Chapitre 12 : Victoria
UK était épuisé... il enchainait les conseils avec ses ministres pour essayer de gérer des crises successives toujours plus grave. Comment c'était possible ? Comme si les problèmes outre-manche avait trouvé un bon bateau. Il entra dans son bureau, les bras pleins de doucement, son téléphone n'arrêtant pas de sonner. Le pauvre essayait de fuir ses conseillers et autres employés de cabinets...
« -Oh... pauvre petite chose fragile... » chantonnait une voix que le dirigeant connaissait très bien.
« -France tu... attend. » il posa les documents pour voir son ex compagne assise sur un des fauteuils en fasse de sa table de travail.
Elle affichait un sourire rayonnant. Ses yeux caché derrière des lunettes noirs de la même marque que son chemisier blanc en soie. Tout en croisant ses belles et longues jambes, elle ajusta ses bottes cuissardes noirs à la semelle rouge.
« -Well... je savais que les marques française était...
-Luxueuse ?
-Yes.
-Et bien, si tu entend par la que c'est de la qualité, de bons gouts et, surtout, reconnue dans le monde entier. Alors oui, c'est luxueux.
-Wow... » sourit, un peu gêné UK.
« -Je... je n'en doute pas... ici aussi on a de...
-De quoi ? A par une marque de bijoux plutôt pas mal mais beaucoup trop chargé, je ne vois pas ce que tu as d'aussi bien et encore moins de mieux.
-Tu... es venue ici pour comparer les apports de nos deux peuples ou ?
-Moi ? Non. Tu aborde le sujet, je répond. » elle souriait...
Mais ça avait quelque chose de glaçant... UK ne savait pas quoi dire... France était... différente. Elle lui faisait peur. Il n'arrivait même pas à trouver les mots, même pour une conversation banal.
« -Enfin, tu semble crouler sur le travail.
-Yes, I... sorry. Oui mais j'ai toujours du temps pour toi.
-C'était de la politesse UK. Je sais très bien que tu ne fou rien... enfin, sauf si tu considère que fuir tes responsabilités en te cachant dans ton bureau est un travail. » elle était sèche, cruelle et... elle aimait ça.
« -France... tu... vas bien ?
-Oh que oui. En fait, je ne me suis jamais sentit aussi bien que depuis que j'ai prit une bonne décision. »
L'anglais plongea alors son regard dans les verres noirs de son vis-à-vis, espérant y croiser son regard.
« -Quelle est-elle ?
-De faire se que j'ai envie et rien d'autre. Et je n'es qu'une envie : te faire souffrir comme toi tu m'as fait souffrir. Te faire payer mille fois plus chère chaque larme que j'ai versé par ta faute... en gros m'amuser en garantissant que toi tu ne puisse plus jamais le faire. »
Le visage d'UK se décomposa.
« -Ah... que c'est bon de voir ça. » soupira d'extase la française en se laissant un peu glissé, son chemisier laissant un peu plus apparaitre la naissance de ses seins.
« -W... why ?
-Ben quoi ? T'en perd ton français ? Tu laisse tomber la langue de Molière pour celle d'un ivrogne notoire sans grand talent à peine lettré ? Oups, pardon, non seulement tout le monde ici est comme ça mais, en plus de ne pas être clair, je tir sur une ambulance. » ricanait-elle de plus belle.
« -C'est... is not you... you are not like that.
-Bien sur que si. Je suis comme je suis et moi ça me convient parfaitement. J'assume mes choix, mon passé, présent et avenir. C'est pour cela que je suis venue te voir. D'ailleurs, pour te le prouver, j'ai décidé de tout te dire de mon passé.
-France... I don't care about your past, I love you and I want to help you. Tell me what you did. »
Le sourire de la française s'agrandit encore plus... elle avait envie de le voir se briser comme elle c'était brisé encore et encore. Sauf qu'elle ne faisait pas les choses à moitié, elle ne lui laisserait pas la moindre chance de se reconstruire. Il avait tellement fait pour la détruire... mais elle savait exactement ce qu'il fallait dire... un simple petit aveu devait suffit pour le mettre à genoux.
Le reste ?
Et bien, pour qu'elle s'amuse.
« -En 1976, tu m'as quitté.
-France... répond moi s'il te plait.
-Tu t'en souviens ? Tu m'avais quitté parce que... quatre ans plus tôt, j'avais dit que t'intégré dans l'union européenne était une erreur parce que tu n'étais pas fiable.
-France...
-C'est la que j'ai décidé d'utiliser à mon avantage une loi qui avait été passé le dix neuf janvier 1975.
-What ? I do not see what you're talking about.
-Je parle de la loi IVG. En gros, comme le balais que t'as dans le cul est tellement profondément enfoncé qu'il a dû tué les deux neurones qu'il te reste, j'étais enceinte de toi et j'ai avorté. Alors oui, te connaissant, tu vas surement remettre en compte ma fidélité mais ça m'est égal. Je ne voulais pas encore élever un enfant seul, surtout avec l'angoisse de te voir venir me le prendre si il te ressemble trop. »
UK n'entendait plus rien depuis un moment.
