Chapitre 11 : L'amour est un oiseau rebelle
Il y a longtemps, à l'époque de Royaume de France, France était une princesse qui n'avait pas vraiment la vie de château. Cela dit, elle aimait tout de même ses enfants malgré les circonstances de leurs naissances et conceptions. C'était une bonne maman, une très bonne même, la meilleurs pour les jeunes régions qui n'étaient que des enfants à cette époque. Leurs très jeune maman attendait un autre enfant... mais cette fois elle semblait plus heureuse.
Le père de se bébé était un homme charmant... il avait réussit à lui donner le sourire. C'était un prince du même âge qu'elle, un héritier du trône... mais ça, elle s'en fichait. Il était gentil, calme, drôle, intelligent, séduisant. Elle pouvait passer des heures juste à l'écouter.
Il l'a traitait comme une princesse... c'était le seul. Pour lui, elle était même mieux que ça, il l'a traitait comme la huitième merveille du monde.
Et elle attendait un bébé de lui. Ce n'était pas parce qu'on l'avait forcé, elle était d'accord pour une fois. Lui était heureux d'avoir un enfant avec elle. Il avait même promis de s'occuper d'elle et de l'enfant... même des autres enfants dont France s'occupait.
Ce beau prince de conte de fée qui faisait rêver la malheureuse deuxième née du royaume qui illumine l'Europe n'osait lui dire que c'était ses enfants biologique. Elle avait peur que... et bien... qu'il l'abandonne. Qu'il la déteste.
Pas lui...
Pas UK...
Au fond d'elle, elle était sur qu'il ne lui ferait jamais le moindre mal.
Avec Empire de France, aaa devait être le seul qui voulait son bien dans ce monde de souffrance.
Elle avait juste besoin d'un peu de temps pour... pour le croire complètement.
Mais ça lui faisait tellement de bien d'être dans ses bras, d'être contre lui... il lui donnait envie de sourire.
Surtout qu'il était le seul à lui avoir fait cette promesse...
Très simple... mais si complexe à la fois...
« Je t'aime, je t'aimerais toujours. Je ferais tout pour que tu sois heureuse. »
C'était si beau... France, après tout ce qu'elle avait vécu, n'avait que envie de croire en de si belle paroles. Elle avait envie de croire qu'elle serait heureuse avec UK. Elle le pensait vraiment...
Pourtant l'avenir lui prouva qu'elle avait eut tord.
Que se soit pour son « grand frère adoré » ou encore son « prince charmant ».
Que se soit l'un ou l'autre, ils avaient mentit à France, c'étaient servis d'elle... l'avaient laissé.
Quatre enfants... quatre enfants qu'elle a élever, aidé, elle c'est même mis en danger en aidant USA...
UK lui avait prit les quatre, c'était de sa faute si on lui avait prit les autres.
Il lui avait prit le peu qu'elle n'avait jamais eut... il lui avait donné des espoirs... pour les briser.
Mais elle l'avait reprit ! Sans rien... pas une saint Valentin, pas un anniversaire, pas un petit déjeuné... rien. Et elle l'aimait toujours.
La pire humiliation avait été pendant la période entre deux guerre. France avait organisé un diner aux chandelles. Elle invitait, lui ne l'avait jamais fait, il y avait tout ce que UK aimait... lui ne savait même pas la couleur préféré de France...
Elle avait tout fait pour faire plaisir à UK.
Pourquoi ?
Parce que les femmes étaient un peu plus libre... ce n'était plus forcément à l'homme de demander en mariage.
Oui...
Elle voulait le demander en mariage...
Elle attendait dans une jolie robe...
Elle attendait...
Attendait...
Il devait avoir des choses à faire, il a dû oublié avec tout le travail qu'il devait avoir.
Elle aussi en avait beaucoup... elle n'était pas estimé. On ne la respectait pas comme cheffe d'Etat...
Et elle cherchait des excuses à UK...
Que faire d'autres ? Elle l'aimait... il lui avait fait tellement de mal... mais elle l'aimait...
Pourquoi lui lui faisait ça ?
France gardait espoir.
Elle relevait la tête à chaque fois que quelqu'un entrait dans le restaurant...
Et... il arriva. Le visage de la jeune femme s'illumina. Il n'avait pas oublié ! Il était juste en retard. Sauf que le pire était à venir. Quand elle allait lui faire signe... une femme entra et vint tendrement l'embrasser.
« -Thank you my love for the invitation. » dit la belle rousse tout sourire.
Alors... elle était invité ?
« -It's normal. It's your birthday after all. » et il se souvenait de son anniversaire ?
France baissa la tête... perdant son sourire. Alors il l'a trompait ? Encore ?
Il... ne l'aimait pas.
Il ne l'avait jamais aimé...
Mais cette belle jeune femme rousse... elle il devait l'aimer...
Le pays blessé se leva et partit... emportant avec elle sa soirée de rêve pour UK. Pour lui elle aurait fait n'importe quoi... lui n'arrivait même pas à penser à elle... ne pas l'oublié... lui parler à d'autres moment ceux où elle pouvait lui servir...
Cinq ans plus tard, la seconde guerre mondial, France trahis par un de ses enfants... prise en otage... torturée... sa fille qui se battait pour sauver ses frères et soeurs...
Elle avait été abandonnée...
UK n'avait rien fait pour l'aider...
C'était terminé.
Elle avait compris que jamais il ne l'aimerait.
Alors même si ils étaient à nouveau ensemble, pour très peu de temps. Qu'ils avaient recommencé leurs cinéma de ruptures et de réconciliations...
France l'aimait toujours... mais moins qu'avant. Elle ne pouvait pas oublié que lui ne l'aimait pas. Et c'était toujours pire, peu importe ce qu'il lui disait...
Chaque « je t'aime » était un rappel à l'ordre.
Chaque « je t'aime » à partir de cette soirée n'était que pour lui rappeler qu'il pensait : « I love you until I find better ».
C'était très simple pour lui...
Mais elle l'avait aimée... maintenant c'était terminé...
« -L'amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser
Et c'est bien en vain qu'on l'appelle
S'il lui convient de refuser
Rien n'y fait, menace ou prière
L'un parle bien, l'autre se tait
Et c'est l'autre que je préfère
Il n'a rien dit, mais il me plaît
L'amour. »
France ne ressentait plus d'amour... elle attendait juste. Son heure allait venir. Il lui avait fait tellement de mal...
« -L'amour est enfant de bohème
Il n'a jamais, jamais, connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Et si je t'aime, prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas, si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime, prends garde à toi
L'amour est enfant de bohème
Il n'a jamais jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Et si je t'aime, prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas, si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Prends garde à toi. » chantonnait-elle à tue tête.
C'était la seule chanson qu'elle connaissait par coeur.
Elle l'écoutait quand elle était triste.
Composé en 1875, "Carmen : L'amour est un oiseau rebelle"...
La plus belle chanson qu'elle n'avait jamais attendu...
Encore maintenant elle résonnait parfaitement dans sa tête...
« -Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Et si je t'aime, prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas, si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime, prends garde à toi. »
C'était si vrai...
« -Prend garde à toi. »
La musique, juste la mélodie sans les paroles, se coupa.
Le téléphone de France sonnait.
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