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Chapitre 1 : Compliqué

URSS, Russie et Germany.

C'était eux qui avaient sonné.

Thrid leurs ouvrit et, tout de suite, dès que le communiste le vit, il éclata de rire comme jamais il n'avait rit. Le « nouveau » look de Thrid était à mourrir de rire. Il avait une chemise blanche sable avec un pull couleur noisette sans manche, son éternelle cravate noir avec un pantalon brun foncé et des chaussures de la même couleur. Le comble du ridicule quand on connaissait un peu l'allemand et son style vestimentaire.

Les deux autres ne remarquèrent pas vraiment les vêtements de Thrid, non, Russie et Germany étaient plus concentré sur son regard. Et, il fallait l'admettre, ce n'était pas le plus engageant de tous. C'était même tout le contraire ! Alors les deux plus jeunes reculèrent tandis qu'URSS se roulait par terre de rire. Il en avait même mal aux côtes.
L'allemand resta la, comme ça, sans rien dire. Son regard froid et vide fixant... ben le vide...

Et puis URSS se releva, se dépoussièra, se remettant bien entre l'allemand et les plus jeunes avant de parler.

« -Salut le vieux ! Alsace est la ? »

Thrid, trop épuisé et endormit pour entendre l'insulte ne réagit même pas.

« -Non... elle... est chez France... on est le... quatorze juillet.

-On peut entrer ou ton arthrite te paralyse sur place ? »

Encore une fois aucune réaction de Thrid pour l'insulte. Il se contenta juste de s'écarter pour laisser entrer URSS qui, comme s'il connaissait la maison, alla vers la cuisine. Puis Russie qui suivit sagement son père et, enfin, Germany qui n'entra pas complètement. Le plus jeune allemand s'arrêta devant l'autre avant de dire :

« -Russie et moi on va se marier et on va avoir un enfant. » et il partit en courant dans l'autre sens pour sortir de la maison.

Il prit la fuite, comme prévue après avoir annoncé la terrible, tragique, horrible... bon, pas tellement en fait mais pour Thrid... entendre ça, c'était la fin.

Serte, il savait pour Germany et Russie... mais il pensait pas que ça allait si loin ! Enfaite, il pensait qu'ils attendraient au moins qu'il digère l'information... ce qui aurait prit énormément de temps dans le cas de l'allemand mais il faisait des efforts pour y arriver !

Mais tout cela était prévue ce qui expliquait la présence d'URSS. En effet, le communiste avait accompagné son fils ainé et le compagnon de se dernier pour les protéger. En gros, Germany lui dit, il lâche la bombe et il fuit. Russie reste pour peut-être laisser le temps de fuir à Germany et, URSS, le protège.

Comme à si bien dit son fils : « Quitte à ce que quelqu'un meurt, autant que ce soit URSS. »

Et URSS était d'accord. Même si Thrid allait exploser...

Sauf qu'il entra dans la cuisine... sans réaction, il sortit une tasse. URSS se mit devant son fils, imaginant déjà très bien la tasse voler pour atterrir dans sa tête ou dans celle de Russie. Mais rien... pour l'instant. L'allemand se servit du café, but une gorgé... toujours aucune réaction...

Et...

Il s'immobilisa, la tasse encore aux lèvres avant de l'enlever, la retirer pour la poser sur le meuble de la cuisine et prendre une très, très profonde inspiration.

« -Rassurez moi... j'ai mal compris ce que m'a dit Germany ?

-Alors, en plus de mettre trois plomb à percuté, tu es sourd grand père ?

-Comment tu viens de m'appeler sale communiste ?

-Oh, calme toi grand père, avec un pareil sens de la répartit, tu vas en perdre ton dentier ! » tout en parlant, URSS se décala.

Il se décala pour rester devant Russie qui filait vers la porte pour s'échapper. Il avait raison parce que, le ton montait et, Thrid complètement épuisé, n'avait plus du tout le sens de la répartit. Et ça l'énervait d'être traité de vieux. En plus de la fatigue, dès que Russie avait réussit à fuir...

« -Oula, calme toi Thrid, pense à ton parkinson ! »

La goutte d'eau qui faisait déborder le vase.

