou plutôt, te rappeler que l'espoir est un puissant atout.

-Ich Weiß nicht, wie man einen Bohrer benutzt.

-Bon, d'accord. Je sais bien que tu n'arrivera à rien.

-Das einzige Mal, dass ich einen Nagel benutze...

-Stop ! Je ne veux pas savoir ce que tu faisais des cloues Thrid !

-Ben ça je saurais l'utiliser.

-Certe... mais j'aimerais trouver une punition.

-Je peux désincruster URSS de la façade.

-Il... y est encore ?

-Oui, avec la pelle.

-Oh... oh non... je... je l'ai...

-Non, ne t'en fait pas. Il est plus résistant qu'il en a l'air. Avec un peu de chance tu aura réussit à lui faire une bosse.

-Ok. Ca me va. Mais... ne déchire pas tes sutures... et ne vous battez plus.

-Versprochen. »

Il laissa Alsace, le casque et la tenue pour descendre dans ce qui restait du petit jardin. Déjà rentrer la pelle. Il tira de toute ses forces... et la tête d'URSS sortit avec la pelle... toujours incarcéré dedans. Alors il la secoua un peu... la pelle. Et URSS en tomba, heurtant le sol sans la moindre douceur.

« -Mh... Водки нет... Я пью больше... »

Thrid fronça les sourcils un court instant, semblant réfléchir.

« -Même K.O il parle de vodka ? »

Et oui, c'était un comble. Thrid apprenait le russe... un comble n'est-ce pas ? Mais bon, Alsace s'y mettait aussi et Germany avec. C'était le seul moment où son fils lui parlait sans prendre ses jambes à son cou. Et puis ça servait, il sait maintenant dire « pauvre con de communiste » en russe, allemand, français et anglais.

Merci la mondialisation !

D'ailleurs !

« -Бедный идиот коммунист.

-Depuis quand... tu parle russe...

-Depuis que quelqu'un survit au coup d'Alsace.

-Pas depuis longtemps donc... elle a une sacré force... » il se redressa en faisant craquer sa nuque.

« -C'est pour ça que je ne la met pas en colère.

-Moi qui pensait parce que, à ton âge, dormir sur le canapé était mauvais pour ton dos.

-Non mais, ça sert à rien, j'ai promis de pas recommencer.

-Pas grave, je t'ai... je t'avais pas planter un truc de jardinage dans le ventre ?

-Une binette.

-Quoi ?

-Une binette, c'est une petite pelle qui sert à planter les bulbes.

-Bulbes ?

-Non mais t'es complètement con ou tu veux vraiment que je t'en colle une ?

-En fait j'espérait qu'Alsace t'en colle une... ça doit être drôle à voir.

-Plus qu'à vivre ?

-Beaucoup plus même. Mais, bref. Germany et Russie sont sauvés, j'ai encore toutes mes dents... même si je ne sais pas vraiment comment c'est possible.

-Va faire ton petit monologue ailleurs. Je dois trouvé des entrepreneurs pour réparer les dégâts et prendre des anti douleurs.

-Ah ! Donc j'ai pas rêver ! Je t'ai bien planté !

-Oui, félicitation, c'est pas comme si c'était la première fois.

-Je suis toujours le plus fort.

-Casse toi de chez moi.

-En même temps je suis plus grand, plus musclé. Un pur produit communiste fort et solide. Je...

-Raus aus ! Jetzt ! » et URSS dégagea plus vite que la lumière...

Le pouvoir de l'allemand en colère... incroyable. Mais attention, ça fonctionne pas face à un autre allemand... ou contre quelqu'un qui parle allemand comme Alsace par exemple. Enfin, sentant le coup de barre revenir, il n'avait plus qu'une envie : faire une sieste. Une bonne sieste... dormir sans faire de cauchemar... ou avoir prit un gros coup sur la tête.

« -C'est bon, ton mur est dé-communistisé.

-Quoi ?

-Oublie. Je vais faire une sieste.

-Non.

-Pardon ?

-Non, pas de sieste.

-Mais... pourquoi ? J'ai sortit URSS du mur et la pelle va bien !

-Thrid...

-C'est vrai, j'ai mentit. La pelle est foutue. Mais tu en a une deuxième !

-Thrid... dis moi pourquoi tu dors plus.

-Non, ça va.

-Ce n'est pas une question.

-Mais j'ai pas envie d'en parler, j'ai envie de dormir...

-Oui mais moi... tu me fais peur...

-Comment ?

-Tu fais peur... t'es à moitié somnambule et... t'as le regard vide... c'est flippant.

-A ce point ?

-Oui !

-Oh... et bien je vais me mettre aux somnifères.

-Non plus...

-Ben ?

-Tu ne vas pas t'y mettre mais t'y remettre... et ça te fait un effet...

-Ah...et bien plus qu'à attendre que ça passe. »

Alsace ne savait pas quoi dire, elle n'avait pas envie de... revoir ça. L'allemande le voyait bien. Et oui, fatigué mais pas aveugle. Alors il approcha la chaise de sa femme contre la sienne et la prit contre lui. Un geste tout ce qu'il y avait de plus anodin mais... gentil. Purement gentil. Venant ce cet énorme connard de Thrid... pardon. Je divague. Le couple était... et bien... comme un couple. C'était vraiment étrange.

Pas la première fois... mais quand même. La région ferma juste les yeux, restant contre son salop d'époux...

C'était bien...

Elle se sentait même en confiance... ce moment si parfait...

Elle voulait que ça dure éternellement quand quelque chose vint le gâcher.

Thrid se mit à ronfler.

« -Non mais tu gâche tout ! » râlait-elle, le réveillant gentiment.

« -Mh ? Pardon.

-En plus tu ose commencer à ronfler ?

-Ah non, promis, première et... » il bailla.

« -Dernière fois...

-Alors ça va. Non parce que, ça en plus des cauchemars, et je demande le divorce !

-Tu peux même l'avoir pour faute au vue de tes arguments. »

Elle se leva.

« -Aller, va faire une sieste. ensuite, on ira faire du shopping tout les trois.

-Quoi ? Ma punition est pas terminé ?

-Oh que non ! Aller, au lit !

-Ja... ja... »

Pendant se temps, loin de la, France était prête pour la guillotine... quoi que, la guillotine ferait moins mal que passer devant le conseil des Nation Unies...

Avec eux, tout était possible. Ils pourraient même ressortir le vieux truc du conseil des tutelles... quel horreur. Ca voudrait dire qu'elle passerait des sièges permanents à... sujet. Elle passerait de... oh non, France préférait ne pas y penser. Faire ça, de toute façon, serait une violation de sa souveraineté.

« -Maman ?

-Oui ?

-Ca va aller ? Je veux dire, ne t'en fait pas, c'est rien de grave.

-On voit que ce n'est pas toi qui est concerné.

-Mom...

-Merci de m'avoir cherché mais tu sais ce qui pourrait m'aider ?

-No ?

-Débarrasse moi de ton père.

-Impossible, you need help.

-Pas de ton père.

-Tu n'as plus de sécurité. If there is an attack... je veux dire...

-USA, je parle très bien anglais.

-But...

-Ecoute, c'est pas parce que je me fou de la gueule de ton père en lui faisant croire ça que c'est le cas. » le plus jeune se tut, voyant clairement que sa mère était tendu.

Normal... elle allait passé devant le conseil parce qu'elle « n'arrivait plus à garantir la paix et la sécurité de sa population ». Une catastrophe qui assurait presque son placement sous tutelle. mais pourquoi ? Ce n'était pas la faute de France, au contraire même. Elle faisait le maximum mais... ce n'était pas assez. Surtout qu'au vue de la réaction qu'elle à eut avec les gilet jaune... et cette nouvelle crise si rapprochée... avec une réaction militaire...

