Chapitre 2 : L'anniversaire
La porte claqua quand France entra enfin dans sa maison suivit de Liberté.
« -Surprise ! »
Un silence après que tout le monde est crié...
Oui, la « reine » de la soirée avait plus de deux heures de retard... et tout le monde était arrivé, même ceux prévue en retard... et il fallut retenir USA d'attaquer le buffet. Mais quel idée de laisser des alcool fort à disposition aussi !
« -Euh... » France sortit son téléphone, jetant un rapide coup d'oeil avant de se tourner vers sa fille la plus jeune.
« -C'est mon anniversaire aujourd'hui...
-Joyeux anniversaire maman. » elle lui fit un câlin.
« -Câlin partie ?
-Tu me touche Empire et je te casse les dents une par une.
-Ah la la... encore un rendez vous conseiller d'image ?
-Oui.. » la pauvre en avait presque les larmes aux yeux quand son grand frère lui tendit un verre de quelque chose de très fort.
« -Hey ! Pas juste ! Moi on...
-Ta gueule USA !
-Merci Australie. Mais ne parle pas comme ça à ton frère.
-Merci maman.
-Ta gueule USA. » répéta Australie.
« -J'abandonne. » la mère de tout ce petit monde avala d'un coup le contenue du verre sans même grimacer.
« -Miam, c'est quoi ?
-Je sais pas mais c'est plus fort que le vin. Tu en veux encore ?
-Oh oui !
-C'est partit !
-Mais moi aussi j'en veux... » continuait de pleurnicher l'américain alors que son oncle réservait sa mère.
« -Mon grand... tu es au bord de l'alcoolisme.
-Mais on s'en fou ! On a une tel longévité et résistance dans la famille que je peux ce que je veux, je survivrais.
-On verra si tu dis la même chose quand Chine t'aura enlever de sous sa semelle après t'avoir écraser. »
USA était choqué.
« -Maman ! »
France réalisa enfin ce qu'elle venait de dire.
« -Pardon mon grand ! Mais c'est vachement fort ton truc !
-Et oui frangine. C'est fait pour toi. Tu en veux encore ?
-Oui !
-Euh... sorry but... tu le pense vraiment maman ?
-Juste... un tout petit peu mon grand.
-Oui, un tout, tout petit peu. » ajouta Empire de France.
L'américain fila, allant chercher quelque chose de fort qu'on le laisserait boire, pour oublier ce que sa mère venait de dire. Oui, sa propre mère !
« -France ? Tu le pensais ?
-Bien sur ! Je ne lui donne même plus cinquante ans.
-T'es optimiste, moi je ne lui donne même plus vingt ans.
-Toi t'es dure. Mais t'es dure avec tout le monde sauf toi même.
-Hey ! Mon empire il aurait tenue ! » c'est sur ces bonnes paroles que sa petite soeur lui confisqua son verre.
« -Au vue des conneries que tu dis, je te confisque ton verre.
-Oui, tu as raison.
-Tu t'es entendu ?
-Oui... » pleurnicha le grand Empire déchut en posant sa tête avec beaucoup de précautions sur la table.
La fête battait son pleins, tout le monde s'amusait beaucoup. Mais, plus le temps passait, plus il y avait de monde qui allait se coucher. Au final France se retrouva seule avec son frère, toute les chambre étaient occupé par ses enfants qui dormaient tous sur place... et elle n'avait pas d'autre choix que de ranger.
« -Bon sang, il n'y a plus une seule goute dans toutes ses bouteilles !
-Euh... soit mais... ça te manque les conquêtes ?
-Pourquoi ? »
France lui lança un regard... ses yeux disaient littéralement : « Non mais putain ! t'as fait une pyramide de bouteilles vides dans mon salon ! »
« -Bon... un peu. Mais figure toi que du haut de cette pyramide milles lettres d'alcool on était bu !
-Ca suffit ! Va te coucher ! J'en est marre de toi bourré et de ton sens de l'humour à deux balles ! » elle le chassa à coup de balais.
« -Ok ! Ok je... »
Alors qu'il allait dire qu'il allait se coucher... il glissa sur une tâche et tomba sur une bouteille qui éclata...
« -Oh non...
-France ?
-Non.
-Je me suis fait mal.
-tu t'es exploser les cotes ?
-Non, le bras.
-Dis moi que c'est du vin rouge qui coule.
-Ah... non, non, non. C'est du sang, le mien. Et pour être précis il vient de mon bras sur lequel je suis tombé. »
France soupira longuement.
« -C'est bon... j'ai compris, on va à l'hôpital.
-Merci petite soeur. Je vais un peu hurler de douleur pendant le trajet, ça te dérange ?
-Bien sur que non, on est pas anglais. On a le droit de s'exprimer.