« -Tu vois cette tasse ? »

Il lui explosa dans la tête.

« -Et ben la, tu la voit mieux. » oui, quand Thrid était fatigué, il n'avait plus du tout le sens de la répartit.

A partir de ce moment, c'était l'escalade de la violence.

Pendant ce temps, Alsace étaient avec deux de ses soeurs dans le grenier de leurs mère. Elles cherchaient toute les trois, dans les albums photos de France, quelques chose qui pourrait lui faire particulièrement plaisir en ce soir de quatorze juillet, fête de son anniversaire. Serte, tout le monde avait un cadeau mais, comme toujours, ils avaient fait une cagnotte en plus et ils n'avaient pas trouvé quoi acheté avec. Alors, pendant que les autres s'occupaient de préparer la maison, avec la complicité d'Empire de France et de Néo, Alsace, Loraine et Réunion cherchaient et discutaient.

Les trois soeurs s'entendaient à merveille mais, si Alsace et Loraine se voyaient presque tout les jours, ce n'était pas le cas de la région d'outre mer... qui n'avait pas sa langue dans sa poche.

« -Comment tu peux couché tout les soirs avec ce type ?

-Pardon ?

-Avec ton connard de...

-Elle parle de Thrid.

-Ah.

-Oui, l'autre enculé de bauch. » Alsace ne la contredisait pas, elle ne le faisait jamais quand quelqu'un insultait son mari...

« -Réunion...

-Ben quoi ? C'est vrai non ? Alsace ne me contredit même pas !

-C'est son mari quand même... si elle est avec lui c'est que...

-Que ?

-Que... » Loraine ne savait que dire.

En fait, personne dans la famille ne savait quoi dire à Alsace... sauf peut-être France qui savait quoi dire mais ne voulait pas blesser sa fille en crachant le morceau. Alors les trois soeurs étaient la, n'osant pas parler.

Et puis...

« -Je sais très bien que vous ne le supportez pas et je comprend pourquoi.

-Alors pourquoi tu es avec lui ?

-Je... je ne sais pas... » sur ces paroles, qui n'était pas bonnes mais pas mauvaises, la région du Grand Est se leva et partit, laissant ses soeurs dans le grenier.

« -Mais pourquoi tu as parlé de ça ?

-Elle est pas bien avec lui ! Et puis c'est de Thrid Reich dont on parle ! Tu sais, le taré qui à monté Vichy contre maman et à faillit la tué ! Sans parler de ce qu'il lui a fait ! Il a fait du mal à tout le monde de notre famille !

-Oui... mais...

-Et tu tombe dans son piège en pensant qu'il à changé !

-Hey ! Tu étais la première à sauter dans les bras d'Empire de France !

-C'est notre oncle, le seul frère de maman et...

-Et il nous a vendu à d'autres pays !

-Sans le vouloir ! Et il est de la famille !

-Ben... » Loraine déglutit, elle n'en revenait pas mais... oui, elle allait le dire.

« -Lui aussi est de notre famille. » son ton était grave, sinistre et emplit de dégout.

Oui...

Thrid faisait partit de leurs famille...

Mais que foutait France ? Pourquoi elle n'intervenait pas ! La connaissant, un seule mot d'elle et Alsace lâchait ce taré ! Mais non... rien ! Qu'est-ce qui lui prenait ? Ce n'était pas du tout son genre. Ok, elle ne voulait pas faire de mal à son enfant mais ce n'était pas l'aider en le laissant avec ce monstre !

C'était vraiment étrange de la part de France... mais bon, les deux régions n'étaient pas monté ici pour parler des problèmes d'Alsace mais pour faire une surprise à leurs mère.

« -Alors... » Loraine c'était éloigné de Réunion sous prétexte de chercher plus vite, en réalité elle n'avait plus envie de lui parler...

C'est vrai, Alsace était adulte, elle avait le droit de faire ce qu'elle voulait même s'ils n'approuvaient pas... et qu'elle était en danger. Pas vraiment, si Thrid essayait quoi que se soit... et bien il comprendrait que la seule chose qui pourrait le protéger de la famille De France était une armé... et la, c'est pas sur, pour peu que toute la famille se mettent ensemble... un massacre. Alors il n'osera pas...