France avait avorté ?
« -Pour... quoi ? Tu... tu...
-Je ? Alors, je ne t'ai rien dit parce que ça ne te concernait pas. Ensuite, je ne te fais plus confiance depuis très, très longtemps, plus exactement depuis que tu m'as laissé me démerdé face à Thrid en me jurant que tu m'aiderais. Et... j'aime mes enfants, même ceux issue d'un viol... enfin, selon toi, de ma perversion. Mais toi, t'as réussit à me dégouter de la maternité. J'ai tellement souffert à cause de toi et encore plus de ta progéniture que je ne me voyais plus recommencer. » plus la tête d'UK se décomposait, plus elle souriait... et ça l'encourageait à continuer.
« -C'est pour ça que j'ai décider d'appliquer mon droit à gérer mon coeur comme je l'entendait et de faire que je n'es plus jamais d'enfant. »
Est-ce qu'il entendait ?
Elle ne le savait pas.
« -Bien, je te laisse. Mais ne t'en fait pas, j'ai une tonne de chose de prévue pour gâcher ta petite vie minable. Apprend à gérer des crises parce que j'ai dégoter des anarchistes professionnels extrêmement compétents. » elle le laissa dans sa douleur et ses doutes.
Ca ne faisait que commencé.
Mais elle ne put par vraiment partir. Même complètement choqué, Uk avait réussit à appeler la sécurité.
« -Miss, please follow us please.
-Mh... laissez moi réfléchir...
-Now miss !
-Ah... vue comme ça... » elle reprit son chemin.
« -Miss ! » le pauvre garde du corps tendit le bras pour attraper France par l'épaule... grave erreur.
Elle lui attrapa le bras, le tordit, déboitant l'articulation du coude pour le plier dans le sens opposé et le plaquer dans son dos.
« -Soyons clair, on ne me touche pas. » elle le poussa sur l'autre montagne de muscle et fuit.
Elle avait raison de courir, elle était belle et bien poursuivit. Forte ou pas, face à toute la sécurité de ce foutue château, elle ne faisait pas le poids. Courir en talon haut n'avait rien d'évidement, la ruse était donc de mise. Déjà, accélération, changement de direction soudain... et quand les agents de la sécurités se retrouvèrent face à face avec les autres membres de la sécurités... sans France au milieu, elle pouvait enfin partir.
Alors, oui, elle ne s'attendait pas à quelque chose de très compliqué mais... à ce point ? Une ruse de cartoon avait fonctionné ? Ca avait été très facile... ça la rassurait un peu. elle n'était pas la seule à être entouré d'incapable... et ce n'était pas eux les pires.
Heureusement d'ailleurs...
Elle quitta le palais, passant facilement les policiers anglais, occupé à repousser la foule en colère. C'était fantastique de voir ça, les anarchistes avaient réussit à provoquer un chaos monstrueux, bien pire que chez les français, en très peu de temps. Ca n'avait même pas couter tellement chère, surtout quand on voyait le résultat. Arriver à faire sortir de leurs gond des gens connues pour leurs calmes et leurs flegmes...
L'argent est et restera toujours le nerf de la guerre... quand on y touche, c'est explosif. Il a suffit d'un ou deux bons hackers et hop... UK était dans la merde... mai quoi piraté ? Pas grand chose... juste affiché, en plus des pertes dû aux brexit, ce que UK gagnait et coutait... en plus de la valeur de son héritage. En gros, il a foutue dans la merde énormément de gens et continue de leurs prendre énormément d'argent...
Mais tout cela n'était qu'une minuscule goute d'eau dans un océan d'informations compromettantes... et vrai... enfin, presque. Peu importe, tout le monde le croyait...
Les preuves jouent vraiment... même quand elles sont plus ou moins fausses...
Il y a tellement plus que ça.
Même France ne savait pas tout, elle n'avait pas put tout voir. Il y avait tellement... en gros, UK était la source de tout les malheurs du monde... c'était vrai pour France en tout cas... et maintenant pour la population de l'anglaise.
Elle pouvait rentré tranquillement chez elle, profitant du chaos qui régnait chez UK... lui qui lui reprochait constamment que son territoire n'était qu'anarchie et autre méchant mot pour souligner son incapacité...
Comment avait-elle put l'aimé ? Comment avait-elle put tant lui pardonné ?
Comme quoi... elle devait vraiment être folle...
L'amour rend aveugle... elle n'a pas eut besoin du mariage pour enfin retrouvé la vue.
« -Maman... alors, c'est toi la responsable ?
-Tiens... USA... pourquoi dis-tu pareil bêtise ?
-Parce que tu te comporte comme une coupable.
-Moi ? Oh... non. Une coupable essayerais d'être discrète. Moi, je suis contente que ton père à enfin un peu de ce qu'il mérite.
-Un peu ?