-Merci. » ainsi commença les cris de douleur et d'agonie d'Empire de France...
Très exagéré d'ailleurs puisqu'il n'avait qu'une toute petite triple fractures au cubitus et au radius. Sans oublier celle au métacarpe.
Non, vraiment, rien de grave. Oh ! Et, bien sur, tout en fracture ouvert ! Sinon c'est pas drôle.
Et que penser de France ? Elle n'avait pas vraiment profiter de sa fête d'anniversaire, elle était complètement ivre et assit dans le hall d'un hôpital en attendant que le docteur qui l'avait oublié vienne lui dire que l'autre avait gueuler pour une blessure qui n'était rien comparer à ce qu'il avait déjà eut !
Non mais sérieusement, il avait eut un ulcère bien plus douloureux que cette fracture... que les sept réunit.
Heureusement pour elle, France réussit à s'endormir... mais ce ne fut pas long !
« -France ! Oh my god ! My love ! Où es-tu ! »
Elle se redressa d'un coup.
C'était pas possible...
Elle rêvait.
Non, pardon, elle faisait un cauchemar. Il ne pouvait pas être la.
Pas UK !
Tout mais pas lui !
« -Alors déjà je suis pas ton... » pas le temps de l'engueuler... il l'écrasait déjà dans ses bras.
« -My love... j'étais si inquiet pour toi... je... » il en pleurait presque.
« -Lâche moi tu m'étouffe ! » elle le repoussa plus ou moins violemment.
« -Comment tu as fait pour passé la frontière ?
-Mais... France... on m'a appelé en me disant que tu étais blessé en état grave à l'hôpital ! J'ai... crut à un attentat, que tu étais entre la vie et la mort !
-Ah. Et tu pense vraiment que toi, mon cher et tendre brexiteur d'ex, qu'on appellerait en premier ?
-Ben... euh... yes, true... is... very...
-Le mot que tu cherche est illogique voir complètement idiot. Surtout que je vais parfaitement bien. C'est empire de France qui est tombé et est à l'hôpital. » dit la jeune femme en insistant bien sur le « Empire » et retournant s'assoir.
« -Alors de l'air. Et puis pourquoi on t'as appeler ?
-Ben... tu te souviens de l'attentat en 1962 ? Ben... comme personne ne m'a contacté j'ai...
-Placer des espions ?
-No ! Never ! J'ai juste demander d'être informé en premier si il t'arrivait quelque chose...
-Mais bien sur...
-Je... je te l'assure ! Mais... que c'est- il passé ? Comment c'est-il blesser ?
-Ca te concerne pas.
-France... please... est-ce que c'est un attentat raté ?
-Mais c'est quoi ton problème avec ça ? Je suis tellement détesté que tout le monde veut ma peau ?
-No... but... France... dans trois jours...
-Le conseil de l'ONU va déclarer mon territoire en état de guerre civil ? Jamais il y aura un casque bleue qui s'interposera entre les policiers et ma population ! Tu as compris ? et il n'y aura plus d'anglais sur mon territoire sans autorisation.
-France... please... on avait fait la paix...
-Oui. C'est vrai. J'ai dit que je ne serais plus une salope avec toi mais ce n'est pas pour autant que je te tolère. Tu n'es plus ressortissant de l'UE ce qui veux dire que tu n'es pas ici légalement.
-I... I know...
-Et je ne te permet pas de m'appeler mon amour alors que tu m'as quitter tellement de foi que ce serait me faire passer pour la plus grande des idiotes de t'avoir à chaque fois reprit.
-Ok... je... I'm sorry. Je ne le referais plus... juste... dit moi ce...
-Ce n'était pas un attentat ! Il a glisser sur le sol parce qu'il était bourré !
-Et... why ? »
Un minuscule silence...
« -C'est mon anniversaire aujourd'hui...
-Non, tu rigole. C'est pas aujourd'hui, arrêté de te foutre de moi. »
La colère était retombé, France ne l'était plus du tout. Elle revivait juste tout les anniversaires qu'elle aurait voulut fêter avec UK... et qu'il oubliait systématiquement.
« -Si... c'est mon anniversaire... »
UK la regardait sans comprendre et puis...
« -Oh shit ! Je... je suis si...
-Con. Un pauvre con. Dégage.
-France je... je suis désolé... je... je sais que je l'oublie tout les ans...
-Dégage ! » elle lui jeta à la tête un magasine.
UK se le prit en pleine tête... il lança alors un dernier regard désolé à France, posant le livré sur la table.
« -Goodbye...
-Adieu tu veux dire. »
Il partit...
France regardait son portable... son air était à la fois triste et dure, comme si elle ne voulait pas l'être... mais elle souffrait. Comment pouvait-il oublié ça ? Encore après toutes ces années ? Il n'a jamais été fichu de le faire... pour tout le monde il y arrive mais pas pour France...