Non.

Il n'oserait jamais.

La région cherchait dans des carton quand elle tomba sur un coffre fermé à clé... un très vieux coffre en bois... Loraine le reposa tout de suite, c'était étrange mais... elle avait peur du contenue.

« -Réunion ? Viens voir... »

Mais sa soeur eut la même réaction... sauf que celle ci recula et tomba par la trappe laissé ouverte. heureusement pour elle, Bretagne passait par la et la rattrapa. A partir de se moment, ils étaient très vite tous en haut. Les préparatifs de la fête était terminé mais... comment dire ? Et ben la maison était très vide soudainement !

« -Bon, on ouvre !

-Mais ça va pas la tête Bourgogne ? On laisse fermé !

-T'es vraiment pas courageux Corse ! On ouvre !

-Pourquoi maman l'a fermé comme ça ? C'est bizarre non ?

-Je suis d'accord avec Aquitaine, c'est louche !

-Tu parle ! Elle a dû l'oublié entre deux guerres et la laissé trainé la !

-Mais tu pense quoi Franche ? Qu'il y a un trésor dedans ?

-Ne soit pas bête Languedoc ! Elle veut juste dire que...

-Oh la ferme Picardie !

-Ne parle pas comme ça Île-De-France !

-La ferme Alsace !

-Toi la ferme Guadeloupe ! »

Et ainsi éclata une énorme dispute entre les vingt-sept frères et soeurs...

« -Fermez la tous ! » hurla Empire de France en arrivant.

Et tout le monde fit silence.

« -Non mais ça va pas la tête ? Imaginez que c'est votre mère qui... qu'est-ce que vous foutez avec ce coffre ? » se calma-t-il tout de suite.

« -On l'a trouvé et on veut l'ouvrir. Mais si tu sais ce qu'il...

-Ne l'ouvrez pas.

-Contient on le laissera fermé... » abandonna Basse normandie alors que sa jumelle lui tapotait doucement la tête.

« -Ne t'en fait pas, ça va aller.

-Non, pas si vous ne lâchez pas ce coffre.

-Mais il y a quoi dedans ! » répondirent toutes les régions en coeur.

L'Empire fit un bon et s'accrocha à une poutre.

« -Non mais ça va pas la tête de gueuler comme ça ! Vous êtes pas les enfants de votre mère pour rien vous !

-Bon. Très bien. Tu as trente secondes pour nous le dire.

-Ou sinon quoi Nord-Pas-De-Calais ?

-Bourgogne ? Fait sauter la serrure.

-Non ! Surtout pas ! Votre mère me tue si je vous laisse faire !

-Alors dit nous.

-Non ! Sinon elle me tue !

-Ouvre ! » s'exclama Champagne-Ardenne.

« -Ok vous avez gagné je...

-Je vais vous massacrer. »

Tout le monde vira au blanc. La voix froide et autoritaire de France avait stoppé net tout le monde...

« -Non mais Auvergne t'es folle ! » finit par soupirer leur oncle en retournant sur le sol... oui, il était resté accroché à la poutre en mode paresseux pendant tout ce temps.

La jeune femme éclata de rire.

« -Vous avez vraiment cru que c'était maman ?

-Ben oui ! On pensait qu'on était tous la !

-En plus tu as la même voix qu'elle... » pleurait encore l'empire, traumatisé.

« -Ah ? Ben non, je suis aller voir si elle était la pendant que vous vous battiez.

-Et ?

-Elle est pas la. » sourit la jeune femme en approchant du coffre.

« -Mais si vous voulez mon avis, elle va pas tarder. On ferait mieux de remettre ça à plus tard. »

Tout le monde acquiesça bien sagement en descendant...

Décidément, avoir la même voix que France était un grand atout, tout le monde l'écoutait... temps qu'ils pensaient que c'était France. Alors que tout le monde descendait un ou deux album de photo sous le bras, les régions sursautèrent en entendant la porte claquer.

