- Je te jure ça me frustre a un point !
- Je comprends Ro', toutefois un monde parfait est impossible..
- Et je déteste ça.
- Ne te mets pas de pression par rapport à ça. Nous sommes jeunes.
- La jeunesse n'excuse pas le crime.
- Quel crime ?
- Celui de ne pas réfléchir. Nous sommes instruits nous devons penser.
- Nous tous. Pas que nous 6. Ne te monte pas la tête Rosa.
- ...
- Viens la.
Il lisait mes émotions. Je le savais. Je souris et me laissais aller dans ses bras.
- A la la, Rosa Chiroz, soupira- t -il.
- Quoi ?
- T'es un cas.
- Toi aussi tu sais.
- Dors.
Je ne me fis pas prier. Le sommeil alourdissant désormais mes paupières qui commençaient à tomber. A demi allongée sur lui, je m'endormis paisiblement et plongeait dans un rêve.

J'étais avec ma mère. On marchait toutes les deux . Elle me dit :
- Rosa. Ma sublime fille. Tu es aimée.
- Oui maman, par ma famille, mes amis.
- Tu es aimée aussi aimée aussi d'une façon différente, unique. Et tu aimes d'une façon unique aussi.
-...
- L'amour Rosa, celui qui unit deux personne est une magnifique énigme. C'est quelques choses de beau. De très beau. C'est trouver a la fois une frère, un père, un ami, un fils en une seule et même personne. L'amour est le meilleur fusil contre la terreur. L'amour est universel et tous, nous en somme dignes. Ce qui n'ont pas connu l'amour, beaucoup de criminels, sont de pauvres gens. Même le désir est bon, car désirer quelqu'un va de paire avec le protèger. Tu as le droit de mourir envie pour quelqu'un l'amour n'est jamais une honte. Il se trouve quelqu'un ji est la seule pièce a pouvoir aller avec toi profondément. A la fois si opposé et si ressemblant. Si différent mais si complémentaire. Il ne sert a rien de le confiné au plus profond de toi. Aime. Aime de toute ton âme. Donne ton amour ma fille.

Je me réveillai, toujours contre Jay'. Il m'apparut soudainement différent. Beau. Oh qu'il était beau. D'une splendeur que je n'avais jamais autant remarquée. Ses lèvres fortes et fines, son nez dessiné, ses paupières closes...
Ses cheveux bruns foncés légèrement ondulés, ses mains veineuse que le don teintait d'or, son torse si finement sculpté..
Ses bras forts, ses cuisses athlétiques, sa peau aux tons brun et or.
Oh, je ne sais quelle divinité qu'il était beau. Et son sourire sincère, ses fossettes, cette manière de froncer les sourcils qu'il avait.
- Merci maman.. je murmurai.
Quelle prise de conscience délicieuse. Je l'aime. Cela sonne si bizarrement mais si juste. Je n'avais qu'une envie cetait de sentir sa peau sous mes doigts. De toucher ce qu'il m'avait été offert de voir. L'Etre aimé. Ces cils fremirent et il ouvrit ses yeux de braise. Il les plongea dans les miens et sourit. Il s'approcha doucement, pris délicatement mon menton entre ses doigts et après un long moment pour moi, il posa ses lèvres douces sur les miennes. Dans mon ventre, quelque chose se desserra  et des centaines de milliers de papillons s'envolèrent. Je passai mes mains dans ses cheveux soyeux en continuant de l'embrasser tendrement. Quand on se detacha, certes beaucoup trop tôt a mon gout, il chuchota :
- Tu es magnifique.
Et il me prit dans ses bras et m'y serra. Nous finissâmes par nous rendormir, ensemble

Fin du chapitre

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