« -Mom ... I'm here.

-Oui oui... je sais. »

Ils étaient arrivé, USA ne quittait pas France qu'une seconde.

« -Dit, je vais pas m'évader par la fenêtre.

-Maman... question de sécurité.

-Ben laisse moi tes gardes du corps.

-Impossible. »

La française soupira avant de changer de direction.

« -Where are you going ?

-Au toilette.

-Ah... ok, mais dépêche toi tu...

-Es attendu. Je sais ! »

Elle s'enferma dans les toilettes des dames... laissant USA perplexe. Il savait très bien que sa mère était une femme plutôt confiante... alors la voir comme ça, ça lui rappelait de très mauvais souvenirs. Les seuls moments où France semblait si faible... c'était quand UK venait de la quitter. Et bien, la, elle devait souffrir tout autant.

Et il n'avait pas tord.

Elle était face au miroir, se passant de l'eau sur le visage...et puis...

« -Aller... un tout petit effort... »

Elle remit bien le col de son chemisier, retoucha un peu sa coiffure... essayant de de conserver le peu de dignité qui lui restait.
« Tout est dans l'apparence » comme disait son cher père. Une profonde inspiration... un peu de rouge à lèvre... un dernier coup d'oeil au miroir...

Et c'était repartit.

Elle y alla... ne décochant pas le moindre mot...

Elle en avait pas la force... et, quand se fut le moment d'abordé son sujet...

« -Alors...

-Ne vous fatiguez pas...

-Pardon ?

-Visiblement je n'arrive pas à gérer les crises répété sur mon territoire. Alors je préfère vous laissez faire. Envoyez les casques bleues, de toute façon il n'y a pas de grandes différence avec l'armé puisque c'est mes soldats qui sont le plus nombreux. Je laisse faire l'ONU. »

Tout le monde semblait être sous le choc. Elle abandonnait sans même savoir contre quoi elle devait se battre ? Vraiment ? Elle était si mal ?

« -Alors je vous dis adieu, farewell, Leb wohl, さらば, Adiós, Pożegnanie, 告別, до свидания. Je vous laisse vous démerder ! » et oui, France n'était pas si nul que ça en langue étrangère !

Sur ses bonnes paroles, elle partit.

Vraiment ?

Elle laissait tomber... c'était incroyable. Elle n'avait jamais fait ça. Personne ne la suit, ils étaient tous sous le choc ! Ils avaient même pas commencé les débats qu'elle avait... laissé tomber !

« -Wow... Я не думал, что это было так плохо. »

Russie venait de dire : « Wow... je ne pensais pas que c'était si grave ». Pour qu'elle laisse tombé comme ça, sachant qu'elle n'a jamais cessé de se battre pour être la où elle est, c'est que la situation devait être désespéré !

« -On... fait quoi du coup ?

-نستأنف.

-Je suis d'accord, reprenons. Quand la crise sera passé, nous pourrons rendre sa souveraineté à France et...

-Elle n'a pas cédé sa souveraineté, elle nous à demander de l'aide pour gérer la crise. Λίγο σεβασμός !

-Oui ! Grèce à raison !

-Oh la la... les pays européen qui font front commun...

-כמה מדהים ...

-Israel ! शांत हो जाओ.

-Inde ! Do not interfere with what does not concern you.

-Hey UK, flash info : les colonies c'est terminé ! T'as plus d'ordre à donner à personne ! »

Les nations Unies... pour la paix et l'unité mondial... et moi je suis un poulet rôti !

Pendant que le ton montait et que les vieilles rancune remontait à la surface, France rentrait, escorté par aucune sécurité... pourquoi faire ? Elle en avait assez de jouer les cheffe d'Etat, les maman surproductrice et les ambassadrices... ou n'importe quoi d'autres...

Elle voulait juste... faire ce qui lui plaisait... juste une fois dans sa vie. Sans penser au conséquence de ses actes... sur sa réputation ou autre chose. Juste un peu... juste une heure...