« -Joyeux anniversaire ma... » ils s'arrêtèrent.

« -Euh... je suis en avance ?

-Salut Canada...

-Oui, un peu.

-Tu devais pas arriver une heure après le début ?

-Et raté la surprise au passage ?

-Ben... oui mais je suis à l'heure moi. » sourit, un peu gêné, le pays à la feuille d'érable.

« -Quoi ? »

Empire de France n'en revenait pas.

« -Liberté à une heure de retard ! Et tes frères on une minutes de retard la !

-Oui mais... maman n'est pas encore la ?

-Non mais c'est pas une raison ! » lança le plus vieux en se mettant devant tout le monde.

« -Et nous aussi nous avons du retard ! On se met en place et on termine les petits détails ! Tout doit être parfait ! On se souviens tout de l'échec de l'année dernière !

-Oui chef... » soupirèrent tout le monde d'une seule et même voix... à part Néo qui c'était mis au garde à vous, tout fière de pouvoir aider.

« -Ah ! Enfin un peu d'enthousiasme ! Va aider... Champagne, Franche et Ile de France avec les photos ! Les autres vous savez quoi faire.

-Et toi ?

-Moi je vais appeler ta soeur pour savoir ce qu'elle font avec votre mère ! » enrageait presque l'empire en composant le numéro.

Pendant ce temps, pas si loin que ça, France avait une furieuse envie de se taper la tête contre son bureau... comme sa fille mais avec une porte. Le pays était coincé dans une réunion interminable et ennuyeuse qui parlaient de la chose kola plus importante qui puisse être : l'image de France...

Pas de son territoire, non. La sienne. Oui parce que le coup de la femme forte et indépendante qui a élever toute seule plus de trente enfants en tenant un pays plusieurs fois au bord de l'explosion et qui s'en est toujours sortit, c'était pas si bien que ça. Non, il fallait en plus qu'elle soit une femme féminine mais pas trop, intelligente mais pas trop, ferme mais pas trop, un sexe symbole mais pas trop... en gros elle devait tout être... mais pas trop !

Encore un seul « mais pas trop » et ça allait être un bain de sang de conseiller... si ces sales vermines en avaient du sang ? Non, ces espèces de robots extraterrestre ne devaient pas en avoir.

Et France n'était pas la seule à penser ça... Liberté n'était pas sa fille pour rien après tout.

« -Mais pas trop non plus, vous devez...

-Fermez votre gueule.

-P... pardon ?

-Fermez votre gueule. Je suis comme je suis. Je ne suis pas une poupée en plastique qu'il suffit de coiffer et d'habiller pour qu'elle change complètement. Je suis un des plus vieux état au monde, j'ai survécue à une monarchie absolue, deux empires, des dizaines de révolutions, des centaines de guerres dont deux mondial, quatre échecs républicains.

-Oui mais...

-Parlez moi encore une fois des gilets jaunes et, non seulement vous serez virez mais, en plus, vous vivrez vos pires cauchemars en même temps.

-Oui mais vous étiez dans la... » il ne put terminer sa phrase...

Enfin si, il aurait put mais... après avoir traversé la porte en l'ouvrant avec sa tête, c'était un peu compliqué et très risqué. Déjà que la, il fallait appelé une ambulance...

« -Et la prochaine fois c'est la morgue ! »

France sortait enfin de cette foutu pièce ! Elle mit son manteau et...

« -Attend je rentre avec toi !

-Alors... ok ? Mais je n'es pas besoin de garde du corps et tu ne vit plus chez moi... sauf si tu as réaménagé sans me le demander.

-Bien sur que non maman. Mais tu dois me donner un dossier que je te demande depuis cinq jours !

-Quel dossier ?

-Le dossier 1944.

-Ah... ouais... j'y pensais plus. Allons y que je puisse aller dormir !

-Oui... dit... maman, tu sais quel jour on est ?

-Je sais que ce n'est pas ton anniversaire ni celui d'un de tes frères et soeurs et ça me suffit.

-Ah. Ok. » c'était officiel... France avait oublié que le quatorze juillet était le jour de son anniversaire.

Faut le faire quand même.

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