Chapitre 20 : Si simple...
France était de retour chez elle... plus personne. Le pays se laissa tomber sur le canapé de l'entré... elle avait laissé échapper la plus grande psychopathe qu'elle n'avait jamais eut à garder. A cause d'elle, cette tarée était en liberté...
Pas le temps de se remettre du choc, tout de suite, elle dû prévenir la police, l'armée, tout ce qu'elle pouvait ! N***** était officiellement l'ennemie numéro une... en même temps, aucun meurtrier recherché n'avait jamais fait autant de mort...
Et France l'avait aidé à s'échapper... elle qui n'avait confiance qu'en elle même pour garder cette malade...
Mais qu'est-ce qui lui avait prit de faire ça ? Juste parce qu'elle était en colère...
Et elle ne pouvait rien faire de plus que prévenir.
Tout ça pour en revenir au point de départ... que la vie est absurde. Toute cette histoire pour rien de mieux ? Que du pire... comment avait-elle put croire que faire cela, que pactiser avec le diable pour ne plus rien ressentir était une bonne idée ? Comment avait-elle put être aussi stupide ?
Il n'y avait rien d'autre à faire pour elle que d'attendre...
Et, encore une fois, comme incapable de retenir cette leçon, elle s'isola... voulant rester seule. Ça ne faisait qu'aggraver la chose. Pourtant elle le faisait, en « profitant » pour se reprocher tout et n'importe quoi. Une semaine comme cela où elle ne faisait rien de plus qu'être dans son canapé, enfermé dans sa maison, parfaitement seule.
rien qu'elle et ses pensées obscures. Tout remettre en doute. Tout ce qu'elle a fait, tout ce qu'elle voulait faire, tout ce qu'elle fait. Tout. Tout ses mots, ses discours...
Tout...
Même ses enfants. Elle se disait même qu'ils seraient mieux sans elle. Si ils avaient put être les enfants d'une autre... ils auraient surement eut une famille, une vrai, ils n'auraient pas passer des années à être élevé par d'autres que leurs mère...
A ne pas avoir deux parents...
France à toujours penser que, certe, un parent seul pouvait très bien élever des enfants... mais le comportement de Vichy quand il avait le pouvoir, sa politique de « famille » très grande et surtout à deux parents de préférence...
Est-ce qu'elle les avaient mal élever ? Est-ce qu'elle était la seule responsable de tout leurs malheurs ? Elle n'arrivait pas à leurs donner le mieux...
Ces pensées étaient des sables mouvants...
Au lieux de vouloir en sortir, France se laissait couler. Elle s'y enfoncé même. C'était comme si une main lui appuyait sur la tête pour la couler encore plus vite...
C'était elle cette main. Elle s'enfonçait... c'était le mieux. Si elle mourrait...
Quelqu'un prendrait sa place.
C'était le mieux à faire.
Laisser la place... tout laisser tomber... à quoi bon continuer ? De toute façon, elle ratait tout. Il fallait qu'elle arrête. Qu'elle arrête tout et le plus vite possible.
Qu'elle arrête le massacre.
Fixant le vide, installer sur son canapé dans son salon... incapable de bouger, sans force, sans courage, sans réaction. C'est pour cela que, quand la porte s'ouvrit, elle ne bougea pas. Même pas un regard vers la personne qui s'assit à côté d'elle.
Il s'installa doucement...
Sans un mot.
« -Hello... »
Aucune réponse...
« -Tu... sais, il m'a fallut du temps pour assimiler ce que tu m'as dit. »
UK semblait attendre une réaction... même la plus petite.
Sauf qu'il n'y en avait pas la moindre.
Alors il se mit à genoux devant elle, lui prenant les mains...
« -Je... je peux pas l'accepté. »
France leva alors les yeux vers lui.
« -Tu n'as pas le choix. » sa voix était sèche... comme si elle n'avait plus parler depuis des mois.
Elle était tremblante aussi... comme prête à se briser sous la pression d'un flot de larme.
« -Je suis aussi coincé que têtue France. Je refuse de t'écouter. Tu me l'as dis, tu m'aime... et c'est tout ce qui m'importe. I want to be your prince... as you saw me at the time. »
Encore un silence... casser par un rire de la française.
« -Pour écouter un truc aussi... mielleux, j'ai besoin d'un verre de vin. »
Comment pouvaient-ils tellement s'énervé l'un l'autre, se détester... se haïr au point de vouloir se tuer... se plonger l'un l'autre dans la pire des dépressions... et réussir à s'en sortir en si peu de mots ?
« -I love you. »
Plus de réponse... il n'en fallait pas.
C'était si simple parfois...
Et si compliqué le reste du temps.
Ailleurs.
Cela faisait quelques nuits que Thrid avait retrouvé un sommeil bien plus que reposant ! Etrangement... Alsace aussi. En fait, elle était tout les matins sur un petit nuage depuis une ou deux semaines. Son mari allait mieux, il n'était plus terrifiant... enfin, pour Thrid bien sur. Sa mère avait retrouver ses esprit... même si elle déprimait, les autres avaient trouvé une idée pour lui remonter le moral. Idée qui, plus tard, se montrera inutile puisque France ira mieux sans que aucun de ses enfants ne le sache. Alsace avait même apprit que Nouvelle Zélande était aller voir leurs mère, ils avaient discuter. Australie aussi... même si, bon, sa passion des serpents et autres créatures dangereuses avaient poser un gros problèmes pour le voyage. En fait, le seul problème qui restait était entre Liberté, Vichy et USA. Les jumeaux, qui étaient de plus en plus souvent d'accord (chose très inquiétante), semblaient en vouloir à USA pour une raison... étrange.