« -Madame ? » un soldat au garde à vous devant elle.
« -Oh non... que ce passe-t-il ?
-Un problème madame.
-Je m'en doute. Que ce passe-t-il ?
-Les combats contre les casseurs continue.
-Pardon ?
-Il semble qu'ils n'ont pas apprécier la célébration de votre anniversaire. »
Elle n'en revenait pas. Après les gilets jaunes, il y avait ses mouvements terribles et encore plus violent... mais qu'est-ce que c'était que ce bordel... pourquoi rien ne pouvait aller ?
Pourquoi tout ça c'était pour elle ?
« -Bien... les forces de polices sont déjà sur place ?
-Ils demandent l'aide de l'armé.
-Q... quoi ?
-Ils demandent l'intervention de l'armée madame. »
France blêmit.
« -Oui mais pas de mort, pas d'armes à feu et... pas de blesser au flash ball.
-Bien madame mais si la vie de mes hommes est...
-Pas de mort ça veux dire des deux côtés. » répondit-elle sèchement.
« -Bonne soirée.
-Bonne soirée madame. » il se mit au garde-a-vous et salua avant de partir.
Elle n'avait même plus le courage de faire sa blague habituelle soit corriger ceux qui l'appelait madame alors qu'elle est mademoiselle... et oui, elle ne c'est jamais marié... même ses filles sont madame. Heureusement, depuis la suppression de ce maudit mot, toutes étaient madame. Elle qui riait la dessus en disant que c'était le seul moyen qu'elle avait trouvée pour cela... c'était la triste vérité.
Après ça, elle devait s'être endormit puisque c'était le grand trou noir. Quand elle rouvrit les yeux c'était chez elle, dans son lit. Comment elle était revenue la ? Est-ce que tout cela n'avait été qu'un rêve ?
Non.
Elle trouva un mot posé à coté d'elle dans son lit disant très clairement que non, elle n'avait pas rêver. La journée n'avait même pas vraiment commencer qu'elle avait déjà envie de... ben elle hésitait entre se pendre et sauter par la fenêtre. Mais, finalement, elle se leva, s'habilla et descendit...
« -Non mais la c'est une déclaration de guerre !
-Calme toi, il vient en paix petite soeur.
-J'en est rien à foutre ! Je lui est dit de dégager et il est la ! »
L'ainé de la famille se place devant sa soeur.
« -Ok. Je comprend que ça t'énerve de le voir surtout dans ta cuisine en tablier. Mais je lui est donné le rose frangine. Et, en plus,n j'ai le bras cassé, je pouvait pas faire le petit déj.
-Tu l'aurais commandé !
-Et je pouvais pas conduire.
-Les taxi ça existent !
-J'arrivais pas à te réveiller.
-Me dis pas que...
-Si, il t'as porté.
-Connard.
-Quoi ? Moi ?
-Oui ! tu le déteste ! Et tu le laisse entrer chez moi ?
-Chez nous.
-Non ! Chez moi ! C'est chez moi ici ! Et c'est pas parce que tu es mon frère que je...
-Euh... excuse me... je... peux parler ? » demanda l'intrus aux fourneaux.
« -Choisit bien UK parce que ça risque d'être...
-France ! Ca suffit ! » il attrapa sa soeur et l'éloigna d'UK.
ILs allèrent s'enfermer dans le bureau de la cheffe d'Etat.
« -Hier soir tu as donné l'autorisation à l'armée d'intervenir... ça à fait un scandale.
-Il n'y avait pas d'autre solution.
-Peut être mais à cause de toi impossible de quitter ta maison. » lança-t-il en insistant bien sur le « ta ».
« -T'es gonflé. Tu m'as tout prit quand tu étais au pouvoir et tu me reproche ça ?
-Je ne te reproche rien. Je t'informe juste qu'on parle de te guillotiné !
-Les enfants sont où ?
-La ils sont en chemin pour rentrer chez eux.
-Ils vont bien ?
-Je les es fait partir avant que ça ne dégénère complètement.
-C'est à ce point ?
-UK a fait venir son service de sécurité.
-Oh non...
-Et le conseil des Nation Unies est avancé. C'est une situation critique. Ils parlent de deuxième 1789.
-Ils t'ont dis quand ?
-Aujourd'hui. Dans... » il regarda l'heure.
« -Trois heures. USA viendra te chercher.
-Je vais me préparer.
-Et le petit déjeuné ?
-Je mange pas du made in anglish ! Ca coute trop chère avec les taxes ! » sur ses bonnes paroles, elle remonta.
Et puis...
Elle passa devant un miroir.
« -Sale minable. »
Et elle alla se préparer.
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