-Oui, tu sais, la tu dois avoir beaucoup d'anarchiste du monde entier... je le sais parce que je les es repéré chez moi. La crise qui a fait que le conseil de la sécurité mondial, ou je ne sais quoi, ma prit ma souveraineté.
-Mommy...
-Oui, je sais, ça ne c'est pas tout à fait passé comme ça... mais on a effectivement payé des anarchistes professionnel pour m'achever après la crise des « gilets jaunes ». Je ne suis pas idiote tu sais ? J'ai très vite trouvé qui même si le pourquoi reste flou... enfin, presque, tu es bien le fils de ton père... comme les trois autres d'ailleurs.
-M...
-Silence. Je ne veux plus rien entendre USA. tu es comme UK et ce n'est pas un compliment. Tu m'as coupé des accords commerciaux ? Et bien soit. Je vais trouvé d'autres acheteurs, surement bien plus intéressant. Chine m'a déjà contacté... je lui avait dit que je voulais quand même voir avec toi le problème et il m'a répondu qu'il attendrait le temps qu'il faudra... je pense qu'il a assez attendu et, moi, assez subit les délire de taré comme toi. » son sourire s'agrandit encore plus.
« -Je ne veux plus te voir. Quand à tes frères... et bien, à part Canada... il n'y a pas vraiment de problème.
-Je... je suis ton fils. Je sui peut-être comme papa... mais je suis aussi ton fils maman... il en faudra bien plus pour me briser.
-Ah... tu me rassure USA. Moi qui te pensait que tu n'étais qu'un minable avec beaucoup de chance et d'ego, je suis rassurée. Bien, si tu veux m'excuser, j'ai une ou deux vengeances à prendre.
-Tu es responsable de ça...
-Non. Si j'avais fait cela, j'aurais une vengeance en moins à préparer. »
USA grinça des dents.
« -Oh et ne recommence pas avec ça ! Tu veux encore un appareil dentaire ?
-Oh non, please no... » grimaça-t-il douloureusement.
Ca serait la septième fois qu'il devrait en porter... déjà que enfant ou adolescent c'est une torture, adulte, c'est encore pire.
« -Shit... » France était partit.
Elle allait faire une bêtise, c'était sur... les régions et Liberté ne voulaient rien faire ? Et bien USA allait s'en occuper. Sa mère n'allait pas continuer à s'en prendre comme ça à UK !
Si elle voulait la guerre, elle allait l'avoir !
Quand USA était tout petit, sa mère s'occupait beaucoup de lui. Elle adorait son fils qu'elle trouvait... adorable. Il était gentil, doux, calme. Elle l'aimait comme elle aimait tout ces enfants. Mais ce petit garçon, c'était le premier qu'elle pouvait élever toute seule et rien qu'elle, ordre du père de l'enfant. C'était tellement bien... elle n'avait même pas put tenir dans ses bras ses autres enfants avant leurs deux ans... elle n'avait même pas put les élever toute seule ou comme elle le voulait...
USA était donc le seul enfant qu'elle pouvait élever... qu'elle pouvait materner. Elle s'occupait très bien de son fils... UK était admirative devant cette belle jeune femme... il savait que ça allait bien se passer, après tout, elle s'occupait d'enfants... même si il ne savait pas que c'était ceux de France.
Elle put s'occuper comme ça de trois des quatre enfants qu'elle eut avec UK... aussi des régions. A cette époque, sa relation avec l'anglais était la meilleure chose qui a put l'arrivé... jusqu'à ce qu'il lui prennent ses enfants... il avait déjà prit USA alors qu'il n'avait que douze ans. Et il lui prit tout les autres d'un coup... même celui qu'elle attendait...
Elle qui voulait juste être une bonne maman... elle qui voulait juste être une maman... juste s'occuper de ses enfants...
UK repensait à ce moment, quand il venait voir celle qu'il aimait et leurs fils...
Il repensait aussi à sa mère... une grande reine, une bien meilleure dirigeante qu'il ne le saura jamais. Elle lui disait toujours que France était un bijoux...
« -Ne soit pas celui qui la brise.
-Pourquoi ferais-je cela ?
-She has already suffered much more than you imagine... I think she can still take more. But one day she will reach her limits... like everyone else. »
Uk ne se souvenait pas de sa réponse... heureusement chère lecteurs, une équipe de spécialistes l'a retrouvé pour vous !
« -Oh... mère... la pire chose qu'il peut arriver à France est d'être mal coiffé. »
Oui... avant ou maintenant, UK était UK et resterait UK... il était et reste un gros con.
Sa mère savait surement pour les régions... elle ne lui avait pas dit parce qu'elle adorait France. Victoria, mère d'UK, disait souvent qu'elle aurait voulue que France soit sa fille... elle avait même donné une bague à son fils. Pourquoi ? Pour qu'il demande en mariage France ! Mais elle est morte... la révolution française, Empire de France dit la « vérité » à l'anglais...
Mais il avait toujours la bague.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro