Chapitre 13 : Intervention Libéral
Liberté était... divisée.
Que faire ?
est-ce qu'elle devait aider UK ?
Non.
Clairement, non. Pas question de l'aider !
Il était le... quoi que... non, il n'était pas le seul responsable. Il était le plus grand fautif... mais Empire de France aussi. Est-ce que sa mère voudrait aussi se venger de lui ? Est-ce qu'elle voudrait faire payer tout ceux qui lui avait fait du mal ? Qui d'autres ?
Germany ?
Non. Après le seconde guerre mondial, elle était la seule à aller lui parler. Elle était la seule à écouter ses idées... elle à jouer les mamans avec lui, comme Alsace d'ailleurs.
Elle n'avait aucune raison de lui en vouloir, au contraire même. Elle voulait absolument une bonne entente franco-germanique.
En fait... à part UK et USA... personne... sauf la famille Reich. Mais ça, ça ne changeait pas de d'habitude. Personne dans la famille française ne les supportaient... Germany était la seule exception... qui d'autres alors ?
La jeune femme s'étira...
« -Dit... crétin de squoiteur inutile ?
-Juste Vichy... ça suffit.
-Non non.
-C'est toi qui veut pas que je te quitte d'un millimètre !
-Parce que tu es un connard... mais répond à ma question.
-Penser quoi de quoi ?
-De maman. Je suis sur que c'est elle qui est derrière la crise chez UK.
-Hey... c'est lui qui voulait brexiter...
-Je te parle des émeutes.
-Je pense qu'on sous estime les anglais au niveau râleur.
-Tu défend maman ?
-Ben oui.
-Ou tu pense qu'elle est pas capable de faire ça ? »
Le régime totalitaire claqua de la langue.
« -Non. Au contraire même. Je pense qu'elle peut faire pire.
-Comme ?
-Je sais pas... faire sauter Big Ben ?
-Ca c'est ton rêve Vichy.
-Non, c'est le tiens Liberté.
-On va dire que c'est le notre.
-Depuis tout petit.
-Mais la n'est pas la question. » un silence.
« -Tu pense vraiment qu'elle veut faire sauter Big Ben ?
-Non. Bien sur que non. Elle aime quand même l'art et l'architecture... même si ce qui est sur cette île n'est ni l'un, ni l'autre.
-Vichy...
-Ben quoi ? Je sais que j'ai jamais supporté UK mais quand même ! Il n'a rien de bien sur son île !
-Tu divague...
-Donne moi un seul truc qui est bien chez l'autre con ou qui vient de l'autre con.
-Euh... »
Liberté ne savait que dire... peut-être...
« -Le whisky ? » hésita-t-elle.
« -C'est made in Ecosse.
-Oui ?
-Ca remonte à quand la dernière fois que t'as parler avec Ecosse ?
-Le whisky est pas si bien en fait.
-On est d'accord. »
Mais Liberté était toujours pensive.
A part UK, elle ne voyait que USA... est-ce que France s'en prendrait vraiment à USA ? Elle s'en prendrait vraiment à son propre fils ?
Non.
Elle ne ferait jamais ça.
Sauf si...
Elle se leva.
« -Tu vas ou ?
-Toi tu reste ici.
-Mais tu vas où sans moi ?
-Voir UK.
-Ok, courage.
-Tu veux venir ?
-Plutôt retourner en enfer dans le monde des bisounours que d'y aller.
-Le monde des bisounours ?
-Ils avaient un accent anglais... »
Elle partit, laissant son frère pétrifier par ses souvenirs et son racisme anti anglais... enfin, plutôt, anti UK. Les anglais, en soit... ben c'était rien de grave. Leur dirigeant par contre...
Liberté avait besoin e lui parler, c'était pour une bonne raison. Surtout si elle partait si vite.
En plus...
Vichy pouvait faire ce qu'il voulait ! Après s'être assuré que sa soeur jumelle était partit, il se précipita vers la porte, attrapa la poignet... et se fit violemment électrocuté...
Il tomba au sol...
Au dessus de lui, accrocher au plafond, il pouvait lire : « Tu pensais vraiment que j'allais te laisser sortir ? »
« -Et merde.... »
Mais il n'allait pas lâcher l'affaire ! Il suffisait de couper le courant ! Il n'eut même pas le temps de se redresser que la porte s'ouvrit.
« -Salut Vichy.
-M... maman ? »
France entra.
« -Pourquoi cette hésitation ? Tu en connais beaucoup avec ma tête ? En dehors de toi et Liberté bien sur.
-Ben... non... mais, aux dernières nouvelles, t'étais chez UK pour...
-Jubiler parce que je suis responsable de ses petits problèmes ? Peut-être, peut-être pas... on s'en fiche au fond de qui est le responsable non ?
-Ah... surement. Sauf que, selon qui est le responsable, ça s'arrête ou ça ne fait que commencer.