Casse la tienne ! Elle allait le faire !

Changement de direction, elle ne rentra qu'une heure plus tard... pour avoir la désagréable surprise de retrouvé UK... qui l'attendait avec Empire de France.

« -Je vous préviens, si vous vous associez, je vous fou dehors à grand coup de botte.

-France... Please sit down, we need to talk.

-Et moi j'aimerais que tu dégage de chez moi. »

Empire de France fronça les sourcils.

« -S'il te plait frangine... ça fait une demi heure qu'il me parle et j'en peux plus...

-Je m'assoit si il dégage.

-Il m'a promit qu'il part quand il t'aura parlé. »

France s'assit tout de suite.

« -Vite parce que j'en peux plus de voir ta tête.

-Et moi donc... » pleurait presque l'aîné de la famille.

« -Empire... can you leave us ?

-Je parle pas anglais du con.

-Moi si et il te dis de partir.

-Ben moi je t'ai dis de jamais lâcher le pouvoir et tu l'as quand même fait.

-Tu m'as dit que, si je te pique le pouvoir, je ferais mieux de regarder derrière moi grand frère.

-De surveiller tes arrières.

-Please... il faut vraiment que je parle à France.

-Oui oui, calme toi monsieur balais dans le...

-Empire... please. »

Le plus vieux se leva et quitta lentement la pièce.

« -A little bit faster ?

-J'ai une jambe cassé tu permet !

-Mal polie va. » ricana France sans lâcher de son regard mauvais UK.

Une fois que la troisième personne était partit, l'anglais prit une profonde inspiration.

« -Well... oh, se sont de nouvelles chaussures ?

-Oui.

-So this is what you did in the last hour ?

-Tu sais la dernière fois que je me suis acheté des chaussures ?

-Vue combien tu en as, je dirais il y a deux heures !

-Quand j'étais enceinte de Nouvelle Zélande.

-What ?

-On dit pardon quand on est bien élevé ! Et oui, toute les autres font partit de la garde robe national. En d'autres termes, c'est pas les miennes mais des prêt des grandes marques en échange de publicité gratuite.

-Mais... ce veut dire que...

-A part mon pyjama et ses bottes, j'ai rien ! Alors je t'interdit de me reprocher un achat tout les milles ans !

-Milles ans ?

-C'est une façon de parler... » après la colère, l'air blasé.

UK faisait un de ses effets à la française... et pas dans le bon sens du terme !

« -Ca ne change rien au fait que tu ne peux pas faire ce que tu as fait !

-Je confirme !

-Empire accélère un peu !

-J'ai une jambe en moins lâche moi espère ce coincé ! »

France se releva.

« -Voila, on a parlé, tu t'es prit la tête avec mon frère, tu as profité de toute les distraction de ma maison alors casse toi. Et vite !

-Sinon quoi ? Tu vas me déclarer la guerre ? Ah mais non ! Suis-je bête, tu as céder se droit !

-Je peux toujours te casser le nez.

-Sorry ?

-Alors non seulement tu oublie mon anniversaire mais, en plus, tu oublie mes hobby ?

-A ta place je courrais UK ! Elle fait des sport de combat et est très douée !

-Et moi, à ta place, je l'écouterais.

-Ok ! » ainsi UK prit la fuite mais il n'allait pas lâcher aussi facilement.

France allait mal et il n'allait pas la laisser déprimé... pour une fois que c'était pas sa faute...

Enfin, pas qu'il le sache ?

Son téléphone sonna.

« -Yes ?

-C'est Empire de France.

-Comment tu as eut se numéro ?

-Ca te regarde pas.

-Pourquoi tu m'appel ?

-Pour te dire que si, c'est de ta faute ! » et il raccrocha.

Comment il savait à quoi il pensait ?
Et comment c'était possible que se soit de sa faute ?

Un message : « Arrête d'oublié son anniversaire, de la quitter, de lui briser le coeur et de l'emmerder ! »

Mais comment il fait !

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