Mais la région de Grand Est n'en avait rien à faire la, tout de suite. Depuis deux semaines, elle était sur un petit nuage. Comment ne pas l'être ? Elle passait de très bonne nuit... et pas que de sommeil. Elle chantait tout les matins en préparant les petits déjeuné de tout le monde. L'enfant était très heureux ! Des crêpes aux myrtilles tout les matins avec une crème au chocolat... comment ne pas être heureux ?
Sauf que ce matin, Alsace se leva, comme toujours, Thrid avec elle... comme toujours...
Et, aussi étrange que ça puisse être, ils roucoulaient en préparant le petit déjeuné... comme quoi, dieu n'était pas le seul à faire des miracles. Les pactes du diables étaient aussi capable de faire beaucoup de choses impensable !
Mais ce n'était pas ça la chose anormal se matin la ! Non... ça, c'était normal depuis deux semaines...
Prussia qui prépare le petit déjeuné, ça par contre, c'était pas normal.
Oui.
Vous avez bien lue.
Prussia sait cuisiner.
Je sais, c'est choquant.
Comment elle fait pour entrer ? Comme France, elles ont un don pour les entrés sans y être invité et les sorties toutes aussi discrètes.
Le « couple » (même Alsace n'y croyait pas) resta la...
« -Hallo Liebhaber! Gut geschlafen ? Enfin, vue vos expressions ravies, je me doute que vous n'avez pas fait que ça ! » souriait-elle.
« -Je présume que vous êtes d'accord pour me donner un autre arrière petit fils. Je vous préviens je choisit le prénom ! »
Les deux autres restèrent la.
« -Je vais la tuer.
-Tu n'as pas le droit... moi par contre. »
Ils échangèrent un regard choqué.
« -Mein Gott...
-Tu as...
-Thrid à déteint sur toi ! C'est fantastique ! Comme ça pas de problème au sujet de l'éducation de l'enfant !
-Prussia ? Lauf
-Nein, ich habe keine Angst. Außerdem gibt es nur die Wahrheit, die weh tut.
-Lauf schnell und weit. »
Elle ne bougea que pour déposer le résultat de son temps derrière les fourneaux sur la table. Prussia en profita alors pour caresser la joue d'Alsace.
« -Tu es si jolie... il n'y a pas de doute, tu tiens ça de France... j'ai toujours voulue un petit fils aussi beau... j'ai dû attendre mon quatrième arrière petit fils...
-Alors, ne me touche pas. » la région dégagea la main de l'autre.
« -Et, soyons clair, si... »
Mais elle ne put terminer, Thrid attrapa Prussia, la prit sur son épaule et la mis dehors.
« -Damit hörst du auf !
-Pardon ? Tu me donne des ordres ?
-Je te signal qu'on était tous au pouvoir ! Pas que toi. D'ailleurs, le chef de famille, selon toi, c'est Germany maintenant.
-Et ? Ich sehe den Link nicht... » tentative incertaine venant d'une Prussia... beaucoup moins sur d'elle.
« -le rapport c'est que t'as pas à me donner d'ordres ! Ni à décider que je dois avoir des enfants.
-T'en veux pas d'Alsace ?
-Ça ne te concerne pas ! Et arrête de rentrer comme ça chez moi !
-C'est pas chez toi. »
Thrid soupira.
« -Imagine que je suis le chien de garde. Si tu t'approche trop sans permission... ich reiße dir die Kehle.
-Peu m'importe que tu aime jouer les toutou pour Alsace, chacun ses délires. Sauf que, vue vos airs ravies, tu es encore... kräftig ? Alors je pense que ça ne saurait tarder.
-Ma viguerie ne te concerne pas !
-Tu es mon petit fils, tu tiens quand même un peu de moi... alors, promis je vous laisse. Je sais bien que... Die Allgegenwart einer so starken Persönlichkeit kann bedrückend sein.
-Wow... moi qui pensait que j'étais le plus atteint, je me trompais. Wie geht man mit so einem großen Kopf durch die Türen ?
-Peut-être que la modestie ne m'étouffe pas, c'est vrai, mais c'est vrai.
-Das ist es... si c'est pour que tu arrête de t'incruster, je suis prêt à tout dire.
-Es ist nicht lustig, da du keinen Stolz mehr hast...
-J'en es encore assez pour te botter le cul.
-Oh... non, je préfère que ce ne soit pas incestueux... va t'occuper d'Alsace et...
-Abschied ! »
Il claqua la porte.
« -Schlampe...
-Je t'es entendu Thrid !
-Je parle de Prussia.
-Pas mon problème ! Pas de gros mots ici, peu importe la langue !
-Entschuldigen Sie.
-Une pièce dans le bocal.
-Scheisse...
-Deux pièces ! »
Il décida d'arrêter la le massacre.
En plus, Néo allait bientôt se réveiller.
« -Dis... elle sait faire du pain perdu Prussia ?
-Non, je crois que c'est du bacon.
-On va tout jeter.
-La question ne se pose même pas. »
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