-Exact.
-Alors... c'est toi la responsable ?
-Ne puis-je pas profiter du malheur des autres sans en être responsable ?
-Non. »
France soupira longtemps.
« -Bref... je suis venue chercher quelque chose que Liberté m'a prit.
-Ben... moi je vais me... promener ?
-Fait ce que tu veux. »
Alors deux solutions, voir ce qu'elle prenait ou... l'option que Vichy choisit c'est à dire : fuir ! Aller se promener ! Faire ce qu'il avait envie de faire ! Sans Liberté dans les pattes !
Décidément France connaissait bien ses enfants. Elle récupéra ce qui lui fallait, repartant avec un sac sous le bras.
Pendant ce temps, Liberté avait enfin finit de passer l'interminable sécurité d'UK.
« -Alors je veux bien que c'est la crise mais un tel système de sécurité !
-Liberté... hello...
-Wow... maman t'as vraiment atteint. Elle est donc bien venue te voir.
-Qu'et-ce que tu veux Liberté ?
-Te dire ce qu'elle prépare et pourquoi elle le fait.
-What ? Tu sais ?
-Bien sur. Tu pense que je suis venue pour quoi ? Pour le thé avec les petits gâteaux infecte ? »
Liberté s'assit, lançant un regard noir à l'assiette posé sur le bureau d'Uk, contenant effectivement des petits gâteaux.
« -Please... dit moi... » il en pouvait plus le pauvre.
« -Maman veut que tout le monde voit que toi, qui l'accuse depuis toujours de ne pas réussir à tenir sa population, d'être pire qu'elle.
-Comment ?
-Tu te souviens, pendant la seconde guerre mondial, j'avais composer un petit réseau d'anarchiste non terroriste.
-Sorry, I don't understand.
-Ok... alors. Des anarchistes mercenaires ? Tu comprend ça ?
-Des anarchistes que l'on paye ?
-Oui. Et, ces dernières soixante quinze années, ils ont grandement fructifié et proliféré. Je pense que ma mère à fait appel à eux et leur à laissé carte blanche pour l'instant.
-Oh... mais encore ?
-Je pense qu'elle va attendre de retrouver sa souveraineté complète pour reprendre les choses en main et t'écraser.
-Une guerre ?
-Non. » la jeune femme leva les yeux aux ciel.
« -Voyons, la seule personne qui va souffrir dans cette histoire c'est toi... et peut-être un peu USA... et la, je suis pas sur pour lui.
-Mais tu l'es pour moi.
-Toi ça fait longtemps que tu mériterais bien pire !
-Yes... mais t'es au courant quand même que c'est ton oncle qui...
-C'est toi qui l'a crut aveuglément et qui à continuer de la faire payer à ma mère. Mais ne recommençons pas encore et encore cette discussion. Une fois que tu aura une réputation merdique et instable, elle terminera de te briser personnellement.
-Sorry... again... but... euh... je pensai qu'elle s'occupait déjà de moi personnellement.
-Non. Elle va brisé ta vie privé, ta personnalité.
-Oh...
-Tu ne connais pas plus de lettre ? A moins que tu ne soit pas au courant qu'il y a plus d'une voyelle ?
-Je... je pense que je devrais la laisser faire.
-Pardon ? Oui, évidement. Tu le mérite et tu mérite pire ! Mais si tu te laisse faire, j'ai bien peur que maman n'ira jamais mieux...
-Sorry ?
-Elle ne ressent plus d'émotions j'ai l'impression... enfin, pas toutes mais plus d'amour... plus de... pitié.
-Comment ça ?
-Ben... c'est les seuls choses qui l'a retenait de te massacrer.
-Et la... elle veut me massacrer.
-Oui ! Bravo ! Tu passe de plus grand imbécile de la terre à... ben un tout petit peu moins con mais faut t'expliquer longtemps même les choses les plus simple.
-Mais comment on peut perdre des émotions comme ça ?
-Ben certaines personnes ne les ont pas...
-Ca s'appel des psychopathe !
-Oui. Et moi je n'en suis pas une. Alors va te renseigner au pré d'expert en la question moi j'en est un à surveiller, ça me suffit largement.
-Ok... merci Liberté...
-Pas besoin de me remercier. C'est pas pour toi que je le fait, c'est pour ma mère. Je sais pas pourquoi mais vue que tu lui a provoquer une fois ces émotions, tu peux peut-être le refaire ?
-Euh...
-Ouais... je pense que je vais quand même prévoir un plan B au cas ou...
-Non. Je... I can do it !
-Ouais... je vais tout miser sur le plan B... en fait, je sais même pas pourquoi j'ai perdu mon temps avec toi... » elle partit...
Mais UK avait retrouver espoir.
Il fallait qu'il prenne les chose en main !
Une seule solution...
Reconquérir France !
C'est beau de rêver.
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